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EAN : 9782253134169
224 pages
Le Livre de Poche (06/07/2011)
3.3/5   57 notes
Résumé :
Vingt ans après, six anciennes camarades de classe se retrouvent dans la somptueuse villa où elles avaient séjourné ensemble l'année de leur bac. Seule Piera, l'organisatrice de ce week-end " entre filles ", manque à l'appel. Lucia, Amanda, Déda, Maria Luisa, Tatti et Giovanna imaginent alors toutes sortes de motifs à son absence. Très vite, trois autres disparaissent. Leurs amies se rassurent en pensant qu'elles ont filé à l'anglaise. Mais la tension ne cesse de mo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (31) Voir plus Ajouter une critique
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La villa Camerelle, perdue dans la campagne toscane, reçoit pour le week-end un groupe d'anciennes camarades de classe, ayant décidé de se retrouver après plus de vingt ans dans le même lieu où elles avaient passé un week-end ensemble avant de quitter le lycée.

Les six femmes ont décidé que ce serait donc quelques jours entre filles, sans téléphone, sans personnel de service, histoire de mieux profiter de leurs retrouvailles.

Mais l'organisatrice du week-end, Piera, ne semble pas être en mesure de venir, puis Déda disparaît à son tour sans prévenir et les autres imaginent des raisons pour leur absence. Mais quand c'est au tour de plusieurs autres de disparaître, cela devient franchement inquiétant …

Un petit triller qui ce laisse lire...mais une intrigue pas très claire... on s'emmêle dans les prénoms et les caractères des personnages... "Les 10 petits nègre"s de loin, de très loin même, et sans le talent d'Agatha Christie pour vous envoûter.

Beaucoup de lourdeurs, de répétions dans le style, les états d'âme des personnages. Au final un livre peu intéressant qui ne me laissera que peu de souvenirs...loin de valoir Agatha Christie .

Par contre la fin est assez étonnante
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A la veille de la quarantaine, sept anciennes camarades de lycée ont rendez-vous pour un week-end dans une vieille demeure toscane au passé inquiétant. Elles ont toutes déjà effectué un séjour en ces lieux vingt ans plus tôt avec quelques professeurs, et certaines ne se sont pas revues depuis.

Huis clos ? Oui ! La consigne donnée par l'organisatrice du week-end étant "aucun contact avec l'extérieur", la ligne téléphonique est coupée, les portables bannis, et les employés de l'hôtel sont en congé.

En Toscane ? A part une bouteille d'huile d'olive, des prénoms italiens qu'on risque de mélanger en raison des fins en A, pas grand chose d'exotique, non !

Girly ? Oui, et non. Ces femmes sont pour la plupart belles, riches, ont une fabuleuse carrière, savent se pomponner, s'habiller, rendre leurs "amies" vertes de jalousie. Mais n'ayez crainte, le côté "bonnes copines fofolles entre elles" ne dure guère... Elles se connaissent depuis l'enfance/l'adolescence, donc c'est plutôt un groupe de filles à tendance "panier de crabes", avec vieilles rancoeurs, jalousies, rivalités bien ancrées dans le passé... Les lecteurs masculins sont donc cordialement invités à ne pas bouder cet ouvrage !

Flippant ? Oui, l'auteur nous plonge d'emblée dans une atmosphère digne de "Dix petits nègres", on sent une menace via la voix off dans le récit, on attend vite quelque chose qui ressemble à un châtiment. D'ailleurs l'une des femmes est bientôt victime de phénomènes inquiétants (sensation d'être suivie et épiée, disparition d'objets, vision d'ombres derrière sa fenêtre), et le passé sanglant de la bâtisse n'est pas fait pour la rassurer.

Captivant ? Oui, la curiosité est rapidement aiguisée mais on est d'abord freiné par la multiplicité des personnages, les spécificités de chacune à mémoriser (mieux vaut noter pour s'y retrouver). Ensuite, le récit est plus centré sur l'une d'elles, parfaite garce, tantôt hystérique, tantôt froidement manipulatrice... Et à partir de là, on avance à un rythme frénétique, de plus en plus mal à l'aise, agacé de ne rien deviner, de se faire manipuler.

En bref : tous les ingrédients d'un thriller efficace et scotchant sont là, on est vraiment oppressé entre ces pages, au milieu d'ombres, de fantômes du passé, de meurtres sordides... La couverture de la collection poche est plus éloquente à ce sujet que celle de l'édition initiale brochée, bien anodine et trompeuse avec son paisible champ vert.
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Un petit roman policier qu'on oublie aussi vite qu'on le lit.
Le thème est archi-classique : six anciennes étudiantes se retrouvent pour passer un week-end ensemble dans une villa italienne.
Dès le début on sent que rien ne va se passer comme prévu, déjà, certaines de ces femmes n'ont pas vraiment envie d'être là et ne savent pas bien pourquoi elles ont été invitées.
L'écriture est très quelconque, l'histoire est basique, entre meurtre et disparition mystérieuse, le tout saupoudré d'un peu de nostalgie...
Les ficelles sont grosses, l'histoire a bien du mal à décoller...bref, je me suis ennuyée.
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Piera, Lucia, Déda, Maria Luisa, Tatti, Amanda et Giovanna sont des amies depuis le lycée. Toutes issues d'une classe sociale élevée, elles étaient un groupe d'amies soudé autour de Giovanna et Déda, les deux meilleures élèves, les deux petites reines du lycée qui attiraient tous les regards, attisaient toutes les envies. Toutes étaient promises à un avenir brillant, des carrières professionnelles ambitieuses et une vie aisée.

Vingt ans plus tard, elles éprouvent l'envie de se réunir, d'évoquer les souvenirs, et peut-être de se mesurer : qui a le mieux réussi ? qui est la meilleure ? Et quoi de mieux que de se réunir dans la Villa Camerelle, dans laquelle elles avaient fêté l'obtention du bac (esame di maturità). Et pour réussir cette réunion, l'organisatrice Piera décide que le temps du week-end toutes se passeront des téléphones, pour revivre le bon vieux temps.

Huis clos en Toscane est un thriller sans originalité, très classique et placé sous l'égide du chef d'oeuvre du genre Dix petits nègres. A moins que la fin, assez carnavalesque, place le roman sous le signe de la parodie, jouant avec les clichés du genre.

On le comprend assez vite : toutes ses amies parfaites et cools cachent toutes des rancoeurs sous des sourires d'apparence. Déda ? Elle est comblée par ses deux jumeaux, à presque quarante ans, elle est toujours aussi belle, bien apprêtée, ne manque matériellement de rien et est une brillante maître de conférence. Sauf de l'amour de son mari, qui la délaisse et la trompe. Pour se venger, elle manipule perversement Maria Luisa, sa « meilleure » amie, qui la suit comme un chien. Elle prend plaisir à l'humilier par des pointes acides, des piques amères qui passent inaperçues des autres, mais pas de Maria Luisa, moins belle, moins brillante, un peu alcoolique. Et qui se venge en couchant avec le mari de Déda. Giovanna ? Elle qui attirait tous les regards, elle est maintenant une marginale, cliché typique de la lesbienne vieillissante, qui mène une fausse vie de bohème en dilapidant un héritage immense qui ne risque pas de s'épuiser. Derrière son arrogance affichée et son indépendance flamboyante, elle a besoin de l'attention des autres, elle ne peut vivre sans leurs regards, et ses marques aux poignets témoignent bien de sa solitude. Amanda s'ennuie. Derrière sa superficialité et sa bêtise apparente, c'est une femme qui bénéficie d'une mémoire eidétique et d'une soif de connaissances. Mais en dilettante seulement, elle arrête tout quand l'ennui la reprend. Seules Tatti et Luisa semblent être heureuses : l'une est une avocate qui fait trembler les tribunaux, l'autre est une juge à la réputation redoutable. En bref, ce groupe d'amies est un incroyable panier de crabes, où tout se dissimule derrière des façades souriantes hypocrites.

Même la villa Camarelle est une façade hypocrite. Elle est un personnage à part entière de cette énigme. Vieille demeure du XVIe siècle, avec ses greniers et ses souterrains obscurs et labyrinthiques, ses pierres cachent des histoires sordides. Un touriste allemand retrouvé mort devant la piscine, peut-être assassiné par une jeune épouse pas vraiment éplorée par le drame. Et l'énigme de la mariée et de ses servantes, toutes retrouvées mortes, démembrées et macabrement reconstituées, dont la mémoire se perd à travers le temps mais dont le cadavre ne cesse de flotter dans l'air. Est-ce une servante éconduite qui a perpétré le crime avant de se suicider ? Un amant jaloux qui ne voulait pas de ce mariage ? le fiancé, qui surprit sa promise en plein ébats saphiques avec ses servantes et la tua par dégoût ? Et enfin plane, dans cette atmosphère lugubre, le fantôme de Rita, cette jeune fille éteinte, toujours au fond de classe, dont les six amies n'ont plus aucun souvenir. Une ombre inquiétante s'étend sur cette villa de rêve, et certaines des amies sont saisies d'une vague anxiété, une angoisse diffuse, sans forme.

L'atmosphère du roman est plutôt bien travaillée, mais les réactions des personnages laissent parfois un peu songeur. Quand Piera, l'organisatrice du week-end, ne vient pas, aucune ne s'inquiète, elle a peut-être raté son train, ou alors elle a appris un décès soudain dans sa famille. Puis vient le tour de Déda. Elle disparaît au milieu de la journée, laissant toutes ses affaires sur place mais toutes concluent que Déda est partie parce qu'elle s'ennuyait. Qui part en laissant ses valises derrière lui ? L'inquiétude n'est toujours pas tellement au rendez-vous quand Giovanna disparaît aussi. le malaise ne s'installe véritablement que quand Maria Luisa est introuvable. Là, il vient enfin à l'idée de quelqu'un que quelque chose se passe. Ses femmes brillantes me semblent légèrement obtuses…

Et le finale de l'intrigue est grand-guignolesque. le doute s'insinue chez les trois survivantes. L'une d'elles est forcément la meurtrière. Chacune se surveille du coin de l'oeil, cherche des armes improvisées pour se défendre -mais personne ne songe à partir tout simplement- et toutes refusent de se séparer, évoquant l'exemple des films d'horreur dans lesquels tous ceux qui s'éloignent finissent trucidés. le meurtrier traque ses proies, ne les finit pas quand il en a l'occasion parce que c'est plus drôle comme ça, il faut bien qu'au moins l'une d'entre elles survivent. Les ayant perdues, il décide en toute logique que le mieux, c'est de foutre le feu à la baraque pour mettre fin à ce cauchemar.[...]
Lien : https://enquetelitteraire.wo..
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Ayant lu déjà de très bonnes critiques au sujet de ce roman, je n'ai pas pu résister lorsque Livraddict a proposé ce partenariat ! J'ai donc foncé sur l'occasion et je ressors absolument ravie de cette lecture ! Pourtant, le Thriller n'est pas mon genre littéraire préféré, et j'ai eu peur de ne pas apprécier sa lecture mais j'ai trouvé ce roman à la fois original, envoutant et très agréable à lire ! « Huit clos en Toscane » est le premier roman de Diana Lama que je lis, et je dois avouer que je suis tombée sous le charme de cet auteur. Son style d'écriture est fluide, simple, facile à lire, tout en retenant notre attention sur chaque moment de l'histoire.

En ce qui concerne l'histoire justement, elle a lieu dans une somptueuse villa toscane où Piera décide d'y réunir ses 6 anciennes amies du lycée ! Il y a vingt ans, elles avaient toutes décidé de fêter la réussite de leur bac en passant quelques jours dans cette villa. Et aujourd'hui, elles vont se retrouver à nouveau. Seule petite règle à respecter : se couper totalement du monde le temps d'un week-end ! Les Gsm, ordinateurs et autres objets qui permettraient d'être en contact avec le monde extérieur est interdit ! Chacune va pouvoir découvrir ce que les autres sont devenues (vie privée et vie professionnelle) et avoir parfois de belles surprises ! En tant que lecteur extérieur, on apprend aussi les petits secrets croustillants de chacune et il est donc souvent très difficile de poser ce livre !

Mais l'histoire ne s'arrête pas là ! Dès le début, Piera, l'organisatrice de ces retrouvailles, manque à l'appel ! C'est étrange, d'autant plus que Piera est une femme toujours très ponctuelle et sérieuse. Puis, 3 autres femmes disparaissent à leur tour. Un meurtrier se cacherait-il dans cette maison aux allures paisibles ? S'agirait-il d'une meurtrière qui voudrait se venger du passé ? Pour le savoir, je vous invite donc à lire ce roman qui est devenu un de mes coups de coeur du moment
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Les marches, unpeu inutiles, parfois absurdes, entre les salons, entre une chambre à coucher et sa salle de bains, entre la cuisine et le cellier. Des marches de guingois, inégales, aux angles érodés par le temps, des marches inattendues sur lesquelles on peut glisser. Les tapis partout, des tapis orientaux élimés, aux couleurs jadis vives et aujourd'hui fanées. Les guéridons à trois, quatre, cinq pieds parfois couvert de bibelots et de collections improbables. Huit modèles différents de ciseaux à raisin Sheffield sur un superbe plateau en marqueterie. Quatorze pinces, rasoirs et couteaux à cran d'arrêt au manche d'ébène ou d'os sculpté dans une niche creusée dans le mur.Trente deux pelotes à épingles disposées avec goût sur une haute marche de pierre vive qui sort incongrûment d'un mur, on ne sait pas pourquoi.

Une lampe en forme de palmier dont les feuilles supportent l'ampoule, entourré de petits négrillons sculptés. Des fauteuils de cuir souple et parfumé par les ans, troué ça et là par des brulures de cigarettes. Les canapés si peu confortables avec leur dossier en marqueterie et leur assise dure, recouverte de damas ou de velours. Les vaisseliers, chargés de plats décorés, de verres étincelants, de bibelots.

Sur les murs les tapisseries aux tons rouge sombre, marron sanguin, bordeaux, pâlis par les siècles, laissent voir leur trame usée. Des livres, toutes sortes de livres, reliés en cuir, au dos fatigué d'avoir été si souvent maniés, des livres précieux avec une histoire et un passé, ou des best sellers aux couvertures froissées, oubliés dans les chambres des hôtes pressés.

Et les portes encore, en bois massif, jamais les mêmes, les serrures où les clés tournent péniblement, qui ouvrent sur des pièces fermées et oubliées depuis longtemps. Et les tapis de table, les pare feu en cuivre brillant, les cheminées, tant de cheminées différentes, en bois précieux, en pierre, en marbre, et les murs, des murs blancs, épais, crépis, qui respirent et attendent. Ils ont toujours attendu.
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Elle entra dans l'eau d'un mouvement fluide et toujours par pure vacherie envers Maria Luisa, qui la malheureuse, ne savait que barboter comme un chien, enchaîna quatre longueurs sans s'arrêter.
Tu as raison, elle est bonne dit-elle en revenant vers Maria Luisa qui pataugeait près du bord, l'air maussade, et remuait les jambes dans l'espoir de faire fondre sa cellulite.
"Mais nage au lieu de te dandiner, si tu veux te débarrasser de ta cellulite !" et Déda allongea dans l'eau ses jambes parfaites. Maria Luisa sourit aigrement. Ce qui est bien dans l'amitié, pensa Déda, c'est de savoir exactement sur quelle touche il faut appuyer selon ce qu'on veut provoquer. C'est pareil avec l'amour, enfin, tant qu'il dure. Luca avait été aussi facile, aussi vulnérable que Maria Luisa, mais c'était fini à présent.
Elle fit une une cabriole à l'envers et s'ébroua.
"Je ne comprends pas que tu te mouilles les cheveux à chaque fois que tu te baignes, dit Maria Luisa. Tu dois passer un de ces temps à les sécher !
- Parce que tu crois que tu es sexy avec tes cuisses de dinde, ta mise en plis et tes trois couches de fond de teint ?"
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Les murs blanchis à la chaux, les poutres apparentes, inégales,rutilantes et briquées comme les solides portes noires. Les carreaux de terre cuite, un peu usés mais brillants, les tapis persans un peu rapés. Les lustres de cristal, leurs cascades de fruits soufflés multicolores, raisins, poires, pommes, leurs pampilles biseautées et scintillantes de prismes verts, rouges jaunes et bleus. Les tapisseries florentines, les lys de couleur tissés sur de lourdes étoffes mordorées, les nappes damassées, les marmites et les chaudrons de cuivre accrochés aux murs, par taille décroissante, les bassinoires, les natures mortes avec gibiers, grenades et poteries. Les cages de bois sculpté...Quels malheureux animaux y ont attendu la mort ? Et le grand plateau de cuivre au dessus de la cheminée ; les linteaux de portes en pierre grise, les tableaux, partout, les aquarelles de peintres inconnus.

Les jacuzzis dans les salles de bains, les portes-fenêtres qui ouvrent sur le parc et la piscine, les photos de chiens, de chevaux, sur le dessus de cheminée du salon, les statuettes de chats, les échecs aux pièces ciselées, les livres, tant de livres, français, italiens, allemands, et les tapis de table, la pendule, les céramiques. Le bar, les liqueurs, le livre d'or,le lierre qui recouvre les murs, le gravier, la chambre des domestiques ou de la jeune fille au pair qui donne sur le parking, les chaises longues et leurs coussins au bord de l'eau.

Portes qui s'ouvrent et se ferment, pas dans les escaliers, voix de femmes qui se poursuivent dans les couloirs, odeurs de cuisine...

Toute la maison attend.
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- Mouais, On dirait ce film... Je ne sais plus le titre... Il ne reste plus personne, je crois, ça ne vous dit rien? demanda Lucia sur un ton un peu trop jovial.
- Si, c'est un Hitchcock ! répondit Tatti serviable.
- Pas du tout. Il en existe trois versions, celle de René Clair,celle de George Pollock et celle de Peter Collinson, expliqua Amanda un peu lasse. Les deux premières s'appellent Dix petits Indiens... Tandis que la version de Collinson s'intitule Il ne reste personne. C'est un roman d'Agatha Christie, pour être précise et, si vous voulez le savoir, le titre original est Ten Little Nigers, ce qui, avant même la voque du politiquement correct, avait été mal reçu.
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Tu les as regardées bien en face ; elles n'ont pas su lire derrière tes paupières gonflées de sang, sinon elles se seraient enfuies en hurlant.
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