on retrouve les héros des
enfants de Salonique,qu'on avait quitté alors qu'il allais entrer dans l,âge adulte.
nous sommes en 1897.
basile et marchand d,armes,Périclès cherche
des diamants en Australie,
Démosthène le poète et
devenu ministre et a épousé diane.leur amie d,
enfance ton tout les trois
étaient amoureux.
quand elle va disparaître
au cours d'une offensive
meurtrière des turcs.
les trois amis vont s, unir
pour la retrouver.
mais leurs amitié survivra
t,elle.
une bonne histoire d,aventures,et d, amour
sans tard mort.👍
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(...) Du coup, après les va-t-en-guerre et les romantiques, c'était au tour des esprits réfléchis et circonspects d'applaudir le même homme. La voix mâle et les talents oratoires de Démosthène faisaient le reste. Il prenait son auditoire au ventre et le lâchait plus. Il ne débitait ni plus ni moins de sornettes et de grands mots creux que la plupart des hommes politiques de toutes les époques, mais il le faisait à la perfection. Il y avait longtemps qu'il ne croyait plus une seule syllabe de ses discours, mais il les assenait avec la conviction d'un acteur de haute volée. Même Bousphoron, même Basile subissaient alors son charme. Démosthène était sympathique. Démosthène était chaleureux. Démosthène était humain. Il incarnait pour chacun le frère, l'ami, le compagnon d'armes, et pour les plus âgés le fils ou le gendre idéal... Tout cela n'était qu'un faux-semblant, il avait livré son ami Hélianthos aux Turcs, il avait trahi sa patrie, il avait bafoué sa femme, il avait assassiné un malheureux infirmier à Brindisi, mais nul n'en savait rien, et l'imprudent qui se serait levé pour dire la vérité se serait fait écharper par la foule. Il n'y avait pas de meilleur candidat que Démosthène. Si rien ne venait entraver son ascension, il serait élu triomphalement à la boulê et il entrerait bientôt au gouvernement.
Mon père me disait:quelquefois on est très malheureux dans la vie.Mais,quoiqu'il arrive,il faut continuer.Il faut faire quelque chose.Aller quelque part.Sinon, on meurt.
Le sommeil vaut ce que vaut la conscience.Chaque jour qui se lève est radieux pour l'homme juste.
La fatalité...C'est le nom que nous donnons à notre égoïsme...
D'une voix grave, le vieil homme conclut
-Il y a toujours une autre partie.
Adaptation #2 : La nuit des enfants rois