Un policier sympa à lire.
Je ne savais pas du tout que c'était une série, ce 87ème district, et que j'en lisais le 21ème tome…
Il en ressort du positif et du « négatif ».
A savoir, pour le positif, ça coule tout seul. Les pages défilent à toute vitesse parce que l'auteur connaît ses personnages, qu'il a l'habitude de les faire évoluer et tout se déroule aisément, de façon fluide.
Pour le négatif, il y a un petit rapport à une précédente enquête. Pas nécessaire pour comprendre le reste mais globalement, on voit bien que, comme dans une série télé, connaître plusieurs tomes permet de mieux connaître les personnages, les liens qu'ils entretiennent, qui ils sont…
Parfois, on nous évoque des policiers ou des affaires qui disparaissent ensuite du bouquin. Sur la totalité de la série, ça doit être immergeant de savoir ce que fait chacun ; quand on tombe sur un tome au hasard, on se demande un peu ce qui se passe…
Deux histoires, dans ce tome. Un peu comme « La croisière s'amuse » dont chaque épisode faisait se croiser trois histoires sans rapport.
N'espérez donc pas de lien, les deux trames sont vraiment indépendantes !
Ressortent de tout cela un savoir faire plaisant, une bonne légèreté de ton, mais également une légèreté de scénario qui fait passer le livre dans la même catégorie que les séries de l'après-midi que l'on regarde distraitement quand on n'a rien à faire.
Plaisant mais pas totalement consistant.
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Fan de New York Police Judiciaire...
Fan de 87E district.
L'intrigue, ici, aborde le sujet, malheureusement toujours d'actualité, du harcèlement des femmes, avec une rare crudité pour l'epoque. Les personnages de flics sont toujours aussi attachants et vrais. le contexte delicieusement suranné (pas de téléphone portable ni d'ADN)
Je m'en vais poursuivre la lecture des aventures de Brisco et Curtis... euh pardon Carella & Meyer!
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j'ai eu du mal et cédé à cinquante pages de la fin tant cela ne m'intéressait plus et les longueurs se succédaient; j'avais voulu me plonger dans un "vieux " polar, un classique mais je le trouve trop décalé, vieilli, inintéressant. Dommage, je ne saurai pas qui a tué le présentateur.
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D’après les expériences pratiquées sur des lapins, c’est quarante fois la dose intramusculaire normale et quatre-vingts fois la dose intraveineuse qui s’avèrent mortelles lorsqu’on les administre par voie orale. Mais les lapins ne sont pas des hommes.
Personne ne peut recevoir l’autorisation d’exercer la psychologie avant d’avoir obtenu sa maîtrise et d’avoir soutenu sa thèse, et d’avoir le diplôme de l’Etat. Je n’exerce pas. Je me contente de faire passer des entretiens et parfois des tests.
Ce n’est pas parce qu’un devin complètement ringard t’a arrêté sur le chemin du forum pour te raconter des salades à propos des ides de mars qu’il faut te mettre dans un état pareil, voyons !
Ce grand acteur de Hollywood semblait un peu perdu car il ne savait ni chanter, ni danser, ni même, d’après certains critiques, jouer la comédie.
Je croyais que les histoires de belles-mères avaient disparu depuis l’arrivée de la bombe atomique.
"À chacun son heure" ("No Time to Die", 1992), Saison 11, Épisode 2 de la série TV Columbo, tiré du roman "N'épousez pas un flic" ("So Long as You Both Shall Live", 1976) d'Ed McBain. Extrait.