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3,18

sur 71 notes
Je me doutais bien qu'avec une couverture pareille, le titre était du second degré ... Je me doutais bien en lisant le résumé que c'était noir et sans espoir , ce que je n'avais pas prévu, c'est que je n'aimerais pas du tout .
"Sueur , folie et sang" qu'ils disaient ...

Direction l'Australie, un bled qui n'a de "joli" que le nom , Cotton 's Warwick , où officient toute une bande de dégénérés . Que des mecs (15) , les femmes pas si folles se sont toutes suicidées ... C'est vous dire l'ambiance ! Toutes ? Non, il en reste une qui résiste derrière son comptoir de bar, dont elle a hérité .
Comment , elle fait pour échapper au aléas de toute cette testostérone ? En taillant occasionnellement des pipes au shérif local . Shérif qui sert un peu d'homme orchestre puisqu'en dehors de ce job, il est aussi trafiquant de drogue, d'alcool et qu'il dit la messe ! Amen ! Qu'il lui soit beaucoup pardonné ...
"Sueur, folie et sang ", qu'ils disaient, ils auraient pu rajouter sur la 4° de couverture, tentatives de viol hétéro, viols homosexuels , découpages de bêtes ....
La vie n'est pas belle sous les 50° Australien ...Manque de projets et de perspectives d'amélioration .. les cadavres commencent à tomber , et la peur s'installe .
Bon, c'est clair , je ne suis pas " la" bonne lectrice pour ce genre de littérature, la violence littéraire ne me rebute pas si elle sert une cause sociale , politique , s'il y a une explication, une morale à la fin .

A PARTIR DE LA, SPOILER ...

Je vais être franche,je n'avais pas deviné le nom du meurtrier , et la façon dont l'auteur amène cela , avec les répétitions, est originale, (poétique ? ) et habile .
MAIS, tout le reste ! Les effets spéciaux, la folie meurtrière animale, c'est pour moi , du grand n'importe quoi ... Murs de serpents, kangourous en bande organisée , razorbacks, sangliers ... Je décroche . [ Ou j'appelle Obelix ..]
Donc, toute cette violence pour quoi ? Pour nous prouver que la canicule, c'est l'enfer ? Pour nous démontrer que l'enfer , c'est les autres ou c'est quand il n'y a pas assez d'autres justement ? Que l'enfer , c'est l'isolement affectif, culturel etc...
Oh, mais on est pas si con, on aurait pu comprendre avec moins de violence ! [ "On" étant moi ..] ." On" aurait préféré éviter cette surenchère ...

Je conçois que l'éditeur ne puisse pas tout raconter dans son résumé , mais j'aurai tout de même préféré être prévenue . Femme informée vaut mieux que lectrice déçue...
Ce roman n'était pas pour moi, mais il saura plaire aux amateurs de grosses sensations, il a du style . Ames sensibles s'abstenir ...
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Je vous préviens de suite c'est violent, très violent ! Mais putain que c'est bien écrit.

Imaginez le trou du cul du monde (Outback australien) assommé par un soleil de plomb et une population ne dépassant pas la vingtaine. Il y a le chef de village, ici un Ranger (Quinn) qui fait office de douanier et de prêtre, les ploucs, l'étranger et une femme. Cette femme, convoitée de tous mais protégée par Quinn, gère le bar, lieu où l'on vient éponger sa soif avec de la bière, est convoitée par tous ! La vie paisible mais ennuyeuse de cette bourgade va être perturbée par une série de morts suspectes. Place au sang et à la folie.
La folie de Michael Mention rend un bel hommage aux films et livres de genre (Délivrance, Razorback...)

Âmes sensibles s'abstenir, pour les autres foncez !
Lien : http://www.librairie-renaiss..
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Vous voici, dans un village du nord de l'Australie, un « Ghost-town » vidé de sa substance après l'exploitation abusive du coton.
De nos jours.
Dans une ambiance apocalyptique hein, car le chaos est en cours.
Près d'une vingtaine d'habitants végètent dans cette zone devenue désertique ; tous soumis à l'autorité d'un shérif corrompu.
Des individus déjantés, des primitifs, qui se rentrent dans le lard pour un rien, pour une parole mal placée ; ou juste pour des pulsions violentes ou des besoins sexuels à satisfaire sur presque tout ce qui bouge, baignés dans l'alcool et dans la drogue… ; c'est un véritable carnage qui s'approche, de la folie qui devient incontrôlable dans un endroit isolé.
Dans cette fournaise au relent diabolique, comme si cette décadence ne suffisait pas, des animaux attaquent, en nombres !

Tout est art.

Le titre est une figure de style, l'ironie.
Une antiphrase, pour dire « bienvenue à… » dans le sens : « vous n'êtes clairement pas la bienvenue… ».
Ou bien si, mais vous y pénétrez à vos risques et périls. Une bienvenue au sourire carnassier.

Les lecteurs qui ne connaissent l'auteur que depuis sa médiatisation plus importante, en l'occurrence ont-ils déjà pris connaissance des polars noirs comme « Sale temps pour le pays » et les deux autres tomes de la trilogie anglaise, ou encore de son récent polar historique « La voie secrète » ; d'aucuns s'étonneraient de l'orientation choisie cette fois-ci.
Quelque chose avec un air de fantastique.

Vous comprendrez que l'auteur aime varier les plaisirs.
Toutefois faut-il préciser aussi qu'il avait déjà, dans ses débuts d'écrivains, attaqué la frontière SF avec deux de ses premiers livres peut-être moins connus « Maison fondée en 1959 » (2012) et « le rhume du pingouin » (2008) !

Dans son genre surréaliste, on y décèle des influences ou un rappel au premier coup d'oeil d'une version gore de la révolte des animaux dans « Animal Farm » de Georges Orwell ; avec des oiseaux Hitchcockien, ou ceux de « La part des ténèbres » kingienne… et... de toute manière, se dévoileront autant de références qu'il y aura de personnes qui approcheront ce texte. Et bim ! La facilité.
La référence à Jackson Pollock le peintre : "Man, Bull, Bird, » (1938-41)", une oeuvre surréaliste dont il ressort des dominances de couleurs vives et frappantes, rouges, jaunes, oranges, au teint désertique et sanglant ; influencé par la culture amérindienne et le chamanisme. Et l'alcool. Ce sont exactement ces couleurs et la vivacité qui ressortent du livre parfois abstrait, mais d'une cohérence pointue.
En parlant de ville fantôme, connaissez-vous l'autre Pollock, l'écrivain américain, Donald Rey , révélateur de la noirceur d'une ville reculée comme Knockemstiff (bute les raides) !
Comment ne pas apprécier ?
Il y a là une belle prise de risque, une tentative victorieuse de créer une oeuvre artistique dans son entièreté, l'usage de l'extravagance pour définir une réalité humaine souillée, la cruauté des actions, les tons coupant, rythmé, rapide et agressif ; parfois avec des mots sonnant comme des haïkus crachant haine, sang et réalisme déchirant ; pour tout cela et la démence dans laquelle le lecteur sera bousculé, de par son originalité fine ; ce travail psychédélique hallucinogène provoque jubilation et réflexion !
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Réunissez tout ce qu'il y a de pire chez l'homme, murez le dans un environnement hostile, laissez la nature faire le reste et embarquez pour Cotton's Warwick vous êtes les bienvenus ! Mais attention voyagez en lecteur averti, ce livre pourrait heurter pour un bon moment votre sensibilité !
La plume musicale de Michaël Mention, percutante et saisissante comme à son habitude, un récit qui sort des normes et des conventions, un livre comme on en lit peu et qui mène à la réflexion sur le devenir de l'humanité.
Un auteur qui me surprend, qui prend des risques, chapeau !
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Michael Mention signe là un roman noir foncé, brutal, violent, cru, parfois même vulgaire, et angoissant.
Pour cela il a réuni quelques ingrédients qui feront mouche chez certains cinéphiles. Distillant habilement MadMax, les Oiseaux d'Hitchcock (1963), le film Razorback de Russell Mulcahy (1984) et Delivrance de James Dickey (si vous avez vu le film sorti en 1972, vous aurez presque l'impression d'entendre le simplet avec son banjo), l'ambiance est glauque, étouffante, oppressante.
Le début a été un peu difficile pour moi, le temps de rentrer dans l'histoire, m'imbiber du style et des personnages. Puis c'est la montée en puissance. Une écriture très rythmée, presque aussi violente que l'histoire qu'elle raconte.
Des hommes, tels des chiens, retournés à l'état sauvage, seulement guidés par leurs instincts, habités par tous les défauts que l'on pourrait imaginer. Et au milieu, une femme. Forte, rêvant de liberté et d'un ailleurs, peinant à survivre.
Un roman brut dans sa forme mais magnifique dans le fond. Une écriture assurément idéalement adaptée pour raconter cette histoire.
Michael Mention signe là un roman qui n'a rien à envier aux cadors des romans noirs américains.

Lien : http://atelierdelaulo.canalb..
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C'est le troisième thriller que je lis de Michaël Mention et je suis encore surprise de sa maîtrise à changer d'environnement. Ici, il nous propulse dans le fin fond de l'Australie (ce qui fait penser au « cul de sac » de Douglas Kennedy) et si vous aimez les outrances des personnages de Tarantino alors vous allez adorer ne pas être le bienvenu dans cette communauté de dix-sept ringards dont une seule femme et un autre, visitée périodiquement par un routier qui rend possible sa survie par le trafic, un tondeur de moutons en side-car et un médecin qui arrive par les airs ! Tout ce ramassis improbable, dans cette région où l'eau est plus rare que la bière, va se déchirer pour le plus grand bonheur du lecteur qui passe du rire au dégoût voire aux larmes. N'est-ce pas en fin de compte une métaphore de ce qui attend l'humanité à trop assouvir la nature ?
C'est si beau un kookabura mais que dire du Razorback ? Peut-être l'auteur a-t-il été inspiré par un film d'horreur éponyme australien sorti en avril 1984.
N'en doutez pas un instant … ce roman est à ne pas rater !
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Ah, mon dieu ! Qu'est-il arrivé à Mickaël Mention ? Qu'est-il arrivé à ce charmant personnage, commensal agréable, presque timide ? Il aura mal digéré son kangourou en boîte. Je ne vois que ça. Ou alors… Oui, c'est ça. C'est un sournois. Une vipère qui vous sourit pour mieux vous attaquer les talons. Et je mesure mes mots, pile-poil dans le contexte du roman, je vous assure. Car il sera en effet, tout à la fin, question d'un mur de serpents.
Reprenons dans l'ordre.
Au début du roman, avant de basculer dans une atmosphère de folie totale, non ça y est je m'égare…
Cotton's Warwick. Au bout de la route, au plus profond de l'outback australien : vingt habitants dont une femme. Et beaucoup d'animaux, des sauvages et d'autres, bétail nourri de peu, de rien à présent que la pluie n'est pas tombée depuis des années. Quinn, le Ranger, y fait office tout à la fois de pasteur, de juge, de bourreau, le cas échéant, de chef en tout état de cause.
Pourquoi plus de femmes ? En peu de temps, en quelques mois, elles se sont toutes suicidées. Les hommes sont donc seuls. Bourrés de fantasmes devant l'unique femme qui sert au bar. Tout va mal, dès le début, entre misère totale, intellectuelle aussi bien que matérielle et canicule abominable, à vous dessécher jusqu'à l'âme. Et d'ailleurs, une âme, les derniers habitants de Cotton's Warcick, allez savoir s'ils en ont jamais eue ? La sauvagerie, la cruauté sont leur état naturel. Les plus faibles en font les frais : l'idiot du village, femme, animaux.
La suite de la chronique est à lire sur le blog de Jeanne Desaubry

Lien : http://jeanne.desaubry.over-..
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Il fait chaud, à Cotton's Warwick, si chaud que vous voyez ces brumes de chaleur qui cachent des mirages.

Dans cette bourgade de l'Outback - région oubliée de tous - une poignée d'hommes et une femme. La vie en cercle fermé. L'ennui insidieux, le manque de moyen, les trafics. La folie qui s'installe, la suspicion.
Et soudain il se passe quelque chose. Quelque chose qui sort de l'ordinaire dans cette vie ankylosée.
Les animaux de l'Outback deviennent fous. Razorback, kangourou, kookaburras, serpents, tous se révoltent et s'en prennent à l'Homme.

La folie de l'Homme transposée chez les animaux.
La folie des animaux qui fait exploser celle de l'Homme.

Une Ferme des animaux (George Orwell) moderne.

C'est noir, c'est poisseux, c'est fou, c'est violent, mais pas gratuit.
Une écriture superbe et visuelle qui m'a embarqué.
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Seize hommes et une femme vivent à Cotton's Warwick, village isolé d'Australie au fin fond du Northern.

Autant dire seize trous du cul dégénérés qui passent leur temps à chasser les kangourous et à se saoûler à la bière.

Quinn est un Ranger, le chef de cette meute de décérébrés. Véreux bien entendu. Il détourne des marchandises qu'un routier Mitch, vient déposer.

Karen est la seule femme, elle tient le pub du bled. Les hommes - si on peut appeler ces monstres ainsi - ne pensent qu'à la violer. Ce serait déjà chose faite si le Ranger ne leur avait pas interdit.

Tout ce petit monde est trempé dans un trafic alors ils ont la trouille que les fédéraux leur tombent dessus un jour ou l'autre.

Soudain il y a un mort, le premier d'une série. C'est le début d'une spirale infernale sous une chaleur caniculaire. Une plongée dans l'horreur la plus totale.

Bienvenue à Cotton's Warwick où règne la violence.
Où les hommes n'en portent que le nom car ce sont des individus dégoûtants, grossiers, immondes.
Finalement j'étais bien contente de voir crever de telles ordures qui vont jusqu'à habiller un pauvre aveugle en femme pour le violer.

En bref un univers glauque, noir, difficilement imaginable, avec viols, meurtres et tueries.
Et nous sommes spectateurs sous un soleil de plomb des carnages qui ont lieu.
Imaginez en plus les milliers de mouches omniprésentes qui envahissent tout, se posent partout, se posent sur vous, s'infiltrent dans les blessures et sur la chair animale et humaine en putréfaction.
Sans compter les descriptions macabres de l'auteur des corps déchiquetés et des morceaux humains ramassés dans la poussière.
C'est à en vomir!

C'est une plongée dans la folie la plus pure avec une ambiance malsaine à souhait jusqu'au dénouement en huis clos mortifère.

La quatrième de couverture est trompeuse.
Je m'attendais à un thriller quand j'ai commencé ce "Bienvenue à Cotton's Warwick" de Michaël Mention et pas à un livre classé horreur digne d'une mauvaise série B tout comme en faisait partie le film "Razorback".




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Me voici une fois de plus dans un trou du cul !

Le trou du cul de l'Australie, pour être précise, et je dirais même plus : le trou du cul du trou du cul du Northern australien (le Southern doit avoir son propre trou du cul).

Les trous du cul du monde, j'ai ai lu. Je pensais avoir touché le fond avec les dingues de "Pottsville, 1280 habitants", j'avais déjà connu des dégénérés avec ceux de "Cul-de-sac" dans le bush australien, mais là, je viens de gagner la floche et un tour gratuit de tous les villages trous du cul du monde !

17 habitants… 16 hommes, une femme, et oubliez la femme qui est protégée par le chef du bled ! Messieurs, il ne vous reste plus que votre poignet, un cochon ou bien un autre homme (un qui ne sait pas se défendre) pour vous vider les baudruches. Gaffe, le canal carpien menace.

Bienvenue à Cotton's Warwick ? Tu parles ! Moi, je mettrais plutôt un "Fuyez, pauvres fous" ou un "Attention, crétins congénitaux alcoolos – DANGER", ou "Vous qui arrivez ici, oubliez toute espérance", bref, des avertissements en rouge fluo pour prévenir le pauvre connard qui voudrait aller s'échouer là, pensant trouver un coin tranquille.

Tiens, d'ailleurs, le roman, Michaël Mention aurait pu le nommer "And Then There Were None" tant les 17 personnes vivant dans ce trou paumé du trou du cul de l'Australie vont avoir l'impression d'être dans un remake d'Agatha Christie, genre "Dix-sept petits crétins congénitaux".

Et non, l'histoire n'aurait pas eu le même impact dans un trou du cul de l'Amérique car les road train sont une exclusivité de la belle Australie. Les kangourous aussi et les razorback pareils.

La plume de Michaël est fidèle à elle-même. Inimitable. Et. Toujours. Égale. Elle ne plaira pas à tout le monde, il a son style et il me plait.

Ses personnages sont bien campés, ce sont des sortes de redneck version australe, des résidus d'accouplement congénitaux, tous les hommes se retrouvant seuls car leurs femmes se sont suicidées. J'aurais fait pareil, ma foi, perdue dans ce bled tellement paumé que même Dieu à dû l'oublier.

Si je pensais entrer dans un roman noir "traditionnel" et m'en prendre plein la gueule, le pari est "raté" car si j'en ai bien pris plein la gueule, je me suis retrouvée dans un roman noir qui a quitté la piste « traditionnelle » pour s'enfoncer dans le bush et les plaines arides de l'Australie. du hors piste !

Je ne m'attendais pas du tout à ÇA, j'ai écarquillé grand mes yeux et je n'ai plus su lâcher le roman, tant je voulais arriver à la fin, et tant pis si la dernière partie en huis-clos puait l'oppressant, la carcasse animale, le sang, le vomi, et la merde.

Je voulais de l'oppressant ? Là j'ai été plus que mieux servie ! Atmosphère garantie, âmes sensibles s'abstenir ou se blinder le cuir avant de commencer.

Bienvenue à Cotton's Warwick, étranger… si tu es une femme, tu seras reluquée par 15 hommes (on a un aveugle, il ne compte donc pas), violée dans leur tête, ils imagineront ta chatte dégoulinante et ce qu'ils pourraient lui faire. Si tu es un mec, cavale ! Fuyez, quoi, pauvres fous et folles !

Bienvenue à Cotton's Warwick où la température monte jusque 57° et est déjà à 48° à 7h du mat'. Bienvenue chez les tarés, les fous, les crétins, chez ces gens qui passent leur journée à boire, à fumer, à se branler, à causer, mais qui réfléchissent jamais.

Bienvenue en Enfer… Là, je viens d'en sortir et j'ai la gorge plus sèche que le désert australien et les tripes nouées, liquéfiées.

Bienvenue dans le dernier roman de Michaël Mention qui est sorti des sentiers habituels pour nous emmener là où j'aurais jamais osé aller.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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