Encore un bon tome pour ces intégrales ! L'avantage ici étant que je ne connaissais aucun des deux diptyques qui y sont.
Si l'univers est un peu moins "SF", et davantage anticipation sombre, les dessins un peu moins fouillés, il n'en reste pas moins que ça se lit avec plaisir.
C'est un peu moins envoûtant et prenant que les premiers tomes, cependant, d'où ma note légèrement en deça.
Cela reste d'un très bon niveau (par rapport à des BDs dans le même domaine, plus récentes mais bien moins intéressantes, que j'ai empruntées à la bibliothèque et dont je ne me souviens plus les titres, c'est dire le souvenir que ça m'a laissé !)
La fin du second diptyque m'a beaucoup amusée, contrairement à Igaluck... En fait tout le second diptyque est amusant, alors que ça traite d'un sujet grave et sérieux, j'ai bien aimé, du coup (et je l'ai lu plus vite que le premier).
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Déjà que ce garçon n'a jamais eu la tête bien solide, cette affaire va me l'esquinter... (Laureline à propos de Valerian)
(dans "Métro Chatelet : Direction Cassiopée")
Si cette série a une force, c'est bien parce que Valérian et Laureline ne sont pas des héros. Ce ne sont que les acteurs d'une pièce, qui bien souvent, les dépasse, où ils se contentent de jouer le rôle des accoucheurs de l'Histoire. (7)
- Que le diable me patafiole ! (Albert)
Des vaisseaux de “Star Wars” aux taxis du “Cinquième Élément”, celui qui s'était autoproclamé “artisan de la BD” a grandement inspiré la science-fiction, avec sa série “Valérian et Laureline”, qu'il a co-créée. Il s'est éteint le 23 janvier 2022.
Il avait rencontré Pierre Christin, son complice, avec qui il créera "Valérian et Laureline", alors qu'ils avaient trois ou quatre ans. Pendant la Seconde Guerre mondiale, ils s'étaient retrouvés dans une cave à Saint-Mandé, en banlieue parisienne, alors qu'ils s'y cachaient pendant les bombardements allemands. Leurs chemins se sont recroisés bien plus tard et bien plus loin.
Entre temps, Jean-Claude Mézières, fils de peintres amateurs, était devenu dessinateur et maquettiste, via un passage à l'École des Arts Appliqués de Paris. "La vie est trop courte pour s'emmerder, il fallait que je fasse ce qui me plaisait, disait-il dans son livre, L'Art de Mézières. Et ce qui me plaisait, c'était le dessin”.
#cultureprime #mézières #sciencefiction #starwars
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