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Daniel Cunin (Traducteur)
EAN : 9782841569144
222 pages
Editions du Rouergue (06/03/2008)
3.4/5   5 notes
Résumé :

Une famille de sept garçons, forcément, c'est pas triste. Mais quand on est le benjamin, c'est pas toujours drôle. Bien sûr, on peut se glisser plus facilement dans les cachettes, on a le droit d'aller dans les cabines des filles à la plage, on est toujours le plus mignon et le plus dorloté des enfants. Mais on est aussi celui qui se fait mener en bateau, celui qu'on envoie en éclaireur pour les bêtises et qu'on lai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
42 c'est le nombre de petites nouvelles de quelques pages qui composent ce livre.
42 petites histoires amusantes sur le quotidien d'une famille de sept enfants ! Forcément ce n'est pas triste et les souvenirs égayeront notre journée.
Du Petit Nicolas familial pourrait-on dire mais c'est peut être un peu plus aussi...en tout cas on passe un bon moment à plonger dans ce roman semi-autobiographique : et oui ! car Bart Moeyaert ne le cache pas, c'est son histoire, son enfance, ses sept frères qui l'ont inspiré pour ce recueil.
Les moments les plus banals y sont évoqués avec humour et facilité. Les chutes sont amusantes et rappellent aux lecteurs leurs propres souvenirs d'enfance qui pour certains sont encore très proches...on se reconnaîtra dans ce narrateur qui parle comme un enfant.
On pourrait aussi, peut-être, comparer Bart Moeyaert au Petit Poucet, à défaut de semer des petits cailloux pour rejoindre la maison de son enfance, lui a préféré semer sur papier ses petites histoires familiales ;)
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critiques presse (1)
Lecturejeune
01 juin 2008
Lecture jeune, n°126 - Lors de longs entretiens, Alan Ingram Cope a raconté à Emmanuel Guibert ses souvenirs de la Seconde Guerre mondiale. Celui-ci a enregistré leurs conversations sur un magnétophone. Puis il a mis en mots et en images cette partie de la vie de son ami. Il en livre le récit, intime. La guerre d’Alan est évidemment singulière. Le G.I. américain débarqua en France en février 1945. Pas de combats donc, mais le quotidien d’un jeune homme de vingt ans, fait de rencontres, de virées dans la nature environnante, d’amour de la musique, etc. Alan est un conteur merveilleux, humain et plein d’empathie. Il dresse des portraits sensibles de ceux qu’il croise à cette époque et qui deviendront ses amis. Dans ce tome 3 la guerre est finie, le jeune radio est envoyé en Allemagne. Tout naturellement, il se lie avec la famille Rossbauer à qui il vient en aide. C’est alors également qu’il rencontre le compositeur et pianiste allemand Gerhart Muench et sa femme Véra, qu’il ne cessera de fréquenter tout au long de sa vie. Ces « anecdotes » font de La Guerre d’Alan un témoignage précieux, un regard décalé sur cette période de l’histoire. Elles constituent également le formidable roman d’apprentissage – à la première personne - d’un garçon d’une vingtaine d’années.
Emmanuel Guibert sait ici laisser place au texte, il utilise des documents des archives personnelles d’Alan et propose un dessin brun – personnages simples, décors de ville et de nature fouillés… - parfaitement maîtrisé. Une série incontournable.
Hélène Sagnet
Lire la critique sur le site : Lecturejeune

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