AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,87

sur 312 notes
Rosa Montero vient de perdre son compagnon. Dans la foulée de ce deuil, son éditrice lui propose de commenter les carnets rédigés par Marie Curie dans l'année qui a suivi la mort de son époux, Pierre Curie.
de ce projet surgira « l'idée ridicule de ne jamais te revoir ». Pas vraiment un roman, un texte entre l'essai et le témoignage.
Oscillant sans cesse entre le destin extraordinaire de Marie Curie et son expérience personnelle, l'auteure enchaîne les réflexions et explore des sujets tantôt intimes, tantôts sociaux avec sensibilité et lucidité.
Une lecture dense et extrêmement émouvante.
Commenter  J’apprécie          330
Objet Littéraire Non Identifié...OLNI
Rosa Montero nous prévient au début : elle a une idée du livre, mais elle n'a aucune idée du résultat final.
Ni biographie (celle de Marie Curie), ni livre de deuil (celui du mari de l'auteure). Une rencontre entre deux esprits, deux douleurs à cent ans d'intervalle...Quand on charge Rosa Montero d'écrire une préface au journal qu'a tenu Marie Curie après la mort de son mari Pierre, son propre deuil résonne en elle, et elle ne peut répondre à cette résonnance que par l'écriture.
Le texte suit la vie de Marie Curie de sa jeunesse en Pologne à sa mort. J'ai appris des choses sur cette femme exceptionnelle dont j'ignorais quasiment tout, sauf sa découverte du radium...Mais le texte n'est pas que linéaire, il fait un peu penser aux Essais de Montaigne, l'auteure partant dans des digressions au fil de sa plume, sans trop se soucier d'un plan quelconque. Et l'on parle des femmes spoliées de leurs inventions ( la découvreuse de l'ADN entre autres...), des crises d'angoisse, de l'expression de la douleur, de l'art, des artistes...C'est souvent très intéressant, on sent un esprit fin, subtile, original et libre...On entend donc une vraie voix, un peu comme chez Montaigne, toujours.
Mon léger reproche serait sur certains clichés que j'ai trouvé étonnant de lire chez une femme qui a l'air si intelligente : le fait que les hommes seraient en réalité le sexe faible, car ils se font dorloter comme de grands enfants et veulent être admirés...Enfin, c'est un peu trop général, et quand c'est vrai, c'est plutôt un signe de force que d'obliger les autres à vous servir et vous flatter...C'est un rêve de pacha, ça permet de ne s'occuper absolument de rien et de buller tranquille ...Non, c'est le contraire de la faiblesse...Il y a aussi un passage bizarre sur des gènes de la créativité...Ceux qui en auraient deux, un ou zéro...Ca me paraît aussi crédible que les recherches des gros malins du XIXème siècle sur la bosse des maths et la taille du front des criminels et des femmes, marquant leur proximité avec le règne animal...Bref, du grand n'importe quoi scientifique...
A part ces deux bémols, c'est un ouvrage original, intelligent et sensible qui vaut la peine d'être lu.
Commenter  J’apprécie          326
Il existe véritablement de la beauté et une force consolatrice dans les mots de Rosa Montero. La vie passe par les mots.
Car rien n'est plus exigeant et délicat que de savoir achever une histoire commune quand celui ou celle qui meurt emporte une partie de nous mêmes.
Pychologue de formation et journaliste, Rosa Montero écrit un ouvrage original qui superpose en filigrane son témoignage à la biographie de Manya Sklodowska-Marie Curie.
La trame du roman repose sur des extraits de son journal tenu pendant une année à la suite de la mort brutale de Pierre Curie en 1906 et des mots-cléfs qui sont des ponts entre nos existences individuelles passées, présentes et à venir.
L'auteure écrit sa douleur de la perte de son compagnon et à travers la vie courageuse de Marie Curie, de l'enfant à la vieille femme, elle nous invite à dépasser les injonctions "Faire ce qu'il faut" qui polluent nos trajectoires ; A trouver au bout du chemin une forme de légèreté qui donne sens à la vie. Sur le sujet difficile de la mort, l'auteure déplore l'abandon des rites "Mourir est une partie de la vie, pas de la mort : il faut vivre la mort (Iona Heath) " et dénonce ceux qui renvoient la mort à une maladie à laquelle nous nous devons de nous rétablir alors qu'il s'agit de nous réinventer" la peine est pure et sacrée, et jusque dans la mort il peut y avoir de la beauté, si nous savons la vivre."

De nombreuses citations et textes jalonnent également cet ouvrage qui aborde des thèmes aussi vastes que les relations entre les hommes et les femmes, la place de la femme, le vieillissement ou encore le pouvoir du langage et de la littérature"la littérature comme toute forme d'art,est l'aveu que la vie ne suffit pas" (Fernando Pessoa) sans oublier pour terminer la sublime phrase de John Lenon " la vie c'est ce qui se passe pendant que nous sommes occupés à autre chose".

Commenter  J’apprécie          310
Traduction littérale de la version originale, le titre semble promettre une histoire à l'eau de rose.
La couverture, quant à elle, laisse attendre une biographie de Nadia Comăneci, Surya Bonaly, ou Philippe Candeloro. Ou un guide pratique sur les produits ménagers qui nettoient sans rayer (comme Cif, souvenez-vous*)...
Rien de tout ça. Cet ouvrage est une biographie de Marie Curie assortie de réflexions personnelles de l'auteur sur l'amour, le couple, le deuil, la condition féminine, la « faiblesse masculine » (sic). Rosa Montero établit des parallèles entre Marie Curie et elle-même sur ces sujets, ainsi que sur leurs parcours 'professionnels' respectifs - la recherche et la science pour l'une, la création littéraire pour l'autre.

J'ai lu récemment quelques ouvrages similaires où l'auteur entremêle sa propre histoire (ou une partie) à celle d'un personnage célèbre : 'Sagan 1954' de Anne Berest, 'La femme qui pleure' de Zoe Valdes. L'exercice est délicat, le biographe doit trouver le bon dosage pour s'effacer derrière son sujet. A moins que les choses ne soient claires d'emblée, comme ici : « Chargée d'écrire une préface pour l'extraordinaire journal que Marie Curie a tenu après la mort de Pierre Curie, Rosa Montera s'est vue prise dans un tourbillon de mots. Au fil de son récit du parcours extraordinaire et largement méconnu de cette femme hors normes, elle construit un livre à mi-chemin entre les souvenirs personnels et la mémoire collective (...). » Bon.

J'avoue que les réflexions de l'auteur m'ont parfois agacée (tournures maladroites, poncifs et raccourcis). J'ai été plus intéressée par la vie de Marie Curie et par le contexte scientifique. J'y ai retrouvé des éléments de l'ouvrage 'Blanche et Marie' (Per Olov Enquist) et des 'Palmes de M. Schutz' (pièce de théâtre de 1989 de Jean-Noël Fenwick, adaptée au cinéma en 1997 par Claude Pinoteau) : fragilité de Marie (phases dépressives) alliée à une résistance physique phénoménale, amour fusionnel du couple Curie, grande pauvreté, recherches dans un hangar miteux et glacial l'hiver, exposition insensée au radium et autres substances ultra-toxiques, fascination générale - des scientifiques mais aussi du grand public - pour ce produit, « génie moderne de la lampe, l'esprit le plus puissant et fulgurant, l'inépuisable force suprême, comme un journaliste avait défini le radium », à tel point qu'il entra dans la composition de nombreux produits de grande consommation (vêtements, cosmétiques, boissons, textile, chocolat, suppositoires...).**

Après cette lecture enrichissante : revoir 'Les Palmes de M. Schutz', visionné à sa sortie en salle en 1997.
Par contre, je n'ai pas envie de lire d'autres ouvrages de Rosa Montero.
PS : ah si, finalement, je vais essayer en me fiant aux conseils de Marple - merci pour les idées ! :-)

* https://www.youtube.com/watch?v=0_EXygBcGCg
** http://www.topito.com/top-pubs-vantent-bienfaits-produits-radioactifs
Commenter  J’apprécie          286
L'idée ridicule de ne plus jamais te revoir est Un essai sur la douleur très touchant, et qui dresse un portrait des femmes intellectuelles ayant impacté le monde par leur intelligence mais leurs travaux de recherche ont été récompensés aux hommes qui ont eu en effet la malignité de subtiliser leur savoir et d'en faire le leur...
Ce qui marque dans ce livre c'est cette combinaison de douleur de deux femmes intellectuelles, parlant de Marie Curie dans le domaine scientifique et de l'autrice, Rosa Montero, dans le domaine littéraire. Elles ont toutes les deux vécu avec tragédie la perte de leur mari, et une douleur qu'elles n'ont pas partager avec leur environnement mais il a fallu pour cela l'écriture pour déverser leur peine...
Commenter  J’apprécie          270
"Une femme honorable" : c'est sous ce titre que Françoise Giroud a en son temps titré sa biographie de Marie Curie. Un bon livre d'ailleurs, très complet, pour raconter le destin hors normes de cette petite polonaise deux fois nobelisée et très mal traitée par la société française lorsqu'elle tomba amoureuse de Langevin, alors marié. Mais ceci n'est qu'une petite partie de la vie de Marie dont le grand amour fut Pierre, son époux avec lequel elle travailla comme une damnée pour découvrir le radium. L'idée ridicule de ne plus jamais te revoir n'est pas une énième biographie de la scientifique la plus célèbre de son temps. Plutôt un commentaire sur son existence à travers ses recherches mais surtout la perte de l'être tant aimé, son Pierre, et du deuil impossible, doux et cruel à la fois. Pour une préface, Rosa Montero a reçu le journal que tint Marie pendant un an après l'accident qui coûta la vie à son mari et cette découverte suscita chez la romancière espagnole une incroyable émotion, elle qui venait également de perdre Pablo, l'homme de sa vie, après une maladie au dénouement inexorable. Comme l'un des amis de Rosa Montero lui fit remarquer à sa lecture avant publication, il y a dans le livre "beaucoup de Marie, de Pierre et de Rosa et moins de Pablo." C'est vrai, L'idée ridicule ... en dit finalement peu sur lui, par pudeur et parce qu'il lui était impossible d'en dévoiler davantage. Et sa douleur, Rosa Montero sait la tenir en laisse comme le fit Marie Curie, l'une trouvant dans la littérature l'équivalent de l'autre pour la science. le livre n'a rien d'un requiem, il est intime, sincère, espiègle parfois, très personnel mais sans la complaisance que l'on trouve souvent dans les confessions. Avec hauteur d'âme et capacité à sa tenir droite dans les tempêtes de l'affliction tout en chuchotant à l'oreille du lecteur. La Marie Curie de Rosa Montero est une combattante, une femme dans un monde d'hommes qui ne lui font aucun cadeau et la martyrisent à la moindre faiblesse. Pas une sainte mais une pionnière très dure avec les autres et encore davantage avec elle-même. Son portrait aurait pu être une hagiographie, il est bien plus un hommage et un exemple de courage conté de manière bienveillante et souvent très touchante. Rosa Montero a puisé dans sa vie et dans ses mots une force et une conviction qui l'ont aidée à surmonter sa peine. Et à accepter de voir en face la mort, et pire encore, l'absence définitive de l'être que l'on a chéri le plus au monde.
Lien : http://cin-phile-m-----tait-..
Commenter  J’apprécie          261
Que dire d'un livre aussi fabuleusement indescriptible?!
Le projet de départ de l'auteure était d'écrire la préface du journal de Marie Curie,rédigé après la mort de Pierre Curie pendant une année( "Pierre Curie", éditions Odile Jacob, 1996).
Mais Rosa Montero est parvenue à aller bien au delà.
Voici, en moins de 170 pages, une réflexion philosophique,humaniste, artistique, ... sur la mort, le décès de l'être aimé, la vieillesse et la vie.

De simple préface, le texte est devenu une passionnante biographie de la physicienne, en évoquant largement son journal, mais aussi sa jeunesse, sa rencontre avec Pierre, ainsi que ses filles.On y découvre une Marie passionnée, volontaire à l'extrême, amoureuse,...si humaine en somme.

Le livre est également l'occasion pour l'auteure, en dévoilant la perte de son compagnon, de mener ses réflexions sur la mort et la perte, en les mêlant aux sentiments de profond désarroi et de désespoir de Marie Curie.

Et pourtant, aucune sinistrose à l'horizon!
Au contraire cet ouvrage fourmille de références scientifiques, littéraires, d'anecdotes, de traditions humaines.
Certes, une très grande partie du livre est consacrée à Marie Curie, au contexte scientifique de l'époque, à la découverte du radium et combien cela à coûter aux Curie humainement...mais ce livre est bien autre chose. L'auteure résume ma pensée lorsqu'elle cite Iona Heath : " trouver du sens au récit de la vie est un acte de création".

Avec son écriture fluide, sensible et drôle, Rosa Montero m'a menée par le bout du nez; je ne m'attendais pas à tant de bonheur de lecture.J'en redemande!
Commenter  J’apprécie          250
Les premières pages du livre m'ont vraiment agacé
Rosa Montero prends ses lecteurs et lectrices pour des ignares.
Pages assez ridicules type «  le féminisme pour les Nuls »
Oui, on sait que c'est la première femme pour bien des choses dans un univers masochiste , inutile de rabâcher
Il y'a aussi ces « hashtag qui n'ont rien à faire là.Pourquoi pas des emoticônes.
Le livre ,donc.Marie Curie vient de perdre accidentellement son mari
( Prix Nobel ensemble , on connaît l'histoire)
Elle écrit un journal fort intéressant
L'idée de Rosa Montero est de mettre en parallèle la mort ( après une longue maladie) de son mari et celle de Pierre Curie et d'en tirer des réflexions philosophiques sur la mort
Tout au long du livre ,on fait le yoyo entre la vie passionnante de Marie Curie et les digressions nettement moins intéressantes de l'auteure qui a bien du mal à élever le débat
Pourquoi 4 étoiles : pour Marie Curie tout simplement
La partie biographique est très bien faite ,surtout, si , comme moi, vous n'avez pas lu d'autres biographies.
Il y' a le côté scientifique , le plus connu, mais aussi sa vie privée, son engagement, la haine qu'elle a pu susciter , sa personnalité physique et intellectuelle, son engagement absolu qu'elle transmettra à sa fille, Irène Joliot Curie , qui sera , elle aussi Prix Nobel
Rosa Montero est une auteure majeure et très célèbre notamment en Espagne mais vouloir se comparer à Marie Curie est très présomptueux
Lisez donc ce livre qui vous fera redécouvrir une femme extraordinaire
Quant aux réflexions de Rosa Montero, sur elle , sur son couple , sur le deuil, je pense que vous aller vite les oublier
Commenter  J’apprécie          243
L'idée ridicule de ne plus jamais te revoir est un livre inclassable : il ne s'agit pas d'un roman même s'il en a la fluidité ni d'un essai même si l'en a la profondeur. L'ouvrage est une manière pour Rosa Montero de faire le deuil de son mari décédé d'un cancer. Elle tisse un lien très fort avec Marie Curie qui a perdu son mari Pierre, tragiquement écrasé par une calèche à seulement quarante sept ans. Fascinée par les jeux de correspondances qui nous relient par des liens ténus et invisibles, à la manière d'une immense toile d'araignée, elle finit par faire de la vie romanesque de la célèbre physicienne le sujet principal du livre.

L'auteure revient ainsi longuement sur la jeunesse de Manya Sklodowska, son parcours parsemé d'embûches, et notamment les difficultés relatives à l'émancipation d'une jeune femme polonaise incroyablement brillante à la fin du XIXème siècle. Elle retrace sa venue à Paris, les années de dénuement, sa rencontre avec Pierre, ses recherches sur les radiations qui seront tout à la fois la chance et le malheur de sa vie, lui permettant d'obtenir les prix Nobel de physique puis de chimie et détruisant sa santé ainsi que celle de son mari.

Par un surprenant jeu de miroirs, L'idée ridicule de ne plus jamais te revoir nous permet de partager un instant l'intimité de Marie Curie, notamment lors de la mort tragique de son mari, tout en restant évasif sur le ressenti de Rosa Montero lors de la perte du sien. Et pourtant une forme de mystère demeure. On referme le livre sans vraiment savoir qui était cette grande dame polonaise, à qui l'on doit la découverte du polonium et du radium, une femme passionnée au regard d'une tristesse impénétrable, sportive, généreuse, obsessionnelle, une femme au courage immense qui n'a jamais pris au sérieux les dégâts que causait l'exposition aux radiations sur sa santé. La fulgurance des grandes découvertes scientifiques est bien entendu au centre de l'ouvrage mais on sent confusément que l'essentiel est ailleurs et se niche au coeur de la contemplation de la beauté du monde.

L'idée ridicule de ne plus jamais te revoir est un livre parfois étrange, d'une pudeur touchante, paradoxalement empli d'une poésie émouvante alors qu'il est largement consacré au labeur rigoureux et à la persévérance sans faille de Pierre et Marie Curie. Comme le dit si bien l'auteure : « il faut avoir vécu longtemps, je suppose, et avoir su apprendre de la vie, pour en venir à comprendre qu'il n'y a rien de plus important ni de plus splendide que le chant d'une enfant sous un figuier ».
Commenter  J’apprécie          200
Alors qu'elle a perdu son compagnon avec qui elle a vécu une vingtaine d'années, Rosa Montero se voit confier par son éditrice le journal que Marie Curie a tenu pendant un an après la mort de son mari Pierre. « Tu en feras ce que tu veux, peut-être peux-tu au moins le préfacer ? » demande l'éditrice, qui a sans doute compris intuitivement que cette lecture ferai du bien à la romancière endeuillée. Et c'est ainsi que Rosa Montero découvre le deuil de Marie Curie, s'intéresse à sa vie et met en miroir sa propre histoire d'amour et celle de Pierre et Marie.

Mais ce n'est pas un texte nombriliste qu'elle nous livre. C'est l'occasion de (re)découvrir Marie Curie, première femme à avoir reçu le prix Nobel de chimie (avec son mari, ce qui n'est pas négligeable pour l'époque) et seule femme à l'avoir obtenu deux fois. Marie, devenue une icône dans le combat des femmes pour accéder à la connaissance, à la reconnaissance, mais Rosa Montero nous la montre aussi dans sa vie de tous les jours, dans ses difficultés à concilier vie de femme, de mère et vie professionnelle, vie scientifique. Dans ce récit, Marie Curie est vraiment humaine, c'est une femme, tout simplement.

Et puis c'est une magnifique réflexion sur la vie et la mort, l'intimité du couple, le chagrin, le deuil, la résilience (si je puis me permettre ce mot un peu galvaudé par les temps qui courent). Sur les femmes et leur place dans la société par rapport aux hommes. Et bien sûr sur la littérature, sorte d'alchimie qui transforme les événements vécus, les joies, les peines au creuset de la parole écrite.
Lien : https://desmotsetdesnotes.wo..
Commenter  J’apprécie          170




Lecteurs (731) Voir plus



Quiz Voir plus

Instructions pour sauver le monde en quelques questions

Comment se nomme le bordel ?

Le Carlito
Le Mojito
Le Cachito
L’Oasis

13 questions
14 lecteurs ont répondu
Thème : Instructions pour sauver le monde de Rosa MonteroCréer un quiz sur ce livre

{* *}