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EAN : 9782756095080
224 pages
Delcourt (22/08/2018)
4.29/5   69 notes
Résumé :
Samantha, ex-militaire qui a effectué trois séjours en territoire hostile et souffrant de syndrome post-traumatique, vit retirée du monde et gère un garage - ou plutôt une casse auto - en plein désert. Elle a pour seul compagnon un ami imaginaire, un gorille de 2,20 mètres de haut... Lorsqu'une soucoupe volante choisit de se crasher près de la casse, les ennuis de Samantha ne font que commencer...
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Samantha a vécu l'enfer en Irak, et son cerveau ne s'en remet pas. Celui de Terry Moore, lui, fonctionne à plein régime pour exploiter brillamment les grosses potentialités de brouillage entre imaginaire et réel offertes par sa protagoniste. L'auteur a aussi un talent indéniable pour mêler légèreté et profondeur, drame et humour, ce qui m'a plutôt bien plu.
Il place son personnage déglingué dans un cadre qui lui convient nickel chrome, une «casse auto et feraille» qui plante bien l'ambiance, avec ses monceaux de carcasses de voitures, dans un paysage désertique où comme le dit Libby, la patronne, un p'tit bout de vieille bonne femme cash et sympa: «la vache, quelle chaleur, 46°C, la vache!». Samantha est flanquée d'un pote gorille qui boit du coca zéro mais qui est loin d'être dénué de sagesse, et ils ont une sacrée relation.
Un bon mélange dans cette BD de trucs tristes, de trucs rigolos, un extra-terrestre trooop mignon, un méchant tout pourri, du RATATATA de mitrailleuse, de la tendresse… ça vaut plutôt bien le coup d'être lu, Motor girl.
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La lecture de Motor Girl est ma première incursion dans l'univers de Terry Moore, scénariste et dessinateur de comics américains. Ce ne sera pas la dernière.
Motor Girl est un roman graphique qui surprend totalement par son style et son contenu.
L'histoire se déroule sous la chaleur suffocante du désert du Nevada. Samantha est une jeune femme taciturne et têtue. Vétérane ex-militaire, après trois séjours sur le front irakien, elle revient le corps brisé, - le mental aussi -, aux États-Unis, souffrant d'un syndrome post-traumatique.
Elle est belle, elle est jeune, elle est pleine d'énergie, elle a l'avenir pour elle, mais elle va totalement à contrecourant. Elle choisit de vivre retirée du monde pour tenir une casse-auto en plein désert du Nevada, qui appartient à sa vieille tante au caractère bien trempé, Libby, qui sous ses apparences ronchonnes, a un coeur grand comme ça, protège Samantha...
Fuyant la compagnie des humains, Samantha ne se confie à personne, sauf à son ami et confident, Mike, un gorille de 2,20 m. Petite particularité à cette amitié, qu'on découvre dès les premières pages : Samantha est seule à voir Mike, qui appartient à son imaginaire. Cela offre quelques petites scènes cocasses lorsque Libby surprend de temps en temps Samantha en plein monologue, croyant que la jeune femme parle au désert.
Pourtant c'est cette amitié qui fait tenir Samantha debout, de plus en plus en proie aux migraines à cause de ce satané éclat d'obus qui s'est logé dans son crâne.
Venue chercher le calme en plein désert, Samantha va vite déchanter, lorsqu'un jour des extra-terrestres font atterrir leur soucoupe volante dans la cour de la casse... tandis que dans le même temps un certain Walden et ses acolytes ne cessent de menacer la vieille Libby depuis quelques jours pour la forcer à vendre sa casse-auto...
Voilà pour le décor et l'ambiance ! Ce scénario insolite, totalement cousu de fils blancs au premier abord, pourrait totalement dérouter le lecteur. Pourtant j'ai été totalement emporté par le récit où je n'ai pas cessé d'être trimballé entre réalité âpre et univers chimérique.
C'est drôle, c'est émouvant, on se demande à chaque instant si ce que nous voyons relève du réel, de la science-fiction ou de l'imaginaire de Samantha.
L'émotion nous happe notamment lors de quelques flashbacks bien dosés qui nous font comprendre l'enfer d'où est revenue Samantha, les traumatismes autant physiques que psychologiques, sa rage de vouloir se reconstruire et tenir debout grâce à cette amitié avec ce gorille, qu'importe qu'il soit issu de son imagination...
L'horreur de la guerre est dite de manière elliptique par le souvenir d'un enfant parmi les ruines et les bombes d'une ville irakienne, le souvenir d'une peluche perdue dans un trou d'obus, le souvenir de ses amis qui ne sont jamais revenus du front. C'est un plaidoyer pour la paix, l'amitié.
Derrière ce scénario fou, j'ai trouvé ce roman graphique profondément touchant et humain.
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J'ai eu envie de lire ce roman graphique pour sa couverture avec cet immense gorille à l'air pas commode ^_^

Sam est une vétérane de la guerre d'Irak. Elle travaille pour Libby, une vieille dame qui a une casse de voitures. Elle passe ses journées à travailler et à discuter avec Mike, son meilleur ami. Mike est un gorille.

Deux types louches viennent pour acheter la casse pour un certain Walden. Celui-ci est prêt à tout pour y parvenir. Pourquoi ? Cela a peut-être un rapport avec la soucoupe volante et les petits hommes verts que Sam a vu…

J'ai beaucoup aimé les graphismes en noir et blanc. L'histoire est très sympa, amusante et aussi émouvante. Les personnages sont bien campés et attachants. J'ai vraiment pris beaucoup de plaisir avec cette lecture.



Challenge multi-défis 2019 (61)
Challenge défis de l'imaginaire 2019
Challenge BD 2019
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C'est clairement la couverture qui m'a intriguée ici! Une jolie jeune femme souriante en gros plan avec un gorille franchement patibulaire juste derrière elle et faisant deux têtes de plus, et enfin le titre en gros caractères noirs en tête: Motor Girl. Aucune idée de ce que ça va donner!
Samantha, américaine, revient traumatisée de la guerre en Irak où elle a fait trois missions et subi suffisamment d'horreurs pour en rêver jusqu'à la fin de ces jours. C'est d'ailleurs ce qu'elle fait: seule employée d'une casse de voitures appartenant à Libby, chouette petite dame retraitée, elle parle toute la journée à son ami imaginaire Mike,gorille de son état, là pour la protéger.
Un homme mystérieux insiste pour racheter la casse située en plein coeur du désert du Nevada, promettant des millions à Libby pour qu'elle accepte...
Samantha est à la fois fragile, avec ses hallucinations, ses angoisses, et forte car elle n'hésite pas à affronter les dangers qui l'entoure, arme ou non à la main. Quant à Mike... comment dire, sous ses dehors hostiles de gros gorille, il est terriblement attachant, un peu le Hobbes dans Calvin et Hobbes quoi! Chacun a un terrible besoin de l'autre.
Le récit devient de plus en plus troublant, nous entrainant dans les délires hallucinatoires de Samantha sans qu'on ne sache où ils commencent ou finissent. Heureusement, Libby veille sur elle grâce à son caractère bien trempée.

J'ai refermé le livre avec beaucoup d'émotion car il nous amène quand même loin dans ce traumatisme de guerre, et nous force à un certain respect de ces hommes et femmes qui ont combattu, vécu des choses atroces. Comment survivre après ça? J'ai trouvé ce roman graphique terriblement intelligent quand il aborde l'entourage protecteur de Samantha, acceptant avec compassion ses comportements étranges.
Je vous le conseille sans hésitation.
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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre, qui se termine dans le tome suivant. Il comprend les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2016/2017, écrits, dessinés et encrés par Terry Moore. Cette histoire est en noir & blanc. Terry Moore est également l'auteur de Strangers in Paradise, Echo et Rachel Rising.

L'histoire s'ouvre avec une citation de Stephen Hawkins sur la probabilité de l'existence d'une vie extraterrestre, et celle d'une intelligence extraterrestre. Dans une zone désertique de l'un des états du Sud des États-Unis, Sam (Samantha Locklear) travaille seule dans une casse pour automobile, éloignée de toute habitation et distante de la ville. L'entreprise appartient à une veille femme appelée Libby qui lui rend visite tous les jours. Sam prend en charge les épaves, et les désosse pour récupérer les pièces. Elle a pris l'habitude de parler toute seule à haute voix, à un gorille appelé Mike, son ami imaginaire. Au temps présent, elle lui explique en quoi des voitures se conduisant toutes seules marquent le début de la fin de la civilisation. Elle se rend ensuite dans son bungalow pour se mettre un peu à l'ombre, avec une température extérieure de 114°F (environ 45°C). Mike et elle reconnaissent le bruit du moteur d'une Plymouth ; ils en déduisent l'approche et l'arrivée de Libby.

La propriétaire Libby vient apprendre à Sam qu'une personne (Lewis Walden) lui a fait une proposition d'achat du terrain, mais qu'elle ne vendra que quand Sam souhaitera quitter ce trou paumé. Elle lui dit qu'elle pense que Sam est assez forte pour regagner la société et qu'elle a bien dû réussir à surmonter le stress post traumatique de ses 3 tours de service militaire en Iraq, dont une année retenue prisonnière et torturée. Elle lui rappelle de s'hydrater régulièrement, et d'aller voir le médecin pour lui parler de ses maux de tête. Sam promet d'y réfléchir. La nuit suivante, Sam est réveillée par un grand bruit à l'extérieur. Elle enfile ses chaussures et prend son revolver. Elle découvre une soucoupe volante dans le dépôt de ferraille, avec un petit extraterrestre bien embêté devant la fuite d'une durite du vaisseau. Elle procède à la réparation, et la soucoupe s'envole avec ses 2 passagers extraterrestres.

Peu de temps après la fin de Rachel Rising, Terry Moore annonce une nouvelle série avec un visuel montrant une jeune femme mécano, un grand gorille habillé et une soucoupe volante, soit des prémices inhabituelles avec une forte connotation de science-fiction, mais aussi un personnage principal féminin, une constante dans ses séries. le lecteur qui a suivi la carrière de cet auteur sait qu'il ira jeter un coup d'oeil à sa nouvelle série, quoi qu'il en soit. L'auteur lève rapidement l'incertitude quant à la nature du gorille, à savoir un ami imaginaire issu de l'imagination de Sam. Pourtant le lecteur n'est pas au bout de ses surprises quand il découvre 2 séquences avec des extraterrestres semblant issus d'un dessin animé, avec un vaisseau en forme de soucoupe volante. Il relève quelques détails indiquant que l'auteur se montre facétieux. Il y a ces 2 hommes de main à la compétence particulièrement faible : Vic (pour Victor) et Larry. Ils se baladent en costume noir, malgré la chaleur. Ils échangent des impressions qui font ressortir leur absence d'expérience professionnelle. Ils sont incapables de se montrer à la hauteur de leurs prétentions, en particulier quand Vic se fait neutraliser par la force physique de Sam sans avoir rien vu venir. Vic se rend aussi ridicule quand il inhale la fumée de sa cigarette, en même temps qu'il boit une gorgée de bière. le lecteur remarque d'ailleurs qu'il s'agit de la bière Duff. Libby est plus compétente et pertinente, mais son apparence est aussi pragmatique que ses réparties sont sarcastiques. Il y a encore d'autres détails humoristiques comme la discussion entre Sam et Mike pour savoir qui est meilleur musicien de jazz entre Ella Fitzgerald et Charlie Parker, ou une référence étonnante à Hergé, ou encore Mike sur les toilettes.

Terry Moore contrebalance sa verve facétieuse avec le drame de l'histoire personnelle de Samantha Locklear et son comportement adulte, les manigances inquiétantes de Lewis Walden, la gentillesse mêlée de vacherie de Libby. le lecteur ne sait pas donc trop s'il doit prendre les éléments loufoques au premier degré ou non, mais il s'attache tout de suite aux personnages complexes, et touchants, même les incompétents Vic & Larry. Comme à son habitude, l'auteur s'appuie sur une narration graphique fluide. le degré de finition des dessins varie étonnamment d'une case à l'autre. Parfois il peut représenter des accessoires ou des éléments de décors avec un trait assuré, et des traits de contour peaufinés, bien arrêtés, comme les meubles de la chambre de Sam, ou certains modèles de voiture. À d'autre moments, il esquisse les formes avec des traits lâches, pas de construction, mais des formes rapidement tracées pour rester dans une impression spontanée, et sortir d'un registre purement descriptif. le lecteur est parfois un peu surpris par ce changement de mode de représentation, même si les effets obtenus sont efficaces.

Le lecteur se rend vite compte que les dessins lui permettent de se projeter dans chaque endroit. Il peut voir les carcasses de voiture accumulées, la clôture grillagée, les outils dont dispose Sam pour travailler, les pièces qu'elle a déjà récupérées et stockées à part, son bungalow et ses différentes pièces avec l'ameublement utilitaire, les diplômes dans la salle de consultation du médecin, la piscine du motel où sont descendus Vic & Larry avec ses fauteuils de plage, le court de tennis où joue Libby, avec son revêtement fondant sous le soleil. L'artiste sait insuffler avec naturel une vie dans ses personnages. Sam est tour à tour pleine d'énergie, sûre d'elle, réflexive, pensive, efficace et brutale. Comme à son habitude, Terry Moore prend grand soin de ne pas réduire son personnage à un objet. Il dresse le portrait d'une jeune femme encore sous le coup du stress port traumatique, capable de se défendre physiquement, sur le visage de laquelle passe des expressions aussi bien sérieuses que des moues comiques. Même s'il est tentant de ne voir qu'un personnage comique dans Libby, le lecteur découvre une femme avec un caractère bien trempé, qui ne mâche pas ses mots et qui sait ce qu'elle veut. Plus que pour Sam, Terry Moore joue sur l'ambiguïté entre un individu représenté au premier degré, et une détente comique. Il peut aussi bien réaliser un dessin centré sur sa culotte (de grand-mère) quand elle joue au tennis, que de montrer dans une case tous les autres personnages se taire respectueusement pendant qu'elle parle.

Terry Moore s'amuse bien avec les autres personnages. Il s'en tient à un maintien très droit et très strict pour Lewis Walden, comme si les individus psychorigides étaient forcément des méchants. Il joue sur le contraste entre Larry et Vic, le premier étant maigre et élancé, le second fort et costaud. Cependant, c'est Larry qui se charge des besognes physiques, essuyant échec sur échec, et Vic se retrouve à ne savoir quoi faire de sa masse corporelle, ne pouvant que regarder Larry se faire démolir et ramasser les morceaux après coup, se retrouvant observateur plutôt qu'acteur. Les personnages s'incarnent donc plus par leur comportement montré visuellement, que par leurs dialogues. le lecteur se retrouve donc émotionnellement impliqué par l'empathie qui se dégage d'eux. Il remarque également que Terry Moore prend un grand plaisir à réaliser des cases improbables qui trouvent pourtant naturellement leur place dans la narration : Sam roulant sur les carcasses dans un buggy découvert, la durite projetant de l'huile sur un extraterrestre ahuri, les 2 empreintes de main sale sur le short de Sam, son dos couturé de cicatrice quand elle fait ses ablutions, Sam manipulant une tronçonneuse d'une seule main, Vic se tenant assis sur une pierre en plein milieu du désert sous un soleil accablant, un gros plan du pied de Sam en train d'ouvrir le robinet de la baignoire, etc.

Cette première moitié de l'histoire de Samantha Locklear permet de retrouver Terry Moore en pleine forme, créant un nouveau personnage féminin fort et complexe. Il lui donne des caractéristiques des héros d'action avec sa formation militaire et son expérience à la guerre, et la fragilité d'un individu ayant subi des tortures au main de l'ennemi. Il ne traite pas cela comme des expédients narratifs stéréotypés, mais comme une situation de traumatisme, avec un individu essayant de la gérer au mieux. Les personnes évoluant autour de Sam sont tout aussi humaine, faisant de leur mieux en fonction de leur capacité. L'auteur développe un environnement avec des particularités qui le rendent unique. Il invite le lecteur dans une narration à fois réaliste et dramatique, et à la fois comique parfois jusqu'à l'absurde. Même s'il n'est pas bien sûr de savoir où va le récit, le lecteur se laisse bien volontiers emmener dans ce voyage, mi loufoque, mi tragique, pleinement impliqué par le sort de ces personnages.
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critiques presse (3)
Bedeo
02 novembre 2018
Petit drame aux allures interplanétaires mais aux fins très personnelles, Motor Girl est une intégrale en apparence pleine d’action et surtout blindée d’émotion. Un joli coup de la part de Moore, qui fait convoler psychologie et science-fiction d’une main de maître.
Lire la critique sur le site : Bedeo
ActuaBD
13 septembre 2018
À la fois drôle et émouvant, la dernière œuvre de Terry Moore plonge le lecteur dans une situation existentielle. Suite aux traumatismes de la guerre, l’héroïne se crée un personnage imaginaire avec lequel elle se lie d'amitié. Ensemble, ils vont croiser le chemin d'Extra-terrestres, pour vivre une aventure totalement exceptionnelle. Du grand Terry Moore !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BDZoom
10 septembre 2018
Qu’est-ce qu’un grand auteur ? Comment une simple idée se transforme en un scénario époustouflant ? Terry Moore, auteur ayant déjà montré sa faculté à écrire et dessiner de très bonnes histoires, récidive avec ce titre déglingué, pourtant ancré dans le réel le plus dramatique.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Il y a deux possibilités : soit nous sommes seuls dans l'univers, soit nous ne le sommes pas. Les deux sont aussi terrifiantes l'une que l'autre. (Arthur Clarke)
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- Quelles nouvelles ?
- Mauvaises. Soit la vieille dame vend le terrain à Walden, soit on est virés.
- Elle est vieille. On n'a qu'à attendre qu'elle meure.
- On n'a que jusqu'à lundi.
- Elle n'est pas si vieille que ça.
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-C'est quoi son blème?
-Sam? Elle a fait trois missions en Irak. Elle a été capturée, torturée, et elle a survécu à deux bombes.
-Merde.
-Alors si son truc, c'est de se mettre à engueuler le mur d'en face, moi, je dis, bien m'dame, merci de venir chez nous, je sers une bière à votre "ami"?
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Je suis convaincu que la vie extraterrestre est très répandue dans l'univers, bien que la vie intelligente le soit moins. Certains estiment même qu'elle n'a pas encore fait son apparition sur la planète Terre. (Stephen Hawkins)
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C'est le début de la fin. On va assister à l'effondrement de la civilisation ! Et après, tu peux me dire ce qu'on fera ?
On fêtera ça.
Je suis sérieuse c'est comme ça que des empires s’écroulent ! ils ne pensent qu'à se développer et ensuite ils font la fête jusqu'à ce que…
C'est la bagnole du type au portable ?
Il était au volant d'un F250 ! Si tu te mets à poster sur Facebook tout en conduisant un F250 tu deviens une machine à tuer de 3 tonnes ! il pourrait atomiser une Fiat sans même s'en rendre compte c'est pratiquement l'Étoile de la mort !
Il n'a percuté personne.
Ça viendra. de toute façon celui qu'il finira par percuter ne s'en rendra pas compte non plus vu qu'il sera aussi au téléphone !
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Videos de Terry Moore (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Terry Moore
Charlie Adlard (Walking Dead) et Terry Moore (Stranger in Paradise) s'affrontent sur le ring !
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