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Charles Baudelaire (Traducteur)
EAN : 9782277300267
95 pages
J'ai lu (04/11/1992)
  Existe en édition audio
3.73/5   620 notes
Résumé :
Double assassinat dans la rue Morgue

Marie Roget ? Oh ! une jeune fille bien sage !

Comment ? Sauvagement assassinée, dites-vous ? Mais par qui et pourquoi ? Et Mme L'Espanaye et sa fille, la discrétion même ! Jamais une histoire... jusqu'à ce qu'elles soient retrouvées mutilées par un atroce meurtrier. Quelle terrifiante idée !

On a tenté de cacher le pauvre corps de Mlle L'Espanaye dans le conduit d'une cheminée. Commen... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (49) Voir plus Ajouter une critique
3,73

sur 620 notes
Bon, je n'ai pas de chance, s'agissant des personnages féminins dans ma découverte de l'univers littéraire d'Edgar Allan Poe. Souvenez-vous de mon billet, Aventures d'Arthur Gordon Pym, où je déplorais avec désarroi l'absence totale de femmes dans le récit.
Pour une fois que les deux nouvelles dont je vais vous parler en comportent, elles se font tout de suite assassinées dès le début de l'histoire et, qui plus, dans des circonstances sordides. Vous me direz, la manière aurait été plus douce, que le résultat n'en aurait pas été idifférent et mon chagrin tout aussi présent. Edgar Allan Poe ne m'a même pas donné le loisir d'apprendre à les connaître.
Double assassinat dans la rue Morgue est une nouvelle d'Edgar Allan Poe parue en 1841. C'est la première apparition d'un certain Auguste Dupin, détective français imaginé par l'écrivain américain qui devient ainsi l'inventeur du roman policier.
La nouvelle débute par une longue et savante réflexion sur l'importance qu'on donne à l'analyse dans l'esprit humain, propos développé avec brio par Auguste Dupin à son narrateur pour prendre le contre-pied des techniques policières jusqu'alors pratiquées et reposant essentiellement sur l'ingéniosité. Ici nous assistons à une brillante leçon qui cherche à démontrer la supériorité de l'intelligence méthodique sur le règne de l'apparence, Auguste Dupin n'hésitant pas à fustiger un des personnages fétiches qui a bercé mes souvenirs d'enfance devant le petit écran lorsqu'il n'y avait encore qu'une seule chaîne en noir et blanc, - non je ne vous parle pas de Thierry la Fronde, mais bien de Vidocq, Eugène-François Vidocq, ancien forçat évadé, devenu chef de la Sûreté Parisienne, puis qui fonda la première agence de détectives privés.
De la théorie à la pratique, il n'y a qu'un pas... Bientôt un drame va permettre à Auguste Dupin de faire la démonstration au narrateur des propositions qu'il vient de lui avancer.
Nous sommes à Paris. Auguste Dupin et le narrateur apprennent qu'un double meurtre a été commis au quatrième étage de la rue Morgue, oui vous savez cette petite rue dans le quartier Saint-Roch : celui de Mme l'Espanaye et de sa fille Camille, occupant toutes deux le même appartement de l'étage. C'est une scène morbide qui s'offre alors sous nos yeux. On vient de retrouver le corps de la jeune fille encastré, pour ne pas dire enfourné, la tête en bas, dans le conduit de la cheminée de l'appartement, tandis que la mère gît quatre étages plus bas dans la cour pavée, au pied de l'immeuble, la gorge tranchée, la tête détachée du tronc. Un désordre saugrenu règne dans l'appartement, tandis que les témoins, n'ayant cependant rien vu de la scène ni de celui qui a commis cette tragédie, s'accordent à dire qu'ils auraient entendu une voix s'exprimant dans une langue étrangère. Mais surtout rien n'a été volé, ce que la police n'arrive pas à comprendre.
Auguste Dupin finira par éclaircir le mystère et aider celle-ci à mettre la main sur le coupable.
Mais le dénouement est-il l'aspect majeur de cette nouvelle ? Dans ce bijou littéraire, n'est-ce pas plutôt l'intention d'Edgar Allan Poe qui prévaut dans sa vision du monde, la manière de regarder ce monde, cette vision esthétique qui parfois nous obsède et nous emporte à notre détriment ?
Cette nouvelle et son incroyable dénouement ne portent-t-il pas cette idée que les choses ne sont jamais ce qu'elles paraissent, que notre oeil et nos émotions peuvent parfois se laisser impressionner, duper, en oublier la réalité de ce qui a pu être ou de ce qui est.
Derrière l'illusion apparente et chaotique du monde, n'existe-t-il pas un ordre immuable, qui échapperait à l'intelligence, en raison de nos passions ?
La seconde nouvelle dont je vais vous parler est tout aussi intéressante, mais m'a bien moins passionné dans ma lecture. Aussi ai-je été glaner quelque autre déambulation dans l'écho macabre de cette triste histoire.
Nous sommes de nouveau à Paris, dans ce Paris du XIXème siècle. Marie Roget et sa mère habitent rue Pavée Saint-André, la mère y tient une pension de famille. Quand elle atteint l'âge de vingt-deux ans, Marie, jeune femme d'une grande beauté, attire l'attention d'un parfumeur, qui l'embauche pour travailler dans sa boutique. Un an plus tard, Marie disparaît, mais réapparaît au bout d'une semaine, l'air triste et fatigué. Agacée de la curiosité consécutive à sa disparition, elle quitte la boutique du parfumeur. Cinq mois plus tard, elle disparaît de nouveau. Quatre jours après on retrouve son corps dans la Seine. La police parisienne est perdue en conjectures et n'avance pas.
Et qui croyez-vous va mener l'enquête et démêler l'écheveau de ce mystère insondable ? Notre ami Auguste Dupin, comme de bien entendu, toujours suivi de notre narrateur insatiable de curiosité et dégustant avec plaisir le bénéfice d'une nouvelle leçon du brillant détective.
Comme dans la première nouvelle, Auguste Dupin va prendre plaisir à défaire les jugements à l'emporte-pièce, combattre les généralités, les opinions, l'apparences des faits, mettant en pièce les observations des journaux de l'époque, qui ont vite fait de trouver un coupable idéal sans réflexion ni véritable fondement. Non, je vous assure, tout ceci se passe bien dans un autre temps qu'aujourd'hui...
Pendant qu'Auguste Dupin disserte sur le comportement du corps des noyés une fois plongés dans l'eau, le nombre de jours au bout desquels ils remontent à la surface, qui varie en fonction de leur poids, de leur masse, mais aussi la nature élastique d'une jarretière à agrafe..., je me suis plu à imaginer que Marie Roget était devenue durant quelques temps cette célèbre inconnue, cette jeune femme belle et non identifiée, dont on prétend que le corps aurait été repêché dans la Seine et dont le masque mortuaire de son visage présumé devint un véritable mythe qui envoûtera l'imaginaire des artistes parisiens de la fin du XIXème siècle. Je me souviens que Louis Aragon évoquait le souvenir de cette inconnue de la Seine et lui rendait un bel hommage dans son magnifique roman, Aurélien.
Pendant que je déambulais sur les berges de l'Île Saint-Louis et que je rêvais à la belle inconnue de la Seine, Auguste Dupin s'ingéniait à déconstruire méthodiquement les apparences, au risque d'agacer la police officielle, jetant les bases des suites de l'enquête et des étapes à suivre pour prouver que le coupable est bien...
Alors je me suis demandé, mais pourquoi diable Auguste Dupin est moins célèbre que Sherlock Holmes alors que ce dernier lui doit presque tout ?
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Poe est un des précurseurs du roman policier.
Ce livre n'est pas mal, car Dupin explique clairement les mécanismes de sa réflexion à son ami, le narrateur.
A Paris, vers les années 1830. Dans leur appartement, une vieille femme et sa fille sont assassinées dans des conditions atroces. L'une est égorgée et défenestrée, l'autre... Les piétons constatent avec horreur la défenestration, montent précipitamment à l'appartement, essayent d'enfoncer la porte. Ils entendent des cris horribles : « Mon Dieu ! » lancé d'une voix grave et rauque, puis des paroles incompréhensibles, saccadées, aiguës, puissantes. Quand le policier enfonce la porte, il n'y a personne de vivant dans l'appartement, qui est dans un bouleversement sans nom. On retrouve la demoiselle étranglée et enfoncée dans le conduit de cheminée. Toutes les portes sont fermées de l'intérieur, et les fenêtres aussi. Dupin et le narrateur arrivent après la police....
.
Je n'aime pas les romans policiers, Agatha Christie m'en a dégoûté avec son air supérieur qu'elle prend au dénouement. Mais je voulais connaître l'écriture d'un des précurseurs : Edgar Allan Poe. Bon, il y a bien quelques pédanterie au début de cette nouvelle sur les échecs, le whist et les qualités d'analyse, mais quand on rentre dans l'histoire, Dupin explique avec pédagogie le fonctionnement particulier de son cerveau très observateur et déducteur. le dénouement est intéressant, bien que non crédible au XXIè siècle.
La traduction en français est de Charles Baudelaire.
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Mes lectures de Poe remontaient à mon adolescence alors autant dire que je ne me souvenais de rien si ce n'est qu'à l'époque j'avais aimé. Mon fils ayant récemment ce petit recueil composé de « double assassinat dans la rue morgue » et « le mystère de Marie Roget » je me suis dit que c'était l'occasion de redécouvrir cet auteur en lisant ce livre à sa suite.

Le bilan n'est pas vraiment glorieux. Je ne nie absolument pas l'importance de l'oeuvre de Poe en tant que précurseur mais je n'ai pas été emballée, loin de là. « Double assassinat dans la rue morgue » reste relativement plaisant, le récit se lit assez bien malgré des longueurs. le côté étrange de cette histoire permet d'atténuer l'ennui ressenti parfois au cours de la lecture. En revanche, je ne trouve rien à sauver dans « le mystère de Marie Roget ». Cette succession d'éléments factuels et de déductions est assommante. Je me suis profondément ennuyée. Il faut dire que le whodunit ce n'est pas vraiment mon truc. Cet aspect énigme à résoudre donne au récit un côté vraiment plat, dénué de vie, désincarné.

Je compte bien relire d'autres récits de Poe avant de tirer un trait définitif sur lui. Comme je gardais un bon souvenir de cet auteur, je me dis que peut-être que certaines histoires parviendront à me plaire encore aujourd'hui.
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Au hasard d'une promenade dans les rues enténébrées de Paris, le narrateur et son colocataire se trouvent embarqués dans une enquête sur un meurtre dont le mobile et les actes sont des plus étranges.

La plume d'Edgar Allan Poe, traduite ici par Charles Baudelaire est des plus agréable.
J'ai aimé son style mais également le développement de son intrigue.
Face aux éléments pour le moins sans queue ni tête de l'enquête, Auguste Dupin, le colocataire de M. Poe à Paris, va user d'un sens de l'observation extraordinaire couplé à une rigueur des plus fermes.
L'auteur nous énonce une succession de faits. A leur lecture, on est très vite perplexes, tout comme les enquêteurs. Deux meurtres, pas de mobile clair puisqu'une grosse somme d'argent est découverte bien en évidence, une brutalité sauvage qui choque Paris. Petit à petit, Auguste Dupin va démêler l'écheveau complexe et nous révéler non seulement le meurtrier mais également toutes les étapes de ce drame.
J'ai trouvé peu crédible certains passages mais en véritable chef d'orchestre, Poe rassemble les pièces épars d'un puzzle et nous en restitue une image fidèle. C'était très bien trouvé.

En revanche, dans la deuxième nouvelles, l'auteur m'a perdue. Je me suis ennuyée à la lecture de tous les faits et j'ai trouvé le texte indigeste. Je salue le travail de l'auteur en tant que précurseur du roman policier, mais l'accumulation de noms, de lieux et d'événements était trop dense pour apprécier la critique habile du système de justice en vigueur à l'époque.
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Lorsque Poe a écrit cette nouvelle en 1841, un nouveau genre littéraire émergeait : le roman policier, dont Poe est l'un des précurseurs.
L'histoire se passe à Paris où le narrateur américain vient d'arriver et où il va rencontrer un jeune homme du nom de Dupin qui va devenir son ami.
Et c'est une bien terrible affaire qui va avoir lieu, une femme âgée et sa fille vont être assassinées de manière horrible on peut dire inhumaine dans leur propre maison.
Les policiers ne sachant comment résoudre cette affaire jamais vue, pensez donc la mère a été décapitée et défenestrée, quant à la fille les mots leur manquent pour décrire la scène.
Cependant, un homme va être arrêté, même si manifestement il ne peut être accusé de cette horreur.
Et c'est Dupin et sa méthode de déduction logique qui va résoudre l'affaire et confondre un assassin auquel personne n'aurait pu penser….
Une petite nouvelle sympathique à lire même si on se rend compte que le texte a vieilli, il faut dire qu'il a été écrit il y a presque 200 ans.
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critiques presse (2)
Sceneario
29 septembre 2016
Un hommage à l’intelligence remarquablement mis en avant par Edgar Poe et habilement mis en scène par Céka et Clod.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BoDoi
20 septembre 2016
Le polar et ses images s’oublient vite. Divertissant mais un peu falot.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
Les facultés de l’esprit qu’on définit par le terme analytiques sont en elles-mêmes fort peu susceptibles d’analyse. Nous ne les apprécions que par leurs résultats. Ce que nous en savons, entre autre choses, c’est qu’elles sont pour celui qui les possède à un degré extraordinaire une source de jouissances des plus vives. De même que l’homme fort se réjouit dans son aptitude physique, se complaît dans les exercices qui provoquent les muscles à l’action, de même l’analyse prend sa gloire dans cette activité spirituelle dont la fonction est de débrouiller. Il tire du plaisir même des plus triviales occasions qui mettent ses talents en jeu. Il raffole des énigmes, des rébus, des hiéroglyphes ; il déploie dans chacune des solutions une puissance de perspicacité qui, dans l’opinion vulgaire, prend un caractère surnaturel. Les résultats, habilement déduits par l’âme même et l’essence de sa méthode, ont réellement tout l’air d’une intuition. Cette faculté de résolution tire peut-être une grande force de l’étude des mathématiques, et particulièrement de la très haute branche de cette science, qui, fort improprement et simplement en raison de ses opérations rétrogrades, a été nommée l’analyse, comme si elle était l’analyse par excellence. Car, en somme, tout calcul n’est pas en soi une analyse. Un joueur d’échecs, par exemple, fait fort bien l’un sans l’autre. Il suit de là que le jeu d’échecs, dans ses effets sur la nature spirituelle, est fort mal apprécié. Je ne veux pas écrire ici un traité de l’analyse, mais simplement mettre en tête d’un récit passablement singulier quelques observations jetées tout à fait à l’abandon et qui lui serviront de préface.
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— Nous ne devons pas juger des moyens possibles, dit Dupin, par une instruction embryonnaire. La police parisienne, si vantée pour sa pénétration, est très-rusée, rien de plus. Elle procède sans méthode, elle n’a pas d’autre méthode que celle du moment. On fait ici un grand étalage de mesures, mais il arrive souvent qu’elles sont si intempestives et si mal appropriées au but, qu’elles font penser à M. Jourdain, qui demandait sa robe de chambre — pour mieux entendre la musique. Les résultats obtenus sont quelquefois surprenants, mais ils sont, pour la plus grande partie, simplement dus à la diligence et à l’activité. Dans le cas où ces facultés sont insuffisantes, les plans ratent. Vidocq, par exemple, était bon pour deviner ; c’était un homme de patience ; mais sa pensée n’étant pas suffisamment éduquée, il faisait continuellement fausse route, par l’ardeur même de ses investigations. Il diminuait la force de sa vision en regardant l’objet de trop près. Il pouvait peut-être voir un ou deux points avec une netteté singulière, mais, par le fait même de son procédé, il perdait l’aspect de l’affaire prise dans son ensemble. Cela peut s’appeler le moyen d’être trop profond. La vérité n’est pas toujours dans un puits. En somme, quant à ce qui regarde les notions qui nous intéressent de plus près, je crois qu’elle est invariablement à la surface. Nous la cherchons dans la profondeur de la vallée : c’est au sommet des montagnes que nous la découvrirons.

» On trouve dans la contemplation des corps célestes des exemples et des échantillons excellents de ce genre d’erreur. Jetez sur une étoile un rapide coup d’œil, regardez-la obliquement, en tournant vers elle la partie latérale de la rétine (beaucoup plus sensible à une lumière faible que la partie centrale), et vous verrez l’étoile distinctement ; vous aurez l’appréciation la plus juste de son éclat, éclat qui s’obscurcit à proportion que vous dirigez votre point de vue en plein sur elle.

» Dans le dernier cas, il tombe sur l’œil un plus grand nombre de rayons ; mais, dans le premier, il y a une réceptibilité plus complète, une susceptibilité beaucoup plus vive. Une profondeur outrée affaiblit la pensée et la rend perplexe ; et il est possible de faire disparaître Vénus elle-même du firmament par une attention trop soutenue, trop concentrée, trop directe.
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Entre l'ingéniosité et l'aptitude analytique, il y a une différence beaucoup plus grande qu'entre l'imaginative et l'imagination , mais d'un caractère rigoureusement analogue. En somme, on verra que l'homme ingénieux est toujours plein d'imaginative, et que l'homme vraiment imaginatif n'est jamais autre chose qu'un analyste.
Commenter  J’apprécie          81
Les facultés de l'esprit qu'on définit par le terme analytiques sont en elles-mêmes fort peu susceptibles d'analyse. Nous ne les apprécions que par leurs résultats. Ce que nous en savons, entre autres choses, c'est qu'elles sont pour celui qui les possède à un degré extraordinaire une source de jouissances des plus vives. De même que l'homme fort se réjouit de son aptitude physique, se complait dans les exercices qui provoquent les muscles à l'action, de même l'analyste prend sa gloire dans cette activité spirituelle dont la fonction est de débrouiller.
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Nous cherchons la vérité dans la profondeur de la vallée : c'est au sommet des montagnes que nous la découvrirons.
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Vidéo de Edgar Allan Poe
Dans ce deuxième épisode enregistré juste avant le Festival d'Angoulême, Aurélien et Emile font un point sur le superbe travail de l'artiste Peach Momoko avant de vous parler de leurs nouveautés préférées du mois de février.
Titres abordés :
• Demon Days (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-days-fmh23044-fr02.html) (Marvel Manga) de Peach Momoko • Demon Wars - Edition régulière (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-wars-fmh24002-fr02.html) et édition collector (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-wars-fmh24002vc-fr02.html) (Marvel Hors Collection) de Peach Momoko • (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/daredevil-echo-qu-te-de-vision-fmh23007-fr02.html) Silver Surfer : L'obscure clarté des étoiles - Edition Noir & Blanc (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/silver-surfer-edition-noir-blanc-fmh24004-fr02.html) (Marvel Prestige) de Ron Marz et Claudio Castellini • Cyberpunk 2077 : Les rêves de Night City (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/cyberpunk-2077-les-r-ves-de-night-city-fcybe006-fr02.html) de Bartosz Sztybor, Filipe Andrade & Alessio Fioriniello • Daredevil T01 : Connaître la peur (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/daredevil-t01-fmd24013-fr02.html) (Marvel Deluxe) de Chip Zdarsky, Marco Checchetto, collectif
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Tous nos remerciements à Emmanuel Peudon pour le montage et à ClemB pour le générique.

Plus d'infos sur notre site internet : https://www.panini.fr/
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