AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782246832065
220 pages
Grasset (04/01/2023)
3.66/5   22 notes
Résumé :
Qu’ont en commun une guerrière et une sainte ? A priori, rien. Tout semble même les opposer. L’une serait du côté du Mal et du sang, l’autre du Bien et de la lumière. A cette idée, la représentation de Thérèse de Lisieux, proclamée en 1997 trente-troisième docteur de l’Église et sainte française la plus célèbre avec Jeanne d’Arc, semble donner raison. Bouquet de roses et crucifix entre les bras, voile sur la tête et guimpe autour du visage, sourire ténu, ainsi la ... >Voir plus
Que lire après Eloge d'une guerrière: Thérèse de LisieuxVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Tous les deux ans l'UNESCO retient des personnalités qui, dans le monde, chacune à sa manière, ont oeuvré et continuent de le faire par leur rayonnement, dans les domaines de l'éducation, de la promotion des droits des femmes et de l'égalité des genres, de la culture, des sciences, et de la communication, à la construction de la paix...

En 2023, l'UNESCO honore deux français, Gustave Eiffel, décédé le 27 décembre 1923, et Thérèse de Lisieux née le 2 janvier 1873.

Pour l'UNESCO, « la célébration de Thérèse contribuera à apporter une plus grande visibilité et justice aux femmes qui ont promu, par leurs actions, les valeurs de la paix. Étant donné la célébrité de Thérèse de Lisieux, la célébration de son anniversaire peut être une opportunité de mettre en valeur le rôle des femmes au sein des religions dans la lutte contre la pauvreté et la promotion de l'inclusion. Elle peut aussi renforcer le message de l'UNESCO sur l'importance de la culture (poèmes et pièces de théâtre écrites) dans la promotion de valeurs universelles et comme vecteur du dialogue inter-religieux. »

Jeune française connue dans le monde entier, femme de culture, d'éducation et de science, Thérèse de Lisieux, par sa personnalité, son oeuvre scrute les profondeurs du coeur humain et ouvre des chemins de réponse possible aux hommes et aux femmes de ce monde en quête de sens, à la recherche de la paix personnelle et universelle. Décédée à l'âge de 24 ans, elle est connue notamment pour ses publications posthumes, dont Histoire d'une âme.

« Eloge d'une guerrière » rappelle que la vie chrétienne est un engagement à combattre sous les oriflammes du Christ plutôt que sous les bannières de Lucifer et que Thérèse Martin a consacré sa vie à guerroyer contre le péché, à convertir les pécheurs, tels Pranzini embrassant le crucifix sur l'échafaud.

La véritable vocation de Thérèse diffère donc de celle de Jeanne d'Arc, autre guerrière, mais son combat contre les séductions du péché contribue indéniablement à la construction de la paix. Jean de Saint-Chéron nous offre à la fois une biographie de la sainte, une présentation de ses oeuvres et un bouquet des grâces obtenues par son intermédiaire.

Il rappelle que la future Edith Piaf recouvra la vue à Lisieux et que la chanteuse était une dévote de la sainte :

« Ça fait longtemps que le Seigneur avait prévenu que seuls les petits enfants seraient admis dans son Royaume. Mais les anges doivent s'amuser de cette bande de gagneuses enfanfreluchées qui dans l'éternité font la ronde autour d'une chanteuse de music-hall et d'une petite Normande déguisée en guerrière. 

Je ne me repens pas de m'être livrée à l'amour. Oh ! non, je ne m'en repens pas avait dit Thérèse le jour de sa mort.
« Non, rien de rien,non, je ne regrette rien », semble avoir répondu Edith Piaf un demi-siècle plus tard.
La petite Thérèse avait peut-être transmis à la Môme son art de la guerre.
De toute façon, les enfants ne savent prendre les places fortes que les yeux pleins de larmes, les poings serrés, bouillonnant d'impuissance. Leur première arme, c'est l'immensité de leur désir.»

Un livre décapant qui prolonge la réflexion entamée par l'écrivain avec « Les bons chrétiens » :
Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          865
Ce n'est pas le premier livre que je lis sur sainte Thérèse de Lisieux, et ce ne sera sans doute pas le dernier. Pour paraphraser une amie, nous avons tous une Thérèse dans nos familles, j'ai même eu une Thérèse comme élève. Prénom très souvent donné, non à cause de la grande Thérèse d'Avila mais à cause de la petite Thérèse de Lisieux, pourtant elle aussi élevée au rang de docteur de l'église.
A la lecture de ce livre, je trouve que certains croyants feraient bien de relire le message de Thérèse de Lisieux. Les deux mots d'ordre les plus importants sont l'amour et la confiance, d'où découle la confiance en l'amour de Dieu. Dans les évangiles, Jésus demandait de pardonner. Certains hommes d'église semblent l'avoir totalement oublié (voir les propos tenus par certains d'entre eux).

Si Thérèse Martin a pu donner tant d'amour autour d'elle, c'est aussi parce qu'elle en a reçu de façon constante, sans condition, de la part de ses parents et de ses soeurs aînées. de nos jours, certains expliquent son désir d'entrer au Carmel par le fait que ses deux soeurs aînées y étaient déjà, et qu'elle voulait « simplement » les rejoindre. Ceux qui disent ceci feraient bien de se pencher sur la vie de Thérèse Martin : cet argument, elle a dû y répondre en son temps. Elle a dû lutter contre les prêtres qui ne comprenaient pas sa soif d'absolu et lui demandaient d'attendre – d'avoir 18 ans, d'avoir 21 ans – ne voyant pas se désir que je qualifierai « d'absolu humilité ».
Non, la petite Thérèse ne pouvait se douter du rayonnement qui serait le sien aujourd'hui, elle qui s'interrogeait sans arrêt sur la meilleure manière d'aimer véritablement son prochain, pas seulement ceux avec qui ont a des affinités, non, ceux qui nous agacent, insupportent, les aimer sans orgueil (il ne s'agit pas de se vanter de sa bonne conduite) et sans hypocrisie aussi. Un programme spirituel qui paraît déjà en décalage avec le XIXe siècle, où l'ambition prime, où tous les moyens sont bons pour parvenir à ses fins, alors ne parlons même pas du décalage entre une telle volonté et notre XXIe siècle. de même, je ne connais pas de jeune fille qui, aujourd'hui, souhaiterait vivre une vie humble, à effectuer chaque jour des tâches répétitives, à prier trois à quatre heures par jour, à se nourrir frugalement, surtout en cette période de l'année (pendant que j'écris ces lignes, nous sommes en plein Carême), une vie solitaire.
Je ne pense pas que ce livre soit à lire pour des personnes qui chercherait à découvrir la vie de sainte Thérèse de Lisieux, mais je pense qu'il pourra intéresser des personnes qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur elle.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
Commenter  J’apprécie          180
Aujourd'hui en librairie cet essai passionnant sur cette jeune Thérèse Martin devenue Sainte Thérèse de l'enfant Jésus, Thérèse de Lisieux.
L'auteur Jean de Saint-Cheron nous livre une autobiographie de la sainte remarquable. Il raconte avec justesse la vie de cette enfant plutôt capricieuse, devenue religieuse très jeune. Une religieuse exceptionnelle dans son humble quotidien.
Lien : https://www.facebook.com/lec..
Commenter  J’apprécie          260
C'est un joli livre que nous offre Jean de Saint-Cheron, en nous révélant une face parfois reléguée au second plan de Sainte Thérèse de Lisieux. Celle du combat intérieur ou combat spirituel, pour parvenir à la sainteté.
L'auteur tente de dresser une biographie intérieure de la sainte. Les événements extérieurs retenus ne le sont que pour éclairer ce qui pouvait se passer dans le coeur, la conscience, l'âme de Thérèse. du coup, le récit de son combat spirituel unifie celle qui dans l'Eglise voulait incarner l'amour, en éliminant les images trop mièvres qu'on a pu se faire d'elle.
Le livre est court, mais la lecture parfois exigeante. Il s'adresse sans doute plus à ceux qui ont déjà une connaissance intérieure de la spiritualité chrétienne, mais je peux me tromper tant la personne de Thérèse a pu toucher d'innombrables personnes des plus diverses.
Commenter  J’apprécie          130
Qui ne connaît Thérèse Martin, dite Thérèse de Lisieux ou bien encore Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus ? Canonisée en 1925 et proclamée docteur de l'Église en1997, Thérèse rêvait d'être missionnaire et n'a jamais quitté le carmel de Lisieux où elle entra en 1888 à l'âge de 15 ans et y mourut en 1897 à 24 ans. Une vie très courte, toute simple, à l'abri d'un monastère et pourtant dans les églises du monde entier ou presque on peut encore voir de nos jours sa statue. La vénération de cette sainte est universelle. Quelle personnalité se cache donc derrière cette statue tenant dans ses bras un crucifix et un bouquet des roses ?
Thérèse, engagée très tôt sur la voie de la sainteté, tenace et déterminée, assurément, Jean de Saint Cheron la voit guerrière, après tout si cela lui plaît ainsi, toute vie spirituelle n'est-elle pas un combat. L'auteur retrace donc sous cet angle la vie de Thérèse et nous offre une hagiographie enthousiaste et fournie en citations.
Pour ceux qui se passeraient de cet énième ouvrage sur la Sainte et désireraient se faire une idée ou parfaire leur propre jugement, les écrits de Sainte Thérèse se suffisent à eux-mêmes et sont facilement à la disposition de tous. A commencer par l'incontournable Histoire d'une âme.
Eloge d'une guerrière de Jean de Saint Cheron est élogieusement encensé par les critiques. Peut-être mon agacement pour Les Bons chrétiens de ce même auteur, lu récemment, ne m'a pas mise dans les meilleures conditions pour apprécier ce livre à sa juste valeur.

Petite digression à propos d'éloge : je vous recommande vivement le très réconfortant Éloge spirituel de l'imperfection, d'Alexia Vidot.
Commenter  J’apprécie          92


critiques presse (1)
LaCroix
05 janvier 2023
Dans un essai biographique passionnant, Jean de Saint-Cheron déploie le visage déterminé et combatif de la petite sainte du Carmel, à l'opposé des images à l'eau de rose qui la représentent.
Lire la critique sur le site : LaCroix
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Au « Grand 7 », on n'a pas lu le livre, mais on a vu les chromos au bouquet de rosés, les statues de plâtre peint, les photos.
(...)
Pourtant, en ce mois d'août 1921 ou 1922, alors que Titine a fait monter dans l'autocar sa petite troupe armée d'éventails, Thérèse n'est pas officiellement sainte. Pire : même pas bienheureuse. Mais elle fait un tel boucan dans le peuple que les curés de Rome épluchent les dossiers, pour voir si le pape doit la béatifier.

A peine descendues du car, il avait fallu grimper dans un train. Un vrai tape-cul. Le trajet avait duré des heures, tout le monde pestait. Madame, la voix rude, sans illusion, tâchait vaguement de consoler la petite Edith dont les jambes se balançaient dans le vide, dont la tête de mendiant aveugle suivait les moindres rires comme pour y avoir part, et dont les yeux sans jour, sous leur bandeau sordide, pouvaient encore verser des larmes. On savait bien, au fond, qu'elle ne reverrait jamais le soleil.

Enfin Lisieux.

Les messieurs enchapeautés saluent dévotement la délégation de robes à fleurs qui remonte la rue du Carmel en se frottant les fesses.

Le petite traîne la jambe. On pousse la grille. Les carrés plantés de fleurs des champs bourdonnent d'insectes. Les croix sont couvertes d'une mousse sèche, jaunâtre.

On y est : 1873-1897- Sœur Thérèse de l’Enfant Jésus.

— Une redede pas possible.

— Ce que tu peux être sotte, son vrai nom c'est Martin. Ça, c'est son titre de bonne sœur.

On reste là. Un ange passe. Edith pleurniche. Qu'est-ce qu'on est venues faire, au juste ? Qui a jamais été guéri dans un cimetière ? Mais Carole, dite Cabriole, n'aura pas fait le voyage pour rien. Elle attrape Edith et se met à genoux, entraînant dans son geste Suzanne, Judith, puis la grosse Marie, enfin toute la bande hésitante. Alors on fait comme on peut. On récite les prières que l'on sait par cœur. La ferveur monte. On se prend à y croire. On pleure, on chante, on embrasse la croix. On parle à Thérèse, on lui présente la petite aveugle dont on finit par frotter le front avec la terre du cimetière.

Quatre jours plus tard - temps que Lazare avait passé au tombeau avant d'en être tiré par Jésus -, Edith Gassion, dont la voix conquerrait plus tard le monde sous le nom d'Édith Piaf, retrouvait la vue. Toute sa vie, la « Môme » brûlera des cierges à la petite Thérèse, la priera les mains jointes avant de monter sur scène, portera sur sa poitrine un portrait de la sainte.

Les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu, proclamait celui qui non seulement avait ressuscité Lazare, mais envoûté le cœur d'une adolescente, Thérèse Martin, devenue sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face.
Commenter  J’apprécie          330
La prostitution n'est pas un métier facile.
(…)
On aurait peut-être mieux fait de rester au
« Grand 7 », quitte à ne pas faire relâche. Derrière les murs à colombages de la rue Saint-Michel, il faisait encore frais au petit jour. Mais quelle femme digne de ce nom serait restée sur le sofa, bras croisés, jambe leste, quand la petite Edith souffre le martyre ? Des mois que l'enfant n’y voit plus. La nuit est tombée comme un drap sur ce petit bout de sept ans à peine. Les médecins sont perplexes, mais déjà ça ricane chez les bigotes, les bourgeoises, les ouvrières. Les clairvoyantes. La petite paie pour sa catin de mère, fille de Belleville à moitié arabe ; pour l'alcoolisme de sa marraine qui ne l’a pas gardée longtemps à demeure, titubant dans les bouteilles ; pour l'avarice et le stupre de sa grand-mère, la maquerelle de Bernay, qui nous aspire nos hommes les soirs de paye et nous fiche la vérole les soirs de cuite. On a beau dire, pourtant : au « Grand 7 », on a encore un cœur. Alors il a fallu sortir par ce temps de plomb, dans les japons trop lourds.
(…)
Comme toutes ses filles, ça fait un moment que Madame Louise, dite Titine, a entendu parler de Thérèse de Lisieux, morte dans un carmel avant vingt-cinq ans, à la fin du siècle dernier. Tout le monde dit que c’était une sainte. Après que la tuberculose l'avait emportée, en septembre 1897, la ville de Lisieux n'avait plus parlé que d'elle pendant des mois. Puis la légende s'était si bien colportée dans la région les années suivantes que c’était remonté jusqu’à Paris, enfin partout en France, et maintenant dans le monde. Personne n’était vraiment capable de dire ce qu'elle avait fait de sa vie, pourtant. Une religieuse banale - assez jolie tout de même, si l'on en croit les images qui circulent -, entrée au monastère à quinze ans, tombée malade, et restée dans son cloître jusqu à l'étouffement définitif, neuf ans plus tard. La hiérarchie du Carmel avait alors rassemblé des carnets noircis par Thérèse dans sa cellule pour en faire un livre. Histoire d'une âme. Le texte n'avait pas tardé à contredire la moue frileuse des éditeurs parisiens : à l'aube du xxe siècle, des dizaines de milliers d'exemplaires en étaient déjà écoulés.
Commenter  J’apprécie          220
Pour qui s’est approché d’elle, que Thérèse est une guerrière est donc une évidence. L’objet du présent éloge est de contrarier les incrédules. Nous ne trahirons pas les cierges brûlés par ma grand-mère, ni la statue perchée sur les étagères des bistrots. Plusieurs, au cours des décennies passées, écrivains ou prédicateurs, ont prétendu « briser la statue » pour révéler la vraie Thérèse. Qu’il ait fallu taper, pourquoi pas : les idées reçues sont d’érosion lente. Mais on n’aplatit pas une montagne à coups de marteau. Et Thérèse est toujours là, dans les niches des chapelles, entre les bouteilles de calva, dans sa cape blanche et sous son voile noir, avec son sourire triste et sa croix qui ne fait pas peur. Le lyrisme poussiéreux de son langage xixe n’est plus goûté par grand monde. Des bigotes de moins en moins nombreuses continuent de la vénérer. Quelques railleurs (également décroissants) continuent de la prendre pour une godiche. La plupart l’ignorent.
Elle est toujours là, pourtant. Et à y repenser, la statue n’est peut-être pas si laide. Il faudrait essayer de la polir. Le sang des roses en sortirait plus rouge.
Commenter  J’apprécie          180
Aimer c'est tout donner et se donner soi-même.
Qui a un plus rude combat que celui qui travaille à se vaincre ?
Commenter  J’apprécie          00
Voici donc Thérèse. Elle peut nous inspirer dévotion, admiration, méfiance, dédain ou indifférence. Nous pouvons connaître ou pas son histoire, ignorer jusqu’à son nom. Mais tous, nous l’avons vue. C’est cette jeune fille de plâtre, blanche ou polychrome, bouquet de roses et crucifix entre les bras, voile sur la tête et guimpe pour lui encadrer le visage. On la trouve dans toutes les églises du monde, un parterre de bougies rouges à ses pieds. Des vieilles marmottent des prières en l’implorant du regard. Quand elle se fait plus petite, elle se niche dans les commerces, les cafés, derrière la caisse ou parmi les bouteilles du comptoir. Où qu’on la croise, on la reconnaît à sa mise austère, à ses bonnes joues, à son sourire ténu, un peu grave. Il ne faudrait pas la confondre avec celle qui ne se tient jamais très loin, dans sa robe blanche à ceinture bleue : la Vierge de Lourdes. Elles ont plus ou moins la même clientèle.
Thérèse, c’est la bonne sœur au bouquet de fleurs.
Et on peut décider de s’en tenir là.
Commenter  J’apprécie          60

Videos de Jean de Saint-Cheron (8) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean de Saint-Cheron
🎥 [400e ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE BLAISE PASCAL]
📌 « Pascal va nous aider à comprendre pourquoi nous cherchons le vrai et le bonheur sans y parvenir » 📌Jean de Saint-Cheron répond ici à trois questions : - En quoi Pascal est-il encore d’actualité ? - Comment la foi de Pascal peut-elle nous aider à trouver le bonheur ? - Comment Pascal, homme de science, concilie-t-il foi et raison ?
👉https://editions-salvator.com/philosophie/11503-voila-ce-que-c-est-que-la-foi.html
#Littérature #interview #essai #livre #édition #blaisepascal #science #foi #bonheur #culture #JeandeSaintCheron #anniversaire #clermontferrand #auvergne #joie #religion #catholique #chrétien #vidéo
+ Lire la suite
autres livres classés : sainteVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (55) Voir plus



Quiz Voir plus

Jésus qui est-il ?

Jésus était-il vraiment Juif ?

Oui
Non
Plutôt Zen
Catholique

10 questions
1833 lecteurs ont répondu
Thèmes : christianisme , religion , bibleCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..