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EAN : 9782800180441
120 pages
Dupuis (24/04/2015)
4.11/5   197 notes
Résumé :
L'île des Sables, un îlot perdu au milieu de l'océan Indien dont la terre la plus proche est à 500 kilomètres de là... À la fin du XVIIIe siècle, un navire y fait naufrage avec à son bord une "cargaison" d'esclaves malgaches. Les survivants construisent alors une embarcation de fortune. Seul l'équipage blanc peut y trouver place, abandonnant derrière lui une soixantaine d'esclaves. Les rescapés vont survivre sur ce bout de caillou traversé par les tempêtes. Ce n'est... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (57) Voir plus Ajouter une critique
4,11

sur 197 notes
Il y a quelques années, j'avais lu avec un vif intérêt Les naufragés de l'île Tromelin, un roman d'Irène Frain, dont l'histoire m'avait durablement marquée. Aussi, lorsque j'ai découvert les superbes planches de l'album de Sylvain Savoia, lors d'une exposition au Festival Etonnants Voyageurs à Saint Malo en mai dernier, j'ai souhaité découvrir très vite Les esclaves oubliés de Tromelin.
Il est impossible de rester insensible à ce récit documentaire et historique, il vous remue les tripes, vous entraine des tréfonds de la noirceur humaine jusqu'à la lumière…
« Tromelin, […] un îlot minuscule de l'océan Indien soumis au souffle puissant de l'alizé du sud-est et à la houle qui bat inlassablement le récif qui l'entoure. Près de cinq cents kilomètres la séparent de la terre la plus proche. C'est dans ce décor de matin du monde que c'est produit, au milieu du XVIIIe siècle, le naufrage de l'Utile, un navire de charge de la Compagnie des Indes orientales, qui fut suivi de l'abandon de quatre-vingts esclaves malgaches. Contre toute attente, sept d'entre eux réussirent à survivre pendant quinze avant d'être sauvés.
Cet épisode dramatique de l'histoire de la traite de l'esclavage émut les abolitionnistes, comme Condorcet et Bernardin de Saint Pierre. L'abolition sera décrétée une première fois en 1794, puis remise en cause par Napoléon avant que l'esclavage ne soit définitivement aboli par le décret Schoelcher en 1848. »
Sylvain Savoia a accompagné une campagne de fouilles sur l'île de Tromelin dirigée par Max Guérout. Cet archéologue et ancien officier de marine s'est entouré de différents spécialistes, professeurs d'archéologie, historiens, géomorphologistes. Sylvain Savoia alterne le récit de son séjour sur l'île avec la reconstitution des évènements tragiques vécus par les survivants du naufrage. Cela donne plus d'intensité et de relief aux difficultés rencontrées par l'équipe pour reconstituer la survie des esclaves sur l'île.
Je me suis passionnée pour les questionnements et les joies des recherches menées par cette équipe particulièrement motivée. Je me suis sentie bouleversée par la découverte d'ustensiles de cuisine, de bijoux, d'habitations, d'ossements humains, enfouis dans le sable. Surtout lorsqu'une démarche scientifique est rattrapée par l'émotion : « On ne perturbe pas le lieu de vie des ancêtres sans un minimum de respect. le sang de Sudel (un membre de l'équipe) dont l'arrière-grand-père milieu a été emmené à La Réunion en tant qu'esclave, le rend sensible à cette « profanation ». Une cérémonie improvisée se déroule au milieu du chantier. La réserve de rhum n'est pas tout à fait épuisée et Joël a un CD de musique traditionnelle malgache. Excusez-nous ancêtres les Vazamas. Nous ne voulons pas vous déranger mais seulement faire notre travail en vous permettant de revivre et de rester près de nous »
Les esclaves oubliés de Tromelin ont retrouvé leur dignité.
Je remercie chaleureusement les Editions Aire et Babelio pour ce partenariat.




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1761. « L'Utile », un vaisseau de la Compagnie des Indes commandé par le capitaine Lafargue, fait naufrage sur une petite île perdue de l'océan Indien. Cette île, aujourd'hui placée sous la responsabilité des Terres australes et antarctiques françaises, c'est celle de Tromelin, située à plus de 500 km de la Réunion et dont la superficie totale est de.... 1km². L'histoire du naufrage est bien connue, et la suite également : l'équipage parvient rapidement à mettre à l'eau un navire de fortune construit avec les débris de l'ancien, mais refuse de laisser monter à bord les esclaves ayant survécu, promettant de revenir les chercher. Évidemment, personne ne revient, si bien que les quatre vingt esclaves toujours debout doivent se résoudre à survivre sur ce bout de caillou inhospitalié, attendant désespérément les secours pendant des semaines, puis des mois, puis des années. Quinze ans plus tard, un navire est finalement dépêché sur l'île et, à la surprise générale, plusieurs survivants sont secourus : sept femmes et un bébé de quelques mois. C'est à ce tragique fait divers particulièrement révélateur de l'atrocité de la traite négrière que Sylvain Savoia a décidé de consacrer ce magnifique roman graphique remarquablement scénarisé, documenté et illustré. L'ouvrage se distingue d'abord par l'originalité de sa construction, puisqu'il alterne entre des chapitres se déroulant au XVIIIe siècle et mettant en scène la jeune Tsimiavo, embarquée comme esclave à bord de L'Utile, et d'autres prenant place en 2008, date à laquelle l'auteur s'est vu convié à une mission archéologique menée par Max Guérout (archéologue et ancien officier de marine) sur l'île Tromelin Ainsi, le roman graphique nous permet non seulement de découvrir le récit des épreuves endurées par Tsimiavo et ses compagnons d'infortune, mais aussi celui des toutes dernières découverte réalisées par les scientifiques et historiens sur le sujet.

L'alternance des deux récits et des deux époques est des plus saisissante et renforce l'impression d'avoir été conviés à entreprendre un véritable voyage dans le passé. Grâce aux recherches effectuées sur place, l'auteur reconstitue chapitre après chapitre ce qu'a du être la survie de ces esclaves sur cette île désertique, mettant non seulement en lumière la cruauté dont firent preuve les Blancs, mais aussi et surtout les formidables capacités d'adaptation de ces hommes et femmes qui, bien que livrés à eux même dans un environnement hostile, parviendront à mobiliser des trésors d'ingéniosité pour survivre, et même reconstruire une petite société. Connaître le fin mot de l'histoire ne nous immunise pas contre les émotions que l'on partage avec les naufragés, qu'il s'agisse du désespoir ou de l'excitation : on suit ainsi avec fébrilité leurs vaines tentatives de s'échapper (quand bien même on les sait vouées à l'échec) et on assiste avec compassion à la disparition progressive de tous leurs espoirs. le récit est, évidemment, fort bien documenté, non seulement grâce aux découvertes réalisées sur place par Max Guérout et son équipe, mais aussi grâce aux sources écrites retrouvées depuis et qui nous en apprennent un peu plus sur l'enchaînement des événements (un récit du naufrage par l'écrivain du navire, les cartes utilisées, un texte écrit après le sauvetage des survivants...). Un dossier de plusieurs pages présent à la fin de l'ouvrage et écrit justement par l'archéologue permet d'ailleurs de retracer tout le périple de ces esclaves et de faire le point sur ce que l'on sait et ce qui a pu être rajouté ici pour le bien de la narration. Les graphismes varient pour leur part en fonction de l'époque, de même que la mise en page et les couleurs qui se veulent plus flexibles et plus ternes lors des passages au XXIe siècle. L'effet est là encore des plus réussi, chacun de ces deux styles mettant l'accent sur un aspect différent du récit : l'émotion dans le cas de Tsimiavo, l'analyse dans celui de l'artiste.

Toutes les informations réunies jusqu'à présent sont évidemment le fruit de minutieuses recherches auxquelles on assiste donc également grâce aux chapitres mettant en scène l'auteur lui-même. La méthode se révèle très efficace pour impliquer davantage le lecteur et avait déjà fait des merveilles dans les deux ouvrages d'Emmanuel Lepage qui a lui aussi mis en scène ses propres voyages aux « îles de la désolation » d'abord, et en Antarctique ensuite (il mentionne d'ailleurs lors d'un passage le cas de l'île de Tromelin). L'auteur nous décrit évidemment ici l'avancée de la mission scientifique, mais ce qui intéresse aussi et surtout le lecteur, se sont les sensations qu'il a pu éprouver sur place : un mois et demi sur une île déserte, avouez qu'on s'est tous un jour demandé à quoi cela pouvait bien ressembler ! Il se dégage des textes de l'auteur beaucoup d'émotions et certaines scènes sont tout bonnement bouleversantes : l'aperçu de l'ancre échouée de « L'Utile » dont un morceau dépasse encore des flots, la découverte de squelettes humains datant de cette période... Heureusement, le ton adopté par Sylvain Savoia sait aussi se faire plus léger, notamment lorsqu'il tente de relativiser les difficultés rencontrées sur place et auxquelles on ne pense pas du tout lorsqu'on image un voyage à l'autre bout du monde : les bernard-l'hermites qui pullulent sur toute l'île, la chaleur insoutenable, les oiseaux très peu effarouchés par l'homme... C'est sur ce second point que le roman graphique rejoint à nouveau les ouvrages de Lepage, dans le sens où il lève lui aussi le voile sur une partie du monde dont on ignore tout, ainsi que sur les travaux de recherches et de préservations réalisés sur place par les chercheurs, météorologues, archéologues... L'auteur prend ainsi le temps de présenter en détail chacun des membres de la mission, ainsi que leurs rôles et leur caractère. Il dépeint également par le menu les paysages de l'île, sa faune, sa flore, de même que les dangers qui menacent aujourd'hui sa biodiversité.

C'est un très bel hommage que Sylvain Savoia rend ici à ces esclaves oubliés de Tromelin que l'auteur place au coeur des deux récits et des deux époques qu'il met ici en scène et qui s'entrelacent avec brio. Un ouvrage magnifique et incroyablement documenté dont vous ne devez absolument pas passer à côté !
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Les esclaves oubliés de Tromelin, raconte le naufrage de l'« l'Utile », navire de la compagnie française des indes orientales, en 1761.
Il s'échoue sur un ilôt de sable, où la survie tient du miracle. Et pourtant, les esclaves embarqués frauduleusement sur ce navire, vont y être abandonnés.
Une équipe archéologique revient sur les lieux de ce triste témoignage de la traite négrière.

Beaucoup d'émotions dans cette BD, où l'histoire alterne entre les deux époques. Ces esclaves retrouvant leur liberté, leur dignité, mais abandonnés à leur triste sort, se battent pour rester en vie. Il ne faut pas oublier leur courage, leur formidable adaptation à ces conditions de vie précaires

« Il faudra bien se souvenir »

C'est ce que l'on peut faire en lisant cette BD aux dessins magnifiques. On comprend l'isolement et l'émotion qui submergent l'équipe. Un monde où les hommes ne semblent plus exister, où le temps s'arrête…

« Mon monde est limité à mes sens, ce que je vois, ce que j'entends, ce que je sens. Au-delà de cette grande ligne d'horizon, c'est une notion floue, plus une idée qu'une réalité. Même s'il y a des gens que j'aime, ou qui m'aiment, une multitude de choses à vivre et à découvrir, ça a autant de consistance qu'un rêve qui se délite. Je me pose des questions sur ce sentiment. Est-ce que c'est du à cet isolement ? Une décompression ? La perte des repères ? À moins que je ne commence à perdre les pédales .. »

Merci à Sylvain Savoia, aux Editions Air Libre et à Babelio pour ce bel ouvrage qui ressemble à une légende, mais qui malheureusement et honteusement est une histoire vraie.

( L'exposition « Tromelin, l'île des esclaves oubliés » sera présenté au château des Ducs de Bretagne / Musée d'histoire de Nantes du 17 octobre 2015 au 20 avril 2016. L'itinérance l'amènera à Lorient, Bordeaux, Bayonne et Marseille.)
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Les esclaves oubliés de Tromelin. Je ne connaissais pas cette histoire. Celle du naufrage d'un navire de la compagnie des indes en 1761 sur un ilot désolé de l'océan Indien. 80 esclaves vont y survivre dans des conditions terribles, 15 ans plus tard l'équipe de sauvetage ne ramènera que 8 rescapés...

Un témoignage poignant, vibrant d'émotion, que nous découvrons à travers cette bande dessinée. Nous suivons le destin tragique de Tsimiavo, jeune négresse devenue esclave et qui s'échouera avec ses compagnons d'infortune sur ce banc de sable et de corail qui sera baptisé plus tard Tromelin. Avec elle nous découvrons les conditions difficiles avec lesquels ils doivent vivre : la cohabitation avec les blancs puis leur abandon sur l'ile par ceux ci. Ils avaient promis de revenir mais jamais personne ne viendra. Alors il faut faire avec la chaleur, les cyclones, l'eau insalubre et le manque de nourriture. Avec le désespoir aussi qui s'installe dans le coeur des esclaves en même temps que la mort décime leur groupe de naufragé.

A côté de cela nous suivons l'équipe archéologique qui étudie les traces de l'occupation de l'ile par ces esclaves. Sylvain Savoia y découvre en même temps l'histoire et cette ile oubliée. Il tient comme un journal de bord sur leur mois passés sur l'ile à faire des fouilles. J'avoue avoir moins accroché à ces passages que ceux racontant les mésaventures des esclaves. Il y a beaucoup de poésie, et découvrir le travail archéologique est intéressant mais il faut bien dire qu'il ne se passe quand même pas grand chose. Ce qui entraine certaine longueur.

Le dessin est excellent. Aquarelle sans case délimitées pour le journal de bord de Sylvain Savoia, et une présentation plus classique pour les esclaves de Tromelin.

Une belle BD témoignage à découvrir.
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C'est le récit croisée d'une expédition de fouille en 2010 et de la survie de naufragés de 1761 du navire « l'Utile » de la Compagnie des Indes sur un caillou désertique, isolé de tout : l'île de Tromelin au large de Madagascar et de la Réunion.
C'est une BD fiction documentaire très bien faite, les dessins sont simples, mais l'histoire crée l'empathie pour les deux époques et respecte l'histoire. C'est passionnant, émouvant, historiquement réel, et surtout c'est un très beau témoignage de vie de ces naufragés et aussi de ceux qui partent à leur recherche à travers l'archéologie 250 ans après.
J'ai été très touchée par ces hommes et ces femmes, qui se retrouvent bien malgré eux, malmenés d'abord par les hommes, puis ensuite abandonnés à leur triste sort.
BD très édifiante sur un drame très peu connu.
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critiques presse (8)
Sceneario
16 mai 2019
Cette lecture m'avait bouleversé et je suis depuis resté marqué par cette époustouflante et dramatique aventure.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Actualitte
09 mars 2017
Rarement tous les ingrédients se combinent pour atteindre ce niveau d’interpénétration d’un ouvrage, d’une histoire, d’un moment historique fort.
Lire la critique sur le site : Actualitte
LeDevoir
10 août 2015
L’archéologie peut croiser le chemin de la bande dessinée et donner quelque chose de très beau, comme ce récit qui, en se promenant entre présent et guerre de Sept Ans (1756-1763), retrace le destin tragique d’une poignée d’esclaves oubliés, à la suite d’un naufrage, sur un bout d’île hostile d’à peine 1 km2, au milieu de l’océan Indien.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
BoDoi
01 juillet 2015
Les Esclaves oubliés de Tromelin retrace avec une minutie remarquable l’esprit de quête de l’équipe de recherches.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Auracan
03 juin 2015
On s'attache aux pas de l'auteur, hésitant au départ de cette expédition, mais qui nous en dresse un méticuleux journal de bord tout en illustrant une histoire qui vous prend aux tripes.
Lire la critique sur le site : Auracan
BDZoom
30 avril 2015
Eblouissant d’humanisme et de virtuosité graphique.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Sceneario
28 avril 2015
Un incroyable album, servi par des dessins magnifiques, plein de vie et d'un doux réalisme !
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
24 avril 2015
Réaliste jusque dans la restitution du sentiment d'immuabilité, les esclaves oubliés de Tromelin offre un approche proche du documentaire à une tragique histoire de survie.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
Tsimiavo, tu es comme la fleur cachée sous l'herbe. C'est lorsqu'elle est piétinée qu'elle révèle son parfum enchanteur.
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Si la douleur vous empêche de lever la tête, que la dignité vous épargne au moins de courber l'échine !
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Un dessinateur c'est un voyageur de canapé.
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Pour Bossuet, grand théologien catholique du siècle précédent, condamner l'esclavage serait une condamnation du Saint-Esprit qui ordonne par la bouche de Saint Paul que les esclaves demeurent en leur état. Il est beau l'amour du prochain.
Les étrangers à l'occident font, eux et leur civilisation, l'objet du plus profond mépris. Et si la conscience gratte un peu, on la calme avec l'idée qu'il vaut mieux être esclave et chrétien que libre et païen.
Jusqu'au milieu du XIXème siècle, les abolitionnistes n'ont été qu'une minorité en Europe.
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Depuis 1642, La Réunion est un territoire français. En 1665, cet endroit magnifique, épargné de la fureur des hommes est devenu une "colonie de peuplement et de rapport". L'introduction de l'homme au paradis, une maladie mortelle responsable de la transformation de l'oiseau le plus répandu en mascotte de bière comme unique témoignage de son existence, et de l'importation massive et continue d'esclaves malgaches, africains et indiens pour la "mise en valeur" de l'île.
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