Perplexe , et pas qu'un peu voilà mon ressenti .D 'entrée avant même le début du bouquin la préface d'
Edward Limonov pose question se monsieur était- t il ivre ? drogué ? bon pour l 'asile , simplement exalté ? mystère Donc dans ces quelques pages on apprend que les 3 dirigeants d un groupe littéraire russe " Top Secret "dont l auteur du livre j . Semenov auraient été assassiné au début des années 90, Bon! enfin bon ? je veux dire bizarre comme introduction Une petite recherche sur l inévitable Wikipédia et on apprend que le dit Liminov dcd en 2003 a été candidat à l élection présidentielle en Russie est l un des fondateurs du parti national bolchévique a tenté un coup d'état .Et j'y insiste le roman n est pas commencé, ça démarre fort si ?J' avais lu que Semenov était le John Lecarré Russe et son héros Maxime Issaiev colonel Tchékiste ( alias Otto von Stierliz maître espion LE James Bond Soviétique ).Alléchant !! ben on en est loin donc sur le fond une sordide histoire de trafiquants de bijoux , d'or etc menée par des pontes du service chargé de se procurer des fonds à l étranger pour nourrir les soviétiques au début des années 20. Mais ce qui est supposé être l enquête se résous en une trentaine de pages disséminées dans les 426 du pavé , le reste des digressions sur la culture Russe , les écrivains Russes , les difficultés à vivre en Russie, la philosophie Russe , les états d'âme des Russes Les émotions des personnages qui sont absolument TOUS torturés du ciboulot , se posent éternellement des problèmes insolubles en picolant comme des trous .A raconter leurs drames sociaux et humain au premier venus en pleurant , mais vraiment en pleurant à grosses larmes , la tête sur l'épaule de ces innocents témoins de leurs chagrins divers et variés , pour le 007 de sovpédie il faudra sans doute attendre la traduction d'autres oeuvres de l auteur car là ce n est qu'une pâle ébauche .Bref je propose l 'appel aux mânes de toton Sigmund pour tenter de sauver une partie des personnages ...... mais est ce possible ? Enfin le récit est parsemé de renvoi en bas de pages sur de réels hommes politiques de l'URSS avec cette mention "fusillé en .."et une bonne vingtaine de fois ,comique de répétition de Papa Joseph Djougachvili . Vous qui avez la patience et la gentillesse de me lire vous avez compris vu la longueur inusité de mon grigri que le mot perplexe du début s'explique Est ce de la littérature Russe à laquelle je n 'ai sottement rien compris ? L'âme slave transparaît elle dans ces personnages que je n ai pu comprendre ? Peut- être l un de vous voudra t il bien m'éclairer Bon les amis j 'arrête là à +