Kate Shugak, détective privée, fait partie de la communauté des Natifs d'Alaska. À la mort de ses parents, Kate a été élevée par Old Sam, son grand oncle, personnage important du village qui, à sa mort, en fait sa légataire et exécutrice testamentaire. Kate est loin de se douter que cette mission deviendra, en quelque sorte, une partie de cache-cache aux trésors semée d'embuches et de morts. Son associée veille sur elle, ne la quitte pas d'une semelle, Mutt et Kate forment un duo exceptionnel, Mutt est une louve ! Quand à Sam Démentieff, feu son oncle, il a reçu son sobriquet de Old Sam pendant la guerre 1940-1945 auprès des aléoutes de la redoutable compagnie des Égorgeurs de Castner dont il est un des vétérans.
Dana Stabenow s'est documentée avec sérieux et avec le personnage de Kate Shugak nous fait découvrir certaines coutumes et caractères du peuple des aléoutes.
Ce livre est un coup de coeur dès lors il me plairait de suivre les prochaines enquêtes de Kate.
Je remercie les éditions Delpierre pour cet ouvrage de qualité et Masse critique Babelio.
De temps en temps, il m'arrive d'acheter un livre sur une simple impulsion . Dans le cas de ce livre, j'avoue que c'est sa couverture qui m'a dans un premier temps séduite. En effet, cette simple photo d'une baleine m'a fait voyager immédiatement dans des zones où la faune est encore un tant soit peu préservée.Le résumé en quatrième de couverture m'a lui donné envie de lire rapidement ce livre. Et comme je commençai ma période de congés...
Je ne connais pas grand chose à l'Alaska, qui pour moi est surtout synonyme de grand froid.
La,avec La mémoire sous la glace, on se retrouve non seulement en train de lire un excellent policier, mais on découvre aussi les spécificités d'un état des USA très particulier.
J'ai tout de suite craqué pour l'héroïne de ce livre, Kate Shugak, détective affublée d'un , enfin d'une partenaire qui a du chien !! En effet, moi qui suis une fan depuis toujours de la gent canine, comment résister à Mutt, le chien-loup de Kate ? J'adore ce duo !!
J'ai découvert avec surprise que ce bouquin, même s'il est le premier à être traduit en France, est en fait le dix-huitième volet des aventures de Kate....Euh...??? Non mais allo quoi !! Pas étonnant que je ne comprenne pas toujours toutes les imbrications des différents personnages qui côtoient Kate !! Bon, en tout cas, il semble qu'il y en ai encore trois autres de livres de cet auteur traduits en français, dont un en poche et qui se trouve présentement sur ma table de nuit...Alors je ne vais pas bouder mon plaisir...
On va découvrir Kate en deuil de son grand-oncle et elle va découvrir que finalement, elle ne le connaissait pas si bien que cela...
Challenge Pavés 2016/2017
Expérience étrange de commencer une série au numéro 18 ! C'est en fait ce tome, "la mémoire sous la glace", le 18ème opus des aventures de Kate Shugak, qui commence, si j'ai bien tout compris, la traduction en français.
Comme j'ai eu la joie et le plaisir de passer deux semaines de vacances en 2014, j'ai une tendresse particulière pour cet état américain qui ne ressemble en rien à ce que je connaissais des USA. C'est une sorte de far west, sauvage, avec des quads un peu partout, des panneaux "no shooting" qui servent de cibles, bref, un monde à part. Voir un orignal traverser la rue, c'est quelque chose, ces animaux sont plus grands que des chevaux.
Tout ça pour dire que j'ai adoré ce premier tome en français, que j'ai dévoré, même si on y trouve une galerie de portraits qui visiblement ont agrémenté les 17 tomes précédents.
Donc Kate, une native, qui a un passé dans diverses institutions de l'Etat alaskien, se trouve à mener une enquête sur la vie de son grand oncle qui vient de décéder. Quid de l'icône russe disparue ?
Quand je pense que c'est parce que j'étais en panne de lecture, que j'ai découvert cet auteur et ce livre au CNIT, j'avoue que je ne m'imaginais pas passer autant de plaisir dans ce livre.
J'encourage le lecteur en manque de grands espaces et de grand froid à s'inscrire dans les pas de Kate et de Mutt !
J'étais extrêmement enthousiaste de découvrir ce roman. Une histoire se passant en Alaska, parfait pour se dépayser, et un thriller de surcroît. Autrement dit, un roman qui promettait d'être lu en un rien de temps ! Ce ne fut pas le cas. Quand j'ai vu arriver ce pavé, je me suis dit que finalement il prendrait un peu plus de temps que prévu. Mais j'avoue que je ne m'attendais pas à le lire en plus d'une semaine.
Cette lecture lente n'est pas le fait de l'histoire en elle-même. Elle est intéressante et intrigante, tout comme le promettait le résumé. En plus, l'intrigue policière a le mérite d'être parfaitement maîtrisée et réellement solide. Mais oui, j'ai bien dit « policière ». de là à le qualifier de thriller, non. Car ce livre souffre tout de même de sacrées lenteurs…
Dans un thriller, on n'a pas le temps de reprendre son souffle, de s'ennuyer, voire même de réfléchir. Un thriller est censé nous mitrailler, doit contenir du suspense. Là, on a bien le temps de se faire nos propres suppositions et on voit le temps passer lors des nombreuses longues descriptions de l'histoire… J'ai adoré apprendre toutes ces choses sur la vie des Natifs alaskiens, mais j'aurais aimé être un peu plus débordée d'informations ou bien être submergée par l'action. Et si possible, pas toujours les mêmes actions : une agression, ça passe… La deuxième, ça fait déjà répétitions… À la troisième, ça suffit !
Eh bien, non. Là, j'avais des périodes où il y avait de l'action et où les pages se tournaient vite, et d'autres (hélas plus longues) où je regardais le numéro de la page, pour savoir si j'avais avancé ou pas. C'est dommage car, je le répète, l'histoire est bonne, les personnages très travaillés, surtout Kate, évidemment. Et même si j'ai adoré le duo Kate/Mutt, je n'ai pour ma part pas été emballée… Tant pis !
Un polar en Alaska.
Kate, détective privé, part à la recherche d'un bien familial sous forme de chasse au trésor.
Intrigue bien mince mais agrémentée de l'Histoire de l'Alaska et aussi de sa géographie.
Beaucoup de bavardages et le personnage principal est peu crédible.
Le modèle probable est sans doute Lisbeth Salander mais on en est bien loin.
Bref pas terrible ce polar venu du froid.
Seul avantage : la taille moyenne des chapitres m'a permis d'en lire un par trajet. On se console comme on peut…
Roger-Jon Ellory : " **** le silence"