Patrick Senécal

Mon second roman de l’auteur. Une seconde plongée progressive dans l’horreur. Suivre le cheminement vers les ténèbres d’un père dévasté par la perte de son enfant tout en se demandant de quel côtés de la barrière l’on se place. Même une fois le livre refermé je l’ignore toujours mais une chose est sûre je lirais à nouveau des livres de l’auteur

Cette nouvelle est un épisode de sa série Tv. J'avais beaucoup aimé cette épisode avec son côté horrifique et mystérieux. Quand j'ai lu cette nouvelle, j'ai remarqué que l'histoire écrite est encore plus terrifiante que en série Tv. Une bonne nouvelle qui fais peur.

Une nouvelle qui se lit vite sur un rite de passage enfant à l'adolescence et sur un déménagement que l'enfant veut pas faire. Son père Patrick trouve cette idée pour encourager le changement dans la vie de son fils. Un beau lien familial entre les deux.

En quelques heure, la vie de Carl Mongeau, la cinquantaine, propriétaire du bar le Lindsay à Drummondville, bascule dans l’horreur. Une énième chasse à lhomme romancé me direz-vous ! Certes, mais lorsque ledit récit émerge de l’imagination fertile de M. Senecal, force est de constater que le lecteur est plongé dans une autre dimension. D’une part, les références à ses autres écrits sont légion, notamment le fabuleux Hell.com, ses personnages sont savoureux (mention spéciale à la poignée de tueurs du dimanche) et le rythme reste incroyablement soutenu. C’est loin d’être son meilleur livre, mais sa lecture s’avère franchement distrayante.

Fan de Patrick Sénécal, évidemment que ce livre est un coup de cœur. Excellent thriller, horreur comme je les aime, et mon dieu, ça fait peur! Histoire inventée, mais j'ai l'impression que ça arrive pour vrai… Attention âme sensible. Moi, j’ai adoré!

Un de mes livres favoris! C'est le premier livre dans ce genre que j'ai lu (au secondaire) et il m'a donné la piqure de la lecture. Je suis une fan de Patrick Sénécal et je conseille souvent ce livre à mes proches et aux clients de mon lieu de travail (bibliothèque publique).

Livre qu'on m'a fortement conseillé, je me régalais d'avance de lire ce pavé

force est de constater que j'ai perdu mon temps;mal écrit, sans originalité ni dans la construction de l'histoire ni dans les personnages

le soi-disant mélange des chapitres bluffant ne l'est absolument pas car on arrive très bien à suivre la chronologie de l'histoire

Bref beaucoup de temps perdu

Relecture de cette série dans mon cas après plusieurs années. J'ai tout lu de Patrick Senécal et depuis la série Malphas, je recherche toujours cette dose d'humour déjantée dans chacun de ses romans mais faut se rendre à l'évidence que c'est vraiment avec cette série qu'il s'est laissé aller. En même temps, avec Senécal, on ne sait jamais où il nous amènera. Gore, fantastique, spirituel, humour noir, journal intime d'une psychopathe, livre de 100 pages écrit à la deuxième personne et constitué d'une seule longue phrase sans ponctuation, c'est une surprise à chaque fois.



Le scénario ne fera pas l'objet de longues analyses littéraires. Julien Sarkozy est un professeur de français au cegep qui après une énorme bourde, se voit obligé d'aller enseigner dans le seul établissement qui veut encore de lui : le cegep Malphas à St-Trailouin, une bourgade de 12000 habitants perdue quelques part au Québec (aucun indice ne laisse supposer où ça peut être). Dès son premier jour, un cadavre bien juteux est découvert dans le casier d'une élève et encore un autre le lendemain. Que se passe-t-il dans cette école où un nuage sombre plane au-dessus de la mezzanine, où une odeur infecte se fait sentir sans arrêt et où une mystérieuse porte en acier est cachée dans le sous-sol lui-même interdit d'accès? Et pourquoi le directeur semble plus intéressé à faire du scrapbooking que de s'occuper des meurtres? Et c'est quoi ce nom, Malphas? Julien s'associera au rédacteur du journal étudiant, Simon Gracq, qui doit bien fréquenter le cegep depuis 8 ans et dont le parler a de quoi donner des maux de tête douloureux au crâne 😏



Malphas fait donc parti de ce "one shot deal" où on sent que l'auteur a voulu s'amuser et pondre un scénario complètement absurde avec des personnages qui le sont autant avec des stéréotypes aussi évident que le soleil qui se lèvera demain. Une anorexique qui a des visions en fumant un joint, un sorcière alcoolique, un policier à gros biceps qui se croit le roi du village, tout y passe et oui, certains pourraient y voir des allusions racistes mais personnellement, tous les personnages sont risibles. Fidèle à lui-même par contre, sa facilité à manipuler la langue française est encore succulente avec nombre de comparaisons et références humoristiques et sans oublier son personnage de Gracq qui est une figure de style à lui-même. Si vous aimez déconnecter de temps à autres avec un scénario de série B et que les références au sexe, drogue et alcool dans un contexte puéril ne vous dérangent pas, cette série est pour vous, et ce n'est pas péjoratif.

Patrick Senécal est un auteur bien connu outre-Atlantique, mais qui peine à se faire une place dans l’hexagone. Pourtant, les québécois ont toujours défendu la langue française. Il aura fallu une timide parution par les Éditions Bragelonne pour que nous puissions découvrir cet auteur. J’ignore si ce livre est représentatif de son œuvre, ce que je n’espère pas. Je viens de voir que Pocket a édité « Les 7 jours du Talion » en 2021.



C’est ma deuxième tentative avec ce livre. Je m’étais arrêté au premier tiers. Cette fois-ci, je suis allé plus loin (environ 2 tiers) pour le refermer définitivement. Rien ne me donne l’envie de poursuivre. À commencer par l’écriture, Patrick Senécal a choisi la narration à la première personne, sauf que l’interlocuteur est antipathique, déprimant, sans charisme. L’auteur a juste juxtaposé un policier blasé de son métier par un psychiatre tout aussi lassé de la vie. Bien que je n’aime pas trop la narration à la première personne, quand c’est bien écrit, ça passe, mais là, à lire les actions réplétives et les états d’âme du personnage principal, ça m’ennuie et je ne trouve rien d’intéressant. Par ailleurs, son métier de physiatre aurait pu être intéressant dans son enquête, mais j’ai plus l’impression qu’il s’agit d’un enquêteur qu’un médecin, car il analyse bien peu les traits psychologiques.



Ce livre n’a rien d’original. On trouvera un journaliste de presse people qui fouille la vie de l’écrivain, un air de déjà-vu avec le personnage de Smithback (cycle Pendergast de Douglas Preston & Lincoln Child). Il reste l’horreur, assez gore, mais ici, on est dans le contemplatif et non l’action, ce qui est bien dommage. Ce livre ravira davantage les fans de polars psychologique, ce qui n’est pas mon cas.



Ce livre est daté. Écrit en 1998, les ordinateurs utilisent des disquettes. Les vidéos se visionnent avec des cassettes.



Les expressions québecoises sont les bienvenues et agréables à lire. On notera que le psychiatre dans le secteur public (narrateur) a la cinquantaine et va prendre sa retraite. Une carrière courte quant on sait qu’il faut 10 ans pour devenir psychiatre. Et nous, pauvre français devront attendre nos 64 printemps pour prendre un repos mérité :D

Le Vide" de Patrick Senécal est un roman absolument captivant, qui plonge le lecteur dans un tourbillon d'émotions et de suspense. L'écriture de Senécal est à la fois puissante, fluide et percutante, ce qui rend la lecture de ce livre particulièrement prenante.



L'intrigue de "Le Vide" est ingénieusement construite. L'auteur nous entraîne dans l'univers sombre et mystérieux de son protagoniste, un homme qui traverse une crise existentielle profonde. Senécal parvient à retranscrire de manière magistrale les doutes et les angoisses de son personnage principal, et offre ainsi une réflexion poignante sur la nature humaine.



Ce qui est particulièrement remarquable dans ce roman, c'est la maîtrise avec laquelle l'auteur dose le suspense. À chaque page tournée, on est happé par les rebondissements, les retournements de situation, mais aussi par l'atmosphère pesante qui se dégage de l'histoire. Senécal parvient à maintenir une tension constante, ce qui rend la lecture immersive et addictive.



Les personnages de "Le Vide" sont également très bien développés. Chaque protagoniste est complexe, doté de ses propres motivations et secrets. On s'attache rapidement à eux, et on se prend à espérer qu'ils trouveront une issue favorable à leurs tourments. L'auteur explore avec brio les facettes les plus sombres de l'âme humaine, sans pour autant tomber dans le cliché ou la caricature.



Enfin, la plume de Patrick Senécal est un véritable régal pour les amateurs de belles lettres. Les dialogues sont percutants, l'écriture est incisive et visuelle. L'auteur parvient à créer des images saisissantes, à travers des descriptions détaillées et des métaphores habilement choisies. On se laisse emporter par sa prose, et on visualise les scènes avec une intensité rare.



En conclusion, "Le Vide" de Patrick Senécal est un roman à la fois brillant et captivant. Bien écrit, doté d'une intrigue habilement construite et de personnages complexes, ce livre ne laissera personne indifférent. Les amateurs de suspense et de réflexions profondes trouveront dans "Le Vide" une lecture riche en émotions et en sensations, qui ne les laissera pas indemnes

Oui un autre Senécal mais ce coup-ci un thriller. Le pseudo-héros de ce roman est un écrivain en devenir. Encore à potasser son premier roman noir. Pour gagner sa vie il enseigne le français à droite et à gauche. Et aussi dans un pénitencier pour femmes à Joliette. Pour intéresser sa classe à la littérature, il suggère d'écrire des nouvelles. C'est là que Michaël rencontre pour la première fois Wanda. Celle-ci souffre d'une absence totale d'émotions. Mais là elle découvre l'écriture... Elle capote! Elle ressent enfin quelque chose.



Elle purge une peine pour meurtre de son ex-conjoint...



Michaël a un problème: les scènes violentes dans son manuscrit ne sont pas convaincantes. Mais vraiment pas!



En lisant la nouvelle de Wanda il capote! Elle décrit très en détail le meurtre de son ex-conjoint. L'écrivain n'en revient pas... Une telle violence... Il s'inspire de la nouvelle pour ajouter du réalisme à la première scène de meurtre de son roman.



Il félicite la détenue. Elle adore Michaël! Enfin des émotions... Elle écrit d'autres nouvelles. Cela décrit deux autres meurtres...



Là l'écrivain capote car ces deux meurtres ont déjà eut lieu mais la détenue n'a jamais été poursuivie pour ceux-ci. L'écrivain aurait dû raconter le tout à la direction de la prison. Mais Wanda le menace si il fait cela. Il se dit que de toute façon elle a quand même payé pour un premier meurtre. ...et naturellement il s'inspire des deux autres meurtres pour son manuscrit.



Il a terminé sa session et il est en vacances pour l'été. Il envoie son manuscrit à un éditeur. C'est un immense succès!



La célébrité... Les salons du livre... Mariage... Grosse maison... Sa femme l'encourage à écrire à temps plein.



Six ans plus tard... Trois romans plus tard... Mais il ne réussit plus à écrire comme dans son premier roman. La magie de Wanda n'est plus là! Bon c'est certain qu'il vogue sur le succès de son premier roman mais il périclite!



Ce qu'il ne sait pas c'est que Wanda a enfin terminé sa peine. Michaël a peur de sa réaction. Après tout il a beaucoup copié les meurtres de Wanda pour son premier roman. Comment réagira-t-elle?



Elle le rencontre finalement... Elle déborde de bonheur de voir le succès de Michaël. Mais elle n'est pas folle (quoique): elle voit bien que ses nouveaux romans sont loin derrière le succès du premier.



Sa folie? Retrouver son partenariat avec Michaël. Elle va tuer de nouveau et elle veut que Michaël s'inspire d'elle pour ses romans. À lui le succès, la gloire... Elle se contentera d'éprouver des émotions.



Wanda est vraiment brillante. Une génie du mal! Elle a tous les éléments pour faire chanter Michaël et ne s'en prive pas. Celui-ci ne peut pas prévenir la police sans se dénoncer lui-même.



Wanda le force à assister à des meurtres...et même à y participer! Elle s'en prend à ses proches.



Elle continue de le tenir sous sa coupe!

Je vient de finir le livre et je suis très mitigé. L’intrigue en sois est très bon mais le fait qu’elle sois racontée par une enfant de 8 ans fait que cela gache le roman. Oui cela rajoute une sorte de personnalité différente compte tenue du fait que c’est un enfant qui l’écrit mais il y a beaucoup de repetition et ça devient vite ennuyant... Je trouve que le livre aurait pus être écrit en 200 mots au lieu de 400 mais malgré tout la fin est très bonne. Les livres de notre cher patrick sénécal me surprendront toujours. Si vous aimez les livres gore vous allez adorer. Le roman décrit l’esprit tordue de Florence, une vrai psychopathe qui as aucun sens de l’ampathie et on a l’impression de vraiment être dans le personnage d’un psychopathe

Sénécal a le tour pour nous mettre mal à l'aise un livre durant que ce soit par "la peur de ce qui s'en vient" ou en jouant avec les limites de la morale et en nous faisant nous questionner sur celle-ci... C'est avec ce dernier élément que l'auteur nous triture dans Faims et que dire de la Fin ! J'ai littéralement dévoré !

***Je mets seulement 3* car comme à son habitude, Sénécal ne va pas au bout des questions morales qu'il pose. Il ne fait que les soulever sans les résoudre. Quand je le lis, j'ai parfois l'impression qu'il ne cherche qu'à provoquer...

Ce livre est pour moi le meilleur de Patrick Senécal. L'idée de faire Alice au pays de merveilles version dark est incroyable. Dès qu'on commence ce livre ,on ne le lache plus et on est pris dans une atmosphère très étrange et particulière. Aliss est un personnage très intéressant et mon préféré est Chess. Plusieurs scène sont inssupportables tellement elles sont dégeulasses. Lorsque qu'on apprend enfin la bonne question,le livre a un sens et c'est très philosophique. Le livre parle de sujets assez lourd, alors ne mettez pas ce livre entre de mauvaises mains... Bons frissons!

😨 Noir

En trois mots : vengeance - séquestration - violent



« Il est devenu trop humain. Il n’y a pas plus monstreux. »



➡ Âmes sensibles s’abstenir ! Le thème de base est émouvant mais extrêmement dur, tout comme l’ensemble du roman. Et parfois même très détaillé... J’ai dû sauter quelques paragraphes à plusieurs reprises.



« Comment pouvait-il y avoir une telle émotion dans les yeux d’un enfant ? Celui qui avait fait ça n’avait pas seulement tué sa fille, il lui avait détruit l’âme. »



➡ Le sujet de la vengeance, quand il est bien amené et tient la route, me plait beaucoup. Ici, la descente aux enfers est difficile mais bien réalisée. Psychologiquement c’est glaçant mais en même temps réaliste.



« La violence qui dort dans chaque être humain vous fascine, mais elle vous révulse aussi, n’est-ce pas ? »



➡ L’auteur amène différents points de vue concernant la justice et ouvre le débat. On y pense encore bien après avoir terminé le livre et c’est cet aspect qui m’a le plus marquée.



➡ Si l’introduction reste rapide, la première moitié du roman n’est pas dépourvue de longueurs, d’autant plus qu’il s’agit de scènes avec des sévices.



Malgré cette lecture un peu mitigée car trop violente, je ne peux que reconnaître le talent de Patrick Senécal et continuerai à découvrir ses écrits.

Tout commence par une IRM, alors, oui, ce n’est pas un examen agréable vu les bruits et ce sentiment d’enfermement, mais quand Théodore Moisan passe la sienne son monde commence à changer.

Tout d'abord il a des pertes de mémoire, il ne se souvient même plus pourquoi il a passé son IRM, il sait qu’il est marié et père de famille mais ne souvient plus des détails de sa vie.

Et puis les gens autour de lui changent… À commencer par son épouse qui décide soudainement de satisfaire ses fantasmes sexuels, puis de sa fille qui agresse un serveur et ensuite de son meilleur ami qui devient un ivrogne macho. Mais, même le monde autour de lui semble devenir fou. Nous avons l’impression de vivre dans un monde sans filtres, les gens disent et font ce qu’ils pensent.

Ensuite apparaît le personnage de Paden qui essaie de lui faire comprendre quelque chose mais quoi? Théodore pense devenir fou car cet homme ne lui donne pas d’explications claires mais lui parle toujours par énigmes.

Sans compter un tableau insignifiant avec une photographie d’un bâtiment qui, à chaque fois que Théodore la voit, semble légèrement changer.

Que se passe t’il, devient-il fou? Plus on avance dans la lecture, plus certaines choses se répètent et deviennent de plus en plus violentes.

Tout au long du livre, Théodore a l’impression d’être comme dans une boucle. Il faut arriver à la fin pour avoir une réponse qui laissera certains sur leur faim mais qui m’a pleinement contentée.

Patrick Senécal nous emmène dans un livre qui joue avec nos nerfs et qui dénonce aussi certaines dérives extrêmes.

Personnellement je recommande ce livre sans hésiter.

Après avoir été fortement influencée, voire harcelée, par mon frère pour lire cette brique, j’ai décidé de m’y attaquer durant ma semaine de vacances de mars. Et, oh ! Quelle brique !!! Cette histoire, c’est de la bombe ! Dans ce roman, Patrick Sénécal adresse le vide d’une façon terriblement fracassante.



Malgré ses 640 et quelques pages, il n’y a aucune longueur, aucun détail inutile. Ce roman est un vrai page turner qui nous entraine au cœur de la vie de 3 personnages masculins particulièrement troublés, dérangés. Les personnalités de ces personnages sont très bien creusées et super intéressantes à analyser. La psychologue que je suis s’en est donnée à cœur joie. Ils sont si tourmentés ! C’est de la folie à l’état pure. Jusqu’où peut aller l’humain pour combler cet intolérable vide qui le gruge ? Pas jusque là j’espère 🙏



Malgré les chapitres présentés en désordre, on ne se perd pas. Le scénario est bien ficelé. On suit le rythme facilement et embarque rapidement dans l’histoire.  L’intrigue nous tient en haleine jusqu’à la fin. Tel que mentionné plus haut, les personnages sont terriblement fascinants par leur coté « dérangé ». L’écriture est fluide, le rythme est soutenu. Bref, il était vraiment temps que je découvre cet auteur et ce roman. Je comprends maintenant l’insistance de mon frère à ce que je découvre cet ouvrage, car ce fut également un coup de cœur pour moi.



Un thriller psychologique terriblement actuel qui ébranle et fait réfléchir à coup sûr.



TRIGGER WARNING : Je tiens à mentionner que certains thèmes/ passages peuvent être terriblement dérangeants voire traumatisants pour certains(es) lecteurs(trices).

C’est un bon petit livre pour introduire les enfants dans les récits d’horreur sans toutefois les traumatiser pour la vie.



Pour débuter, je trouve que l’horreur de ce livre n’est pas si effrayante que ça, mais que le fait que les vilains de l’histoire soient des personnages habituellement adorés par les enfants, comme la fée des dents, le père Noël et le lapin de Pâques peut faire peur au public visé, mais ça ne va pas les faire faire des cauchemars. Je peux en témoigner, quand j’étais en cinquième année du primaire, mon enseignante m’avait fait lire à moi et mes camarades de classe ce livre et j’avais bien aimé la lecture de celui-ci!

De plus, l’histoire est plutôt originale; je n’aurais jamais pensé à écrire une histoire parlant du père Noël et autres personnages de légendes machiavéliques qui s’attaquent à des enfants [à cause qu’ils sont sous l’emprise du bonhomme sept heures] .



Bref, c’est un livre d'épouvante assez léger pour les petits qui commencent la littérature et qui aiment l’adrénaline.

Quelle histoire, presque mille pages (et quant on ne peut pas beaucoup lire tous les jours ça pourrait être long) mais aucun ennuis. Les paragraphes dans le désordre pour mélanger le cours des évènements ne pausent aucun problème. C'est fluide, jamais lassant et incroyablement raconté.

Livre basé essentiellement sur le journal intime de Florence , une petite fille de 8ans et sur ses pensées les plus sombres et ses actes les plus terrifiants. Ce livre m à fréquemment glacer le sang. J ai beaucoup aimé. Que ce soit Florence et ses réflexions simple d une jeune enfants mais ses raisonnements sont plus que terrifiants…j ai beaucoup aimé.