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Critiques de Robert Merle (1110)
Les Hommes protégés

Roman d anticipation nous plongeant dans une société dominée par les femmes suite à une épidémie d encéphalite décimant les hommes en âge de procréer. Une intrigue autour d un contre pouvoir a une politique du gouvernement féminin americain qui veut stériliser les hommes et parvenir à une société où les hommes n auront plus aucune utilité....
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La Mort est mon métier

Robert Merle nous a servit là un travail remarquable. Et la préface, dans le livre d'édition post-1972 est tout bonnement exquise. Pouvoir aller autant dans le détail dans une tournure de l'histoire aussi terrible est éducatif, et conscientise quand à la folie d'un peuple qui, je cite "n'est plus guidé par l'opinion populaire."
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Week-end à Zuydcoote

C'est le premier roman de Robert Merle, remarqué à sa parution (1949) puis porté à l'écran, Jean-Paul Belmondo jouant avec brio le rôle principal. Le récit respecte les règles de l'unité de temps, de lieu et d'action. On suit, pendant quelques jours de Juin 1940, un petit groupe de soldats errant dans le réduit autour de Dunkerque où les armées franco-britanniques sont encerclées par les troupes allemandes victorieuses. Sous le feu ennemi, qui risque à chaque instant de les réduire en charpie, ils cherchent à survivre, sans grand espoir de pouvoir embarquer pour l'Angleterre. Le personnage qui émerge est le sergent Maillat: ce n'est pas un "chevalier sans peur et sans reproche" mais c'est un homme intelligent qui affronte l'adversité avec courage et réalisme. Il compte sur son flair et sur sa chance pour survivre, avec ses compagnons. Il agit au mieux, par exemple il arrache une jeune fille (menacée de viol) des griffes d'autres soldats français. Ce roman illustre l'absurdité de la guerre, montre les difficultés des soldats à échapper à une mort aléatoire, révèle toutes les qualités et les faiblesses des individus dans les situations extrêmes. Bien entendu, tout ça finira mal... Un roman prenant et très réussi, à lire et/ou à relire.
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Malevil

Une de mes lecture adolescentes les plus fortes. A l'époque, je lui aurais mis allègrement 5 étoiles tellement j'étais emballée par ce genre d'histoire.

Mais voilà, j'ai pris de la bouteille, et le livre aussi dirons-nous. Il a mal vieilli (moi non he ho). Entre temps il y a eu Mad Max au cinoche avec Tina Turner. Et puis la série des Terminator avec Linda Hamilton. Difficile aujourd'hui de m'accrocher à une histoire où les femmes ne sont bonnes qu'aux tâches ménagères.
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Malevil

Une analyse complète de la société en autarice.



Malevil, c'est avant tout le fait qu'il y a une bombe qui explose sur la France. Il y a quelques survivants. Que se passe-t-il? Tout d'abord, ils vont se loger et faire l'inventaire de leurs possessions. S'il reste des animaux, ils vont tenter l'élevage. S'il reste des graines, ils vont tenter la culture. S'il reste d'autres villages, ils vont tenter le troc. Sans moyen de communication et de locomotion, les distances entre les gens s'agrandissent et l'on voit un regroupement en petites communautés.



Et voici, en quelques semaines, nous avons fait un véritable bond en arrière dans le temps. Sans télévision ni musique, on se retrouve au coin du feu pour lire et discuter. On s'organise et surtout on met de côté ce qui est superflus : certaines moeurs, la consommation à outrance, l'isolement...



En quelques semaines, on repasse à une culture féodale avec ses bons côtés mais parfois aussi ses mauvais : la religion qui prend le pas sur la politique et surtout la protection des familles contre les pillards. Ce sont tous ces côtés, sans concession aucune, que nous montre l'auteur dans Malevil. C'est un bilan et une observation de la société en pleine crise, en temps de chaos.





C'est aussi un roman du terroir.



En effet, Malevil, c'est aussi un donjon, en pleine campagne. Et ceux que nous observons à la loupe, ce sont des campagnards, parfois des fermiers. Ce ne sont pas de grands savants ici, ce sont justes des gens simples, qui vont à l'essentiel, qui sont parfois durs aussi, mais qui sont avant tout extrêmement touchants.



Tout ce qui transparaît ici, c'est l'amour d'une région, d'un patois, de gens ordianires. Vous n'aurez pas de super héros, juste des personnes comme vous et moi. Et c'est ce qui donne une dimension très touchante, presque intime à ce récit dystopique. C'est qu'en refermant ce livre, vous aurez un sentiment de quasi réalité à toute cette histoire mais aussi une grande bouffée d'espoir en l'humain
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Fortune de France, tome 4 : Le Prince que v..

C'est sans doute mon tome préféré, celui que je relis sans reprendre les autres avant, et que je laisse après lecture sans lire les suivants... Pierre de Siorac choisit son camp, celui du futur Henri III. Un roi dont on dira ensuite le plus grand mal, pour des raisons de morale, de moeurs, de religion également. Les études historiques sur les personnages de l'époque, faite côté ultra catho ont des arguments piquants sur le sujet, par exemple.

Siorac et Henri III c'est une loyauté qui va s'inscrire dans la petite histoire : celle qu'on ne dévoile pas, celle qui aide la grande à faire son chemin malgré les hommes et les événements, celle dont on a envie ensuite de s'enorgueillir sans le pouvoir, et au sujet de laquelle on hoche la tête d'un air entendu des années plus tard, "j'étais là mais chuuut..."
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Fortune de France, tome 3 : Paris, ma bonne..

Où Pierre de Siorac va découvrir la ville, la grande, Paris... mais au plus mauvais moment possible pour un protestant d'oc : la Saint-Barthelemy.

Avec le nombre de tomes qui suit, ce n'est pas spoiler que dire qu'il s'en sortira, mais les embûches sont nombreuses, et les horreurs de l'époque dépasseraient l'entendement si Robert Merle ne resituait justement pas le contexte aussi bien.
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Fortune de France, tome 1 : Fortune de France

Ce tome 1 est descriptif et contemplatif, il met en exergue les violences d'un siècle pour mieux souligner le caractère de son héros, et inversement place le héros dans un siècle qui le façonnera au moins autant que les aléas de la naissance comme cadet et de l'éducation paternelle.

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Dernier été à Primerol

Cet écrit de captivité, rédigé d'une écriture fine au crayon à papier duarnt la seconde guerre mondiale, sera retrouvé par les enfants de Robert Merle, en 2004, après son décès.

Premier écrit, dernière publication.

Robert Merle a toujours tenté de comprendre, d'illustrer la marche de l'Histoire qui soudainement défigure ou transcende le destin des hommes et c'est sans aucun doute dans cet écrit que nous pouvons trouver le germe de l'esprit de toute l'oeuvre de Robert Merle. En cet été 1939, une journée viendra faire basculer le monde. Il y aura eu pour chaque homme, femme, enfant, village, cet instant, cette minute qui irrémédiablement fracturera leur espace temps.

Pour tous il aura existé un "Avant", ils tenteront tous de survivre "Pendant", et pour les plus chanceux d'entre eux commencera une autre vie "Après".

Le premier tableau de Malvil m'est revenu en mémoire au cours de la description par l'auteur de ces dernières heures estivales à Primerol, en cette année 1939, l'année charnière, l'année "ground zero".

Un écrit flash back qui nous rappelle la fragilité de chaque époque.

Si nous considérons vivre "l'après" à quel moment précisément interviendra l'évènement qui transformera ce confortable "après" en un prochain et regrettable "avant" ? Quel sera l' événement qui viendra demain peser si lourd sur le grand plateau de l'Histoire que notre monde en viendra totalement à basculer ? Supposons que nous devions tous vivre notre dernier été..



Astrid SHRIQUI GARAIN



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Fortune de France, tome 1 : Fortune de France

De 1547 à 1565 Robert MERLE évoque dans Fortune de France le destin d'une famille convertie à la religion réformée, le protestantisme, dont les membres sont alors appelés huguenots. C'est en quelque sorte une genèse de cette période sombre de l'Histoire de France que nous propose l'auteur, à travers le regard d'un protagoniste certes noble mais néanmoins simple, et enfant pendant cette période.



L'Histoire sert donc de toile de fond à l'enfance de Pierre de Siorac, lequel raconte la façon dont son père prit possession d'un chateau du Périgord, comment il le fit prospérer en dépit des épidémies, famines, attaques de maraudeurs et autres tensions religieuses. MERLE évoque aussi largement les relations entre classes sociales et la façon dont les enfants étaient alors élevés.



C'est en soit suffisant pour faire de Fortune de France un roman passionnant. Mais Robert MERLE ajoute à l'intérêt de son intrigue une prose fleurie reconstituée à force de recherches sur le langage de l'époque et qui donne à l'oeuvre une crédibilité sans faille et lui évite l'académisme qui aurait pu être ennuyeux pour le lecteur en quête de divertissement. C'est certainement pourquoi le roman connut un succès considérable dès sa sortie en 1977 et que son auteur lui donnera douze suites jusqu'à sa mort en 2004.
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Fortune de France, tome 7 : La Volte des ve..

Durant les dernières années du règne d'Henri IV, l'intolérance religieuse renaît avec violence.

La cour s'amuse, la reine querelle le roi et celui-ci la trompe, tout autour grouille un Paris coloré et dangereux, magnifique et puant.

Dialogues, action, langue savoureuse du temps, Robert Merle s'en donne à coeur joie dans ce récit passionnant.

Ce septième tome est tout aussi haletant et savoureux que les précédents.
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La Mort est mon métier

Je lis beaucoup sur l’holocauste et le nazisme et souvent, je dois le reconnaître, les livres se ressemblent, n’apportent rien de nouveau.

Du coup, j’ai été plutôt surprise par cette lecture. Surprise car malgré le sujet maintes fois abordé, l’angle sous lequel les choses sont présentées est intéressant.



Nous suivons en effet le personnage principal, Rudolf Lang, depuis son enfance jusqu’à la fin de la guerre durant laquelle il a occupé le commandement du camp de concentration d’Auschwitz.



Construit comme un roman, cet ouvrage n’en reste pas moins un témoignage sur la vie de celui qui a été chargé de mettre en place et « d’optimiser » la solution finale.



Un avant-propos de l’auteur nous présente son ouvrage comme un complément des Mémoires de cet officier SS, qui malheureusement a réellement existé : Rudolf Höss. Intéressant d’ailleurs de mettre en perspective l’un et l’autre, auteur et personnage du romancier. Robert Merle aurait en effet été très marqué par sa captivité qui a duré de 1940 à 1943 et qui deviendra l’un des sujets qui marqua son œuvre.



Le récit de la mort est mon métier se découpe en deux temps. Le premier, celui par lequel nous apprenons à connaitre Rudolf. Son enfance, marqué par l’un figure d’un père névrosé et tyrannique. Des tocs et des traits de caractères qui apparaissent très jeune et une dévotion absolue à la Patrie. Cet ensemble conduira le jeune Rudolf à s’engager très tôt au parti nazi, alors que celui-ci était encore clandestin.



Le second temps, celui où tout bascule, est le moment où il accepte la mission spéciale qui lui est confiée par le Reichfuhrer lui-même : le point de non retour de l’indignité humaine, la solution finale. Celle-ci est alors abordée de manière factuelle, industrielle même. Comment respecter les cadences imposées par le rythme des convois de plus en plus fréquent. Aucune humanité ne rentre en ligne de compte là dedans et le commandant ne se pose d’ailleurs à aucun moment la question. Pour lui, une seule chose compte : on lui a donné un ordre, il doit y répondre bien, voire mieux que bien.



Il est sûr que l’on ne peut pas s’attacher au personnage principal, même son enfance, malheureuse il faut bien l’avouer, ne m’a pas émue et ne peux expliquer ce manque, que dis-je, cette absence totale d’humanité dans ce personnage.



Pour terminer, j’aimerai préciser une dernière chose remarquable sur ce livre. Il s’agit de sa précocité. Aujourd’hui en effet, nous l’avons dit plus haut, les ouvrages historiques ou romans, ainsi que les témoignages sont nombreux sur le sujet. Mais, 1950 mais surtout publie en 1952 ce livre j’imagine la « révolution » que cela a dû être, alors que la réalité de ce qui s’est passé dans les camps restait à la fois un mystère et surtout un tabou. Le courage de cet auteur, qui s’adresse à un public qui n’est pas prêt à lire ce qu’il a à dire, ne fait qu’ajouter à mon admiration.



Je recommande la lecture de ce livre, à compléter par la lecture de Si c’est un homme de Primo Levi, pour lire les choses de l’autre côté.
Lien : http://mediatexte.blogspot.c..
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Fortune de France, tome 1 : Fortune de France

Quel plaisir ! On se laisse prendre à la fois par cette langue du XVIème siècle que Robert Merle manie si bien, et par des personnages romanesques parfaitement mis en situation par l'érudition de l'auteur. Accessoirement, on apprend plein de choses sur l'histoire de la période, ce qui a aussi son intérêt !
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Fortune de France, tome 1 : Fortune de France

Que dire sur Fortune de France ? Si ce n’est que c’est un petit bijou du roman historique. L’auteur a fait un travail très fouillé et approfondi afin de restituer l’ambiance propre au XVIe siècle, siècle de violences et de passions s’il en est. Le propos est toujours historiquement juste, le style est très agréable à lire et la grivoiserie jamais bien loin. Bref le premier tome de cette saga offre de biens belles heures de lectures. Le petit plus qui ajoute du charme c’est l’insertion de termes de vieux français à certains moments du récit qui le rendent truculent à souhait…
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L'île

Extraordinaire roman, qui vous fait voyager tout en restant dans vos pantoufles ... c'est le cas pour beaucoup de livres, c'est même le but essentiel de la littérature, nous faire rêver, mais là, c'est flagrant ! Je l'ai lu quand j'étais en Nouvelle Calédonie, sous la moustiquaire et dans une ambiance tropicale étouffante, ce qui a bien sûr ajouté au délice, mais je suis sûre que je pourrais le relire avec plaisir n'importe où !

Hélas, il n'était pas à moi et j'ai du le rendre à sa propriétaire !

je recommande, je recommande, c'est un pur chef d'oeuvre !
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Fortune de France, tome 6 : La Pique du jour

Ce livre fiat partie d'une saga de l'auteur qui retrace les differentes etapes de l'histoire de france, l'auteur est un specialiste et ses livres sont passionnants et tiennent en haleine de bout en bout.Tres realistes ces recits pourraient presque servir de cours d'histoire.
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Week-end à Zuydcoote

Sous un titre qui fleure bon le sable chaud se cache un roman sur la guerre en général, dans le cadre de la débâcle franco-anglaise dans la poche de Dunkerque en mai et juin 1940. Bombardements, ripostes, chaos, civils et militaires dans le même enfer, débrouille fataliste, liens et rencontres, le tableau est noir, complet, et riche d'une accumulation de petites histoires, au coeur de la grande (Histoire), dans les pas d'un sergent un peu lunaire - présent et détaché à la fois, en plein traumatisme, analyserait-on aujourd'hui.

On sent une écriture qui date de cette époque (premier roman de Robert Merle, en 1949 ! c'était contemporain ...) par le vocabulaire et les attitudes des personnages les uns par rapport aux autres, mais le rythme et le déroulé m'ont emportée dans ce voyage dont on ne sort pas totalement indemne.
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Fortune de France, tome 2 : En nos vertes a..

De tome en tome, toujours autant de plaisir à vivre à côté des Soriac qui nous entraîne dans l'histoire de la France de François 1ᵉʳ à Louis XIII.

Les Soriac sont des seigneurs occitans bons vivants, érudits et ouverts, ce qui leur permet de fréquenter toutes les couches de la société dans tous les domaines. De la vie du quotidien aux sciences nouvelles, des tavernes aux châteaux, des mendiants aux grands qui ont fait l'Histoire.

L'écriture immersive et addictive de Robert Merle nous fait partager avec engouement leur vie de plaisirs, d'engagements, d'empathie, d'érudition, d'humour… jusqu'à l'odeur de leurs plats si bien mitonnés.

13 tomes qui nous enrichissent d'Histoire et de moments passionnants de lecture. 

 
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L'île

Je reviens sur Babelio après un moment d'absence, en raison de mon exploration minutieuse de cette île. Et j'y reviens avec plein de trésors et de souvenirs onctueux, parfumés à l'hibiscus



Le rythme est très soutenu, du début à la fin ; les péripéties s'enchaînent, rien n'est épargné à nos insulaires. J'ai trouvé cela passionnant, avec le choc des cultures. Quelques épisodes m'ont un peu gêné ; malgré cela, cet oiseau exotique au plumage noir de jais m'émerveille à nouveau pour la troisième fois



Cette excursion apporte de plus des réflexions intéressants, dont l'usage de la non-violence de Purcell. Est-ce le meilleur choix dans cette situation ? Est-ce que cela aurait changé quelque chose ?



Finalement, on se rend compte que la planète Terre avec ses habitants n'est finalement qu'une grande île où tout le monde doit cohabiter malgré nos différends et différences
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La Mort est mon métier

Sidérant. Ce livre est un monstre. Il dépeint la construction d'un homme simple, un opérationnel. Il suit strictement les ordres et trouve une complète satisfaction à repondre aux consignes sans se poser de question. L'absence d'esprit critique chez cet homme fait froid dans le dos.



C'est l'humain qui va construire les fours d'Auschwitz, la dernière version. Il va chercher à remplir les critères suivants : productivité, rapidité et confidentialité. Ces usines de la mort vont passer par son cerveau et devenir "rentables".



Bon je dois vous dire quand même que le début commence lentement et on a du mal à trouver le moindre attachement à cette histoire. C'est après quelques centaines de page que je suis passée en mode analyse psychologique et je n'ai pas quitté cette place jusqu'à la fin. Je me suis demandée à quel moment le personnage principal, qui a vraiment existé, a été conscient que répondre à des ordres dans les circonstances décrites correspondaient à ses choix propres ...



Il manque une outil à cet homme : l'esprit critique (quoi que on peut l'avoir et continuer à faire de la m***e ... ). Je m'embrouille toute seule dans cette critique ... C'est surtout que la nature humaine ne cessera jamais de m'étonner.
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Roman historique lauréat du prix Goncourt publié en 1949 racontant la retraite d'un groupe de soldats français lors de la défaite franco-britannique lors de la seconde guerre mondiale. Mon titre est "week-end

chez ma mère'
à Deauville'
à Zuydcoote'
en amoureux

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