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Eloïse Bouquet tome 3 sur 4
EAN : 9782501138437
448 pages
Marabout (24/04/2019)
4.14/5   426 notes
Résumé :
Qu'est ce qui a poussé la fragile Abby Le Guen à tuer son mari, Yohann, médecin respectable, d'un coup de fusil de chasse ? Pourquoi est-elle désormais murée dans le silence ? Pourquoi Manon, jeune mère et soeur jumelle de la gendarme Eloïse est-elle harcelée par un individu qui lui reproche le pire des crimes ? Lorsque Manon est arrêtée, accusée d'infanticide, Eloïse reprend l'enquête aidée par la journaliste Amanda, car Manon maintient n'avoir aucun souvenir du cr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (100) Voir plus Ajouter une critique
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Connement, j'avais cru lire Jeanjean.
Un nom m'évoquant illico le sketch de Bénureau et donc peu enclin à me faire frissonner.
Fort heureusement, il fallait bel et bien lire Denjean, une dame à l'univers visiblement bien barré.

La vengeance est un plat qui se mange froid.
Ça tombe bien, Abby et Manon allaient déguster, à volonté.

L'Oeil, (dit neunoeil, pour les intimes ou les amateurs de pseudo à la con), représente l'entité mystérieuse à l'origine de tous leurs tourments.
Si Manon se sent épiée continuellement, Abby, de son côté, subira les affres persécuteurs d'un châsse un brin tortionnaire.
Mais comme le dit le proverbe, neunoeil pour neunoeil (pour les amateurs de proverbe à la con).
À ce petit jeu du chat et de la souris, un train pourrait bien cacher un tiens qui vaut mieux que la caravane qui passe et Dieu pour tous.
De mémoire poreuse.

Bien aimé cette double amnésie, moi.
Petit bémol, comme ça, à froid, histoire de focaliser ensuite sur les morceaux de bravoure, la longueur.
J'avoue qu'un p'tit élagage en règle n'aurait pas été pour me déplaire.
Ça aurait eu le mérite de maintenir un niveau de tension constant plutôt que d'offrir de grosses respirations parfois largement dispensables.

Mais dans l'ensemble, ce récit m'a franchement botté.
Malin, original, cohérent pour peu que l'on ne fasse pas dans le chafouin au niveau des avancées stratosphériques en matière de médecine.

Double amnésie est un bouquin qui prend son temps.
Le temps de poser l'histoire.
Le temps de développer ses personnages et les faire interagir tout du long.
D'ailleurs Miguel n'a-t-il point déclamé qu'il fallait donner du temps au temps ?

Je découvre Céline Denjean, je sais déjà que j'y reviendrai ce qui est souvent signe d'un moment fort agréable passé en sa compagnie.
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En Bretagne, Abby le Guen abat son mari, Yohann, médecin reconnu, d'un coup de fusil pendant son sommeil et ne veut rien avouer des raisons de son geste. Manon fait venir en urgence sa jumelle, Eloïse, gendarme, car elle se sent menacée, épiée et craint pour elle et ses deux enfants. Elles ont toutes les deux dans leur passé des zones d'ombre mais existe-t-il un lien entre les deux femmes, pourquoi « L'Oeil » les menace-t-elles ? Eloïse va mener l'enquête pour trouver les clés pour ouvrir les portes des mémoires…..

Je tiens à préciser en préambule que je ne lis que très rarement des romans policiers, thrillers. Donc j'ai peu ou pas de points de repère, de comparaison, d'évaluation et mon avis est celui d'une lectrice lambda dans ce genre mais qui attend dans ce genre de littérature des frissons, une construction, des personnages forts et un final qui me laisse sans voix.

Dès les premiers chapitres, l'auteure révèle la présence de cet Oeil, sans en donner l'identité précise, mais il est là, qui rode autour des deux femmes et finalement l'histoire se construit par des retours en arrière pour remonter les pistes qui ont mené au drame et comprendre ce qui lie les deux femmes. le personnage de l'Oeil est très vite identifié par le lecteur, l'auteure prenant le parti, non pas de trouver son identité mais de remonter le temps et de décortiquer les faits qui ont mené au drame.

« -Vous avez déjà joué au Meccano, le jeu de construction ?

-Oui, évidemment. Et ?

-Donc vous avez déjà ouvert une boîte de ce jeu. Vis, pattes en fer percées, roues…. tous ces éléments sont en vrac au fond du carton et ça ne ressemble qu'à un vague amas de ferraille. Pourtant en assemblant les éléments de la bonne manière et dans le bon ordre, on construit la tour Eiffel, un camion, une voiture… En fait, c'est exactement ce qu'on est en train de faire avec nos deux affaires (p281)

Voilà la phrase clé du roman qui résume la construction du récit : remettre tout en ordre, chronologiquement, assembler les différentes pièces du puzzle, en suivant parallèlement les souvenirs de Manon et Abby afin que les rouages s'emboîtent et que la lumière soit faite sur cette affaire.

Aucun suspense puisque l'auteure a fait le choix de construire le roman « à l'envers » c'est-à-dire en révélant dès le début du récit une partie de ce que l'on recherche dans un roman policier c'est-à-dire l'identité du persécuteur et elle s'est plus attachée à décortiquer l'enchaînement des événements, le mental de chacun mais en laissant malgré tout quelques zones troubles où on peut, éventuellement, se poser quelques questions. Cela peut être intéressant, mais j'ai trouvé les ficelles un peu trop « grosses », trop faciles, trop évidentes même pour une néophyte en littérature policière comme moi..

J'ai très vite compris le tenants et les aboutissants, pas de réelle surprise, pas de lecture haletante, peu de fausses pistes à suivre. de nombreuses références aux précédents romans (que je n'avais pas lus mais qui n'empêchent pas la lecture) avec le personnage d'Eloïse, la gendarme enquêtrice, qui traverse une période de désarroi après la mort de son compagnon et qui retrouve sa jumelle Manon avec qui elle n'avait plus de contact depuis 15 ans.

J'ai trouvé la lecture lente, revenant trop fréquemment sur les mêmes faits, connus, tournant un peu en rond et je m'attendais peut être à une revirement en fin de livre, à être « baladée ».

Je pense que je ne suis peut-être pas la mieux placée n'ayant pas assez de références de lectures policières, mais je n'ai pas trouvé d'originalité au récit. Quand je lis un roman policier j'aime me mettre dans la position de l'enquêteur(trice) et chercher les indices, résoudre l'énigme et dans le cas présent, j'ai très vite compris où l'auteure m'emmenait. Dommage car le fond était intéressant, bien que déjà exploité, avec l'affrontement des classes sociales, la dualité entre Eloïse et Manon, les caractères des personnages étant assez stéréotypés mais fouillés.

L'écriture est agréable, mais pas un page turner, c'est finalement la construction et la longueur du récit qui, pour moi, a enlevé tout l'intérêt de la lecture. Je n'ai pas ressenti ce petit frisson que l'on aime retrouver dans ce genre de littérature, j'ai le sentiment d'un déjà vu, déjà lu.

Peut-être ne suis-je pas le meilleur public pour ce type de roman car Céline Denjean a remporté l'année dernière le prix du Polar à Cognac, une référence, pour son précédent roman le Cheptel.
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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Avant de commencer, il me faut remercier les éditions Marabout et les équipes de Babelio pour l'envoi de ce roman.
Je ne connaissais pas encore les écrits de Céline Denjean jusqu'ici et j'avais bien envie de m'y aventurer. Il faut dire que je suis très difficile en roman policier. Jusque-là, le seul auteur français qui parvenait à m'emporter était Franck Thilliez. Mais cette époque est révolue car, aujourd'hui j'ai découvert Céline Denjean. Vous l'aurez donc compris, ce roman m'a littéralement emporté.
À l'image de Franck Thilliez, l'auteure a pris soin de construire son intrigue policière comme se construit un thriller. Et c'est grâce à cette modernisation du polars que j'arrive à intégrer l'intrigue. En cela, c'est une belle réussite ! L'écriture est fluide et efficace. Contrairement à beaucoup d'auteurs, il n'y a pas cet effet « surjoué » qui emmène un aspect irréaliste. Tout fonctionne. On s'y croit ! Bien qu'au départ j'ai eu peur de m'ennuyer (c'est un pavé, quand même) de part la longueur de l'installation de l'intrigue, une fois faite, on se laisse happer par le dynamisme apporté par l'auteure. Et, on ne s'ennuie vraiment pas !
Quant aux personnages, il n'y a rien à en redire ! Ils ont été longuement travaillés jusque dans leur psychologie profonde. Ce sont des personnages aussi complexes que complets permettant ainsi des ramifications plausibles et réalistes. Comme souvent, je m'attache vite aux « méchants ». Une fois n'est pas coutume, j'ai eu un petit coup de coeur pour l'Oeil. Un personnage fort réaliste … Un personnage pétri d'envie comme on pourrait en croiser dans notre vie de tous les jours … Ce genre de psychologie m'attire toujours. Comprendre ce qui pousse un être à devenir un « monstre ».
On est peut-être un peu trop guidé vers les solutions, ce qui enlève l'effet de surprise lors de sa révélation. J'aime me sentir enquêteur lorsque je lis ce genre de romans et je n'aime pas qu'on me mâche le travail.
Toutefois, il ne faut pas se laisser décourager en se disant que c'est la suite d'un autre roman. Non, parce qu'ils se lisent indépendamment des autres. Ce sont des intrigues propres à chacun. Encore une fois, un peu comme avec Thilliez. L'histoire des enquêteurs se suivent dans chaque tome, mais l'enquête principale est propre à chacun.
En somme, je ne peux que vous encourager à vous lancer dans cette lecture addictive. Pour ma part, j'irais découvrir les autres romans de cette auteure avec beaucoup de plaisir.
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Black-out

A la fin du Cheptel, la capitaine Eloïse Bouquet reçoit la visite de sa soeur jumelle Manon qu'elle n'a pas vue depuis très longtemps ; pas vraiment une visite pour recoller les morceaux mais plutôt un appel à l'aide car Manon se dit victime d'un harceleur qui la menace elle et ses enfants. Manon embarque Eloïse, direction la Bretagne et Lannion où Manon a élu domicile dans la maison familiale. Pour Eloïse, qui vit des moments très difficiles (voir le Cheptel qu'il vaut mieux lire avant, pour la psychologie du personnage d'Eloïse), revenir dans la maison de son enfance, maintenant que ses parents sont tous deux décédés, n'est pas anodin. Enfants, Manon et Eloïse étaient très proches puis, à l'adolescence, Manon est devenue « ingérable » multipliant les comportements à risques, les fugues et de fait, monopolisant toute l'attention des parents, tandis qu'Eloïse restait la « petite fille sage », bonne élève, ne posant aucun problème, invisible… Son BAC en poche, Eloïse s'est éloignée, études, puis entrée dans la gendarmerie et les jumelles se sont presque perdues de vue… Et maintenant, Manon a (encore) besoin de l'aide de sa soeur ! En se rendant compte de la véracité des dires de sa jumelle, Eloïse tente de rassembler ses talents d'enquêtrice pour découvrir qui est l'auteur de ces menaces et la raison de celles-ci. Mais très vite, coup de théâtre : Manon est arrêtée pour tentative d'infanticide ! Et à quelques kilomètres de là, c'est un autre drame qui se joue, dans le milieu feutré de la haute bourgeoisie locale : une femme abat son mari d'un coup de fusil de chasse… Quel rapport entre ces deux affaires ? Je ne vous en dirai rien, bien entendu, mais sachez que l'auteure ne va pas épargner le lecteur !
Grâce à une construction habile, Céline Denjean nous plonge dans une intrigue à multiples entrées, toutes plus passionnantes les unes que les autres, mêlant secrets de famille, vengeance, manipulations scientifiques. En prenant le temps de développer la psychologie de tous les personnages, les principaux comme les secondaires, elle nous égare savamment sur différentes pistes, et maintient le suspens jusqu'à la fin ce qui n'est pas la moindre de ses prouesses.
Très différent des deux premiers roman de Céline Denjean (La fille de Kali et le Cheptel) moins polar et plus thriller psychologique, ce gros pavé de plus de 500 pages m'a captivée du premier au dernier chapitre.
Plus je découvre Céline Denjean et plus je suis conquise !

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Je n'avais encore lu aucun roman de cette auteure, et le nombre de lecteurs enthousiastes suite à l'annonce de la parution de « Double amnésie » a piqué ma curiosité.
Céline Denjean m'a donc emmenée en Bretagne, sur les terres d'une famille aisée, les Le Guen. le père, Yohann, est en effet un neurochirurgien reconnu, qui a travaillé sur les S.P.M., syndromes post traumatiques dont souffrent les soldats de l'armée envoyés au front. Il est, par ailleurs, propriétaire d'une clinique de soin pour des personnes souffrant de troubles psychiques ou d'addictions. Son épouse, Abby, est une artiste peintre méconnue, qui trouve son inspiration dans des mélanges peu recommandables d'alcool et de médicaments.
Leurs enfants, Alicia et Ethan ont obtenu de bonnes places professionnelles grâce à des études dans des écoles prestigieuses et le renom de papa.
Le récit s'ouvre sur l'assassinat de Yohann par Abby ; que s'est-il passé pour qu'une épouse en arrive à une telle extrémité ?
Le lecteur découvre qu'en parallèle, deux soeurs jumelles se retrouvent dans l'urgence et après des années de séparation : Eloïse, gendarme en disponibilité, a été appelée par Manon qui se retrouve la cible d'une personne qui l'espionne et la menace depuis peu. Elles se rendent en Bretagne, dans la maison familiale pour tenter de renouer les liens et tenter de mettre de l'espace entre sa famille et celui qui la persécute et qui signe ses missives de cet étrange pseudonyme, « L'oeil ».
Quels sont les liens entre ces deux histoires que « L'oeil » semble relier ?
Céline Denjean nous entraîne sur des pistes aux nombreux rebondissements. On pense que…, on imagine que… Mais ce sont de fausses pistes ! J'ai beaucoup aimé cette manière de mener le suspens.

Le seul petit bémol à mes yeux a résidé dans l'impression de longueur et de répétition de certains passages.
Mais malgré cela, je vais chercher à lire les autres thrillers de l'auteure !
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Citations et extraits (61) Voir plus Ajouter une citation
L'odeur! Etait il possible qu'un lieu ait une odeur à lui?Qu'il le garde au fil des ans comme si l'empreinte de ses nouveaux habitants n'y changeaient rien? Elodie se sentait vaciller à peine le seuil franchi. Ca sent comme chez papa et maman! Les relents de feu de cheminée inscrutés dans la pierre. Les effluves persistants du parquet ciré. Et les senteurs entêtantes de jardin- chevrefeuille et tilleul citron- qui percevaient par la fenêtre ouverte coté cuisine. Sa sidération fut de courte durée."
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Certains peuvent s’accommoder du pire sans qu’aucune marque s’imprime sur leur conscience ? Mon père, lui, petit parmi les petits, n’a pas survécu au poids de sa compromission. Moi, je sais qu’il ne s’est pas endormi sur cette ligne droite, il y a un an et demi. Non… le mal qui le rongeait a eu raison de lui, voilà tout. Il a foncé droit sur cet arbre parce qu’il ne supportait plus le défilé incessant des images du passé. Celles-là mêmes qui me hantent depuis seize ans, maintenant. Parce que moi aussi, j’ai tout vu…
Après le coup de fil, je cours à travers bois comme un dératé et je suis sur place quand mon père déboule, avec ses allures de pauvre bougre besogneux – bleu de travail dégueulasse, bottes de caoutchouc crottées, béret vissé sur la tête, la peau rougeaude du mauvais vin qu’il avale tous les jours, le sourire abîmé parce que les soins dentaires, c’est pour les riches. Il rapplique au cottage vu que monsieur l’a sonné une poignée de minutes plus tôt.
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Mais elle est très jolie, cette petite tache, lui avait-il murmuré en passant un doigt dessus. Laisse-moi te raconter comment cela s’est produit ! Figure toi que quand les fées se penchèrent sur ton berceau, elles trouvèrent le résultat de leur travail tellement réussi qu’elles ne purent réprimer l’envie de porter un toast ! La plus âgée des fées, qui devait avoir plus d’un million d’années, choisit pour l’occasion un champagne rosé d’un grand cru millésimé. Et Alors qu’elle trinqua joyeusement avec ses acolytes, une larme de champagne éclaboussa ton ventre… La plus jeune des fées en fut fort contrariée. « Voilà donc notre ouvrage rendu imparfait ! » s’exclama-t-elle rageusement. « Point du tout, rétorqua la doyenne, je vois ici la marque de notre félicité! Cette enfant est ainsi à nulle autre comparable: quiconque goûtera cette tâche sera à jamais ivre d’amour ! »
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Manon semblait taillée dans le diamant d’une race supérieure et mystérieuse, affranchie des basses contingences de l’humanité crasse. Même la peur lui allait bien.

— Puisque tu en parles… Sache que Charles n’est pas au courant des menaces qui planent sur ma vie. Et que je ne veux pas qu’il le soit.

— Tu ne lui as rien dit ?

— Non.

— Mais enfin Manon, il a le droit de savoir, tu ne crois pas ? Il s’agit aussi de ses enfants !

Manon leva une main autoritaire.

— Je n’ai pas besoin d’un directeur de conscience, Élo. Je sais ce que je fais. Si je te dis que Charles n’a pas à savoir, c’est qu’il n’a pas à savoir.

Le ton n’était ni cinglant, ni défensif. Il était juste pétri de la certitude qui s’imposait à tous. Éloïse n’en ressentit pas moins la démonstration supplémentaire du diktat de sa sœur.
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[...] certaine que ressasser le passé ne servait à rien et que la seule chose qui comptait était bel et bien d'avancer, de construire, de projetter ! Et voilà qu'elle se rendait compte en quelques secondes que le passé formait le socle du présent et qu'il existait, même si on s'acharnait à l'ignorer.
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