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EAN : 9782352043294
368 pages
Les Arènes (10/04/2014)
4.13/5   26 notes
Résumé :
Avant de devenir le Christ, il s'appelait Jésus. Avec une grande puissance d'évocation, l'historien Reza Aslan restitue la vie de l'homme de Nazareth. A l'époque, la Palestine est une province romaine, en pleine ébullition, parcourue de prophètes, de magiciens et de messies autoproclamés. Tous n'ont qu'un rêve : libérer Jérusalem de la tutelle romaine. Aslan raconte le Jésus d'avant le crucifiement : un homme passionné et parfois contradictoire.
Il prône la p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
je n'ai rien lu de cet auteur. Ce livre a été traduit par Marie -France de Palomera. N'allez pas croire que je suis venu apporter la paix sur terre. A 15 ans, j'ai trouvé Jesus. Je passais l'été de ma dernière année de lycée dans un camp de vacances évangélique au nord de la Californie , une région forestière et de ciel bleu. Nous apprécions pleinement d'être libéré des pressions de la maison. Dans un pays ancien appelé Galilée, sous la forme d'un nourrisson sans défense, il grandit puis devint un homme sans défauts. Ils jouiront de la vie éternelle. C'était l histoire la plus prodigieuse qu'on ne m'avait contee. Luc écrivit que Jacques établit une stricte observance entre les paiens et les croyants. Jacques fut peut être un Nasir.
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L’historien des religions iranien Resa Aslan tente une biographie historique de l’être humain nommé Jésus, celui qu’il nomme le Jésus de l’Histoire. Car selon lui, les rédacteurs des Évangiles ne parlent pas de l’homme appelé Jésus de Nazareth qui vécut il y a deux mille ans, mais construisent « une argumentation théologique sur la nature et la fonction de Jésus en tant que Christ ». Pour Aslan, Jésus de l’Histoire, contemporain d’une Palestine où nombreux sont les messies et prophètes autoproclamés qui proposent de la libérer de la tutelle romaine, était un homme contradictoire et passionné qui ne correspond pas à l’image qu’a retenue l’Eglise chrétienne primitive, celle de Jésus, Fils de Dieu, messager de paix.

Une nouvelle version argumentée, écrite par un Iranien marié à une chrétienne, arrivé aux Etats-Unis à l’âge de cinq ans, converti au christianisme à l’adolescence pour revenir à l’islam à vingt ans, d’une vie que tous ou presque croit connaitre qui s’appuie sur une analyse fouillée de la période de la naissance et du développement du christianisme.
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Le meilleur livre que j'ai lu jusqu'à présent sur le personnage historique de Jésus. Très bien documenté, sur la période historique en particulier : les mouvements messianiques et nationaux en Palestine à l'époque, etc. Plus largement, l'auteur ne s'attache pas au seul personnage de Jésus, mais traite aussi de son entourage familial, de ses disciples, et de Paul, le vrai fondateur du christianisme.
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Afin de dissiper toute confusion chez l'éventuel futur lecteur, il faut préciser que cet ouvrage ne traite pas de croyances ni de religion mais uniquement d'histoire. Il permet une approche du contexte de l'époque de Jésus, ce que l'on sait sur cet homme dont les apôtres et Jacques son propre frère délivraient le message et Paul qui a transformé le juif Jésus, homme de Palestine, en être surnaturel, fils de Dieu, image que l'Église a retenu.
Sont également abordés : les contemporains de Jésus et le contexte géopolitique dans lequel il a évolué...
Une part est aussi réservée à la rédaction des Évangiles, leurs similitudes et contradictions...
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un livre d'un grand intérêt qui nous eclaire sur la période dans laquelle jesus a vécut, sur le contexte historique dans lequel il a commencer ses prêches. Ce livre nous donne également des informations sur le pourquoi de certains mensonges de l'eglise . Il nous donne également des précisions sur l'après jesus et sur le développement du christiannisme. Néanmoins pour moi ce livre n'explique pas pourquoi le jesus historique qu'il décrit est devenu jesus christ. L'auteur nous dit que le message d'amour et de paix du christ est un message faussé transformé par ses disciples et les disciples de ses disciples. Néanmoins en lisant les évangiles et notament les evangiles apocryphes de thomas et marie j'ai du mal a souscrire a cette version . Pour moi il y a un fait manquant qui ne ressort pas dans le livre , un fait que l'on ne connaitra surement jamais , néanmoins cela n'enleve rien à l'intérêt de ce livre.
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Hégésippe, qui appartenait à la deuxième génération de disciples de Jésus, confirme le rôle de Jacques à la tête de la communauté chrétienne dans son histoire en cinq tomes de l’Église primitive. « L’administration de l’Église, écrit-il, échut en même temps que les apôtres au frère du Seigneur, Jacques, que tous, depuis l’époque du Seigneur jusqu’à la nôtre, appellent ‘’le Juste’’, pour le distinguer des nombreux Jacques. » Dans l’Épitre de Pierre, texte non canonique, le principal apôtre et chef des Douze qualifie Jacques de « seigneur et évêque de la Sainte Église. » Clément de Rome (30-97 EC), qui succédera à Pierre dans la ville impériale, s’adresse dans une lettre à Jacques à l’ « évêque des évêques, chef de Jérusalem, de la sainte assemblée des Hébreux et de toutes les assemblées ». Dans l’Évangile de Thomas, écrit entre la fin du Ier et le début du IIe siècle, c’est Jésus lui-même qui nomme Jacques son successeur : « Les disciples dirent à Jésus : ‘’Nous savons que tu nous quitteras ; qui se fera grand sur nous ?’’ Jésus leur dit : ‘’Au point où vous en serez, vous irez vers Jacques le Juste : ce qui concerne le ciel et la terre lui revient.’’ »

Clément d’Alexandrie (150-215 EC), Père de l’Église des débuts, affirme que Jésus transmit un savoir caché à « Jacques le Juste, à Jean et à Pierre », qui, à leur tour, « le transmirent aux autres apôtres », mais n’en note pas moins que, de ce trimvirat, ce fut Jacques qui devint « le premier, comme nous le disent les annales, à être élu au trône épiscopal de Jérusalem ». Dans son De viris illustribus, saint Jérôme (env. 347-420 EC), qui traduisit la Bible en latin (la Vulgate), écrit que, après que Jésus fut monté aux cieux, Jacques fut « aussitôt nommé évêque de Jérusalem par les apôtres ». De fait, Jérôme tient que la sainteté et la réputation de Jacques auprès de la population étaient si grandes que l’on imputait la destruction de Jérusalem à sa mort. Jérôme fait allusion à une tradition issue de Josèphe, que relève aussi le théologien chrétien Origène (env. 185-254 EC) et qui est consignée dans l’Histoire ecclésiastique d’Eusèbe de Césarée. Josèphe déclare que « ces malheurs [la révolte juive et la destruction de Jérusalem] arrivèrent aux Juifs à l’occasion du crime qu’ils commirent contre Jacques le Juste : il était frère de Jésus qu’on appelle le messie, et les Juifs le mirent à mort malgré sa justice éminente ». Commentant ce passage, qui n’existe plus, Eusèbe écrit : « Jacques était si admirable et si vanté de tous pour sa justice, que les gens sensés parmi les Juifs pensèrent que son martyre fut la cause du siège qui suivit immédiatement » (Histoire ecclésiastique, II, 19-20).

Même le Nouveau Testament confirme le rôle de Jacques à la tête de la communauté chrétienne. C’est Jacques qui figure habituellement en premier parmi les « colonnes », devant Pierre et Jean ; Jacques, qui envoie personnellement des émissaires aux diverses communautés éparpillées dans la Diaspora (Galates, 2, 1-14) ; lui, à qui Pierre fait le rapport de ses activités avant de quitter Jérusalem (Actes, 12, 17) ; lui, qui préside la réunion des « anciens » devant qui Paul vient rendre des comptes (Actes, 21, 18) ; lui encore, qui préside le concile apostolique, qui s’exprime en dernier durant les délibérations, et dont la décision est sans appel. De fait, après le concile, les apôtres disparaissent du reste du livre des Actes. Mais non Jacques. Au contraire, la funeste querelle entre Jacques et Paul, au cours de laquelle Jacques chapitre publiquement Paul pour ses enseignements déviants en exigeants qu’il fasse amende honorable au Temple, conduit au point d’acmé du livre : l’arrestation de Paul et son transfèrement à Rome. (pp. 268-270)
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- Les Zélotes - : Les Zélotes ne doivent pas être confondus avec les membres du parti zélote qui surgirait soixante ans plus tard, après la révolte juive de 66. Du vivant de Jésus, "zélote" ne renvoyait à aucun sectarisme formel ni à aucune faction politique. C'était une philosophie, une aspiration, un modèle de piété inextricablement lié aux attentes apocalyptiques qui s'étaient emparées des Juifs à la suite de l'occupation romaine. Le sentiment régnait, en particulier dans la population rurale et chez les déshérités craignant Dieu, que la configuration du monde telle qu'on la connaissait touchait à sa fin, qu'un ordre nouveau et d'inspiration divine allait prévaloir sous peu. Le royaume de Dieu était à portée de main. Tout le monde en parlait. Mais le règne de Dieu ne pouvait être instauré que par le "zèle" de ceux qui combattaient pour lui.
- Les Sicaires - : Les Sicaires étaient des Zélotes nourris d'une vision eschatologique du monde et animés du désir ardent d'instaurer le règne de Dieu sur la terre. Ils s'opposaient avec fanatisme à l'occupation romaine, même si leur vindicte s'exerçait contre les Juifs, en particulier la riche aristocratie sacerdotale inféodée au pouvoir romain. Ignorant la peur et impossibles à contenir, les sicaires assassinaient leurs adversaires en toute impunité : en pleine ville, en plein jour, au milieu de l'immense affluence de pèlerins lors des célébrations et des grandes fêtes. Ils se fondaient dans les assemblées et dans la foule, poignard dissimulé sous leur manteau, jusqu'à s'être assez approchés pour frapper. Puis, tandis que leur victime s'écroulait au sol, couverte de sang, les sicaires rengainaient furtivement leur arme et joignaient leurs voix aux cris d'horreur de la foule affolée.
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Que Jésus ait eu des frères, malgré la doctrine catholique de la virginité perpétuelle de sa mère Marie, est pratiquement incontestable. C'est un fait régulièrement attesté tant par les Évangiles que par les lettres de Paul. Même Flavius Josèphe mentionne le frère de Jésus, Jacques qui allait devenir le chef le plus important de l’Église chrétienne primitive après la mort de Jésus. Il n'existe aucun argument rationnel susceptible de s'inscrire en faux contre l'idée que Jésus appartenait à une famille nombreuse ; elle comportait au moins quatre autres frères nommés dans les Évangiles (Jacques, Joseph, Simon et Judas) et une nombre inconnu de sœurs qui, bien que mentionnées dans les Évangiles restent malheureusement anonymes.
On connaît beaucoup moins de choses sur le père de Jésus, Joseph, qui disparaît vite des Évangiles après les récits de la petite enfance. Les chercheurs s'accordent à croire que Joseph mourut quand Jésus était encore enfant. Mais certains pensent qu'il n'a même jamais existé, qu'il était une production de Matthieu et de Luc (seuls évangélistes à le mentionner) afin de justifier une création infiniment plus controversée : la naissance virginale.
D'une part, le fait que Matthieu et Luc la mentionnent tous deux dans leurs récits de l'enfance de Jésus, bien que l'on estime qu'ils n'avaient aucune connaissance de leurs œuvres respectives, indique que la tradition de la naissance virginale s'établit très tôt, peut-être avant le premier Évangile, celui de Marc. D'autres part, hormis les récits de Matthieu et de Luc, personne d'autre n'y fait même la moindre allusion dans le Nouveau Testament : ni l'évangéliste Jean, qui présente Jésus comme un esprit appartenant à un autre monde et dénué d'origines terrestres, ni Paul, qui voit Jésus comme l'incarnation même de Dieu. Cette absence a conduit à une abondance de spéculation chez les érudits : la naissance virginale fut-elle inventée pour masquer une vérité dérangeante sur les parents de Jésus - en clair, qu'il était né hors des liens du mariage ?
Le débat ne date pas d'hier ; il fut lancé par les adversaires du mouvement de Jésus dès le tout début. Celse, écrivain du 2ème siècle, relate une version calomnieuse qu'il affirme tenir de la bouche d'un Juif palestinien, à savoir que la mère de Jésus avait été fécondée par un soldat dénommé Panthera.
[...] Lorsqu'il commence à prêcher dans son village natal de Nazareth, Jésus se heurte aux on-dit des voisins, dont l'un s’exclame sans ménagement : < < Celui-là n'est-il pas le fils de Marie ? > > (Marc 6, 3). C'est une formulation sidérante, de celles que l'on n'écarte pas d'un geste désinvolte. Appeler, en Palestine, un fils premier-né juif par le nom de sa mère -à savoir, Jésus "bar Marie", au lieu de Jésus "bar Joseph"- n'est pas seulement inhabituel : c'est un affront caractérisé. Au minimum une insulte délibérée.
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Les soldats ne firent pas de quartier. Hommes, femmes, enfants, riches, pauvres, ceux qui avaient rejoint la rébellion, ceux qui étaient restés fidèles à Rome, les aristocrates, les prêtres : tous furent indifféremment massacrés. Ils brûlèrent tout. La ville entière était un brasier. Le rugissement des flammes se mêlait aux cris d’agonie à mesure que les Romains s’abattaient par nuées sur la ville haute et la ville basse, jonchant le sol de cadavres, pataugeant dans des fleuves de sang, escaladant littéralement les entassements de corps à la poursuite des rebelles. Jusqu’au moment où ils arrivèrent en vue du Temple. Une fois les derniers combattants rebelles pris au piège dans la cour intérieure, les Romains embrasèrent les fondations de l’édifice. On aurait pu croire que le mont du Temple bouillonnait de feu et de sang à sa base. Les flammes enveloppèrent le saint des saints, la résidence du Dieu d’Israël, qui s’effondra, réduit à un empilement de cendres et de poussière. Lorsque les feux moururent enfin, Titus ordonna de raser ce qu’il restait de la ville, afin que les générations futures oublient jusqu’au nom de Jérusalem.
(…)
On ne pouvait se méprendre sur les intentions de Vespasien : il ne s’agissait pas d’une victoire sur un peuple, mais sur son Dieu. Ce n’était pas la Judée ni le judaïsme qui avaient été défaits. Titus présentait publiquement la destruction de Jérusalem comme un acte de piété et une offrande aux dieux romains. Le mérite du succès ne lui revenait pas, proclamait-il. Il s’était contenté de prêter ses bras à son dieu, qui avait montré son courroux contre le Dieu des Juifs.
(…)
Dans les années à venir, les Juifs allaient se démarquer de plus en plus de l’idéalisme révolutionnaire qui avait conduit à la guerre avec Rome. Ils ne renonceraient pas entièrement à leurs attentes eschatologiques. Au contraire, toute une littérature apocalyptique fleurit au cours du siècle suivant, exprimant leur aspiration durable à une intervention divine qui les libérerait du joug des Romains. Les effets persistants de la ferveur messianique devaient même susciter une seconde et courte guerre juive contre Rome en 132 EC, celle-là conduite par le messie nommé Simon fils de Kochba. Dans l’ensemble, cependant, les circonstances et la crainte de représailles romaines inciteraient les rabbins du IIe siècle à élaborer une interprétation du judaïsme qui se garderait du nationalisme. Ils en viendraient à concevoir la Terre sainte sous un jour plus transcendantal, favorisant une théologie messianique qui rejetait les ambitions politiques déclarées, tandis que les actes de piété et l’étude de la Loi remplaceraient les sacrifices du Temple dans la vie du Juif observant. (pp. 112-115)
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Les chrétiens d’aujourd’hui reconnaîtront le portrait que fait Paul de Jésus en Christ – il est devenu depuis lors la doctrine classique de l’Église –, mais il dut profondément déconcerter les disciples juifs de Jésus. La transformation du Nazaréen en fils de Dieu au sens littéral, préexistant et divin, dont la mort et la résurrection déterminent un genre nouveau d’êtres éternels chargés de juger le monde, ne se fonde sur rien de ce qui fut écrit sur Jésus, même vaguement contemporain des textes pauliniens (un indice solide que le Christ de Paul relevait de sa création personnelle.) Rien de comparable à ce qu’il propose n’existe dans les matériaux de la source Q, qui fut compilée à peu près au moment où Paul écrivit ses lettres. Le Christ de Paul ne ressemble en rien au Fils de l’homme qui apparaît dans l’Évangile de Marc, rédigé quelques années seulement avant la mort de l’apôtre. Nulle part dans les Évangiles de Matthieu et de Luc – composés entre 90 et 100 EC – Jésus n’est présenté comme le fils de Dieu au sens littéral. Les deux Évangiles emploient le terme « Fils de Dieu » exactement selon l’usage qui en est fait tout au long des Écritures hébraïques : un titre royal, non une caractérisation. C’est seulement dans le dernier des Évangiles canoniques, celui de Jean, écrit à un moment quelconque entre 100 et 120 EC, que Jésus apparaît en Christ – le logos éternel, fils unique engendré par Dieu –, la vision de Paul. A ce moment-là, certes, presque cinquante ans après la destruction de Jérusalem, le christianisme était déjà une religion entièrement romanisée et le Christ de Paul avait depuis longtemps oblitéré la dernière trace du messie juif en Jésus. Cependant, pendant les années 50 où il écrit ses lettres, la conception que Paul se fait de Jésus en Christ devait scandaliser et paraître tout simplement hérétique, raison pour laquelle, vers 57 EC, Jacques et les apôtres le convoquèrent à Jérusalem pour répondre de ses enseignements déviants.
(...)
Toujours est-il que le concile semble s’être achevé avec la promesse de Jacques, chef de l’assemblée de Jérusalem, de ne pas contraindre les disciples païens de Paul à la circoncision. Pourtant, la suite des événements montre que Jacques et lui étaient loin d’être réconciliés ; presque aussitôt après que Paul eut quitté Jérusalem, Jacques entreprit d’envoyer ses propres missionnaires aux communautés de Galatie, de Corinthe, de Philippes et de nombreux autres endroits où Paul avait fait des adeptes, afin de rectifier ses enseignements peu orthodoxes sur Jésus. (pp. 256-259)
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