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EAN : 9782812923470
178 pages
De Borée Editions (19/04/2018)
3.68/5   11 notes
Résumé :
Nom : Le Stang. Prénom : Roch. Age : 46 ans et des broutilles. Raison sociale : commissaire divisionnaire, patron de la DIPJ de Bordeaux. Signe particulier : Breton abrupt, taillé dans le granite. Pourquoi cette convocation du directeur général de la " Grande maison " et cette brillante promotion au rang de contrôleur général sonnent-elles pour lui comme une sanction, une mise à l'écart, un avertissement qui viendrait " d'en haut"? C'est le début de cinq jours fous.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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L'histoire en général est assez intéressante. Ce qui m'a par contre dérangée c'est que le roman se déroule sur une durée de 5 jours et que l'on a l'impression qu'il ne se passe pas beaucoup de choses…
Je ne sais pas si c'est dû au style de l'auteur ou au fait que les idées sont un peu éparpillées et peut-être un peu trop différentes les unes des autres.

Le style de l'auteur est fluide mais Patrick Tudoret ne va pas à l'essentiel. J'ai parfois eu l'impression qu'il voulait ralentir les situations. Mais à trop vouloir les ralentir j'avoue que j'avais envie de terminer ce livre pour découvrir un autre livre… C'est dommage !
L'enquête en elle-même m'a plu, les idées sont bien trouvées mais justement pas assez approfondies. Il manque vraiment des retournements de situations pour donner de la vie à ce roman.

J'ai bien apprécié par contre le fait que les jours et les heures soient clairement indiqués. Ainsi on se rend compte du temps qui s'écoule. Les chapitres sont assez courts, mais se terminent en général sur du suspense ce qui est une bonne chose.
Il n'y a qu'un seul point de vue qui est vraiment exploité et il est externe, c'est frustrant… J'aurais bien voulu en avoir plusieurs pour donner une autre dimension au roman et ainsi en découvrir davantage de chose sur les autres protagonistes.

Concernant les descriptions elles sont rares… J'aurais bien aimé pouvoir m'imaginer les personnages, leurs ressentis et les lieux. Malheureusement sans détails c'est assez difficile… J'ai même parfois oublié les noms de certains personnages et leurs relations les uns avec les autres.
Concernant les lieux, pour les personnes qui habitent Paris c'est intéressant puisque les rues sont indiquées, le lecteur peut donc retracer le parcours du protagoniste. Pour les autres, dont moi, c'est plus compliqué… les noms des rues n'aident pas à s'imaginer l'environnement.

La fin ne m'a pas vraiment plu, je m'attendais à un épilogue plus surprenant… On peut par contre s'attendre à une suite puisque finalement le changement de vie du protagoniste ne fait que commencer.
Je n'aime pas rester avec une mauvaise impression donc si j'en ai l'occasion je pense lire un autre roman de l'auteur pour me faire une autre idée.
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A quarante six ans et quelques broquilles, le commissaire divisionnaire le Stang Roch, responsable du DIPJ de Bordeaux, peut s'estimer satisfait de sa carrière dans les forces de l'ordre. Côté marital, c'est un peu moins bien car il est divorcé, mais on ne réussit pas tout dans la vie.

Aussi la nomination comme contrôleur général, signification émanant des instances supérieures sans passer par la voie hiérarchique, le gêne aux entournures. Il ressent cette promotion comme une mise au placard.

Une même impression ressentie par son ancien patron Keller, lorsqu'il lui fait part de cette décision. Roch est monté à Paris afin de lui en parler et il prend une chambre à l'hôtel, dans le quartier de Montparnasse-Bienvenüe. Et dans le métro, alors que sa rame est à l'arrêt, il remarque dans le wagon qui lui fait face une femme aux yeux cernés, pas par la police, qui écrit sur la vitre son prénom et SOS.

Cette femme lui dit vaguement quelque chose, comme un souvenir enfoui dans les limbes de sa mémoire. C'est le soir, alors qu'il cherche à s'endormir, qu'il se remémore un épisode amoureux qui s'est déroulé vingt ans environ auparavant.

Claire ! C'est Claire, qu'il a fréquenté durant quelques semaines et qu'il avait perdu de vue lorsqu'il avait été muté en province. Il n'avait pas répondu à ses lettres, et la vie avait fait qu'il s'était marié avec Marie et depuis divorcé.

Son séjour va être mouvementé, riche, si l'on peut dire, en événements troublants, car outre cette nomination surprise qu'il n'accepte pas de bon coeur, son passé ressurgit apportant son lot de stupéfactions.

Cinq jours dans la vie d'un homme, c'est court, et c'est long. Cela dépend de ce qu'il se passe, et le Stang les trouvera très longs ces jours qui défilent pourtant à toute vitesse, ponctués d'incidents en tous genres, dont une tentative de meurtre par balle à laquelle il échappera. Et les questions fusent encore plus. Surtout lorsqu'une affaire bordelaise dont il s'est occupé quelques mois auparavant ressurgit inopinément, établissant un lien ténu avec ce qu'il lui arrive. Mais par quel bout prendre ce lien.

Comme c'est un membre bien placé dans la Grande maison, et qu'il sera secondé activement par des collègues, aussi bien à Bordeaux qu'à Paris, il peut fouiner dans les archives, établir des écoutes téléphoniques, accéder à certains dossiers, tous privilèges dont ne bénéficie pas le commun des mortels.



Breton pure souche, Roch le Stang s'érige comme un roc, un menhir, ne laissant que peu de place aux émotions. Pourtant au cours de ces cinq journées, il passera par de nombreux sentiments qui l'amèneront à réfléchir et à étaler des troubles qui lui étaient inconnus, ou enfouis au plus profond de lui-même.

Patrick Tudoret décrit avec réalisme les tenants et aboutissants de la maison Poulaga comme aimait à décrire San-Antonio la fonction policière, mais en haut de l'échelle. Et comme il ne peut y avoir une histoire sans méchants, sans flic pourri, il en met un en scène, mais ce n'est pas le principal. Tout tourne autour du ministère de l'Intérieur et des différents organismes qui régissent le système policier.

Et comme apparemment il connait bien la boutique de l'intérieur, il ne peut s'empêcher de dénigrer les séries et fictions policières françaises, les jugeant peu réalistes, voire peu crédibles. Là-dessus, je n'émettrai aucun jugement, n'étant pas téléphage. Mais les séries américaines sont-elles tout autant crédibles ? Il faut du sensationnel pour attirer le téléspectateur, et moi, je n'adhère pas du tout. Je préfère les bons vieux flics à la Maigret, c'est plus reposant, mais ceci n'est qu'une question de sensibilité. Et l'on sait que ce qui est peu crédible approche souvent de la réalité que l'on ne veut pas voir ou nous montrer.
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A quarante-six ans, le commissaire divisionnaire responsable de la DIPJ de Bordeaux connaît un peu la vie pour l'avoir vécu. le Stang est un vieux singe à qui on n'apprend pas à faire la grimace. Il a une très belle carrière dans les forces de l'ordre et peut être fière de lui contrairement à sa vie personnelle où c'est un peu le désastre car il est divorcé.



Lorsque sa nomination comme contrôleur général tombe il est un peu septique surtout que cela vient d'en haut, de tout en haut de la chaîne alimentaire. Pour lui, cette nomination est suspecte, il prend cette promotion comme une mise au placard... On pourrait le penser un brin parano mais Keller, son ancien patron à le même ressenti que ce dernier. Soit ils sont tous les deux paranos ou il y a anguille sous roche ! le Stang monte sur la capitale pour pouvoir en discuter de vive voix. Il se prend une chambre à l'hôtel et décide de prendre le métro et là, il va voir une jeune femme cernée qui écrira son prénom et "SOS" sur la vitre.



Il a comme une impression de déjà vu, cette femme lui rappelle vaguement un souvenir mais il n'arrive pas à mettre la main dessus, il va se perdre dans le fin fond de sa mémoire jusqu'à ce qu'il trouve enfin qui elle est ! C'est le soir, dans son lit qu'il va se remémorer le souvenir heureux de cette rencontre, il y a vingt ans de cela. Il s'agit De Claire ! Il l'a fréquenté quelques semaines avant de ne la perdre de vue et qu'il soit muté en province. le malotru n'avait pas répondu à ses lettres et la vie a fait qu'il a rencontré Marie, qu'il s'est marié à elle et que cette union a pris fin car un divorce a suivi...



Son séjour à Paris va être mouvementé ! Il ne pourra pas dire qu'il se sera ennuyé avec les événements troublants, sa nomination surprise et son passé qui lui explose au visage pour mieux le remettre sur les rails, il a de quoi faire notre cher le Stang !



Durant cinq jours interminables pour le Stang mais qui filera à la vitesse de la lumière sera parsemés d'incidents en tous genres dont une tentative de meurtre contre sa personne ! Les questions commencent à fuser de toute part, qui veut sa peau ? Pourquoi ? Ajoutez à cela le fait qu'une vieille affaire qu'il a traité à Bordeaux refait surface à Paris, comme un cheveu sur la soupe, c'est à ne plus rien comprendre, et pourtant, des liens invisibles relient le tout. Il suffit de trouver le premier lien pour défaire ce capharnaüm mais c'est plus facile à dire qu'à faire...



Il sera très bien épaulé, que ce soit à Paris ou à Bordeaux, les collègues l'aident activement, ce qui va lui permettre de se jeter à corps et à cri dans les archives, établir des écoutes téléphoniques et accéder à certains dossiers...



Le Stang est un personnage que j'ai beaucoup aimé. Breton pur souche, il se tient droit comme un menhir d'Obélix 😛. Il ne flanchera pas et pourtant ces cinq jours vont être intenses, longues et riches en émotions. Il va passer par tout un panel et nous, nous allons le suivre dans son enquête et dans sa quête.



J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur que je découvre ici avec ce titre et j'espère que ce ne sera pas le denier. Il est très doué pour nous faire vivre une enquête. le récit est haletant, l'intrigue bien menée et cela m'a permise de mieux cerner les rouages policiers français parce que si je maîtrise le tout outre atlantique, pour ce qui est des services français, je ne suis pas très calée sur le truc...



En conclusion, ce livre est une très belle découverte que j'ai énormément aimé lire. J'ai adhéré à le Stang qui incarne un personnage haut en couleurs, j'ai aimé la trame de l'histoire. Les amateurs du genre vous ne pourrez que vous laisser prendre dans les filets de ce livre qui est parfait pour cet été en espérant qu'il ne soit pas acide 😉.


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Mon avis :
Les quatrièmes de couvertures sont là pour nous donner envie, pour vendre le produit… Rien d'étonnant, donc, d'y trouver des adjectifs au vernis assez étincelant pour attirer le regard. Mais sous le vernis, la peinture n'est pas toujours aussi éclatante.
Le roman de Patrick Tudoret ne manque pourtant pas d'atouts : écriture vive, personnages bien campés, suspense qui ne faiblit pas, histoire tortueuse à souhait…
Peut-être un peu trop tortueuse, justement. En fait, la rencontre du début, qu'elle soit fortuite ou provoquée, m'a paru tellement improbable qu'elle a influé sur la suite, et je n'ai pas cru à cette histoire. Et sans cette acceptation de la fiction pour vraie, il est difficile de rentrer dans un roman, même si les autres ingrédients sont là.
D'ailleurs, en parlant d'ingrédients, ceux décrits dans le résumé sont bien présents, mais ils restent en arrière-plan, le récit se concentrant plus sur les états d'âme du commissaire divisionnaire Roch le Stang. Résultat : le récit n'est finalement pas aussi tendu qu'on l'attendait ; ça n'en fait pas un mauvais roman (si l'on arrive à rentrer dans l'histoire), mais on a l'impression que la 4e de couverture ne tient pas ses promesses.
En conclusion, j'ai apprécié l'intrigue, pas la manière dont elle est traitée. Cependant, le style de l'auteur, sa plume habile et son humour tout en finesse offrent une lecture d'autant plus plaisante que le personnage principal est attachant. Si ce Printemps acide ne m'a pas complètement convaincu, au moins m'a-t-il donné envie de découvrir d'autres écrits de Patrick Tudoret.
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Patrick Tudoret réinvente le polar classique

Patrick Tudoret a délaissé la littérature blanche pour s'intéresser à un autre genre : le polar. Mais Patrick Tudoret aime la littérature bien plus que les « tendances littéraires », alors son polar, ce n'est pas du « noir », ce n'est pas un « thriller ». C'est un vrai polar classique du genre de ceux que nous proposait Simenon. Une affaire de meurtre, une enquête tortueuse, un détective à l'affût, des rebondissements et surtout un suspens intenable. Une recette simple et efficace : un détective, un crime étrange a été commis et le flic doit élucider le mystère.
Le commissaire divisionnaire Roch le Stang est en poste à Bordeaux. Sa carrière de policier a été exemplaire, sa vie privée en a pâti. Il est convoqué à Paris. On le nomme chef des « boeuf carottes ». Une belle promotion…
Une jeune femme de vingt ans est assassinée à Paris. le Stang comprend qu'il s'agit de la fille De Claire, son amour de jeunesse. La gamine pourrait être sa fille. le Stang est la cible de tirs, sans qu'il soit blessé. Il est au centre d'une énigme, dont il ne maîtrise absolument pas les éléments, il va découvrir une sale affaire commanditée par le ministère de l'Intérieur. le Stang va démêler la pelote. La fin sera sanglante, elle va causer des remous dans le milieu politique.
Un polar à l'ancienne qui a pu être inspiré par les histoires que l'auteur a entendu de son père, ancien commissaire.

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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Une gamine, âgée d’une vingtaine d’années à peine, avait été abattue cette nuit même. Elle était la fille de Claire, répondait au prénom de Rochelle – déclinaison féminine de son prénom – et avait des empreintes digitales identiques aux siennes à 99,9 %. C’était comme si un ouragan venait de passer sous son crâne. Comme si un séisme de magnitude neuf l’avait soudain secoué. Proust restait silencieux. Lui, l’homme d’action, le beau gosse souvent jalousé pour son charisme et la rapidité de son ascension, semblait démuni et ne sut offrir à Le Stang qu’un aller simple à l’institut médico-légal.
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D’après les premiers éléments de l’enquête, Rochelle était une « toxico d’habitude », comme on dit dans le métier. Accro à l’héroïne, elle avait été interpellée un an auparavant, mais avait réussi à se soustraire au contrôle judiciaire non sans avoir, par défaut, écopé d’une année de prison ferme.
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Les séries télé françaises, elles, flirtaient avec le pire… Des Navarro, Moulin et Lescaut, hors d’âge, avaient monopolisé l’antenne pendant trente ans, frottant leur arthrose chronique à des enquêtes languissantes. Pour eux, le glas de la retraite avait largement sonné. Quant aux séries récentes, inspirées du modèle américain, il les trouvait à peine plus convaincantes. Mais cet avis de flic scrogneugneu, qui ne regarde la télé qu’à l’hôtel quand l’ennui est vraiment trop lourd, n’était-il pas un peu sujet à caution... ?
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Sans doute n’avait-il rien fait pour en conjurer l’issue… Oui, il ne pouvait qu’en convenir : son putain de métier l’avait bouffé jusqu’à l’os. Plus qu’il ne l’aurait voulu, sans doute, mais c’était aussi un choix et il l’assumait. Un dernier verre à l’angle de la rue Castelmoron – chez Farid, ancien joueur de foot reconverti dans la limonade – et il regagnerait son gîte, plein des potins du milieu local, d’histoires de macs et de soldeurs de coke. On ne se refait pas. On ne se refait jamais.
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Ça faisait bien longtemps que Le Stang n’avait pas bu un aussi bon madère. C’était un de ses péchés mignons, mais il n’y sacrifiait que rarement. La France, se disait-il souvent, était trop sotte pour apprécier à sa juste valeur ce népenthès ambré né d’une lointaine Atlantide. On n’en trouvait quasiment nulle part.
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Videos de Patrick Tudoret (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Patrick Tudoret
Découvrez l'émission intégrale ici : https://www.web-tv-culture.com/emission/patrick-tudoret-en-marchant-53762.html
Voilà un livre qui fait un bien fou, un livre qui prend le temps, qui nous invite à l'introspection et nous invite surtout à marcher pour nous approcher de ce que nous sommes au plus profond de nous. « En marche », c'est le nouveau titre de Patrick Tudoret.
Il y eut le politologue, il y eut le chef d'entreprise, l'homme de media et puis il y a l'écrivain, l'écrivain polyformes qui s'exprime aussi bien dans l'essai que dans le roman ou la dramaturgie avec plusieurs pièces à son actifs.
Son 1er titre, « Impasse du Capricorne » sort en 1992 aux éditions de la Table ronde. D'autres titres suivront jusqu'en 2015 avec « L'homme qui fuyait le Nobl » paru chez Grasset qui lui permet d'atteindre un public plus large. A travers cet écrivain sélectionné pour recevoir le prestigieux prix et qui préfère partir sur les chemins pour s'en échapper, Patrick Tudoret nous racontait aussi une bouleversante histoire d'amour, de deuil et de résilience. Ce livre reste une référence, le genre de livre qu'on garde précieusement dans sa bibliothèque pour les bienfaits qu'il apporte mais que l'on a aussi plaisir à partager pour ses enseignements. Dans le même registre, mais cette fois-ci sous la forme de l'essai, Patrick Tudoret nous avait aussi séduits avec son « Petit traité de bénévolence » dans lequel il nous rappelait l'importance de l'ouverture aux autres.
On l'aura compris, dans notre monde d'urgence, de violence, de repli sur soi, Patrick Tudoret nous apporte par son écriture une salvatrice bouffée d'air frais.
Il le prouve cette fois-ci encore avec son nouveau livre « En marchant » paru chez Tallandier. A travers son expérience personnelle mais aussi en convoquant d'autres écrivains, il nous raconte l'importance de ces quelques pas qui deviennent des kilomètres, l'art de la marche qui nous permet de nous recentrer sur nous-mêmes, de revenir à l'essentiel tout en restant attentif à la rencontre et à l'inattendu.
Porté par une écriture douce, poétique, riante aussi, ce livre qui mêle étroitement pérégrinations pédestres, vagabondage philosophique et littéraire, souvenirs personnels et interrogations sur le sens de l'existence fait un bien fou. Que vous soyez vous-même adepte de la marche ou que vous vous disiez « un jour je m'y mettrai », emparez-vous de ce joli livre qui est avant tout un acte de vie et aussi un acte de foi.
« En marchant » de Patrick Tudoret, est publié chez Tallandier
+ Lire la suite
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