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EAN : 9782702448762
288 pages
Le Masque (06/02/2019)
4.16/5   129 notes
Résumé :
Hambourg, pendant le terrible hiver de 1946-1947.
Pour survivre, le jeune Hanno Dietz et sa petite soeur Wiebke arpentent les ruines, espérant y dénicher des objets à revendre ou à troquer au marché noir.
Un jour, tandis que Hanno découvre le cadavre d'une femme, Wiebke trouve un garçonnet de trois ou quatre ans. Leurs parents acceptent de recueillir l'enfant. Il sera prénommé Joost, mais sa véritable identité demeurera un mystère.
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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
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Une nouvelle fois je me suis fié aux avis des amies et amis babeliotes et je dois dire qu'une fois de plus , je n'ai absolument pas regretté de leur avoir accordé ma confiance . Commencé hier matin , terminé ce matin , conquis , séduit. J'avais beaucoup aimé et appris de " la trilogie hambourgeoise " de Rademacher et je dois d'ores et déjà reconnaître que , sans aucunement plagier , ce roman est un extraordinaire et diffèrent complément. Encore une fois , on trouvera certes une énigme policière mais aussi et surtout une formidable peinture de l'immédiat après- guerre en Allemagne , une belle fresque sociale qui va nous placer au coeur de deux familles en quête de survie , les Dietz et les Anquist , les uns moins aisés que les seconds mais dont le sort restera bien précaire face aux manques , aux jalousies et aux adversités nées de cette période trouble où le danger rôde encore malgré la fin des combats .Quels mystères, quels secrets peuvent cacher certains survivants ? C'est , en 1992 , ce que s'efforce de découvrir Anna à qui la mère refuse de livrer le moindre détail .....La quête d'Anna ressemble à une mission impossible , tout comme celle de Joost , un enfant de 3 ans , trouvé dans les décombres , tenant à la main un curieux bouton , et adopté par les Dietz....Mystères de la vie , que d' aucuns veulent taire , que d'autres veulent connaître....Chacun ses raisons , mais qui a raison ? Vaste débat qui ravage parfois des existences...
Formidable quête identitaire , fabuleuse page d'histoire du quotidien de l'après- guerre dans un monde resté impitoyable , enquête policière, ce livre possède une foule d'atouts et se vit avec délectation, si je puis m'exprimer ainsi , tant le sujet est grave , du début à la fin . L'alternance des époques, des vécus , donne une terrible efficacité aux propos et , si le lecteur peut mettre à jours certains éléments , l'intérêt ne faiblit jamais .Les personnages sont parfaitement " campés " , généreux, adorables, humains, violents , hypocrites , méprisants, un panel de portraits qui , hélas, pourraient encore avoir leur place dans nombre d'ouvrages d'histoire contemporaine...
A propos des personnages , je dois avouer que j'ai éprouvé quelques difficultés à les " mettre en place " dans mon " ordinateur perso " et j'ai même, je l'avoue , fait marche - arrière au bout de 40 à 50 pages .Franchement , j'ai bien fait , une attention plus soutenue m'a permis de tout " bien caler " et de passer un excellent moment .
Encore merci , donc , pour vos conseils , amies et amis , et , à mon tour , je voudrais , vous inciter à lire, si ce n'est déjà fait , la " trilogie hambourgeoise " pour retrouver ce dont les livres d'Histoire ne nous parlent jamais , la vie quotidienne dans une puissance déchue de l'immédiat après- guerre......Je vous l'assure , l'intérêt y est aussi intense....
Continuez à prendre soin de vous....une guerre met bien du temps à trouver son vrai épilogue....
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Des secrets d'identité bien enfouis dans l'Allemagne déchue
*
Oscillant entre le ton policier, historique et aussi thriller domestique, ce roman a tout pour plaire.
L'histoire se passant majoritairement à Hambourg (le nord de l'Allemagne) et débutant en 1946, à l'entrée d'un terrible hiver.
Un roman polyphonique qui laisse la place à des récits intimistes.
Une quête de vérité, de recherche identitaire est lancée dans les années 80 par une jeune femme.
Voilà pour le fil rouge déroulé tout au long de cette intrigue.
*
Une enquête sous forme de reportage relate les faits administratifs, avec une certaine froideur, au ton sec et précis. Puis à nouveau la narration si riche en émotions de ces personnages attachants qui ont vécu cette période difficile de l'Occupation par les Russes.
On se sent happé par ces citoyens allemands qui ont eu une vie tourmentée (déjà aperçu dans le roman La gouteuse d'Hitler).
*
Le titre en VO "Trummer Kind" est plus explicite. ll veut dire "enfant réduit en miettes". Comment ne pas s'apitoyer sur ce petit garçon recueilli dans le tas de décombres? Un être morcelé qui cherche à reconstituer le puzzle de son histoire familiale.
*
Un thriller historique aux multiples rebondissements et au suspense bien distillé.
L'affaire des meurtres est bâclée assez vite, peut-être pour justement nous montrer que l'essentiel n'est pas l'intrigue en elle-même mais plutôt valoriser le contexte historique (dénazification, la survie sous l'Occupation, les flous administratifs ou plutôt "vide juridique" post-guerre, la reconstruction d'un pays....).
*
L'Allemagne a aussi eu son lot de victimes innocentes. Encore un auteur allemand qui a eu le cran d'écrire sur cette souffrance oubliée.
*
Merci à NetGalley
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Aussi moche qu'une guerre ? L'après.
Inversion des rôles, vengeance aveugle & désordonnée, lutte pour la survie, deuil...

Ici, en 1945 dans l'Uckermark (région au nord de Berlin) : avec la débâcle nazie, l'Armée rouge chasse les populations allemandes vers l'ouest. Et c'est violent, cruel.
« Les routes étaient bloquées par des colonnes de réfugiés. Depuis des jours, on entendait le rugissement des orgues de Staline enfler au-dessus des lacs et des collines paisibles et se rapprocher inexorablement. »

Les soldats russes pillent, massacrent, violent ceux qu'ils trouvent en avançant en terrain conquis.
Dans les campagnes, les propriétaires terriens sont expropriés, leurs biens sont récupérés par les nouveaux vainqueurs (Russes, Anglais).
En ville, des civils périssent sous les bombes, meurent de faim, de froid.
Les rares hommes rescapés rentrent du front ou des camps en triste état, gueules cassées dedans & dehors.
C'est le chaos. Un chaos tel que beaucoup regrettent « l'ordre nazi ».
Tout est contrôlé par les nouveaux occupants ou détruit. On doit se débrouiller pour se chauffer et se nourrir malgré les pénuries et le rationnement.

J'étais peu attentive pendant les cours d'Histoire de 3e et de Terminale. Mais je crois que cet aspect de la seconde Guerre mondiale (le triste revirement pour la population allemande, les cruautés des 'Alliés' d'alors) n'était pas évoqué, ou vite éludé. Ça m'aurait marquée. De la fin de cette guerre, je ne revois dans mes manuels d'Histoire que la liesse de la France libérée. Même les procès sauvages de l'épuration, je les ai plutôt lus dans des romans, plus tard, que dans mes livres scolaires.
Bref, ce sujet me semble développé depuis peu.
Sur ce thème, lire aussi 'Le disparu', de Hans-Ulrich Treichel.

Mechtild Borrmann rend très bien compte de cet épisode de l'Histoire allemande, avec finesse et sensibilité. Ce roman a des allures de thriller familial et de jeu de piste. On s'y promène entre deux périodes et trois lieux principaux. On peut s'y perdre un peu, notamment à mi-parcours car les personnages se multiplient et se croisent, forcément.

Mentions spéciales
- au petit Joost, l'enfant 'des débris' ;
- au jeune Hanno qui endosse beaucoup trop tôt le rôle de chef de famille ;
- à leur formidable maman Agnes.

Ce roman historique est aussi un hommage poignant à toutes les familles séparées à jamais par des guerres, des génocides ou à cause de décisions politiques autoritaristes et folles.
Pensée à tous ceux qui vivent ça en ce moment, à qui les gouvernements refusent un accueil digne sur notre 'terre d'accueil', qui en meurent...
___

• Pour une fois, la petite phrase sur la première de couverture est inspirante : « Par l'auteur du 'Violoniste', grand prix des lectrices de ELLE Policier. »
Le magazine ELLE, je ne le lis pas. Mais les policiers-thrillers primés par les lectrices de son jury, si.
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Voici un roman historique doublé d'une quête incessante d'identité , à l'allure de thriller mais ce n'est pas ce que je retiendrai.

En avril 1945 , l'Allemagne nazie s'effondre , à Hambourg ,au nord, où se passe majoritairement le roman ,les russes arrivent , les habitants luttent pour survivre , surtout pendant le terrible hiver 1946 - 1947 .
Une deuxième période se déroule à Cologne en 1992, 1993….en alternant les chapitres ..


L'auteure dresse le portrait de deux familles en quête de survie , les Dietz et les Anquist , les premiers bien moins lotis, d'ailleurs : Hanno Dietz , courageux endosse très tôt le rôle de chef de famille , il transportait des morceaux de charbon dans une charrette , des poutres , des chambranles de portes , des tuyaux , colliers de serrage et autres matériaux , tout ce qui pouvait rapporter de l'argent au marché noir afin de supporter la période de grand froid , sans dire , bien sûr à sa mère Agnès courageuse couturière qui allait casser des cailloux , d'où provenait cette manne ….
Il fallait tenter de s'en sortir !

C'est l'histoire de la survie dans un monde de décombres , sous les bombardements , les destructions , les combats , la désolation, la famine , sous le rugissement des orgues de Staline dans une Hambourg qui n'est plus que ruines ….
Les Anquist , eux se réfugient ou plutôt se terrent dans une cabane au bord d'un lac pas loin de leur ancienne maison de maître …

Un jour Hanno Dietz découvre un enfant , «  l'enfant des débris » , le petit Joost , il devait avoir trois ou quatre ans , engourdi par le froid , tout près d'une femme morte , le corps nu…..
L'auteure dresse une intense fresque sociale, peinture très documentée, passionnante , réaliste, remarquable , de l'immédiate après - guerre en Allemagne , fourmillant de détails …..

L'Allemagne a eu aussi son lot de victimes innocentes : des civils périssent, soit sous les bombes, soit de faim ou de froid , soit abattues ou encore violées par les russes …

Elle déroule aussi avec sensibilité et finesse les secrets de meurtres jamais résolus plus de quarante ans après ….

Quête familiale , survie , secrets d'identités enfouis dans l'Allemagne nazie , mystère jamais résolu, enquête , rumeurs malveillantes, souffrances , mensonges ,nombreux jeux de piste , photos , hasards , petit bouton décoratif délicatement ciselé ….Je n'en dirai pas plus .

C'est un excellent roman historique, roman policier aussi ,thriller familial ? , dévoré en une journée, formidablement documenté , pétri d'émotions et de rebondissements , au suspense bien étayé , sur deux périodes et trois lieux principaux ….
On ne lâche pas cet ouvrage !
Une polyphonie magistrale dotée de personnages attachants.
Emprunté par un heureux hasard à la médiathèque.
J'avais lu «  le violoniste » .de cette femme de lettres .

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Allemagne, fin de la guerre.
Le pays paie comptant le prix de la folie de ses dirigeants nazis. Bombardements, destruction, désolation, famine, occupation. A Hambourg qui n'est plus que ruines, la famille Dietz survit tant bien que mal. le père est porté disparu, la mère casse des cailloux et fait des travaux de couture pour les anglais, le fils, Hanno, fouille les décombres à la recherche de matériaux à revendre ou de bouts de bois pour alimenter le poêle, la fille Wiebke, est mutique depuis la déflagration qui a pulvérisé leur maison. La famille vit dans une petite pièce, la faim au ventre, le froid paralysant leurs membres. Pourtant, quand, lors d'une de leurs fouilles, les enfants trouvent un petit garçon de trois ans à peine, seul, non loin du cadavre nu d'une femme, sans doute sa mère, Agnes Dietz n'hésite pas à le recueillir. Baptisé Joost, il devient un membre à part entière de la famille.
Plus à l'est, dans l'Uckermark, l'Armée Rouge, violente, conquérante, exproprie les propriétaires terriens, viole les femmes, chasse les populations dans la douleur et le sang. Les Anquist laissent derrière eux un domaine florissant et leurs espoirs d'un retour à une vie normale. Prévoyants, les Anquist ne sont pas démunis et entraînés par l'énergique Clara, la fille du patriarche, ils traversent l'Allemagne en direction de Hambourg, son port, un bateau vers l'Espagne et un nouveau départ.
Des années plus tard, en 1992, Joost Dietz, devenu architecte, est chargé de restaurer le domaine Anquist. Sa route croise celle d'Anna, la fille de Clara, venue là sur les traces d'une histoire familiale que sa mère a toujours tue. Ensemble, ils vont déterrer les secrets du passé.

Même s'il est classé ‘'polar'' et qu'une ancienne affaire criminelle y est résolue, Sous les décombres n'est pas un roman policier au sens classique. C'est surtout un prétexte pour Merchtild Borrmann de raconter son pays, son peuple, lors de la difficile période de la fin de la seconde guerre mondiale. L'Allemagne est alors à genoux et les Allemands, coupables aux yeux du monde, subissent le sort des vaincus. Dans une ambiance délétère où chacun ne pense qu'à sauver sa peau et à survivre, où il n'y a plus ni lois ni règles, certains ont conservé leur humanité, savent partager le peu qu'ils ont, aider ceux qui ont tout perdu, d'autres se laissent aller à leurs pires instincts, jalousent, convoitent et peuvent aller jusqu'à tuer pour s'enrichir.
Si le suspense n'est pas haletant -certains mystères sont vite résolus-, ce roman réserve tout de même son lot de surprises et se dévore littéralement. Grâce à ses personnages dans la tourmente et ses descriptions de la vie quotidienne des allemands dans l'immédiat après-guerre, Sous les décombres est un livre qui mérite le détour. le passé et le présent s'y mêlent, prouvant encore une fois que pour se construire et aller de l'avant, il faut connaître son histoire et l'histoire de ses parents.
A la fois roman historique, roman policier, roman psychogénéalogique, Sous les décombres est surtout le roman de la souffrance des Allemands, souvent oubliée par les livres d'Histoire. A lire absolument.
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Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
A la suite de l'incendie qui ravagea Hambourg à l'été 1943, quand ils réussirent à ramper hors de l'abri où ils avaient failli périr asphyxiés, ils ne possédaient plus rien, que les vêtements qu'ils avaient sur eux. (...)
Combien de temps restèrent-ils là où la rue passait jadis, sans comprendre ce qu'ils voyaient, il n'aurait pas su le dire. Mais la mère Kröger qui divaguait au milieu des ruines en hurlant le Notre-Père, le vieux Vogler qui gémissait inlassablement en invoquant le châtiment de Dieu et Mme Weiser qui restait assise à l'entrée du bunker en berçant dans ses bras le corps sans vie de sa fillette de deux ans, balançant le torse d'avant en arrière en psalmodiant : 'Elle dort... elle va bien... elle dort...', cela, il ne l'avait pas oublié. Il se souvenait aussi qu'à l'intérieur de lui, il n'y avait rien. Ni sentiment ni pensée. Juste cette incompréhension mêlée de stupeur qui le paralysait.
(p. 9-10)
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'Mon pauvre homme tout cassé', songeait[-elle] souvent. Certains jours, elle avait l'impression de le retrouver au-delà de son regard dur et méfiant, de l'entendre sous ses phrases économes. Même s'il se rétablissait à vue d'oeil, ces cinq années les séparaient plus sûrement qu'un no man's land. Il n'évoquait presque jamais cette période. Elle apprit seulement qu'il avait été fait prisonnier par les Russes quelques semaines après son départ.
'Un camp près d'Usman', expliqua-t-il une fois. Et il raconta qu'il avait travaillé dans une carrière. Quand ses questions [...] devenaient plus concrètes, il les éludait. 'Le froid et la faim, il n'y a rien de plus à en dire.' Son regard se perdait alors dans un lointain auquel elle n'avait pas accès. Parfois pendant de longues minutes. Quand il revenait au présent, il semblait avoir oublié ses questions, et ses yeux semblaient chercher quelque chose.
'Il ne retrouve pas le chemin, songeait-elle. Il est encore en route et il ne retrouve pas le chemin de la maison.'
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A quatre reprises, elle avait reçu du courrier du front. La dernière lettre disait : « ... ma permission pour Noël a été acceptée et je serai avec vous pour les fêtes. Vous n'imaginez comme je suis heureux de pouvoir bientôt vous serrer dans mes bras tous les trois ! »
Mais il n'était pas revenu à Noël. A sa place, le facteur avait apporté un courrier officiel peu après le nouvel an. « Gustav Dietz est porté disparu depuis le 17 septembre 1942. » Elle n'avait pas pleuré. « Porté disparu. » Pas tombé. Il était en vie, on avait juste perdu sa trace. Quelle pagaille ! s'était-elle dit. Quelle pagaille, si on peut perdre la trace d'un gars comme mon Gustav !
(p. 42)
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Le petit avait le visage rosi par le froid et, et le tenant, Hanno comprit pourquoi il pouvait à peine marcher. Il avait uriné dans son pantalon et celui-ci avait gelé. Hanno écarta les pans de son manteau trop grand pour envelopper l'enfant contre lui. Il lui demanda son nom.
- Allez, tu dois bien savoir comment tu t'appelles. Où ils sont tes parents ?
L'enfant restait muet, le regard fixe. Et tandis qu'il le portait dans le froid intense, Hanno se disait qu'il émanait du garçon le même silence horrifié que celui qu'il avait ressenti sur le champ de ruines.
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- Soudeur, comme papa ! se réjouit-il. (...) Tu te rends compte, au bout de trois mois, je toucherai un vrai salaire !
Agnes était loin de partager son enthousiasme. Elle avait rêvé d'un autre avenir pour son fils et espérait bien qu'il reprendrait l'école et obtiendrait son diplôme de fin d'études. Mais le plus dur pour elle, c'était de l'entendre dire 'comme papa'. Fallait-il qu'il pousse le sens du devoir jusqu'à vouloir le remplacer aussi sur ce terrain ?

[ Allemagne, 1947 - le mari d'Agnes est 'porté disparu' ]
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http://www.librairiedialogues.fr/ Annaïk de la librairie Dialogues nous propose ses coups de c?ur du rayon Polars : "Sur le toit de l'enfer" de Ilaria Tuti (éd. La Bête Noire), "Présumée disparue" de Susie Steiner (éd. Les Arènes) et "L'envers de l'espoir" de Mechtild Borrmann (éd. le Livre de Poche). Réalisation : Ronan Loup. Questions posées par : Delphine le Borgne.
Retrouvez nous aussi sur : Facebook : https://www.facebook.com/librairie.dialogues/ Twitter : https://twitter.com/dialogues Instagram : https://www.instagram.com/librairiedialogues/
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