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EAN : 9782378153151
Talent Editions ()
3.9/5   53 notes
Résumé :
1949. Archer, la trentaine, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, est libéré sur parole après un séjour en prison pour un crime qu’il n’a pas commis. Pour lui, direction la petite ville poussiéreuse de Poca City, dans le sud-ouest des USA, où l’attend son agent de probation. Il y fera aussi la connaissance d’un magnat local et de sa maîtresse, une femme fatale nommée Jackie. Chargé par l’homme d’affaires de récupérer une dette, Archer se voit – encore – accusé à to... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
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En 1949 dans le sud-ouest des États-unis, Archer (vétéran de la seconde guerre mondiale)sort de prison où il a passé 3 ans pour un crime qu'il n'avait pas commis ..Deux personnages féminins :
Jakie, maitresse de son nouvel employeur, est un personnage haut en couleur.
Ernestine Crabtee,son agent de probation,est aussi un sacré personnage. Ils sont tous vraiment bien campés . On avance doucement .
Archer est très charismatique et plein d'humour.
L'écriture est très agréable et nous embarque tout de suite pour ne plus nous lâcher si bien que j'ai même eu du mal à les quitter.
Pour moi,cest une révélation, je ne connaissais pas cet auteur ,et en plus pour le cadre ,je sors de ma zone de confort.
Ambiance bien décrite, ainsi que la psychologie des personnages.
Je mets 5 étoiles pour ce premier tome.que je vous recommande.

#netgalleyfrance #une bonne action
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Aloysius Archer vient de sortir d'une incarcération pour un délit qu'il n'a pas commis mais les circonstances étant contre lui… il est en « libération conditionnelle », et pour cela on l'envoie dans la petite ville de Poca City, où au terme d'un voyage en car de sept heures, l'attend son agent de probation Ernestine Crabtree. Elle lui conseille de trouver un travail, pour mieux se réinsérer. Archer loge à l'hôtel avec interdiction de consommer de l'alcool, ou de porter une quelconque arme.

Lors de sa première soirée de liberté il fait la connaissance dans un bar d'un homme d'affaires, Hank Pittleman, accompagné d'une jeune femme Jackie. Celui-ci le charge de récupérer une dette, moyennant cent dollars, auprès d'un autre personnage étrange de la ville Lucas Turtle qui n'est autre que le père de Jackie. La dette revêt la forme d'une Cadillac…

Mais, Turtle n'est pas disposé à rendre la belle automobile sans contrepartie, cette dernière étant le retour de Jackie à son domicile. Mais, Hank est retrouvé, assassiné dans sa chambre, à deux pas de celle d'Archer sur lequel vont se porter tous les soupçons bien sûr. Mais, un policier, Irwin Shaw doute de sa culpabilité.

En effet, tout comme Archer, ce dernier est un vétéran de la seconde guerre mondiale, où ils se sont illustrés tous les deux, chacun dans leur domaine.

David Baldacci, nous fait découvrir les bas-fonds de la petite ville, les profits amassés de façon plus ou moins légale, sur fond de jeux (Las Vegas n'est pas loin), extorsion, détournements, chantages, malversations en tous genres. A travers l'histoire d'Archer, on découvre au passage les difficultés de réinsertion après un passage en prison, le comportement pas toujours professionnel des policiers locaux : Archer est forcément coupable d'emblée….

Une personne est intéressante dans ce roman : Ernestine, une femme chargée de la probation est forcément regardée d'un mauvais oeil, tant par les policiers que par les anciens détenus, avec des remarques désobligeantes, des lettres de menaces. L'auteur nous parle aussi de son histoire personnelle : son père policier a été condamné à mort pour avoir tué trois hommes et au fur et en tournant les pages, on en apprend davantage sur elle : son histoire familiale, personnelle son amour pour la littérature, notamment Virginia Woolf dont « Une chambre à soi » l'accompagne dans son quotidien et l'inspire.

Le couple Archer – Irving Shaw est intéressant à suivre aussi, Archer comme loser magnifique, sensible aux charmes de femmes, ce qui ne lui réussit pas trop, Shaw le bon policier, adepte de la corroboration pour établir les preuves…

L'auteur nous livre également un portrait de ces années de l'immédiat après-guerre, les héros qui reviennent souvent cabossés, le statu des femmes dont le rôle se limite à tenir la maison, s'occuper des enfants, et servir le mari.

J'ai découvert Archer avec le deuxième tome « le Parieur » qui m'a beaucoup plu, alors la lecture de celui-ci s'imposait… je mettrai un petit bémol : la lenteur du démarrage, je commençais à croire qu'il ne passerait rien jusqu'à la découverte du corps de Hank, et ensuite, la manière dont Archer était accablé m'énervait un peu. Mais, l'enquête s'avère ensuite pleine de rebondissements et je me suis laissée entraîner avec plaisir.

J'ai découvert David Baldacci très récemment, souvent par le deuxième opus d'une série, comme ce fut aussi le cas avec « Une minute avant minuit » et son univers me plaît. Je me suis aperçue, au passage, qu'on lui devait également « Les pleins pouvoirs » superbement adapté au cinéma par le maître Clint Eastwood

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Tallent qui m'ont permis de retrouver Archer, le héros de ce roman et de découvrir un peu plus l'univers de son auteur.

#Unebonneaction #NetGalleyFrance !

Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Sud des Etats-Unis, 1949. Aloysius Archer, vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, sort de prison après son incarcération injuste pour un crime qu'il n'a pas commis. Il se rend dans la ville de Poca City pour y rencontrer son agent de probation. Arrivé avec de l'avance, il découvre la ville, et prend le temps de s'installer dans un bar. Sur place, il rencontre un homme.

Aloysius est un parfait inconnu dans la ville, l'homme y voit l'occasion de lui faire une proposition un peu particulière. Il souhaite l'engager pour récupérer une dette auprès de son vieil ennemi. Aloysius y voit l'occasion de gagner en peu d'argent et accepte.

Mais, quelques jours plus tard, le magnat est retrouvé assassiné. D'autres morts suivront. Aloysius se retrouve dans un situation délicate et n'a pas d'autre choix de découvrir par lui-même ce qu'il s'est passé pour ne pas être une nouvelle fois accusé à tort.

Je remercie les éditions Talent pour cette lecture.

Il s'agit du deuxième roman de David Baldacci que je lis. "Une bonne action" semble être le premier tome des enquêtes d'Aloysius Archer, une saga policière déjà publiée aux Etats-Unis.

Dans ce roman, nous sommes à la fin des années 1940, dans une ville de l'Amérique rurale du sud. le souvenir de la guerre est encore présent. Les soldats revenus au pays sont marqués par le désastre et les morts laissés en Europe. Aloysius fait partie de ces hommes. Mais, peu de temps après son retour, il est emprisonné.

L'histoire démarre alors sur sa libération et sur ce qui semble annoncer un nouveau départ pour lui.

Mais, voulant simplement rendre service en faisant "une bonne action", il se trouve à nouveau dans une situation compliquée.

L'enquêteur de Poca City lui demande son aide dans les investigations. Les deux hommes suivront ainsi différentes pistes : mariage, adultère, dettes de jeux, mafia seront successivement évoqués.

Avec une plume entraînante et dans le style d'un vieux polar à l'ancienne, on plonge dans cette ambiance glauque et sombre. Bienvenue dans l'Amérique authentique de l'après-guerre grâce à cette première enquête riche en rebondissements.

Lien : http://labibliothequedemarjo..
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• « 𝚄𝚗𝚎 𝚋𝚘𝚗𝚗𝚎 𝚊𝚌𝚝𝚒𝚘𝚗 » 𝚍𝚎 𝙳𝚊𝚟𝚒𝚍 𝙱𝚊𝚕𝚍𝚊𝚌𝚌𝚒, 𝚙𝚞𝚋𝚕𝚒é 𝚌𝚑𝚎𝚣 𝚃𝚊𝚕𝚎𝚗𝚝 𝙴𝚍𝚒𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜.

• J'ai pu lire ce roman grâce à un concours instagram de Babelio (Hé oui, on peut vraiment gagner les concours des comptes sérieux !) , que je remercie ainsi que Talent Editions. J'ai pris un grand plaisir lors de cette lecture, qui me donne l'occasion d'une nouvelle critique.

[𝙻𝚎 𝚕𝚒𝚟𝚛𝚎]

• En retard, en retard, je suis en retard ! Comme beaucoup d'autres lectures de ces deux derniers mois, celle-ci attendait bien sagement l'écrit de mon avis pour être publiée et se révéler à la lumière du jour. Ce roman à quelque chose de particulier, du fait d'avoir été une énorme surprise, par son obtention inattendue et de son contenu très sympathique. J'ai lu ce roman très rapidement et avec beaucoup d'entrain, ce qui confirme mon regain d'intérêt dans le genre littéraire de l'enquête.

• le personnage principal de cette histoire, Archer, y est pour beaucoup dans cette appréciation positive. Comme beaucoup de ses congénères du genre policier, le personnage est intrigant, plein de bons sentiments, doté d'un passé morose et d'un caractère bien défini. On suit avec plaisir ce malheureux qui va faire tout son possible pour rattraper les années perdues pour un crime fantôme, tentant de se racheter auprès de la société. Les autres personnages de la fresque brumeuse qu'est la ville de Poca City ne sont pas en reste, avec ce qui se fait de mieux en termes de personnages intrigants : de richissimes hommes véreux, de jolies jeunes femmes qui n'ont d'innocent que leur visage, des crapules sans foi ni loi, un enquêteur charismatique et imposant.. le traitement de la femme dans le genre à beaucoup évoluer avec les années et ce livre ne déroge pas à la règle et offre des personnages féminins écrits de façon moderne tout en gardant la logique et l'ambiance propre aux années 40-50.

• Les nombreux secrets et mystères qui entourent Poca City sont là aussi très bien amenés et donnent envie de se creuser de plus en plus profondément dans cette tombe jusqu'à l'exhumation finale. Les jeux de séductions, les magouilles, les passages d'enquête, les évocations du passé trouble de notre ange gardien, sont autant d'éléments qui construise une intrigue des plus prenante.

• le roman fait plus de 500 pages, et je peux vous assurer que je n'y ai ressenti aucune longueur. le poids du livre ne se ressent pas lors de la lecture, au contraire même, j'étais presque déçu de ne pas disposer de plus de mots pour me divertir ! Une suite comblera certainement ce besoin..

[𝙻𝚊 𝚙𝚎𝚝𝚒𝚝𝚎 𝚟𝚘𝚒𝚡 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚏𝚒𝚗]

• Un roman qui est tomber à pic et qui m'a offert de très bonnes heures de détentes.. PAN ! (Pardon pour ça, je retourne dans mon coin.) Merci encore à Babelio et aux éditions Talent Editions pour ce concours instagram !

𝙻𝚊 𝚋𝚛𝚞𝚖𝚎 𝚎𝚜𝚝 𝚕𝚎𝚟é𝚎, 𝚕'𝚑𝚘𝚛𝚕𝚘𝚐𝚎 𝚜'𝚎𝚜𝚝 𝚊𝚛𝚛ê𝚝𝚎𝚛 à 𝚝𝚎𝚖𝚙𝚜 𝚎𝚝 𝚕𝚎𝚜 𝚋𝚘𝚗𝚗𝚎𝚜 𝚊𝚌𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 𝚜𝚎𝚖𝚋𝚕𝚎𝚜 𝚎𝚗𝚏𝚒𝚗 𝚌𝚘𝚖𝚙𝚝é𝚎𝚜.
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En 1949, Aloysius Archer arrive dans la ville poussiéreuse du sud de Poca City. Il n'a rien d'autre qu'une poignée de dollars, les vêtements qu'il porte et un rendez-vous avec son nouvel agent de libération conditionnelle. Après ses expériences de guerre en Italie et une peine de prison pour un crime qu'il n'a pas commis. Archer est à la recherche d'un nouveau départ et d'une vie paisible. Lors de sa première nuit de liberté, dans un bar, Archer rencontre un puissant homme d'affaires local Hank Pittleman et sa petite amie Jackie Tuttle. de fils en aiguille Pittleman promet à Archer rémunération pour travailler comme « agent de recouvrement ». Il doit en fait récupérer une dette ou plutôt une Cadillac mais bientôt Archer découvre que recouvrer la dette ne sera pas si facile car l'homme endetté n'est autre que le père de Jackie et Lucas Turtle a une rancune furieuse contre Hank et refuse de payer tant que Pittleman sortira avec sa fille.
Très vite Poca City s'avère plus compliquée et dangereuse que dans les souvenir d'Archer. Et Archer se retrouve coincé entre le marteau et l'enclume. Car voilà que son nouvel employeur est retrouvé mort dans une chambre d'hôtel attenante à la sienne.
Heureusement le lieutenant-détective Irving Shaw , qui est comme lui vétéran de la seconde guerre mondiale ne crois pas en la culpabilité de Archer après avoir examiné ses antécédents Mais il est bien le seul dans les forces de l'ordre à croire en l'innocence Aloysius Archer. Et s'il flaire le coup monter, lui et Shaw vont devoir prouver à tous qu'archer est de nouveau accusé à tort d'un crime qu'il n'a pas commis.
Il semblerait aussi qu'il puisse compter sur l'aide de son agent de probation, Ernestine Crabtree, femme libre pour l'époque mais aussi sur celle de Jackie qui a un faible pour notre nouveau justicier. Surtout d'Archer se voit bien devenir détective, et il utilise ici les méthodes d'investigations qu'il a lu dans ses romans policiers préférés pendant son incarcération.
Ici Baldacci nous propose un nouveau héros, un héros qui à n'en pas douter deviendra récurent. Et ça tombe bien car j'ai aimé cet homme plutôt taiseux, ce gentleman à l'ancienne, un type quelque peu cabossé par les horreurs rencontrés sur le front de la guerre mais, un homme profondément bon.
J'ai aimé aussi l'atmosphère, retranscrite par notre auteur, d'une petite ville des États-Unis à la fin des années 40 et au début des années 50. J'ai aimé les détails de la vie courante, des mentalités de l'époque. J'ai aimé la façon dont Baldacci décrit la place de la femme, ou plutôt sa non place dans cette société-là. J'ai trouvé que le contexte historique et social était parfaitement dépeint. On y découvre la misogynie, les attitudes paroissiales des petites villes, les conflits permanents entre les nantis et les démunis.
J'ai aimé que notre auteur sorte avec ce polar historique de sa zone de confort habituel, on le connait bien avec ses thrillers efficaces. On retrouve ici un peu de son écriture visuelle, mais j'ai apprécié que par moment il ralentisse le rythme. Permettant ainsi à de garder une longueur d'avance sur le lecteur. En s'aventurant sur le terrain du noir, il semble que notre auteur de best-seller est voulu rendre hommage aux auteurs de hard boiled comme Raymond Chandler ou Dashiell Hammett.
J'ai aussi apprécié, vers la fin, la courte scène de cour et de prétoire à la Perry Mason. Elle est assez amusante. Et surtout, elle permet à l'auteur de relier tous les détails et les indices laissés tout au long du livre. Ainsi nous découvrons qui a tué qui. de plus le final nous présente également une belle surprise de dernière minute.
Je peux dire sans détour que David Baldacci a réussi à transformer son essai. Et je serai ravie de retrouver la suite des aventures de Aloysius Archer détective.
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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critiques presse (2)
Culturebox
26 juin 2023
Sans aller jusqu’à la désespérance d’un David Goodis ou la noirceur d’un Jim Thompson, David Baldacci dissèque une société en mal de perspective et qui ne croit guère en des lendemains qui chantent.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Culturebox
11 avril 2023
David Baldacci renouvèle le roman noir avec "Une bonne action". Avec Aloysius Archer, il tient un personnage attachant et fort atypique.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Vous voyez, se lança l’homme d’une voix monotone, ici un homme peut faire de l’argent s’il est prêt à travailler. Maintenant que la guerre est finie, il y a des gagnants et il y a des perdants. Mon but est de m’assurer que Poca City se retrouve du côté des gagnants. J’étais déjà là avant la guerre, à essayer de faire tourner la machine. C’était un trou paumé à l’époque. Et maintenant, le pays est en train de se relever, et bon sang, on en est même à remettre des briques et des fenêtres neuves dans toute l’Europe, aussi. On a mis en place ce satané pont aérien au-dessus de Berlin pour nourrir tous ces gens. Les rouges sont en train de prendre le pouvoir en Chine. Il y a ce Staline qui a la moitié de l’Europe sous sa coupe et qui teste ces satanées bombes nucléaires. Truman nous dit que tout le monde va en profiter, mais je ne prendrais personne au mot là-dessus, président ou pas. La populace se remet en route vers l’ouest à la recherche d’une nouvelle vie, d’une nouvelle situation. Et à Poca, on est un peu au carrefour de tout ça. Entre l’ancienne Amérique où la plupart des gens habitent encore et la nouvelle Amérique à l’ouest. Les gens passent par ici. Certains d’entre eux restent. La plupart continuent leur chemin parce qu’on ne peut pas rivaliser avec des villes comme Los Angeles, Frisco et ce paradis des parieurs, Las Vegas. Mais les opportunités, ce n’est pas ce qui manque par ici.
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Il sortit une liasse de billets plus grosse que n’importe quel poing qu’Archer eût pu balancer au visage d’un codétenu ou recevoir en prison.
L’homme amincit le paquet de cinq billets de vingt et les étala sur le comptoir, juste à portée de main.
Immobile, Archer ne fit même pas mine de les ramasser.
« Eh bien ? demanda l’homme.
— Quand quelqu’un sort de l’argent comme ça, c’est que quelque chose est attendu en retour. J’attends juste les détails. »
Le type s’esclaffa à nouveau et frappa Archer sur l’épaule un peu plus fort que nécessaire. Il fit immédiatement une grimace et secoua la main.
« Bon sang, vous êtes fait en pierre ou quoi, soldat ?
— Ou quoi, répondit Archer.
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Il pensait souvent que c’était là une drôle de façon pour un prisonnier de se divertir. Et pourtant, il aimait bien les énigmes et les enquêtes de ces romans. Il essayait de les résoudre avant d’arriver au dénouement et avait découvert qu’avec le temps, il tombait de plus en plus souvent sur la bonne solution avant la fin.
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Il avait fait de son mieux pour lui faire comprendre son attirance. Et elle avait choisi de se coucher en compagnie d'un livre plutôt qu'avec lui.
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La prison disposait aussi d’un dépôt de livres, un beau fouillis plein à craquer d’ouvrages en piteux état, sans couvertures, auxquels il manquait des pages à des moments inopportuns du récit. Peu lui importait ; à ses yeux, les bouquins avaient beaucoup de valeur. Ses préférés restaient les romans de western, ceux où le héros finissait avec la fille. Et les histoires de détectives privés, où le héros finissait avec la fille en plus d’attraper le méchant. Il pensait souvent que c’était là une drôle de façon pour un prisonnier de se divertir. Et pourtant, il aimait bien les énigmes et les enquêtes de ces romans. Il essayait de les résoudre avant d’arriver au dénouement et avait découvert qu’avec le temps, il tombait de plus en plus souvent sur la bonne solution avant la fin.
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