La suite du sixième tome se concentre essentiellement sur l'affrontement entre Ken et Yong-Bae. Comme à son habitude, la mise en scène ne manque pas de sublimer les combats entre ces Gundal (comprenez les Yakuza de la Sud-Corée). Boichi met en avant la détermination de Ken qui renverse la situation avec force et courage. On comprend alors que les différents comportement des lieutenants de Lee Man-Gu étaient des épreuves correspondantes aux qualités essentielles que doit posséder un vrai chef de gang digne de ce nom.
Un septième tome qui m'a aussi ouvert l'appétit avec ce petit aparté culinaire. le mangaka utilise ses origines sud-coréennes pour nous ouvrir les papilles aux spécialités locales.
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Jeune Japonais à la tête d'un gang coréen, Ken se retrouve pris dans un conflit opposant le PDG d'un puissant conglomérat et un ancien mafieux aujourd'hui directeur d'un énorme casino. Bien décidée à s'emparer de l'établissement, la bande de Ken se lance dans la mêlée. À six, ils vont défier trois cents des plus redoutables hommes de main de Corée. Pendant que Tae-Soo et les autres s'occupent du gros ?uvre, Ken se débarrasse de la garde rapprochée du directeur. le cinquième et dernier adversaire sera-t-il celui de trop ? La bataille du casino atteint son paroxysme, un moment à ne manquer sous aucun prétexte !
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On « apprécie » néanmoins que l'auteur sache prendre des distances par rapport à ce type d'intention et les présente en tant qu'épisodes annexes, et non dans l'histoire principale.
Lire la critique sur le site : MangaNews
L’État fonctionne comme un gang. Qu’il soit à la tête d’un État ou d’un gang, un boss a conscience d’être un « protecteur ». Et il n’y a aucun problème à assumer ce rôle tant qu’il s’agit de défendre des intérêts communs ou d’affronter une opposition faible. Lorsque l’opposition est forte par contre, sa véritable nature finit toujours par éclater au grand jour. Un boss ne protège pas le peuple. Il protège ses intérêts, nuance. Dans ce pays d’ailleurs on sent clairement que le protecteur est un illusionniste de première.
- Hein, Ken ? Quel genre de boss es-tu vraiment ?
- Du genre qui se bat pour ses convictions ! Et qui tient à défendre certaines valeurs !
Il n’y a rien de pire que d’être privé de son jeu de jambe face à un adversaire hyper rapide.
Une racaille reste une racaille.
DR STONE | MENU MANGA #91