Elias et le narrateur sont dans un train, un train qui doit faire le lien entre le passé et l'avenir, entre la vieille Europe et ses conflits et la nouvelle qu'on voudrait pacifique. Un voyage dans les zones de conflits de la fin du XXè siècle avec pour point culminant Mostar et son célèbre pont détruit pendant la guerre civile. Un roman étonnant qui entraîne le lecteur dans une réflexion sur la culture et la paix.
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Sous la plume de Camille de Toledo, l'écriture reste un combat. Elle engage tout le corps.
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A vous de le découvrir dans cet ouvrage déroutant, souvent désenchanté, plus proche d’un conte moderne que d’un roman.
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Camille de Toledo, s’il célèbre « l’impuissance du langage », n’en compose pas moins une méditation profonde sur ces thèmes douloureux.
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Les obsolescents au lieu des vieux,
c'est le nom qu'on leur donne dans ta langue:
ceux qui ne survivront pas à la technicité de la vie,
ceux qui ne s'adapteront pas.
Je dis "oïshrohûm", les obsolescents,
mais je prononce mal et tu entends:
"löroschûm", les limaces.
Avec Jean-Luc Fromental & des auteurs du catalogue
Entretien mené par Victor Macé de Lépinay
Dessins en direct par François Olislaeger
De Donald qu'il découvre à 4 ans, à Gemma Bovery, le roman graphique de Posy Simmonds paru en 2001, qui mènera à la création de Denoël Graphic, Jean-Luc Fromental racontera son éducation en BD. Une traversée-éclair d'un demi-siècle de figuration narrative, ponctuée des diverses révolutions auxquelles il s'est trouvé mêlé, comme lecteur d'abord, puis comme praticien.
Lors de l'entretien qui suivra, il évoquera les vingt ans d'existence de la collection, et sera rejoint par des auteurs présents dans la salle, Antonio Altarriba, Steven Appleby, Ugo Bienvenu, Joëlle Jolivet, Gérard Lo Monaco, Chantal Montellier, Posy Simmonds, Camille de Toledo, Marcelino Truong… par exemple !
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