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Henri Robillot (Traducteur)
EAN : 9782070382675
320 pages
Gallimard (03/05/1991)
3.83/5   115 notes
Résumé :
Un aveugle et paralytique disparaît mystérieusement pour réapparaître en pleine possession de ses moyens 10 ans plus tard ; un petit garçon mal dans sa peau rêve d'être une fille ; une vieille dame aime tant ses chats qu'elle les congèle après leur mort... Voici quelques uns des étranges personnages de ces 6 nouvelles.
Dernier ouvrage paru de son vivant, "Musique pour caméléons" est un livre-testament qui prouve, une fois de plus, le génie protéiforme de Trum... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Etats unis d'Amérique. XXème siècle.
3 parties, 14 récits.
MUSIQUE POUR CAMELEONS (6 nouvelles)
CERCUEILS SUR MESURE (un récit)
PORTRAITS ET CONVERSATIONS (7 histoires)
**************
MUSIQUE POUR CAMELEONS
1) Musique pour caméléons.
Fort-de-France. Une villa. Installés dans la véranda, TC et son hôte, une vieille dame martiniquaise, évoquent l'assassinat d'un des amis musicien du narrateur.
"Donc : l'objet dans le salon de Madame est un miroir noir. Il a dix-huit centimètres de haut sur quinze de large. il s'encastre dans un boîtier de cuir noir usé en forme de livre. En fait, ce boîtier est posé ouvert sur une table, comme s'il s'agissait d'une édition de luxe faite pour être ramassée et feuilletée ; mais il n'y a là rien à lire ni à voir - excepté le mystère de notre propre image projetée par la surface du miroir noir avant qu'elle s'enfouisse dans ses profondeurs insondables, ses corridors d'obscurité. (p.27)"

2) M. Jones
Brooklyn. Un homme de 40 ans, aveugle, infirme, tient un salon de conversation dans son appartement qu'il ne quitte jamais. Un jour, il disparaît subitement. Plusieurs années après, le narrateur à l'impression de le reconnaître dans un homme tout à fait valide et voyant.
"J'ignorais complètement pourquoi ils venaient le voir, ces gens d'apparence plutôt ordinaire, et de quoi ils parlaient, et j'étais bien trop préoccupé par mes propres problèmes pour beaucoup m'interroger sur à ce sujet. (p.36)"

3) Une lampe à la fenêtre
Connecticut. Après un mariage, sur la route du retour, le narrateur est ramené à New York par un couple ivre. Profitant d'un arrêt accidentel, il s'échappe de la voiture et erre dans la campagne. Guidé par la lueur d'une lampe à la fenêtre, il trouve refuge dans la maison d'une vielle dame qui adore les chats.
"Vous avez fait exactement ce qu'il fallait. Je ne mettrais pas le pied dans la voiture d'un homme qui aurait flairé un verre de sherry. C'est comme ça que j'ai perdu mon mari. Quarante années de mariage, quarante années de bonheur et je l'ai perdu parce qu'un ivrogne au volant l'écrasé. Si je n'avais pas mes chats..." Elle caressa une chatte orange qui ronronnait sur ces genoux. (p.41)"

4) Mojave
Manhattan. Depuis ses grossesses, Sarah ne supporte pas d'avoir des relations sexuelles avec son mari, ceci est différent avec d'autres hommes. de fait, son mari lui aussi à des aventures.
"Elle disposa une pile de disques de Lee Wiley et de Fred Astaire sur un phonographe, se servit un verre de vin blanc frappé, se déshabilla entièrement, se vaselina et s'étendit sur le lit, chantant avec le divin Fred et guettant le cliquetis de la clef de son amant à la porte. (p.49)"

5) Hospitalité
Le Sud. Mary Ida Carter, la tante du narrateur, a le coeur sur la main et l'hospitalité généreuse : à sa table, il y a toujours de la place pour rajouter une assiette pour le passager inattendu. Mais que faire d'une fille-mère qui tape l'incruste ?
"J'étais assis dans la balancelle du perron, en train de lire un vieux numéro du Saturday Evening Post quand je les ai vues remonter le sentier, Mary Ida portant une valise déglinguée et cette fille aux pieds nus avec un bébé dans les bras. (p.76)"

6) Eblouissement
Nouvelle-Orléans. En échange d'une prédiction, un jeune garçon accepte de voler pour le compte d'une sorcière le pendentif de sa grand-mère. de honte, il gardera toujours ses distances avec cette femme qui l'adore jusqu'à son lit de mort.
"Elle tendit une main rouge et épaisse, la paume en l'air, et j'y laissais tomber le collier. le rhum avait déjà contribué à modifier son regard habituellement inexpressif ; la brillante pierre jaune accentua la transformation. (p.90)
*********
CERCUEILS SUR MESURE
TC suit de loin une série de meurtres qui reste non élucidés grâce à Jake Pepper, un enquêteur privé qui le tient au courant. Chaque victime a reçu dans les mois précédant sa mort un petit cerceuil contenant une de leur photo prise à leur insu.
"Il était cinq heures passées lorsque nous partîmes, l'air était calme, libre de neige, et baigné des lueurs rougeoyantes du soleil couchant et des pâles rayons de la lune qui se levait : une pleine lune roulant sur l'horizon comme une roue blanche ou un masque, un masque blanc menaçant et sans traits, qui nous considérait par les portières de la voiture. (p.137)
*********
PORTRAITS ET CONVERSATIONS
1) Une journée de travail
New York, 1979. TC accompagne Mary Sanchez, sa femme de ménage, une femme énergique, dans les maisons où elle passe ses journées à briquer.
"Mary : Vous priez ?
TC : Oui.
Mary : Je ne vous entends pas.
TC : Je prie pour vous. Je veux que vous viviez éternellement. (p.206)"

2) Bonjour, l'inconnu
New York, 1977. Un ami de TC lui raconte que, suite à plusieurs méprises, il se retrouve considéré comme un exhibitionniste.
"Ma mère a trouvé vos lettres hier soir, les lettres que vous m'avez écrites. Elle est dans tous ses états et son mari aussi. Ils s'imaginent un tas de choses terribles et, ce matin très tôt, elle a emmené Jimmy, mais je ne peux pas vous parler plus. J'essayerai de rappeler plus tard. (p.219)"

3) Jardins cachés
Nouvelle-Orléans, Jackson square, 1979. TC rencontre une prostituée qui affronte son mac, puis Big Junebug Johnson, une ancienne amie d'école, et de nouveau la prostituée à laquelle il avoue son homosexualité devant son insistance de faire de lui son prochain client.
"Certaines villes, comme des boîtes enveloppées de papier sous les arbres de Noël, dissimulent des présents inattendus, des délices secrètes. Certaines villes resteront toujours des paquets cadeaux recelant des énigmes qui ne seront jamais résolues ni même entretenues par les touristes en vacances, ou même par les plus curieux, les plus persistants des visiteurs. Pour connaître de telles villes, pour les déballer, en vérité, il faut y être né. Venise est ainsi. (p.235)"

4) Au culot
Los Angeles, 1970. Refusant de coopérer avec la police pour faire condamner un criminel, TC tente de prendre l'avion incognito pour quitter Los Angeles et rejoindre New York.
"Là, devant la porte vitrée de ma minuscule prison, passe une superbe et arrogante amazone qui porte sur elle pour un million de dollars de diamants et de zibeline dorée, une star environnée d'une troupe virevoltante et volubile de chorus-boys sapés comme des princes. (p.245)"

5) Et tout est parti de là
Californie. TC interview Robert Beausoleil dans sa prison. Celui-ci lui explique comment on en vient à devenir meurtrier sans état d'âme.
RB : Ce qui arrive, arrive. Et c'est toujours bien.
TC : Tu considères que c'est bien de tuer des innocents ?
RB : Qui a dit qu'ils étaient innocents ? (p.263)

6) Une enfant radieuse
New York, 1955. TC et Marilyn Monroe assistent à l'enterrement d'une vieille amie, puis déambulent dans la ville.
TC : J'espère qu'on ne va pas monter sur un bateau ? J'ai oublié ma Damamine.
Marilyn (réjouie, gloussante) : Sur le quai seulement.
TC : Puis-je te demander pourquoi ?
Marilyn : C'est un endroit que j'aime bien. Ca sent les pays lointains et je peux donner à manger aux mouettes.
TC : Leur donner quoi ? Tu n'as rien pour les nourrir.
Marilyn : Si. Mon sac est plein de gâteaus-présages. Je les ai fauchés dans ce restaurant. (p.285)

7) Virages nocturnes ou le sexe des frères siamois
TC dialogue avec lui-même et passe en revue sa vie, ses amours, ses emmerdes.
Cependant, nos peurs véritables sont les échos des pas résonnants dans les couloirs de notre esprit et les angoisses, les transes qu'ils engendrent. (p.285)

*********
Pour conclure
J'aime TC, j'aime son style, ses histoires, sa touchante singularité. Mes histoires préférées sont :
M.Jones pour son mystère
Une journée de travail est la plus émouvante
Une enfant radieuse est la plus touchante
TC sait planter les décors, les humeurs, les émotions, son acrimonie me fait rire :
Il y a deux choses dont j'ai peur : les serpents et les femmes. Ils ont beaucoup de choses en commun ces deux là. Et une chose, entre autres : ce qui meurt en dernier chez l'un comme chez l'autre, c'est l'arrière train. (p.59)
Lire TC, c'est plonger dans la société, ses mystérieuses convenances, ses secrètes dépravations, on jubile, on grimace, on applaudit de tant de présence, de prestance, d'intelligence. Cela fait un bien fou !

















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Les nouvelles contenues dans le recueil "Musique pour caméléons" ont été éditées en 1980.

Tuman Capote est à la fin de sa vie, et dans sa préface il fait le point sur l'évolution de son écriture tout au long de sa carrière d'écrivain.

Il nous dit comment il a remanié certaines de ses oeuvres, nous confie l'erreur qu'il a (peut-être) commise en effaçant le narrateur de certaines d'entre elles, qu'elles soient de fiction ou fondées sur des faits divers ("De sang-froid").

Car à relire ses anciens livres, on trouve toujours qu'on aurait pu les écrire mieux, du moins si on est un perfectionniste comme lui.

Personnellement, je ne trouve rien à critiquer dans l'oeuvre de Capote, qu'elle soit volontairement poétique, comme "La harpe d'herbes" ou minimaliste. Car derrière les variations de son style demeure sa façon unique d'appréhender le monde, faite de lucidité, de sobriété, de vacherie et de bienveillance (cela peut sembler contradictoire, et pourtant...)

Y a-t-il une réelle différence entre ses premiers écrits et les autres ? Ses ré-écritures de faits réels, tels "De sang-froid", "Cercueils sur mesure", ou son récit d'une conversation avec Marilyn Monroe, nous conduisent-ils vraiment dans un monde éloigné de celui de ses oeuvres imaginaires telles "Petit Déjeuner chez Tiffany" ou "Musique pour caméléon" ?

Dès notre première perception nous réécrivons le réel, à tel point qu'aucun d'entre nous ne voit le même. Alors que dire quand un puriste comme Capote le travaille pour produire cette épure qui nous percute directement le cerveau et nous persuade de sa vérité ? Qui n'a pas rencontré une femme qui nous fait croire en ses dons magiques ? Ou subi à son corps défendant les confidences gênantes d'un vieil ami ? Qui ne s'est senti à la longue influencé par l'idée fixe d'un camarade ou n'a tenté de soutirer ses affaires de coeur à un proche ?

Et même si nous n'avons rien vécu de tout cela, tout nous convainc chez Capote. Comment parvient-il à nous piéger en usant d'une telle sobriété ? C'est bien là que réside la magie de l'art.

Comme dans la vraie vie, on n'assiste presque jamais à la fin de l'histoire : on ne saura pas si le soupçon était justifié, si notre camarade de classe est devenu ou non un pédophile, si la voyante cupide avait un vrai don... ni si Dieu existe. Et c'est cette insatisfaction que l'auteur a su transformer en art de dire la vie en y introduisant plus que la vie : l'attention, le souffle, la proximité avec elle que nous n'avons pas toujours lorsque nous la traversons à tâtons.
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Ce recueil se compose de 3 parties distinctes, précédées d'une préface de l'auteur. La première partie, qui donne son titre au livre, regroupe 6 courtes nouvelles, sortes d'instantanés de moments marquants; la seconde, Cercueils sur Mesure, consiste en une novella retraçant un fait divers, essentiellement sous forme de dialogues; la troisième contient 7 Portraits – Conversations.

Dans la préface, l'auteur retrace brièvement son parcours d'écrivain et explique comment sa relecture de ses précédentes oeuvres l'a empli d'insatisfaction, d'où la naissance de ce recueil, dans un but de recherche formelle et stylistique.

Si on excepte Cercueils sur Mesure, qui tient à la fois de de Sang froid et de l'enquête policière, on trouve ici une série de textes plutôt courts (la nouvelle la plus brève ne fait que 3 pages), qui ressemblent plus à des souvenirs ou à des anecdotes qu'à des histoires imaginaires. Ce qui relève finalement des faits ou de la création, je l'ignore, même si j'aurais tendance à penser qu'il y a beaucoup de réalité dans ce livre. Mais finalement, ce n'est pas important.

Ce qui ressort de cette lecture, c'est l'immense talent de Capote pour « agripper » ses lecteurs-trices et les suspendre littéralement à sa plume. La façon dont il raconte rend les éléments les plus banals tout à fait passionnants dans les nouvelles. Quant à Cercueils sur Mesure, qu'il qualifie de « roman non-roman », il tient en haleine et fait froid dans le dos tout au long de sa centaine de pages. de même, son inénarrable journée avec sa bonne ou ses ennuis avec la justice de Californie sont tellement improbables qu'ils en deviennent palpitants.

Une excellente lecture, qui m'incite à découvrir les écrits de Capote que je ne connais pas encore 🙂
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Après le très prometteur "Petit déjeuner chez Tiffany" (1958) et le captivant "De sang-froid" (1965) qui lui valut renommée et argent, la carrière littéraire de Truman Capote peut sembler s'éteindre dans l'alcool et la dépression. Ce serait faire peu de cas des résolutions que l'auteur manifeste dans sa préface de "Musique pour caméléons" (1979) et des qualités de ce recueil.

Dans les quelques pages de ce préambule nombriliste, quelquefois amer et revanchard, où il livre d'intéressantes réflexions sur ses techniques d'écrivain ["Ainsi que certains jeunes étudient le piano ou le violon quatre à cinq heures par jour, je jouais de même avec mes papiers et mes stylos"], Capote reconnaît que "De sang-froid" était d'une écriture trop dense: trois pages pour des effets qui tiendraient en un paragraphe. Il considère que trop d'écrivains, même les meilleurs, «sur-écrivent», et juge ne pas avoir donné le meilleur de lui-même: "... je laissais de côté tout ce que je savais de l'écriture, tout ce que m'avaient appris scénarios, pièces, reportages, poésie, nouvelles, contes, romans. Un écrivain devait disposer de toutes ses couleurs, toutes ses aptitudes réunies dans la même palette pour pouvoir les doser (et dans certains cas opportuns, les appliquer simultanément)...".

Il considère que le développement pratique de ces réflexions, ce qu'il appelle un "retour au jardin d'enfants", lui ont permis d'élaborer un style plus accompli où il se tient moins en retrait du récit et il a remanié ce qui devait être l'oeuvre de sa vie, "Prières exaucées" [tiré d'une citation de sainte Thérèse : «il y a plus de larmes versées sur les prières exaucées que sur celles qui ne le sont pas»], dont deux brillants chapitres nous sont parvenus, "La côte basque" et "Des monstres à l'état pur".

Puis Capote entreprend "Cercueils sur mesure", court reportage romancé sur un crime américain et compose/reprend une série de nouvelles et textes, avec une technique longuement mûrie. L'aboutissement de tout cela est le recueil "Musique pour caméléons" (1980 pour la version française), dernière publication de son vivant.

En fin de préface, cinq ans avant de s'éteindre, il s'interroge encore sur "Prières exaucées" et se considère "isolé dans sa folie obscure" qu'est la création littéraire, avec "le fouet dont l'a gratifié Dieu" que sont la volonté et le devoir d'écrire.

J'ai terminé la lecture des six premières nouvelles du livre: je les trouve somptueuses. Pas un mot à changer au récit éponyme, une atmosphère de Martinique en couleurs à profusion, un rien de préciosité; le portrait d'une veille et distinguée aristocrate qui charme les caméléons au piano est la fois admiratif et critique.

Mentionnons "Éblouissement" qui traduit l'intense souffrance destructrice des enfants de sexe ambigu, immanquablement une confession pathétique de l'auteur. On y trouve un autre portrait saisissant, cette madame Ferguson, un peu voyante et sorcière, "qui roulait de côté des yeux de pleine lune".

Enfin "Mojave" est un chef-d'oeuvre : une dernière scène montre le couple aisé en tête à tête, une vodka rouge poivrée, il neige dehors, des souvenirs dans le torride désert californien puis, troublée, langueur feinte, Sarah tire les tentures : "Fermées, les lourdes tentures de soie masquèrent le fleuve nocturne et les bateaux illuminés si ouatés de neige qu'ils avaient les contours émoussés du dessin d'une estampe japonaise représentant une nuit d'hiver". Tombent ces derniers mots glaçants "... nous trouverons bien quelqu'un" dont vous ne percevrez le poids qu'en lisant cette perle.

Lien : https://christianwery.blogsp..
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L'appel à la sonnerie de Dieu est le son du Dieu tout-puissant, comme l'a exprimé le Saint-Esprit, comme entendu au téléphone des anneaux de tous les croyants, même s'ils sont des kilomètres de distance. Il y a une grande variété de sonneries téléphoniques disponibles et il existe également de nombreux styles de sonneries. On peut même utiliser des sonneries portables pour avoir une bague qui jouera quand ils marchent sur un chemin ou quand ils s'assoient pour déjeuner avec leurs amis. Ces applications polyvalentes des sonneries portables sont dues au fait que le programmeur peut modifier le code des anneaux de téléphone chaque fois qu'il le souhaite. Il y en a quelques exemples: quand une personne part en voyage d'affaires et n'est pas en mesure de rentrer chez elle pendant trois jours, le propriétaire de ce téléphone sera en mesure de définir une sonnerie différente pour jouer à cette époque afin que les gens ne reçoivent pas

Les sonneries téléphoniques traitées numériquement peuvent être transformées en sons polyphoniques qui ont un volume plus élevé que les sons monopulaires. Ces sons sont également appelés sonneries de téléphone fantôme. le premier type de ces effets sonores peut être produit en utilisant une ou plusieurs copeaux de voix. Ils peuvent inclure des ensembles de puce de traitement vocale numériques pouvant produire des sons comme Birdsong, cascades, etc. Une autre variante de ces sonneries téléphoniques polyphoniques est l'utilisation de copeaux d'effets sonores numériques pouvant produire des sons tels que bourdonnements, cascades, craquelins, rugir, parler sous l'eau et bien d'autres. Avec ce type de jeu de puces, une personne peut profiter de la lecture des effets sonores dans un fichier audio de haute qualité.

L'autre type de sonnerie téléphonique pouvant être produite par un abonné via un microprocesseur est appelé av attenu. Un abonné peut jouer des sons comme Birdsong, des cascades, des vagues, du bourdonnement et de nombreux autres types de sons via une puce et un logiciel d'application attaché. Cette puce peut contenir des centaines de sons et il est alimenté par un microprocesseur. Avec l'aide du logiciel d'application, le propriétaire de cette sonnerie téléphonique peut manipuler et contrôler le volume et le ton de chacun de ces sons. Afin de produire la meilleure qualité de son, il est recommandé que le propriétaire de cette sonnerie téléphonique utilise un microprocesseur de bonne qualité avec un ordinateur moderne.

Il est également possible pour un abonné de profiter des avantages d'une sonnerie téléphonique grâce à l'utilisation d'un téléphone mobile. Ces téléphones peuvent soutenir une large gamme de sons, notamment des chansons d'oiseaux, des cascades, des carillons de cloche, des carillons de vent, etc. Un téléphone mobile peut avoir ses propres effets sonores ou peut être connecté à un ordinateur via un port USB. Lorsqu'il est connecté à un ordinateur, un abonné peut modifier, modifier, combiner et même prévisualiser différents sons avec l'aide du logiciel. La plupart de ces sons sont généralement stockés dans la mémoire intégrée du téléphone mobile et certains peuvent même être transférés à un lecteur MP3.

Une caractéristique importante de cette présente invention est son utilité comme une alarme de sécurité. Lorsqu'il y a un appel entrant, une cloche s'éteint, annonçant le nom de l'appelant ainsi que l'extension où l'appel peut être effectué. de cette façon, les enfants et les animaux domestiques de la maison sont protégés de tout accident pouvant survenir lorsqu'ils sont seuls avec les téléphones. La présente invention facilite la réception des personnes qui reçoivent l'appel pour ignorer ou répondre à l'appel lorsqu'elles ne sonne pas. de cette façon, personne ne se perturbe pendant que le téléphone sonne.

Dans cette invention, une sonnerie est préréglée dans l'ordinateur personnel et connecté à une puce externe. Lorsque l'utilisateur désire entendre cette tonalité, il doit allumer l'ordinateur personnel, charger le logiciel compatible avec l'ordinateur personnel et connecter le microphone et le haut-parleur à l'ordinateur personnel. Lorsque le son souhaité est joué, il générera automatiquement un paramètre d'appel entrant en fonction des paramètres programmés tels que le volume et les autres paramètres liés à la musique.
Lien : https://sonneriefrance.com/
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
L'inscription que je graverais sur ma tombe ? "J'ai essayé d'y échapper mais je n'y suis pas arrivé."
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Naturellement, j'ai été élevée dans le catholicisme mais, maintenant, je regrette presque de le dire. Je suis tolérante. Trop de lectures, peut-être.
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Mary : Vous priez ?
TC : Oui.
Mary : Je ne vous entends pas.
TC : Je prie pour vous. Je veux que vous viviez éternellement.
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Ma devise ? "J'aspire."
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En mai, ce qui nous plaît, c'est de lire de bonnes bande dessinées : de celles qui nous emportent, qui nous bouleversent, qui nous renversent. Voici donc venue la fin du Chant des Asturies. le tome 4 signe la conclusion d'une oeuvre majeure de l'histoire de la bande dessinée espagnole. Vous découvrirez aussi le retour de Truman Capote à Garden City, la ville où se sont déroulés les meurtres qu'il a explorés dans de sang-froid. Et parmi les nouvelles éditions : Sophie, oeuvre majeure de Muñoz et Sampayo, sera enfin réédité. Et trois titres rejoignent notre collection de poche : Les Ignorants, Martin Eden et Sang Noir.
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