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La confiserie de Rosie tome 1 sur 2

Laure Motet (Traducteur)
EAN : 9782266340199
560 pages
Pocket (04/04/2024)
4.03/5   159 notes
Résumé :
LA NOUVELLE SÉRIE DE JENNY COLGAN :
Un premier tome gourmand, pour une histoire familiale chaleureuse et émouvante.
Rosie Hopkins pense que quitter sa vie londonienne occupée et son petit ami Gerard pour aider sa vieille tante Lilian à s'occuper de la confiserie dans un petit village de campagne va être ennuyeux. Si elle savait ce qui l'attendait dans la petite ville de Lipton...
Lilian Hopkins a passé sa vie à diriger la confiserie de Lipton, p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (29) Voir plus Ajouter une critique
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La mission de Rosie, si elle l'accepte ? Partir dans un petit village afin de s'occuper d'une tante, octogénaire, qu'elle n'a vue qu'une poignée de fois et pour cela, laisser un peu son petit-ami se débrouiller tout seul. La mère de Rosie habitant en Australie, elle est la seule référente pour trouver une maison de retraite digne et sympathique à Lilian, et vendre sa petite boutique laissée à l'abandon. Mais Rosie aura un grand coup de coeur pour la boutique laissée en état depuis des années, une boutique de bonbons qui fait remonter tous ses souvenirs d'enfance. Ah, la nostalgie...

On retrouve dans ce premier tome d'une future série, tout ce qui fait le bonheur de Jenny Colgan et son succés : une petite boutique à retaper, une héroïne qui ne le sait pas encore mais va trouver un nouveau sens à sa vie en changeant de métier et d'environnement, l'amour qui l'attend dans un petit village, forcément plus cosy que la grande ville Et la gourmandise...
Mais le tout sent un peu la recette déjà testée dans d'autres séries, et cette histoire m'a moins plue pour plusieurs raisons.
Tout d'abord, le caractère de l'héroïne . un peu carpette sur les bords avec son petit ami, un peu trop maternante, gentille, pas très sûre d'elle . Aide soignante à Londres, on comprend pourquoi elle part aider sa tante, mais elle va aider d'autres gens au niveau santé, le tout gratuitement. Elle travaillera également dans la boutique gratuitement ,une personne la remplacera au pied levé sans qu'aucun contrat de travail soit fait... Pas très réaliste et légal tout ça !
Je n'ai pas du tout aimé l'histoire d'amour qui ressemble beaucoup à celle du roman Avant toi de Jojo Moyes dans ses débuts. D'ailleurs cette histoire d'amour arrive très tardivement dans l'histoire, ce qui intéresse surtout l'auteure , c'est la petite boutique et les bonbons, le côté je retape, je brique, je bosse.
Hélas pour mes papilles, je ne connaissais pas toutes ces friandises , toutes les marques citées et la nostalgie, camarade, n'a pas fonctionnée sur moi. Je pense que les références sont très anglophones. Je ne me pâme pas pour des chocolats fourrés à la menthe ou à la framboise, et pour tout dire tous ces bonbons m'ont plutôt écoeurés. Je pense que le palais français est très différent du palais anglais...
Chaque chapître commence avec l'histoire d'une douceur sucrée décrite . Et à l'histoire contemporaine de Rosie, Jenny Colgan oppose l'histoire de sa tante Lilian, sa seule et grande histoire d'amour et sa jeunesse pour mieux la comprendre et montrer que le temps ça file, et qu'il faut savoir cueillir le bonheur quand il passe devant sa porte.

J'ai eu l'impression qu'avec ce roman, Jenny Colgan brassait tous les thémes qui ont fait son succés, les mettait dans un shaker, agitait le tout et nous sortait une histoire déjà vue et lue. Ce qui n'empêche pas que sa plume soit agréable, mais
rien de nouveau...
Elle a posé ses valises dans un nouvel endroit, ses prochaines héroines seront forcément différentes de Rosie, en espérant qu'elles soient moins lisses...
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C'est toujours un plaisir de découvrir une nouvelle histoire de Jenny Colgan ❤ Je sais que j'avais dit que je ne lirais plus plusieurs de ses séries en même temps, mais... J'ai craqué ( et vite 😂)

Dans ce premier tome de cette nouvelle série, nous faisons la connaissance de Rosie , une jeune aide soignante londonienne. Pour aider sa famille, elle se rend dans le petit village de Lipton, où elle doit vendre la confiserie de sa grand tante Lilian afin de financer le placement de cette dernière en maison de retraite.

En réalité, comme je l'ai compris avec le prologue, ce roman n'est pas vraiment une nouveauté. Jenny Colgan l'avait écrit à l'époque où elle vivait en France, mais il n'avait jamais été traduit. Je suppose que le succès de l'autrice a encouragé les éditeurs à revenir dessus, et c'est franchement une bonne nouvelle car j'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire.

On retrouve tout le "package" habituel qui me plaît toujours chez l'autrice : les entames de chapitre pleins de gourmandise; la citadine qui retrouve les joies simples de la nature et de la solidarité des petits villages de campagne ; les personnages attachants et l'importance de la famille et des amis ; la "nouvelle vie" avec la redécouverte de ce qui compte réellement dans la vie...

Le petit plus qui m'a énormément plu, et qui est plus original chez Jenny Colgan, c'est bien sûr les passages dans le passé de Lilian, qui nous intriguent et nous attachent à la vieille dame, car on se demande ce qu'elle a vécu pour devenir, de cette jeune fille amoureuse, cette vieille dame acariâtre.

Une grande réussite pour moi, donc. le roman se suffit à lui-même, avec une fin propre, mais est bien annoncé comme une trilogie, et c'est officiel et sans surprise : je serai évidemment là pour la suite 😍
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Rosie Hopkins vit à Londres. Infirmière intérimaire et en couple avec Gérard, elle mène une vie tranquille et attend avec impatience que son petit-ami la demande en mariage. Un jour, elle reçoit un coup de téléphone de sa mère lui demandant de partir aider sa vieille tante Lilian, dont la santé est fragile. Rosie aurait donc la charge de veiller sur elle mais également sur la confiserie qu'elle tient depuis des décennies. 
Direction Lipton, où Rosie va faire la connaissance d'une tante à l'air pas trop commode et d'une confiserie laissée à l'abandon. Un changement de cap riche en rencontres et en introspection pour la jeune femme. 

J'aime beaucoup les romans de Jenny Colgan. J'avais adoré la série "La petite boulangerie" et l'année dernière j'avais commencé 'Une saison au bord de l'eau" (qu'il faut que je continue). Lorsque j'ai vu la couverture de son nouveau roman, je me suis empressée de l'emprunter à la bibliothèque. La couverture pleine de peps invite à la gourmandise et je peux vous dire que moi qui suis gourmande je me suis délectée de cette lecture ! Dans ce livre nous trouvons deux thèmes cher à jenny Colgan : le changement de vie et la gourmandise. D'ailleurs au début du livre, l'autrice nous parle de son rapport avec les bonbons et les changements qu'elle a trouvé en arrivant en France. j'ai trouvé ce passage intéressant.

Rosie est une jeune femme attachante qui après 8 ans de relations avec Gérard attend qu'il officialise la chose. Une attente longue car Gérard est un fils à maman, pas très dynamique et qui attend de sa compagne qu'elle repasse son linge et lui fasse de bons repas.  En partant pour Lipton, Rosie va pouvoir prendre du recul sur sa relation.
Lilian est une femme mystérieuse, pas très aimable aux premiers abord et vieille fille. Jenny Colgan utilise la double temporalité dans ce roman et nous emmène dans le passé de Lilian afin de comprendre qui elle est et pourquoi elle n'est pas mariée. J'ai beaucoup aimé cette alternance passé/présent qui nous permet de nous attacher à cette vieille tante.

Comme dans tous ses romans il y a cet humour so british que j'aime tant mais malgré le fait que ce soit un livre feel-good il y a tout de même de la profondeur.

J'ai passé un excellent moment de lecture et j'ai déjà hâte de lire la suite (ce roman est le début d'une trilogie et le tome 2 est prévu pour la fin de l'année).
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Lire un livre de Jenny Colgan c'est comme déguster un petit bonbon. Et ça tombe plutôt bien car on part dans une confiserie. Mais quelle déception au final. J'ai eu un mal fou à accrocher à cette lecture. du déjà vu et lu ? Peut-être et je suis terriblement frustrée car je ne continuerai pas la lecture de cette nouvelle saga. Je préfère définitivement les librairies aux confiseries. A moins que ce soit le personnage avec lequel je n'ai pas accroché ?
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C'est un bonheur de plonger dans l'univers, doux, sucré et bienveillant de Jenny Colgan.

Je me suis beaucoup attachée à Rosie, Stephen et ma petite et frêle Lilianne.

Nous allons Suivre le début d'histoire avec Rosie qui part aider sa vieille tante Lilianne dans un coin perdu de l'Angleterre, le village de Lipton.
Un village où tout le monde se connait et ou les ragots vont plus vite que twitter ou Instagram 🤣
Elle s'imagine aller dans un mouroir mais pour le coup ce village va lui redonner le goût de vivre et s'épanouir 🌈🌻💕

J'ai trouvé cette histoire réconfortante comme un bonbon qui fond lentement dans la bouche 🍬🪅🍬🍡🪅🍡
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Avant la guerre, songea-t-elle un soir qu'ils rentraient tard, la lune rousse se levant au-dessus d'eux, cela n'aurait pas été permis ; le scandale les aurait éclaboussés. À présent, les règles semblaient avoir changé ; tant de jeunes hommes étaient partis, avaient quitté le village ou avaient été tués. Lilian avait appris une chose avec effroi : tout le monde cachait les nombreuses tragédies qui les frappaient. Elle qui croyait être la seule personne malmenée par l'univers avait réalisé qu 'elle avait en réalité été innocente, préservée, jusque-là ; que perdre un frère ou un fils était courant ; l'était depuis que les guerres existaient. Elle avait le sentiment d'avoir intégré un nouveau groupe : ceux qui connaissaient la cruauté du monde et ne pouvaient l'oublier.
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En le regardant, en voyant qu'il se fichait totalement ce qu'elle avait prévu, que rien ne l'intéressait, hormis savoir quand elle rentrerait pour lui préparer à manger et s'occuper de leur appartement, elle eut une prise de conscience. Même si elle le savait depuis longtemps, supposa-t-elle.
Le plus discrètement possible, elle alla se renfermer dans la salle de bains, s' assit sur le siège des toilettes, puis se mit à pleurer tout bas.
Gerard n'y était pour rien - son tempérament débonnaire, complaisant, l'avait charmée autrefois. Mais ce qu'elle avait pris pour de la bonhomie, de l'amabilité, n'était fainéantise, en réalité : être gentil avec tout le monde était plus facile que s'affirmer ; trouver une fille comme elle pour prendre soin de lui et remplacer sa mère était facile. Mais devenir adulte, assumer la responsabilité des choses qu'elle voulait (une jolie maison, une famille : rien de trop ambitieux, si ?) il n'en était pas capable. Pour le moment ; peut- être pour toujours.
Gerard voulait une vie simple, rien de plus. Et elle avait été si accaparée par son travail, à courir aux quatre coins de la ville, qu'elle avait décrété que c'était suffisant, peu importe ce que ses amis racontaient derrière son dos et ce que sa mère lui disait en face.
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- Je teriverse, répondit fiérement le garçonnet.
- Tu fais quoi ?
- Je ter-i-verse. C'est quand un truc horrible doit arriver, mais qu'on n'a pas envie que ça arrive, alors on se promène en espérant que ça retardera le moment.
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Elle avait le sentiment d'avoir intégré un nouveau groupe : ceux qui connaissaient la cruauté du monde et ne pouvaient plus l'oublier.
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La vieille dame, qui souffrait et était bouleversée, s'était mise à pleurer.
Rosie connaissait bien ce genre d'interne. Tout juste sorti de la faculté, il n'avait jamais vraiment été au contact de vrais patients. Il avait passé des années dans de jolis amphi- théâtres, considéré comme la crème de la crème par ses amis et sa famille parce qu'il était en médecine, et était pour la première fois confronté au monde réel, de façon brutale : il découvrait que son métier consistait surtout à prendre soin des vieux et des pauvres, très peu à pratiquer des opérations spectaculaires pour sauver des mannequins.
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