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EAN : 9782846265393
85 pages
Au Diable Vauvert (07/05/2013)
3.64/5   14 notes
Résumé :
1938, guerre d’Espagne. Près de l’Èbre, sous un olivier, un jeune déserteur et un torero partagent la maigre protection d’un mur de pierre contre les rafales ennemies. La mort rôde sur leur tête, au bout du fusil d’un sniper. Dans le temps de l’attente, les âmes se dénudent jusqu’à l’os.
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Vous aimez lire des livres de guerre ? Alors lisez le livre "Adieu torero" !
En pleine guerre d'Espagne, un homme voit une boucherie près de lui et décide d'y aller mais il se fait viser. Un ancien torero lui dit de venir s'abriter derrière un mur sous un olivier. En arrivant, il voit un homme d'une trentaine d'années avec des cicatrices sur le visage. Ils commencent à échanger sur la guerre, la vie, la mort.
« Une voix m'a interpellé.
- Reste pas là, Cabrón, viens te planquer.
Sans peser le pour et le contre, j'ai couru vers cette voix. Penché en avant, j'ai foncé, trébuché, pour finalement rouler dans la poussière, au pied d'un mur de pierres sèches où se terrait celui qui m'avait interpellé, accroché à sa mitrailleuse. Un drôle de type d'une trentaine d'années. Visage sec, creux, avec une vilaine cicatrice au menton et une autre qui labourait la joue ».
Les thèmes de la guerre, de la vie et de la mort sont bien abordés car on comprend le point de vue des personnages directement. Je trouve que l'ancien torero est trop brutal et que l'autre personnage est rêveur. J'ai ressenti de la peine en lisant le livre. Le livre est facile à lire mais la fin est prévisible.
Je ne conseille pas de lire ce livre car l'auteur parle trop de la guerre et les personnages sont inintéressants car ils parlent sèchement et ne sont pas accueillants.
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En pleine guerre d'Espagne, un homme au bout du rouleau qui vient de se faire canarder pendant des heures, regarde la "boucherie" autour de lui et décide de déserter. Dans sa fuite, un autre homme, ancien torero, lui sauve la vie.
Pour se protéger des tirs ennemis, il s'abritent derrière une murette, sous un olivier. Ils partagent du tabac et surtout leurs points de vue sur la guerre, la vie et surtout la mort.

Il livre émouvant avec une reflexion intéressante sur la guerre et pourquoi on la fait. Un échange entre deux mondes différents représentés par ce sdeux hommes et la fragilité de la vie. Un livre aussi sur les choix !

Ce roman peut être lu en parallèle d'un travail sur la guerre. Il y a des détails assez crus.

Personnellement je n'ai pas été très touchée.
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En pleine guerre d'Espagne, un homme observe la "boucherie" autour de lui et décide de déserter. Dans sa fuite, un autre homme, ancien torero, lui sauve la vie.
Pour se protéger des tirs ennemis, il s'abritent derrière une murette, sous un olivier. Ils partagent du tabac et surtout leurs points de vue sur la guerre, la vie et surtout la mort.

Un livre émouvant avec une réflexion intéressante sur la guerre et pourquoi on la fait. Un échange entre deux mondes différents représentés par cesdeux hommes et la fragilité de la vie. Un livre aussi sur les choix !
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La rencontre d'un jeune déserteur basque et d'un torero espagnol en pleine guerre d'Espagne, une parenthèse au coeur de la guerre. Un récit court et qui se laisse lire, sans être bouleversant.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Avec le temps qui a passé sur le cuir depuis, j'appelle ça une bande de bras cassés, un ramassis de beaux parleurs, qui croyaient que la victoire était une affaire de débat d'idées, de tirades bien foutues, de théories fumeuses. Je comprends pourquoi les Espagnols nous faisaient la gueule. Eux, c'était leur maison, leur jardin, leurs femmes et leurs enfants qu'ils défendaient. Et des idées, aussi, ça n'empêche. Mais quand un bombe explose à deux mètres de toi, la grandeur d'âme te fait pas un bouclier, tu prends tout dans la gueule et t'as plu qu'à mourir. Lest têtes bien pleines sont tombées comme des grenades mûres éclatant sur le sol et semant alentour leurs pépins sanguinolents. Les belles idées étaient maintenant dans la terre où plongeaient depuis des lustres les racines des oliviers et des amandiers. Tu parles d'un fumier.
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