Après Romain Gary et Albert Cohen, François Emmanuel ! Des écrivains qui mettent en littérature l'image de la mère morte, sacrifiant la plume sur l'autel de la maternité. Portement de ma mère, en trente-deux poèmes en prose, replace la mère sur le papier, revêtant alors l'aspect d'un spectre qui flotte, au-dessus de son lit, de sa tombe : l'agonie d'abord, avec un corps sombrant peu à peu, glisse doucement dans "l'abîme des morts". Puis vient l'enterrement, l'inhuma... >Voir plus