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Gloria Victis tome 1 sur 4
EAN : 9782803633883
56 pages
Le Lombard (31/10/2014)
3.61/5   23 notes
Résumé :
Il y eut une époque où certains mortels devinrent des dieux. A cette époque, il y a deux mille ans, des hommes devinrent des légendes en risquant leur vie pour divertir les foules. Des auriges mythiques qui, juchés sur leurs chars et imitant Apollon, s'affrontaient dans l'arène. C'est l'histoire de l'un de ces héros: Aelio Hermeros, peut-être l'un des meilleurs pilotes de char de tous les temps. Un mortel immortalisé dans la mémoire de ceux qui le virent courir, qui... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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La course de chars : la Formule 1 de l'empire romain.

Excellente découverte, un peu par hasard, alors que je cherchais une BD dont l'action se déroule pendant l'antiquité.
La conception de cette BD a une histoire que nous raconte le scénariste Juanra Fernández. Alors qu'il visite le musée archéologique de Cuenca, en Espagne, il tombe sur une stèle funéraire avec une inscription en l'honneur d'un aurige : Aelio Hermeros. Ni une, ni deux, il décide de ressusciter cet illustre inconnu, en lui inventant son histoire.
Une histoire qui prend corps en Hispanie, à l'époque des empereurs Antonin le Pieux puis Marc Aurèle. A l'apogée de l'empire donc. Nous sommes dans le milieu des éleveurs de chevaux qui participent aux courses de char. Un sport qui déchainait les passions populaires et faisait l'objet de nombreux paris où certains perdaient jusqu'à leur liberté.
Ce premier tome nous présente Aelio enfant, assistant à une course à laquelle participe son père, aurige renommé. Puis Aelio jeune homme désargenté, devenu esclave public, qui va être racheté par l'éleveur Caius Gratius Nigrinus qui a vite perçu ses dons pour le domptage des chevaux.

Cela fait plaisir de découvrir une histoire romaine qui ne se consacre pas aux guerres, aux batailles ou aux usurpations. Une histoire d'hommes et de femmes qui vivent dans une société stable, avec leurs problèmes et leurs joies, leur bonté ou leur cruauté.
Cela n'empêche pas l'action. Les scènes de courses sont hallucinantes de suspense. On pourrait facilement les confondre avec un story board. Aelio virevolte et cascade aussi bien que Jean-Paul Belmondo. Les décors de l'Hispanie romaine sont superbes.

J'ai hâte de lire la suite.
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La bande dessinée dont j'ai toujours rêvée : un bon vieux peplum servi par des graphismes de haute volée !!!
Tout commence par une stèle découverte à Valeria et exposée au Musée archéologique de Cuenca :
« Consacré aux dieux mânes. A Aelio Hermeros, aurige. Mort à Iliri. Il a vécu 33 ans. Par décision de la République de Valeria, à cet homme incomparable. Que la terre te soit légère.
Toi, voyageur assidu, qui passes souvent par ici, lis : d'abord, je suis né. »
C'est décidé, le scénariste espagnol Juanra Fernandez ressuscitera son histoire en BD !

L'histoire débute à Ilici en 909 ad urbe condita, soit l'an 156 de notre père, par le petit Aelios venu supporter son père aurige qui affronte son vieil ami Dioclès, le plus grand aurige de tous les temps, le violent Victor Senior et son fils, le sombre Victor Junior… Mais au final il ne fait qu'assister à la mort tragique et violente de son père bien aimé. (Sniff)
L'histoire continue à Valeria en 921 ad urbe condita, soit l'an 168 de notre ère, avec Aelios devenu adolescent et esclave public, qui par un caprice de la destinée va s'attirer la protection de la maisonnée du noble Caius qu'il va intégrer. Il s'élève vers la liberté, mais en se rapprochant de plus en plus du monde des courses qu'il juré d'éviter, et se retrouve pris au piège entre son amour pour la belle esclave Fabia et l'attention de la cruelle Horacia qui les menace de représailles si le jeune éphète ne partage pas sa couche…

Le dominus naïf, la domina dominatrice, l'intendant bienveillant, le jeune prodige, la belle esclave et le méchant tout plein… Des archétypes du peplum qu'on retrouve toujours avec plaisir ! Car mettons les choses au point : originalité n'est aucunement synonyme de qualité, bien au contraire puisque comme le dit proverbe « c'est dans les vieux chaudrons qu'on fait les meilleurs recettes »…
Les dessins de Mateo Guerrero sont fantastiques, car à la fois très dynamiques et très expressifs. J'ai du vérifier qu'il s'agissait pas d'un pseudo de Juanjo Guarnido ("Blacksad") tellement c'est excellent. Et mine de rien, on n'est pas si loin du travail de Marini sur "Les Aigles de Rome". le découpage est parfait, la mise en scène d'une remarque fluidité : il se dégage quelque chose de chaque case ! du coup, j'avais l'impression de regarder une série hollywoodienne genre "Rome" ou "Spartacus", ou un anime de haute top qualité !
J'avais au départ trouvé les couleurs de Javi Montes un chouia trop sépia, mais au final cela colle super bien à l'ambiance peplum qu'elles renforcent. Même la couverture qui imite une fresque romaine est magnifique, c'est vous dire comment le tome 1 de cette nouvelle série sur l'Antiquité est pour moi une réussite… ^^
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C'est la critique de BazaR qui m'a donné envie de lire cette bande dessinée que j'ai été très heureuse de trouver à la bibliothèque du coin. Avant de découvrir son challenge historique, j'étais plus intéressée par l'histoire du Moyen Age mais au fil de mes lectures j'ai développé un petit faible pour l'Antiquité.

Les auteurs nous embarquent donc dans l'univers impitoyable des courses de char en l'an 168 de notre ère.

« Le spectacle le plus populaire de la Rome antique opposait des chars en bois ne pesant pas plus de 75 kilos et pouvant atteindre jusqu'à 75 kilomètres à l'heure. Selon qu'elles étaient tirées par deux, trois ou quatre chevaux, ces frêles « machines » étaient appelées biges, triges ou quadriges. »

Cela devait être quelque chose d'assister à ce genre de course.

12 ans ont passé depuis qu'Aelio a assisté à la mort de son père lors d'un mémorable accident de chars (naufragia). Devenu esclave public, il sauve la vie d'une jeune esclave et de sa maîtresse (une ignoble matrone). Il va attirer l'attention de son mari, Caius Gratius Nigrinus, qui n'ignore pas de qui il est le fils. Il n'a plus qu'une idée en tête : faire de lui son aurige.

Les graphismes et les couleurs sont excellents. J'ai beaucoup aimé le scénario imaginé à partir d'un nom trouvé sur une stèle funéraire au Musée archéologique de Cuenca.

J'ai emprunté les 4 tomes donc… à suivre.




Challenge BD 2021
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Alfaric avait bien raison : cette bande dessinée est prometteuse !

En l'an 168, dans la ville de Valéria, dans la province romaine de l'Hispanie, Aelio, un jeune esclave sauve deux femmes en maîtrisant leur cheval endiablé. Cet acte de bravoure le rendra libre et lui assurera un avenir prometteur.

Un début de scénario alléchant, des dessins réalistes, soignés avec certaines vignettes spectaculaires, une toile de fond à la fois historique et mythique où sont mis à l'honneur les courses de chars, l'univers équestre et les rivalités entre auriges des arènes romaines.
Et puis, avouons le les filles, ne gâchons pas notre plaisir ! le héros Aelio est beau comme un dieu et rien que pour ça, on le suivra bien jusqu'au Colisée !
Gloria Victis !

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J'ai découvert cette bande dessinée par hasard dans une librairie de Toulouse, au mois d'avril en cherchant le tome 4 des Médicis d'Olivier Pérù. Les dessins aux couleurs chatoyantes et les reconstitutions soignées des bâtiments et costumes romains m'avaient immédiatement convaincue de la prendre. Bien qu'il n'était pas du tout prévu que je la lise au mois de juin et encore moins que je vous en fasse la chronique, j'ai tellement été séduite par ce premier tome que je n'ai pas résisté à l'envie de vous la faire découvrir.

La petite ville provinciale d'Ilici, située en Ibérie (Espagne) est en effervescence en ce jour de 909 après la fondation de Rome (156 après J.-C.). Elle s'apprête en effet à célébrer une course de char mythique au Cirque qui réunira quatre auriges talentueux : Diocles, Aelio Hermeros, Victor et son fils. Malheureusement, les choses ne vont pas se dérouler comme prévues. Victor pétri d'ambition va tout tenter pour gagner la course et ses manoeuvres peu recommandables vont tourner à la catastrophe. Il cause alors un naufragium, c'est-à-dire un accident de chars provoquant sa mort et celle d'Aelio Hermeros. Dans la foule, c'est l'effroi mais surtout le jeune fils de ce dernier assiste impuissant à la mort de son père. Douze ans plus tard, le jeune garçon Aelio Hermeros est devenu un esclave municipal dans la cité de Valeria. Or, sa vie va de nouveau être bouleversée lorsqu'il sauve une matrone et sa jolie esclave de la mort, leur char emporté par un cheval emballé…

A la fin de ce premier tome, l'auteure Juanra Fernandez explique comment lui est venue l'idée d'écrire le scénario de cette bande dessinée et j'ai trouvé l'histoire plutôt touchante. En effet, alors qu'elle se promenait au musée archéologique de Cuenca (sur le site antique de Valeria), elle est tombée sur la stèle funéraire d'un aurige prénommé Aelio Hermeros, mort d'un accident de char à l'âge de trente-trois ans. Ce principe de reprendre des épitaphes de stèles funéraires romaines n'est pas une nouveauté pour moi car Blandine le Caillet l'avait fait pour son recueil de nouvelles, Dix rêves de pierre. Et j'adore cette idée de redonner vie à une personne dont la seule trace de son passage sur terre est quelques lignes sculptées par un lapidaire. Certes, nous avons très peu d'éléments biographiques (souvent un nom ou éventuellement celui d'un d'un proche, l'âge et parfois la cause de la mort) mais cela laisse place à l'imagination.

La bande dessinée est plutôt bien écrite, l'intrigue est intéressante et les personnages bien développés. Les auteurs ont fait un important travail de documentation que ce soit au niveau de la recherche des costumes, de la reconstitution de Valeria (mention spéciale d'ailleurs à la vue aérienne de la cité) et à l'organisation sociale. L'esclavage est d'ailleurs le thème dominant de ce tome et est plutôt bien traité car à travers différents personnages, il montre plusieurs cas de figures :
– Romulus s'est ruiné en pariant sur Diocles et Aelio mais Caius Gratius Nigrinus lui a évité les galères en lui rachetant sa dette et en faisant de lui son esclave domestique. Il est un servus qualifié et bénéficie d'une place enviable au sein du foyer.
– Fabia, une autre esclave est quant à elle soumise aux caprices de sa maîtresse ou aux assiduités de son maître et assume les tâches subalternes.
– Aelio Hermeros, après la mort de ses parents, est devenu un esclave public au service de la Commune de Valeria. Comme Caius Gratius Nigrinus fait partie de la Curie de Valeria (l'équivalent de notre conseil municipal), il l'affranchit pour qu'il travaille ensuite à son service. J'avoue que pour cet aspect-là, j'ai quelques doutes et malgré mes recherches, je n'ai pas réussi ni à confirmer cela, ni à l'infirmer. J'ai juste pu lire que les esclaves publics étaient en général très qualifiés et qu'ils arrivaient par eux-mêmes à racheter leur propre liberté. Mais, j'ignore si l'affranchissement par un membre de la curie était possible surtout pour son propre compte.

Enfin, j'aurais juste un petit bémol à formuler à propos de l'édition de la bande dessinée et de son impression. En effet, il se trouve qu'une dizaine de pages de l'album ont été mal imprimées et certains dessins se sont ainsi retrouvés « dédoublés ». Je trouve cela vraiment regrettable car non seulement c'est très désagréable à regarder (les dessins sont flous) et pour une bande dessinée à 13,99€…

En conclusion, ce premier tome de Gloria victis est une agréable surprise grâce à une intrigue intéressante, des personnages variés et développés ou des dessins qui reconstituent bien la vie à l'époque romaine que ce soit dans la ville d'Ilici ou celle de Valeria. Je continuerai donc avec grand plaisir avec la suite de la tétralogie.
Lien : https://labibliothequedaelin..
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critiques presse (5)
BoDoi
26 décembre 2014
Point positif : le petit apport pédagogique quant à l’organisation et au fonctionnement des courses de char. Mais ça ne suffit guère à susciter l’adhésion face une bande dessinée caricaturale, aux dialogues lourdingues et aux protagonistes grossièrement brossés.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Auracan
08 décembre 2014
Au terme de leur galop, Les Fils d'Apollon constituent un tome 1 fort réussi et une jolie surprise. On reprendra place avec plaisir dans le char d'Aelio pour découvrir la suite de ses aventures.
Lire la critique sur le site : Auracan
Sceneario
20 novembre 2014
Ce premier volet d’une quadrilogie annoncée nous introduit dans une équipée historique qui, à n’en pas douter, se présente sous les meilleurs auspices. En effet, à la faveur d’un drame habilement initié, Juanra Fernandez nous entraîne dans une intrigue qui, évidement, n’en est qu’à ses balbutiements mais qui devrait obliger le jeune Aelio à marcher sur les traces de son père.
Lire la critique sur le site : Sceneario
ActuaBD
14 novembre 2014
Autant l’on peut être séduit par la bonne qualité des références historiques de cet ouvrage, autant, il faut bien le dire, les traits et les couleurs de cet album nous font regretter l’approche vériste, claire et documentée, de Jacques Martin et de ses assistants.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BDGest
21 octobre 2014
Le scénario de Juanra Fernández s’attache à donner de l’épaisseur au héros ainsi qu’à ses relations avec les personnages secondaires, qui sont loin d’être des faire-valoir. Le dessin réaliste de Mateo Guerrero soutient agréablement le récit.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
- Très cher, nous somme tombés bien bas. Depuis quand acceptons-nous des esclaves à notre table ?
- Aelio, tu connais déjà mon adorable épouse. Horacia, si ton éducation t'interdit de partager ton repas avec l'homme qui t'a sauvé la vie, rends-toi aux écuries où tu pourras déguster le foin qu l'on donne aux chevaux. Tu pourras même t'allonger aux côtés de celui qui a failli te précipiter dans le vide. Quoique, tout bien considéré, n'y va pas. Tu risquerais de gâcher le dîner de mes chers animaux.
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[les auteurs] Les auriges défendaient les couleurs de leur faction. Ces factions, au nombre de quatre, étaient toujours les mêmes : les Bleus (veneta), les Verts (prasina), les Rouges (russata) et les Blancs (albata).
Comme beaucoup de sports actuels, ces compétitions déchaînaient les passions. Les auriges devinrent ainsi des héros immortels ou jalousés, bien que la plupart d'entre eux soient aujourd'hui tombés dans l'oubli...
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[stèle découverte sur le site archéologique roman de Valeria, province de Cuenca, Castille-La Manche, Espagne]
Consacré aux dieux mânes. A Aelio Hermeros, aurige. Mort à Iliri. Il a vécu 33 ans. Par décision de la République de Valeria, à cet homme incomparable. Que la terre te soit légère.
Toi, voyageur assidu, qui passes souvent par ici, lis : d'abord, je suis né.
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- Rien n'égale la brise d'Hispanie sur le visage avant de s'élancer sur la piste !
- La brise d'Hispanie ? Ça sent plutôt le vin, la poussière et l'excrément de cheval !
- Ça c'est l'odeur du cirque ! Elle est la même dans tout l'empire...
- Le Grand Cirque de Rome ne sent certainement pas aussi mauvais...
- C'est bien pire ! Il est beaucoup plus grand...
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[Juanra Fernandez] Ce récit ne débute pas dans l'arène d'un cirque romain, mais par une visite au Musée archéologique de Cuenca. Dans une salle réunissant les trésors, récipients et autres ustensiles d'une passé exhumé, une stèle funéraire portait jalousement une inscription en l'honneur d'un aurige : Aelio Hermeros.
C'est ainsi qu'est née cette histoire, qui s'attache à ressusciter ce héros de Valeria en relatant les aventures de son fils, un personnage plausible quoi qu’imaginaire.
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Gloria Victis Comics - Horse racing carts for glory in roman civilization - Published by Le Lombard
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