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EAN : 9782744407246
204 pages
Editions Grand Caractère (24/01/2008)
2.88/5   16 notes
Résumé :

Dans la banlieue de Melbourne, à Green Park, un vieil homme richissime est retrouvé sans vie chez lui. La police conclut à une mort naturelle et l'affaire est rapidement classée. Le témoignage d'une femme de chambre vient cependant tout bouleverser en incitant le détective privé Allan Dickson à reprendre les investigations. Elles le mèneront sur une piste fort surprenante... " Il n'y a dans tout un royaume qu'u... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Bilan mitigé pour ce court roman. Il s'agit là d'une très bonne enquête où un très bon détective va venir en aide à la police qui n'arrive pas a élucider ce meurtre. Ça ne vous rappelle rien? Vraiment rien? Si je vous dis Sherlock Holmes...
Et bien oui, le voila mon problème, avec "La ténébreuse affaire de Green Park" j'ai juste eu l'impression de lire une copie des romans d'Arthur Conan Doyle. Même procédé, même inspecteur ultra intelligent et qui arrive a voir des choses que seul lui peut voir et il est comme lui accompagné d'un "docteur Watson".
Mais Sherlock Holmes est pour moi LE détective, comme un mythe sacré auquel il faut s'attaquer qu'avec énormément de précaution.
Hors ici l'inspecteur m'a souvent agacé, je l'ai trouvé trop prétentieux, trop sur de lui, trop fière en répétant sans cesse que la police n'était bonne a rien et que seul lui détective pouvait résoudre l'enquête...
Hormis mon problème avec ce détective, j'ai trouvé l'enquête justement très bien ficelée et très bien menée. Une fois l'intrigue mise en place, il est difficile de lâcher le livre car l'on a envie de connaitre le meurtrier.
Par contre comme les autres lecteurs, je dirais que l'utilisation de mot anglais dans un texte français m'a gêné également, surtout quand il s'agit de mots qui peuvent très facilement être traduit en français.
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Cette affaire n'a rien de ténébreux, et l'intrigue est tellement simple que, personnellement, j'ai deviné le coupable dès les premières lignes. Je n'ai jamais vu un détective qui vante autant ses mérites pour si peu. D'ailleurs, la facilité et les hasards que lui donne l'auteur dans sa démarche frôlent la naïveté et c'est à ne pas croire que c'est le même qui a écrit « Mémoires d'un cambrioleur retiré des affaires » qui est beaucoup plus profond, à tous les égards.
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Intrigue bien ficelée ; je croyais au début, avoir affaire à un auteur contemporain imitant Sherlock Holmes ; mais il s'agit bien d'un auteur du début du XX° siècle.
Les aventures sont rocambolesques ; le suspens y est.
Un bon roman policier
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Dickson, détective privé, se lance sur la piste d'un assassin. En effet, le richissime Ugo Chancer a été retrouvé mort. Son argent est toujours là. La police, qui écarte le crime crapuleux, se retrouve dans l'impasse.

Dickson va suivre le chemin de petits cailloux semés par le mort qui le mènera vers une stupéfiante découverte !

Un roman policier dans la lignée de Sherlock Holmes, palpitant, intelligent et surprenant.
En revanche, le mélange constant de termes français et anglais perturbe un peu la lecture dans un premier temps.
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Pfff ! Un livre ennuyeux et long comme un jour sans pain ! le narrateur/enquêteur est prétentieux au possible et l'intrigue sans aucune consistance.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Comme tout Anglais de race, je suis méthodique, car j'estime qu'avec de la méthode on arrive a une précision de mémoire extraordinaire.

Et il faut de la mémoire pour exercer l'art si complexe du détective, - je dis "détective" et non pas policier.

D'abord, je suis gentleman, fils de gentleman. Mon père, Arthur Edgar Dickson, était un des farmers les plus honorablement connus de l'Ouest Australien.

Le policier, lui n'est jamais un gentleman et c'est presque toujours un mauvais détective, car il manque précisément de ce qui fait notre force à nous : la méthode.
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Je ne sais pourquoi les domestiques me paraissent a priori suspects. Leur connaissance des lieux et des habitudes de ceux qu'ils servent les mettent toujours dans une situation particulièrement avantageuse, s'ils sont malintentionnés. Il y a plus : ils forment entre eux une redoutable
franc-maçonnerie qui tend, de jour en jour, à se transformer en syndicats actifs.
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Cependant, m'étant approché de la chose, je reconnus que ce que je prenais pour un plumeau, c'était la tête de l'infortuné M Chaucer
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Cette chaussure avait été ressemelée ! Or un homme du monde ne porte jamais de chaussures ressemelées ! Mon assassin n'était donc pas fashionable.
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