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Sept tome 13 sur 21
EAN : 9782756024059
64 pages
Delcourt (23/05/2012)
3.71/5   102 notes
Résumé :
Londres, 1920. Une série de meurtres atroces frappe la ville.

À chaque nouvelle victime, non loin des corps, Scotland Yard retrouve une liste de sept noms : ceux des sept plus grands détectives connus de par le monde, invités à participer à l'enquête... par le tueur lui-même.

Sept détectives dans le salon de l'un d'entre eux, Ernest Patisson, détective Suisse installé là depuis peu.

Autour de lui, Adélaïde Crumble, inst... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
3,71

sur 102 notes
"7 détectives", ou comment se prendre un bon coup de poing dans le plexus ! Je viens de finir de le lire et je suis encore sous le choc.

Pourtant, en ouvrant par curiosité cette bédé dans un magasin, j'avais passé mon tour, les dessins ne m'aguichant pas. C'est une connaissance qui l'avait lue qui me l'a vivement conseillé. J'ai écouté et j'ai bien fait.

Une seconde lecture ne serait pas pour me déplaire, afin de repérer ce que j'aurais pu manquer... Même si je ne suis pas séduite par les dessins, je le fus par le scénario bien fichu.

L'histoire se passe en juillet 1920. Depuis quelques semaines, une série de meurtres ont frappé la ville de Londres.

Trois meurtres ont eu lieu pour le moment, sans lien apparent, hormis une lettre, laissée à chaque fois, un simple chiffre 7 inscrit sur celle-ci et une liste, comme un appel, comme un défi, celui des 7 plus grands détectives connus à travers le monde…

Ces 7 détectives sont finalement réunis, dans la demeure d'un d'entre eux, afin d'en découdre avec celui qui a mis à défaut la police locale durant ces dernières semaines et qui a osé les défier sur leur propre terrain de jeu : le crime…

Première question que je me suis posée : qui est ce mystérieux narrateur qui nous signale que ces pages ne sont pas destinées à être lues ? On se doute que c'est l'un des témoins de cette enquête, il le dit lui-même plus bas. Mais la question sera, jusqu'à la fin : QUI ? (il nous sera dévoilé).

Bon sang, d'entrée de jeu je suis déjà en train de faire tourner les rouages poussifs de mes méninges en découvrant cette première page de la bédé couverte d'une écriture manuscrite.

Ensuite, nous passons aux dessins et par une présentation de nos sept protagonistes.

Tour à tour, chaque enquêteur se présente au capitaine MacGill, qui les a réunis, à ses confrères et à nous aussi également.

A la différence d'autres bédé, la présentation des personnages se fait sur des grandes planches, une page étant consacrée à chacun d'entre eux.

Les sept premières pages sont donc consacrées à nos détectives.

Dialogues croustillants, plongée dans l'ambiance, découverte du caractère de chacun et on imagine bien que l'affaire ne va pas être une partie de plaisir, sauf pour nous, le lecteur.

Sept personnages : trois Britanniques, une presque Écossaise, un Américain, un Suisse et un Français.

Sept personnages face à un meurtrier… du 7 contre 1.

A savoir que certains sont la copie de personnages de romans policiers : le docteur John Watson (nommé ici John Eaton) et Sherlock Holmes (nommé ici Nathan Else).

Le cadre est posé, les personnages se sont présentés et les crimes nous sont expliqués. Et les questions se multiplient.

Qui a commis ces crimes ? Pourquoi ? Pour quelle raison réunir ces 7 experts du crimes ? Pourquoi 7 ? Qui est ce fichu narrateur ?

Voilà un petit aperçu de toutes les réflexions qui m'ont submergées au fil des pages.

Je nageais dans le brouillard, comme les personnages eux-mêmes.

Au fil de ma lecture, les morts s'empilant comme des paquets aux pieds d'une femme un jour de soldes, j'entrevis une hypothèse qui se révéla payante.

Sans vouloir jeter le discrédit sur tous les auteurs de romans policiers, on peut dire que TOUS les scénarios possibles et inimaginables ont été écrits en ce qui concerne les coupables (surtout si on a lu Agatha Christie) : du majordome à la bonne, en passant par le jardinier, sans compter celui qui avait un alibi en béton armé, le narrateur, le détective lui-même, le flic, le mort qui se faisait passer pour mort, la victime qui s'est tuée sans le faire exprès, celui qui s'est suicidé faisant accuser un autre, celui qui n'avait aucun mobile,...

Bref, là-dessus, on ne pouvait pas vraiment me surprendre. Mais c'est grâce à Agatha Christie et ses coupables "que je n'ai jamais vu venir" que j'ai compris où se trouvait celui de l'album...

"Victoire ! me suis-je écriée. Eurêka ! Sabrons le champagne. Ah, tiens, il reste quelques pages à la fin"...

Remisons le champagne, le scénariste avait plus d'un tour dans son sac et c'est le final qui m'a collé ce formidable coup de poing dans le plexus.

Même si, a contrario et à tête reposée, cela fait du criminel un homme encore plus intelligent que le véritable Holmes ou que son clone, dans le livre.

Un coupable encore plus retors que... heu...que le plus grand des retors.

Je dirais même plus : diaboliquement retors, méphistophélique.

Pire : méphistophélèstique (cherchez pas dans le dico, je dois encore proposer ce néologisme à Larousse).

En quelques mots : "le scénariste m'a scier" (faute d'orthographe intentionnelle à "scier", pour ne pas dire qu'il m'a "tuer", même s'il ne s'appelait pas Omar... seuls les cancres du fond n'auront pas compris).

Je viens donc de lire une formidable enquête, un véritable jeu proposé par le meurtrier, dans lequel les 7 détectives se plongent à coeur joie dans l'enquête, tentant de résoudre cette série de crime tout en picolant, tout en chassant le dragon (fumer de l'opium) ou discutant avec la fée verte (absinthe). Oui, ils ont leurs petits travers !

En tout cas, le défi méritait d'être relevé et il est fait de manière brillante…Aussi bien par les détectives que par le scénariste, aussi retors que son criminel.

L'intrigue est prenante et bien ficelée, nous poussant à jouer avec nos détectives.

Tenter de repérer des indices qui pourraient trainer sur chaque page, sur chaque case, lancer des hypothèses, validées ou non par la suite de l'aventure, sans compter qu'il y a toujours une dose de surprise et d'imprévu.

Pour l'amatrice d'enquêtes policières que je suis, c'est jouissif. le pied intégral.

Je suis sûre que les amateurs d'enquêtes apprécieront celle-ci. Il n'y a pas à dire, le scénariste a dû se lever de bonne heure pour nous pondre un scénario d'une telle densité.

Tout est pensé, rien n'est laissé au hasard, tout se tient, bref, un régal !

Ici, le chiffre 7 n'est pas être un simple accessoire, une contrainte créée par le concept de cette série (14 albums de la série "7").

Le 7 a toute son importance et vous remarquerez (ou un détective vous le fera remarquer) toutes les possibilités infinies du chiffre 7 dans cette bédé. Moi-même j'en avais loupé assez bien.

Le 7, c'est une véritable raison d'être dans le scénario, une sacré contrainte aussi pour le meurtrier (et le scénariste !) et une autre encore plus difficile à mettre en oeuvre pour la fin.

C'est une des raisons qui me font dire, à tête reposée, que le criminel aurait eu du mal à tout mettre en oeuvre. Mais vu que j'ai dit qu'il était plus que retors, diabolique, même... Oui, on peut lui laisser le bénéfice du fait qu'il était tout à fait capable de mettre tout en oeuvre.

Dans les nombreuses qualités de cet album, je mettrai en avant sa précision, avec le fait, notamment, que tout soit expliqué et tout est justifié sans qu'il y ait la moindre incohérence. du grand art, sans aucun doute. Diabolique, je vous le disais.

Autre détail qui a son importance pour ce genre de récit : la qualité de l'écriture, l'ambiance so british, les nombreuses surprises, la densité du récit, le fait que tout ait un lien, que tout se tienne,…

Chaque personnage est traité avec une minutie chirurgicale, les dialogues sont de grande qualité et mention spéciale à ces quelques pages de texte pur, sans la moindre case illustrée, où le narrateur expose les réflexions du groupe, l'avancée de l'enquête, comme si nous nous trouvions nous-même en possession de son carnet secret.

L'album fait 64 pages, et non, il n'est pas lourd. La lecture mettra plus de temps qu'un album classique, mais vu la qualité du récit, le clore au bout de 46 pages aurait été une hérésie, un crime.

Un grand moment de lecture, une sacrée claque, un véritable coup de pied dans mon postérieur, et une mâchoire qui est descendue de trois étages dans les "deux fois sept" dernières pages...

A l'avenir, avant de grimacer et de médire devant les dessins d'une bédé, je tournerai sept fois ma langue dans ma bouche...

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Avant de me plonger dedans, le concept de ce « sept détectives » m'a rappelé celui du roman japonais « les grands détectives n'ont pas froid aux yeux » qui réunissait entre autres Marigret, Ellery Queen et Poirot, roman que je me souviens avoir trouvé sympathique mais qui ne m'a pas marquée. Finalement, la B.D « sept détectives » s'avère très différente de ce roman et c'est tant mieux.

Le registre du policier à énigme, où le côté whodunit prime sur le reste, n'est pas celui que je préfère. Je pouvais donc craindre que ce « sept détectives » ne m'emballe pas. Je dois dire que j'ai été agréablement surprise. Herik Hanna propose un scénario très intéressant. Il ne se contente pas de livrer une enquête classique à bases d'indices et de déductions. Il y en a bien sûr, mais il n'y a pas que ça. A ces aspects classiques du policier à énigme, Hanna ajoute quelques éléments du Noir et également une pincée de thriller. Je pense que c'est vraiment ce mélange subtil d'ingrédients, d'influences et de références qui m'a séduite. de plus, je dois reconnaître que l'aspect whodunit s'avère très prenant grâce à une intrigue sacrément retorse, pleine de faux-semblants et de jeux de correspondances. Les personnages sont globalement très bons et leur exposition est un modèle du genre. Ils parviennent à exister au-delà de leurs références. Ajoutez à cela des dialogues réussis et une touche d'humour… C'est vraiment du bon boulot que propose là Herik Hanna.

Visuellement, c'est globalement bien également. le dessin de Kanete est un peu inégal, son trait rend bien sur certains personnages (Monroe et Else notamment) mais moins sur d'autres (je n'ai pas du tout aimé le design de Crumble). La colorisation de Lou est vraiment très bien. Je l'ai même trouvé assez audacieuse. le coloriste ne cherche pas à flatter l'oeil du lecteur mais à vraiment donner une atmosphère qui colle au récit. Ainsi il choisit des teintes marron, bordeaux, des teintes sombres qui amènent un sentiment d'inconfort qui sied très bien à l'histoire.

« Sept détectives » fait indéniablement partie des plus réussis de la série. Bon, maintenant ça va être le tour des pistoleros.
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Face aux dessinateurs de mangas qui sortent 48 pages en 2 semaines et face aux dessinateurs de comics qui sortent 48 pages en 2 mois, il est difficile de fidéliser un public avec des dessinateurs de bandes dessinées qui font 48 pages en 2 ans… Donc de plus en plus d’éditeurs ont opté pour la formule gagnante de la collection thématique où interviennent plusieurs auteurs (les puristes crient à l’hérésie, mais il fallait bien trouver une solution pour ne pas dépérir encore davantage face à la concurrence). C’est dans cette optique que les éditions Delcourt ont été les premiers a dégainé avec leur collection "Sept"…


1920. La police britannique convoque à Londres les sept meilleurs détectives du monde, qui sont tous présentés pleines pages dès le départ… Que c’est finement joué ! ^^
- Adélaïde Crumble, alter ego de Miss Marple
- Frédérick Abstraight, alter ego d’Abberline qui échoua à arrêter Jack L'Eventreur (oh, on dirait Matthew McConaughey dans "True Detective" !)
- Martin Bec, alter ego de Jules Maigret…
- Richard Monroe, alter ego de Sam Spade / Philipp Marlowe / Harry Dickson / Mike Hammer (les paris sont ouverts ! ^^)
- John Eaton alter ego du Docteur Watson
- Nathan Else, alter ego de Sherlock Holmes
- Ernest Pâtisson, alter ego d’Hercule Poireau
Scotland Yard est dépassé par un tueur en série ne laissant aucune trace, aucun indice, aux mises en scène alambiqués et obsédé par le chiffre « 7 ». Et sur chaque scène du crime, il a laissé la liste de nos sept détectives… Qui vont se séparer pour mieux enquêter sur le jeu de piste macabre cruellement orchestré leur adversaire désigné ! Armes du crime, victimes, témoins, suspects, indices divers et variés… Tout nous ramène aux classiques du genre, et les joueurs de Cluedo pourraient bien rigoler ! ^^
Qui sont les détectives ? Qui sont les victimes ? Qui est le meurtrier ? Qui est le narrateur ? La chute à tiroir est géniale ! Et je ne dirais pas un mot de plus sur la question pour ne pas gâcher la surprise…

L’écho entre le serial killer du passé, alter ego de Jack L'Eventreur, et le serial killer du présent obsédé par les 7 détectives et leur simulacres permet de faire le lien entre le roman policier vintage et le thriller moderne. C’est la très grande force du titre : mélanger parfaitement deux grandes époques du genre ! Du coup on se retrouve presque avec un passage de témoin entre les détectives du XIXe siècle finissant siècle et celui du XXe siècle débutant… Well done !

Malgré tous ces phylactères bien remplis (d’où les dialogues réussis voire délectables), malgré tous les personnages (incroyablement bien campés pour un one shot), malgré tous les rebondissements et malgré toutes les fausses pistes, les auteurs ont réalisé une BD étonnamment fluide ! Pas spécialement fan des dessins d’Eric Kanete, qui faute du vocabulaire adéquat je qualifie d’un peu bouillon, mais les couleurs de Lou sont elles très réussies et nous offre une ambiance sombre voire glauque à la "Seven" parfaitement assumée… Bref, une belle révision des classiques qui donne envie de revoir les classiques du genre, mais aussi de se lancer dans la collection "Détectives" lancée par le scénariste Herik Hanna… (Et au diable les prescripteurs d’opinion allergiques au classicisme)
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Avec ces sept détectives là, j'ai un peu fait les choses à l'envers puisque j'ai d'abord découvert certaines aventures individuelles (Miss Crumble, Ernest Pâtisson, Martin Bec) avec plus ou moins de succès avant de dévorer le volume inaugural.
De même, j'ignorais complètement que "Sept Détectives" était un album appartenant à un ensemble beaucoup plus vaste orchestré par les éditions Delcourt, à base du chiffre magique et d'archétypes de héros... Mais ça, c'est une autre histoire.

Londres, 1920. Scotland Yard est aux prises avec un tueur en série insaisissable qui non content de soigner ses macabres mises en scène semble obsédé par le chiffre "7" et est assez fin pour ne pas laisser d'indices derrière lui. En revanche, l'homme est joueur -pour ne pas dire provocateur-: sur chaque scène de crime, il a pris soin de laisser la liste des sept meilleurs enquêteurs qui soient.
C'est ainsi que les fins limiers se retrouvent un soir dans la coquette demeure d'Ernest Pâtisson pour répondre à la convocation de Scotland Yard.
Après des débuts chaotiques, ces sept personnages hauts en couleurs décident de s'allier et de conjuguer leurs talents, le temps de l'enquête. Mais le meurtrier n'est pas de ceux qui se laissent démasquer si facilement et de fausses pistes en mystères dévoilés, de soirées trop arrosées en théories parfois abracadabrantes, ils ne seront pas trop de sept pour parvenir à trouver la clef de l'énigme et celle-ci vous laissera les jambes coupées, le souffle court et la stupéfaction au fond des yeux, croyez-moi!

Certes, le procédé qui consiste à faire se rencontrer plusieurs types d'enquêteurs, des types même, n'est pas nouveau, mais c'est ici parfaitement maîtrisé, audacieux et fort réjouissant.
Chaque personnage n'est autre que l'alter ego d'un pendant littéraire qui a fait ses preuves auprès du lectorat. Ainsi, Miss Crumble n'est autre que la jumelle de Miss Marple quand Ernest Pâtisson s'érige en portrait d'Hercule Poirot, Martin Bec a tout du commissaire Maigret sauce quai des orfèvres alors que Richard Monroe emprunte ses traits à Sam Spade ou encore Philipp Marlowe, le duo Nathan Else et John Eeaton rappelle de manière troublante le tandem Holmes/Watson. Enfin, Frédérick Abstraight qui s'obstine à chasser le dragon pour chasser son mal de vivre apparaît comme le reflet d'Abberline, l'inspecteur malheureux qui échoua à capturer Jack l'éventreur.

Au delà de l'hommage rendu aux grands maîtres du genre à travers ces créations savoureuses, l'album de Hanna et Canete réussit le pari de réunir en un seul écrin les codes des romans noirs ou policiers un peu vintage et ceux du thriller plus contemporain. Les époques et les styles se mélangent et le résultat est parfaitement homogène, équilibré... jouissif.
La vivacité des dialogues -tout à tours très drôles ou incisifs-, le rythme et la fluidité de la narration qui parvient à se jouer de nos nerfs en virtuose, l'audace de la chute (je ne m'en remets pas!) et du scénario qui m'a fait frémir et tenu en haleine comme une possédée, la psychologie fouillée des personnages -fait d'autant plus appréciable que l'album n'appelait pas de suite et aurait dû demeurer un one shot je crois-, le graphisme et les dessins âpres, un peu sombres participent aussi pleinement à la réussite de cette bande dessinée savoureuse qui dépoussière certains codes du roman policier en lui rendant un bel hommage.

Il ne me reste plus qu'à compléter ma collection des aventures de ces sept larrons. Je sais déjà qui sera au coeur de ma prochaine découverte: je m'en vais chasser le chasseur de dragons moi, après Belleville et le cottage du Norfolk. Et j'ai hâte!





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Voici une BD qui se lit comme on regarde un bon film policier. du suspense, une enquête, de la vivacité d'esprit, de bons dialogues... Bref, j'ai vraiment beaucoup aimé cet album. L'atmosphère est oppressante, en huis-clos... Je crois que jusqu'à présent, c'est mon préféré de la série. A lire !
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critiques presse (4)
BulledEncre
26 novembre 2012
Le trio d’auteurs se révèle une excellente alliance, pour un des meilleurs tomes de cette Saison 2.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BoDoi
06 juillet 2012
Très bien écrit et réalisé, l’album se dévore avec avidité. On rit, on frémit, on prend un sincère plaisir devant cet exercice de style maîtrisé de divertissement intelligent.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Sceneario
28 mai 2012
Un one-shot particulièrement appréciable et efficace de par ses ambiances policières d'antan et de par la qualité de l'énigme à découvrir.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
25 mai 2012
Album solide à tous points de vue, Sept Détectives est tout à fait recommandable.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
- Inutile de passer ces faits sous silence, capitaine. Je ne tenterai pas de cacher ma passion pour l'opium aux plus grands détectives de la planète. Lorsque les enquêteurs sont venus, "je chassais le dragon". Il me semble que je leur ai vaguement confié l'histoire de ma tante... celle qui vivait avec une oie sur la tête
- Ça me rappelle un oncle qui dinait tous les soirs en face de son canard. il leur arrivait aussi d'en manger...
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(Miss Crumble) - ... De me présenter en quelques mots. J'ai très bien compris le sens de votre question, capitaine MacGill... Mais savoir que je déteste les plaisanteries au sujet de mon nom, homonyme d'un mauvais gâteau... peut-être utile aux personnes présentes, n'est-ce pas ?... Et éteignez cette lueur gourmande dans vos yeux capitaine... ou bien mangez quelque chose.
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Un détective doit parfois se laisser guider par le pire de ce qu'il peut concevoir - ce qui veut dire qu'il doit se placer lui-même dans l'esprit du criminel.
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- J'ai connu bien d'autre endroits depuis, en tant ... "qu'aide de camp" du plus grand détective du monde.
- J'ignorais l'existence d'un championnat certifié concernant cette discipline.
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- Pensez vous comme moi Eaton ?
- Eh bien, si vos pensées se dirigent vers un verre de whisky, mes pas suivront volontiers votre idée.
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