Ainsi, me souffle un ange, tu oublies que la vie est un rêve. l'espace et le temps ne sont que les deux fils de ton destin que tu tisses toi-même inlassablement, immobile aux pied de Dieu, dans le silence.
Peut-être n'y a t-il de réalité que dans les débris de nos rêves.
L'espace et le temps ne sont que les deux fils de ton destin que tu tisses toi-même inlassablement, immobile aux pieds de Dieu, dans le silence.
je te mettrai en présence de la Pureté et si tu oses ne pas la respecter, je connaîtrai ton cœur.
il n'y a d'intéressant dans l'amour que les sentiers du désirs. La posséssion est peu de chose.
L'écrivain Mathieu Riboulet lit un passage de Marcel Jouhandeau lors des Rencontres de Chaminadour 2006. Video ©Philippe Rolle.