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Les enquêtes de Roderick Alleyn tome 1 sur 28
EAN : 9791039200189
290 pages
Archipoche (21/10/2021)
3.36/5   142 notes
Résumé :
Si on jouait au jeu de l'assassin ?
Le principe est simple : un faux meurtrier désigne à l'insu des autres participants, une fausse victime, un faux procès... Bref, les hôtes de Sir Hubert Handesley sont terriblement excités.
Oui, mais quand Charles Rankin est retrouvé poignardé dans le dos, le week-end tourne au cauchemar. Qui donc avait intérêt à le tuer ?
Tous, sans exception...
Impossible dans ces conditions, de mettre la main sur le... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
3,36

sur 142 notes

Les " cosy crimes" sont à nouveau à la mode, Agatha Christie étant la plus connue des ses initiatrices. Mais je découvre une contemporaine de la reine du crime, tout aussi intéressante. Son prénom maori ( elle est originaire de Nouvelle-Zélande) , je ne résiste pas à vous en donner la traduction, tant il est poétique, Ngaio signifiant" lumière dans les arbres"...

Il y a certes dans cette histoire un détective amateur, ėlément majeur des cosy crimes, le journaliste Nigel Bathgate. Mais l'enquête est menée par un policier de métier, Roderick Alleyn, de Scotland Yard. C'est le premier tome de ses enquêtes, paru en 1934.

Quelques ingrédients de cette recette classique et so british: une murder party qui se transforme en véritable assassinat. Un huis clos, de potentiels coupables, le jeu des preuves à trouver, les secrets à cacher...

Si j'ai trouvé plaisante cette enquête, et intrigante la recherche du coupable, j'ai regretté le manque d'approfondissement des personnages, de leur psychologie. Cela est juste resté pour moi un jeu, si dangereux soit-il, celui de l'assassin. Merci en tout cas à Babelio et aux éditions Archipoche pour cette découverte.
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Ce tout premier tome des aventures du policier Alleyn est très décevant.
Il est ici réédité avec un nouveau titre et une nouvelle couverture.
Ayant lu une dizaine de titres de cette série, j'ai trouvé que dans celui-ci il n'avait pas encore de personnalité, alors qu'il a certaines caractéristiques bien particulières dans les suivants.
Un homme invite des amis à venir passer le week-end chez lui et il leur propose une « murder party », mais au cours du week-end, un invité sera assassiné « pour de vrai ».
L'enquête policière est assez embrouillée, avec de fausses pistes qui m'ont un peu perdue, surtout par ennui, et un coupable finalement assez attendu.
Les volumes suivants sont bien plus intéressants, plus drôles et plus fins.
Si celui-ci ne vous a pas convaincu, laissez-vous tenter par les suivants, ils sont bien meilleurs.
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Réédition d'un roman paru dans les années 30, le jeu de l'assassin marque les débuts d'une série de cosy mystery que je prendrais plaisir à continuer, ayant apprécié la plume de l'autrice et son style assez particulier. Il se dégage, en effet, quelque chose de très théâtral dans la manière dont l'autrice met en scène les personnages, et plus particulièrement, son enquêteur et un journaliste qui, de fil en aiguille, va passer du stade d'invité à une murder party, à celui de suspect avant d'endosser le rôle d'assistant.

J'ai, en outre, été agréablement surprise par l'enchaînement des scènes qui m'a donné l'impression d'assister à une pièce de théâtre grandeur nature, avec des dialogues ciselés, précis et bien souvent relancés par un inspecteur assez insaisissable. Courtois, compréhensif, mais guidé par un instinct affûté et une intelligence froide, Alleyn est le genre de personnes dont il est quasiment impossible de deviner les pensées. Un côté insaisissable qui lui sera fort utile pour enquêter sur les dessous d'une murder party à l'issue mortelle, la personne jouant le rôle de la victime ayant été réellement assassiné.

Qui a pu tuer Charles Rankin, un coureur de jupon bien fait de sa personne, et pour quelle raison ? Est-ce l'un des six invités, l'hôte lui-même, un(e) domestique ou une personne de l'extérieur ? Pour le déterminer, Alleyn n'aura pas d'autre choix que de passer la scène du crime au crible, interroger chacun en essayant de gratter la surface pour comprendre les non-dits et les relations entre les personnes présentes, sans oublier de creuser la piste d'une société secrète russe et d'une arme du crime qui semble susciter les passions et cristalliser les tensions. La tâche est de taille, mais notre inspecteur pourra compter sur son flair de fin limier, son sang-froid et l'aide, entre autres, du cousin de la victime et participant à la muder party, un journaliste qui détonne parmi les autres invités.

Au fil des pages, on voit le duo se former selon une dynamique qui ne sera pas sans rappeler, dans une certaine mesure, celle du célèbre duo Sherlock/Watson, bien que nos deux comparses soient quand même bien moins impressionnants et doués. Mais comme le souligne Alleyn, une tête pensante n'a-t-elle pas toujours besoin d'un faire-valoir pour avoir l'impression de briller ? Si la pique peut-être blessante, elle est dite sans méchanceté et caractérise assez bien l'humour non dénué de dérision d'Alleyn, qui flirte entre le sarcasme et une froideur de bon aloi. D'ailleurs, Nigel ne s'en offusque guère et prend son rôle d'assistant au sérieux : s'il n'était pas proche de son cousin, il aimerait néanmoins en débusquer l'assassin. Et puis, un journaliste, comme un inspecteur, ça aime enquêter… Un point commun qui les rapproche dans leur manière assez froide de considérer la situation.

L'enquête en huis clos se révèle intéressante et dynamique, Alleyn sollicitant régulièrement les invités, parfois de manière peu conventionnelle, tout en prenant le temps de récapituler les faits et son avancée. J'ai apprécié le procédé qui m'a donné le sentiment de participer activement à l'enquête, voire à une murder part en raison du côté très théâtral de la plume de l'autrice et du scénario. le suspense sans être intenable est, quant à lui, au rendez-vous, certains invités ayant un mobile, quand d'autres semblent cacher des informations et/ou réagir de manière suspecte. le parti pris de l'autrice de ne pas développer outre mesure la psychologie de ses personnages leur confère, en outre, une certaine aura de mystère, puisque difficile de savoir qui est capable de quoi.

J'ai néanmoins regretté des personnages féminins assez clichés (le contexte historique et social n'aide pas), bien qu'une femme sorte heureusement du lot. Intelligente, indépendante, conductrice intrépide, voire chauffarde en puissance, et courageuse, Angela n'hésite pas à prendre des risques pour innocenter son amie et aider notre duo Alleyn/Nigel. J'ai d'ailleurs trouvé Angela plus intéressante que Nigel qui m'a semblé avoir tendance à subir les événements plutôt qu'à les anticiper. En ce sens, il respecte parfaitement son rôle de faire-valoir d'un inspecteur, peut-être pas brillant, mais intuitif et méthodique, qui aime ménager ses effets.

J'ai douté jusqu'à la fin du ou de la coupable, éliminant et revenant régulièrement sur des suspects en fonction des raisonnements de l'inspecteur et de ses découvertes... Si j'aurais souhaité une fin plus flamboyante, je reconnais son réalisme notamment quant aux raisons expliquant un crime qui a transformé une soirée de jeu amusante en un véritable drame. Alors un petit conseil, réfléchissez-y à deux fois avant d'accepter de participer à une murder party et plongez-vous plutôt dans ce roman qui allie charme anglais, plume vive et dynamique, meurtre et enquête à la mise en scène très théâtrale !

Je remercie les éditions de l'Archipel pour m'avoir envoyé ce roman en échange de mon avis.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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Les cosy crimes étant un (relativement nouveau) genre qui assure le succès des éditeurs plus ou moins policiers, plus d'un s'est engouffré dans ce créneau, avec – il faut bien le reconnaître – des couvertures qui se font concurrence à coup de recherche esthétique et/ou d'inventivité. Je n'ai donc pas honte d'avouer que c'est bel et bien la couverture de ce petit livre qui m'a attirée… et puis j'ai découvert qu'il s'agit de la réédition d'un ouvrage paru en anglais dès 1934 ! Il est à noter toutefois qu'il aura fallu attendre un demi-siècle pour qu'il soit (enfin ?) traduit, une première fois, en français. Il paraît ici dans le même texte qu'en 1984 (en tout cas, c'est la même traductrice, et il n'est pas précisé si le texte français a été revu), mais avec un nouveau titre, tout aussi infidèle à l'original (A man lay dead), mais plus court et qui se veut sans doute plus accrocheur.

Tant que j'en suis aux aveux : toute amatrice de polars que je dis être, je n'avais encore jamais lu un seul livre de cette autrice, qui m'était inconnue, pas davantage que de celle qu'on présente comme sa grande rivale (et qui est pourtant beaucoup plus célèbre) : Agatha Christie ! En ce qui concerne cette dernière, c'est même pire : sachant que les diverses adaptation ciné ou téléfilm que j'ai pu voir de l'un ou l'autre de ses livres m'ont le plus souvent ennuyée, je n'ai jamais ressenti d'envie particulière de lire lesdits livres... Ce total manque d'intérêt m'avait fait conclure qu'il ne sert à rien de m'acharner à tenter de lire les classiques du roman policier, puisqu'ils ne m'attirent pas (pour l'instant). Pour citer un autre exemple, dans un style certes bien différent, semble-t-il, et bien plus éloigné du cosy comme on le connaît aujourd'hui, mais ils sont contemporains : je ne suis jamais arrivée au bout d'aucun livre de mon compatriote George Simenon, fierté nationale, dont j'ai pourtant dû lire l'un ou l'autre extrait (je ne me rappelle pas avoir dû lire un livre entier) à l'école autrefois.

Et voici l'inconnue Ngaio Marsh… Sachant que le risque que je n'accroche pas était élevé, j'ai beaucoup hésité à acquérir ce livre, mais évidemment, l'acheteuse compulsive de livres en moi a fini par craquer. Toutefois, comme vous pouvez imaginer, ce livre s'est très vite retrouvé dans le fond de ma PAL. Il a pourtant suffi d'un challenge me proposant de lire un auteur de Nouvelle-Zélande en ce mois de mars, pour qu'il revienne dans la liste des livres à lire à court terme, et c'est maintenant chose faite !
Alors, soyons honnête : ce n'est pas une révélation, je ne vais certainement pas classer ce livre parmi mes coups de coeur de l'année. Cependant, je suis beaucoup moins déçue que je n'aurais craint, et ça, c'est une bonne nouvelle !

Au risque de me répéter : pour l'amatrice de romans policiers et thrillers, ainsi que de (quelques) séries policière télévisées, que je suis, l'histoire d'un homicide réel dans le cadre d'une murder party, ce fameux « jeu de l'assassin », c'est du vu et re-re-vu ! Ngaio Marsh était-elle la première ou, pour le moins, parmi les premiers, à se risquer dans une telle histoire ? Peu importe, en réalité, car il y a 1.001 façons de traiter un tel schéma de départ…

L'autrice a pris le biais propre à son époque : on est dans une grande demeure qui a les allures d'un véritable petit manoir, le maître de maison est un « sir » et ses invités semblent d'un certain niveau social, tandis qu'un nombre assez important de serviteurs divers et variés font tourner la maison – et bien sûr, tous, serviteurs compris, sont autant de suspects potentiels ! Dans un premier temps, j'ai cru que la multiplication des personnages allait être problématique, mais finalement non : Ngaio Marsh a ce véritable don de rappeler, et à plusieurs reprises mais toujours de façon simple et naturelle, qui est qui, au fil de l'avancée de l'enquête par ce fameux inspecteur Alleyn, qui sera semble-t-il le personnage récurrent de la série initiée ici. En tout cas, si je me suis un peu sentie perdue dans les présentations initiales, j'ai très vite réussi à reconnaître les différents personnages et les interactions qu'ils avaient les uns avec les autres.

Pourtant, la psychologie de ces différents personnages n'est guère fouillée, à peine survolée ! On en sait juste assez pour pouvoir les soupçonner (au moins quelques secondes) les uns après les autres ; on se sent un peu plus proche de l'inspecteur Alleyn, du jeune journaliste Nigel Bathgate qui apparaît bien un peu nigaud (en tout cas c'est ainsi qu'Alleyn le qualifie, et il l'en remercie presque !) et de la jeune femme Angela North, particulièrement émancipée pour l'époque – sans pour autant s'attacher vraiment à aucun d'entre eux.
On est plutôt dans un récit qui va à toute vitesse, les scènes se succèdent à un rythme effréné, le plus souvent grâce à des dialogues qui, eux, sont réellement travaillés – on sent tout le travail de celle que Wikipedia présente comme « dramaturge » (et non comme « femme de lettres », ce qui est le cas d'Agatha Christie par exemple). Je ne veux pas débattre ici de la question si une dramaturge est (ou non) une femme de lettres – j'ai envie de dire que oui, évidemment ! – mais clairement, Ngaio Marsh maîtrise l'art de la mise en scène, de l'enchaînement (rapide) de situations qui apparaissent comme très visuelles, grâce à des dialogues parfois saccadés, souvent empreints d'une touche de cet humour pince-sans-rire qu'on qualifie si souvent de britannique. Oh ! il y a bien quelques événements qui nous sont contés au fil de l'histoire, et on voyage à Londres, on retourne au manoir, etc. En outre, on n'évite pas divers questionnements qui apparaissent comme autant de fausses pistes (qui ne m'ont que moyennement convaincue), avec notamment une « composante russe » dont je n'ai pas trop compris l'utilité et qui m'a semblé embrouiller l'intrigue plus qu'autre chose, mais elle ajoute un peu de piquant à l'ensemble. Cependant, j'insiste pour dire que ces dialogues, réellement maîtrisés, sont le moteur principal de ce livre et font avancer l'intrigue.

Ainsi, de scène en scène, on arrive à la résolution de l'enquête, inévitablement très classique. En effet, on est dans un schéma final plus qu'attendu : tandis que les deux acolytes désignés de l'inspecteur continuent de mouliner sans trop rien comprendre (vous aviez dit nigaud, en parlant de Nigel ? et l'image de la femme, même émancipée comme Angela, reste assez archaïque), l'inspecteur Alleyn a quant à lui rassemblé tous les éléments presque en catimini, comme le fin limier au flair exceptionnel qu'il dit être (il y a quelques allusions à sa prétendue grande intelligence), et les expose à l'assemblée qu'il a fait réunir, dans un pseudo-coup de théâtre final au bout duquel le coupable est effectivement arrêté.

Ce n'est donc pas un grand polar qui fait vibrer et/ou frissonner, ce n'est pas non plus un cosy crime exceptionnel ni même agréablement piquant comme ceux qui ont fait le succès du genre dans un décor de village à la Agatha Raisin, de toute façon les repères temporels sont trop anciens, mais c'est une image intéressante de la société aisée de ces années 1930, qui occupe ses week-ends en jouant à une murder party qui tournera mal. le tempo rapide du texte empêche de développer en profondeur la psychologie des personnages, ce qui crée un sentiment de non-attachement, mais l'autrice maîtrise à merveille l'art du dialogue, jusqu'à une résolution classique et attendue, qui donne néanmoins la vague envie de poursuivre la série - avec, je me répète mais c'est ainsi, un grand bravo pour la couverture!
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Ce tout premier tome des aventures du policier Alleyn est très décevant.
Ayant lu une dizaine de titres de cette série, j'ai trouvé que dans celui-ci il n'avait pas encore de personnalité, alors qu'il a certaines caractéristiques bien particulières dans les suivants.
Un homme invite des amis à venir passer le week-end chez lui et il leur propose une « murder party », mais au cours du week-end, un invité sera assassiné « pour de vrai ».
L'enquête policière est assez embrouillée, avec de fausses pistes qui m'ont un peu perdue, surtout par ennui, et un coupable finalement assez attendu.
Les volumes suivants sont bien plus intéressants, plus drôles et plus fins.
Si celui-ci ne vous a pas convaincu, laissez-vous tenter par les suivants, bien meilleurs.
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Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
Tout en parlant, Angela put examiner son premier détective à loisir. Alleyn n'avait rien d'un policier en civil, et il correspondait encore moins à l'image traditionnelle : visage pâle et regard perçant. En fait, il ne se distinguait en rien des amis de son oncle Hubert, ceux que l'on trouve "convenable" d'inviter à la maison.
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Le meurtrier possède en effet une énergie considérable et , je dirais , des connaissances indéniables en anatomie. La lame a pénétré le corps entre la troisième et la quatrième côtes , évitant la colonne vertébrale et le bord de l'omoplate gauche. La pointe a atteint le cœur sous un angle aigu.
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- Que nous arrive-t-il à tous ? rétorqua Nigel. N'importe qui finirait par perdre la tête dans une situation pareille.
- Ce serait dommage vous concernant, commenta Alleyn avec humour. Que diriez-vous du métier de détective, le pire de tout l'univers ?
- Je suis prêt à échanger ma place contre la vôtre, assura Nigel.
- Vraiment ? Eh bien, puisque vous y tenez, je peux vous en suggérer un avant-goût. Tout limier a besoin d'un compagnon un peu nigaud afin de pouvoir se sentir intelligent. Je vous offre ce poste, monsieur Bathgate. Pas de rémunération, mais une part d'honneur et de gloire.
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Voyez-vous, bien qu'un officier de Scotland Yard ne soit pas censé posséder un subconscient, il arrive toujours un moment où une pensée, une sensation, un sentiment indiquent la solution alors que le reste du cerveau se refuse à prendre en considération ce genre d'intuitions.
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- L'idée est la suivante, commença Sir Hubert tandis que Vasily servait discrètement son breuvage. Vous connaissez tous le principe du jeu de l'assassin. A l'insu des autres joueurs, une personne est désignée pour remplir le rôle du meurtrier. Elle doit profiter d'un moment ou tout le monde est dispersé pour sonner une cloche ou bien donner un coup de gong. C'est le signal du "meurtre".
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Video de Ngaio Marsh (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Ngaio Marsh
La Reine du Cosy Mystery. #ngaiomarsh #agathachristie #cosymystery
« Si vous aimez Agatha Christie, vous allez adorerez ! », The Guardian
Réédition de deux enquêtes des 32 romans de Ngaio Marsh mettant en scène son personnage fétiche, l'inspecteur Roderick Alleyn de Scotland Yard. Lauréate du Grand Master Award décerné par la Mystery Writers of America pour l'ensemble de son oeuvre, elle fut à son époque la grande rivale d'Agatha Christie. Un classique de la littérature policière qui n'a pas pris une ride.
« Chaque roman de Ngaio Marsh est une pépite, et celui-ci ne fait pas exception. » New York Times
Les enquêtes : - "Le jeu de l'assassin" : https://www.lisez.com/livre-grand-format/le-jeu-de-lassassin/9791039200189 - "L'assassin entre en scène" : https://www.lisez.com/livre-grand-format/lassassin-entre-en-scene/9791039200349
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