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François Truchaud (Traducteur)
EAN : 9782258054257
427 pages
Presses de la Cité (09/12/1999)
3.86/5   55 notes
Résumé :
Il y a six portes dans la ville de Londres. Il y a également six portes à Londres. Mais qui sait à quel côté elles font face ? Et qui sait quelle est la vraie face ? C'est cette comptine traditionnelle anglaise qui va permettre à Josh de résoudre l'énigme posée par le meurtre de sa sœur. Vétérinaire aux Etats-Unis, Josh reçoit un jour un appel de la police de Londres : le cadavre de sa sœur Julia vient d'être retrouvé, terriblement mutilé. Le jeune homme et sa compa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique


C'est une lecture choisie, avec ma très bonne amie Saiwhisper. Je crois que c'est notre deuxième Mastertonien ensemble et c'est toujours agréable d'échanger avec elle autour d'un bon livre.



Attention, attention, ici vous pouvez être dépaysé, par l'inconnu…
Soyez aux aguets, si vous êtes déstabilisés, par les odeurs…
Courez, si vous attendez des bruits, à vos oreilles…

«Soit agile, Jack, soit rapide, Jack, saute par-dessus le chandelier Jack.»

Si vous aimez écouter des séries, telles que «Surnaturel», «Fringe», cet univers vous sera donc un peu familier.
On retrouve également ici une histoire incroyable, comme le fait si bien Graham Masterton. Il manie effectivement bien le mystère, le fantastique et l'horreur.
C'est à la suite du décès de sa soeur, que Josh mène une enquête personnelle. Il décide donc de découvrir la vérité car la police ne progresse pas assez vite selon lui.
Avec sa compagne, il va à la recherche des indices et jamais ils n'auraient soupçonné les risques et les obstacles qu'ils auront à franchir.

«Je n'ai pas l'air différente. Mais je me sens différente. C'est peut-être l'effet de passer dans un autre monde (…) Espérons que nous pourrons rentrer chez nous.»

C'est avec beaucoup de plaisir, que je suis nos héros dans leurs aventures. Graham Masterton parvient à garder notre attention et l'histoire est riche en rebondissements. On fait la connaissance des personnages hauts en couleur et on rencontre des méchants qui en font voir de toutes les couleurs.
C'est une histoire qui se lit bien, elle ne contient pas beaucoup de longueurs, c'est juste à la fin, je trouve que c'est tiré par les cheveux. Je ne cherche pas à tout analyser, je me laisse subjuguer par la plume captivante de mon auteur.

Encore une fois, Graham Masterton possède ce merveilleux talent de conteur. Il nous concocte un bon scénario, avec une imagination vive et un humour remarquable.
Je peux donc rentrer ce livre «Les gardiens de la porte» dans mes incontournables. Il ne faut pas se fier à la quatrième de couverture, qui ne m'attire pas au premier regard.



C'est une très belle découverte, ce que j'aime de Graham Masterton, il nous met tout de suite dans l'action et il te maintient en haleine jusqu'à la dernière page. C'est une question de goût, de sensibilité et de couleurs.
Quand on ouvre un livre ses livres, je mets le lecteur en garde car après la lecture, on ne voit plus les choses de la même façon.



Pour terminer, je remercie mon amie Saiwhisper pour nos discussions et on s'est respectée dans notre rythme de lecture.
Soudain, je me pose alors cette question : «Est-ce que c'est vrai que tous les chemins mènent à Rome ? Est-ce que nos héros trouveront-t-ils les réponses à leurs questions ? Et est-ce qu'ils vont pouvoir rentrer enfin chez eux ?»

Siabelle
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À la fin des années ‘90, la réputation de Graham Masterton n'est plus à faire. Après l'immense qualité que l'on a pu apercevoir avec ses années folles, cette décennie où la folie de l'écossais l'a permis de se hisser en tant que Maître incontestable de l'horreur – usurpé par un américain. « Les gardiens de la porte » arrive en plein milieu du cycle des magies – Rook –, puisqu'il fut paru en 1999 sous le titre original de The door Keepers.

Et si la réalité que nous vivons n'était la pas la seule qui existe ? Et si une multitude de Terre existait ? Celons la légende, il existerait à Londres six portes qui mèneraient vers d'autres mondes parallèles. C'est suite au décès de sa soeur, que Josh – vétérinaire de profession – va voir son esprit cartésien remit en cause.

Habitué à nous dans les joutes du Fantastique, Maître Graham Masterton, sur son arbre perché, tenait dans sa main une plume effilée. Que vous êtes jolis avec votre fable, pourrions-nous nous exclamer. À ces mots, Maître Graham Masterton nous lâcha un conte tri-Fantastique, tri-Horreur et tri-Science-Fiction, pour notre plus grand bonheur.

Après avoir été déçu de l'orientation littéraire prise par le Maître – du thriller moins pas très jouasse, une série Rook trop mignonne et une faiblesse scénaristique (« Walhalla ») –, le roman « Les gardiens de la porte » s'inscrit dans un renouveau, tel un Phénix renaissant dans un feu purificateur.
On y redécouvre, pour notre plus grand plaisir, l'imagination fertile de l'écossais, grâce à des notes affinées de ses qualités d'écriture. Ainsi, on y retrouve l'humour cher à l'auteur, des frissons cauchemardesques (claustrophobie, à une moindre mesure : le vertige), le paranormal, de l'horreur – hum, cette scène de spiritisme très goûtue –, un gars désespéré. Autant d'ingrédient, qui a la sauce Graham Masterton, donne toute sa saveur au récit. À noter que l'écossais étant réputé pour ses scènes chaudes, n'en n'a finalement pas incorporé – et merci, car à la longue c'est chiant (petite dédicace à Clive Barker).

Je trouve un peu dommage qu'il oriente sa vision de mondes parallèles (souvenirs au passage de Sliders) vers le Fantastique. J'ai été un peu déçu – je dirais plutôt frustré – par cette fin un peu trop rapide, une petite cinquantaine de pages supplémentaires n'auraient pas été de refus. On y retrouve un historien ou autres personnes cultivées qui aide le personnage principal dans sa quête contre le mal. Autre fait qui me reste un peu sur le coeur, c'est qu'on ne connaît pas l'identité faciale du cagoulé.

Bon sang, mais quelle symphonie géniale que ce mélange Science-fiction/Fantastique/Horreur. Je dirais même heureusement que j'ai été pas mal occupé ailleurs, ce qui m'a permis de déguster ce livre, sinon je l'aurai dévoré.

« Les gardiens de la porte » (titre qui aurait dû être renommé intelligemment : « Les gardiens des portes » puisqu'il y en a six) est une oeuvre majeure dans la bibliographie de Graham Masterton, voire même dans le domaine de l'imaginaire. Comme j'ai aimé retrouver la Folie du Maître dans son écriture et son intrigue – lui seul capable de trouver de telles abominations – qui lui faisait cruellement défaut dans d'autres livres que j'ai pu lire de lui. Mais bon sang ! Si seulement il en écrivait d'autres romans de ce niveau (avec « Démences », « Le rituel de chair », « Sang impur », « Tengu » ou bien encore « Le maître des mensonges »).
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Quand mon amie Siabelle m'a proposé une lecture commune, j'ai accepté sans hésiter ! D'autant plus qu'elle avait choisi un Graham Masterton, auteur que nous affectionnons toutes les deux. Encore une fois, nous n'avons pas été déçues du voyage, puisque « Les gardiens de la porte » nous a entraînées dans un univers sombre, sanglant où les voyages d'un monde à un autre est possible. Un vrai régal ! le début de ce livre est particulièrement addictif : on est dans une ambiance qui progresse crescendo et où des situations paranormales s'enchaînent. Entre les propos d'une vieille femme folle, une soeur qui est morte de façon abominable, une comptine étrange, une séance de spiritisme qui ne se passe pas comme prévu, notre cher personnage principal et sa femme vont devoir faire preuve de courage et d'acharnement pour trouver la vérité. Josh est un héros intéressant auquel on peut aisément s'attacher. Par ailleurs, il a un talent particulier, puisqu'il peut communiquer avec les bêtes, en particulier les chiens. Cette capacité lui sera très utile et le sauvera de situations inextricables à plusieurs reprises ! Appréciant les oeuvres mettant en avant les animaux, j'ai aimé l'idée. D'ailleurs, cela fait la seconde fois (au moins), que je vois l'importance qu'accorde Graham Masterton aux chiens dans ses récits. Cela s'était déjà vu dans « Descendance » où la race canine servait à repérer des strigoï/vampires...

L'histoire est pleine d'action, de mystère, de rebondissements et de morts. Il est difficile de s'ennuyer, car l'auteur ne laisse place à aucun temps mort. de plus, si dans un premier temps, on va surtout suivre Josh et Nancy, sa compagne, ce duo va devoir être contraint de se séparer. Cela va permettre au lecteur de suivre plusieurs narrations d'un chapitre à un autre... Mais pas uniquement celles de nos deux protagonistes : on va également suivre la médium ainsi que d'autres personnages plus ou moins amicaux... D'ailleurs, j'ai été surprise par le nombre important de rencontres que va faire Josh. J'ai cru que j'allais me perdre, toutefois, je vous conseille de ne pas trop vous attacher à ce petit monde... Les têtes tombent vite dans ce roman fantastique... D'un ouvrage à un autre, Graham Masterton a toujours une plume prenante, morbide et haletante. Même s'il n'y a pas de créatures affreuses, ses descriptions font tout de même froid dans le dos. La scène de torture avec la Harpe sacrée est sincèrement dérangeante : j'ai eu un haut-le-coeur en lisant ce que subissait ce pauvre Josh. C'est, à mes yeux, la scène la plus dégoûtante, toutefois d'autres passages feront trembler le lecteur tant l'horreur et la douleur sont bien décrites. À noter que, pour une fois et malgré la présence d'une prostituée, il n'y a pas de scène érotique au fil des pages ! Ce qui est plutôt rare chez cet auteur...

Hormis la fin que j'ai trouvée assez vite expédiée et peu crédible (on n'apprend pas à un chien à ne faire qu'un avec nous en si peu de temps...), j'ai beaucoup aimé cette lecture. J'ai surtout apprécié pouvoir en discuter avec Siabelle, car nous avons préféré nous attendre en nous donnant plusieurs points de rendez-vous afin de pouvoir papoter à certains moments de l'histoire. J'espère que nous ferons d'autres lectures communes, que ce soit dans le genre Horreur ou non, car ce fut un véritable plaisir de partager ce moment avec elle. Pour en revenir aux « Gardiens de la porte », je vous le recommande si vous cherchez un livre qui vous tient en haleine mêlant thriller, fantastique et scènes macabres.

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Graham Masterton nous plonge cette fois dans l'univers des mondes parallèles. À Londres, il existerait six portes.
Josh, vétérinaire à New York, reçoit un appel de la police de Londres lui annonçant que le cadavre de sa soeur Julia, horriblement mutilé, vient d'être découvert. Il se rend immédiatement sur place, avec Nancy, sa compagne.
Agacé par la lenteur de la police londonienne, il décide de mener sa propre enquête et son esprit cartésien sera mis à rude épreuve lors de ses pérégrinations.
L'un des livres majeurs du Maître, qui nous amène à réfléchir à notre façon de voir les choses. Sommes-nous bien seuls sur cette Terre ? Et si d'autres univers existaient, évoluant avec nous, mais dans un autre espace-temps ?
De quoi remettre en question tout ce que l'on croit savoir. Seul reproche, la fin est arrivée trop vite, j'en aurais bien repris une petite centaine de pages de plus.
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Masterton se place plusieurs degrés au-dessous d'un Clive Barker, dans le domaine de la littérature fantastique et d'horreur. Ce roman-ci présente de nombreuses faiblesses, dans les dialogues dont certains sont du pur remplissage, et dans le rythme de la narration, qui se traîne par moments et à d'autres, se précipite au-delà de toute vraisemblance. Toutefois certains effets "gore" intéressants (comme la Harpe sacrée) et quelques passages sur le thème des mondes parallèles (et de la crasse, de la suie et de l'humidité éternelles de tous les Londres possibles, sauf celui qu'occupent les Hindous) sauvent le roman de l'échec total. Mais la poésie, la luxuriance, l'inquiétude et la richesse thématique des romans de Barker peuvent rendre le lecteur un peu plus exigeant : ceci est quand même un sous-produit.
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
- "Bien qu'elle soit moins connue que la plupart des comptines enfantines, "Il y a six portes" est probablement l'une des plus anciennes, et date du début du XVIIe siècle. Il y a plusieurs interprétations différentes de sa signification, mais la plupart des historiens s'accordent pour dire qu'elle était très populaire à Londres en 1650, immédiatement après l'exécution de Charles 1er. Samuel Pepys en parle brièvement dans le premier volume de ses journaux intimes en 1659, et dit que "encore maintenant, cette simple comptine continue de susciter un frisson de peur, en évoquant le souvenir aussi vivace des Cagoulés, se hâtant pour accomplir leur besogne au nom du Tout-Puissant".
Durant les premières années du Commonwealth, une société secrète de puritains extrémistes envoyait chaque nuit des groupes de Cagoulés dans les rues de Londres, afin de traquer les catholiques et les épiscopaliens. Ceux qui refusaient de renier leur papisme ou leur fidélité au rituel de l'Église anglicane étaient cruellement torturés ou mis à mort.
Selon certains, les "six portes" étaient les portes de six églises de Londres où les catholiques pouvaient se réfugier pour échapper aux Cagoulés. Cependant, cet asile était provisoire et, lorsque survenait le dimanche suivant, les catholiques devaient choisir : renoncer à leur religion ou bien retourner dans la rue. Toutefois, on pense que les ecclésiastiques dans certaines églises étaient plus tolérants et aidaient les catholiques à s'enfuir par bateau vers la France. De là la question : "qui sait à quel côté elles font face ?"
D'autres suggèrent que les "six portes" étaient les portes de lieux de réunion secrets pour les catholiques, où ils pouvaient célébrer la messe en toute sécurité. Cependant, selon une autre interprétation, il s'agissait de maisons de jeu où l'on jouait aux dés pour de grosses sommes d'argent. La question "quelle est la vraie face ?" est une allusion à la pratique courante consistant à piper les dés à l'avantage de la maison de jeu.
L'explication la plus pittoresque est sans doute la suivante : les "six portes" étaient six endroits dans Londres où il était possible de quitter le monde de la réforme puritaine intransigeante pour se rendre dans un monde parallèle de tolérance et de bonheur. A ce que l'on raconte, l'emplacement de ces "portes" n'était connu que d'un petit nombre de personnes, appelées les Gardiens des Portes, qui devenaient extrêmement riches en soutirant aux catholiques d'énormes sommes d'argent pour les aider à fuir le Londres des puritains. Selon toute vraisemblance, cependant, une fois que les catholiques avaient payé leur "billet" exorbitant pour aller dans ce monde d'à côté, ils étaient tout simplement assassinés, et leurs corps jetés dans la Tamise, tandis que leurs amis croyaient en toute innocence qu'ils menaient à présent une autre existence, élyséenne, hors d'atteinte des Cagoulés du monde des puritains.
On a dit que les Gardiens des Portes pratiquaient une magie très ancienne, puisque c'était uniquement par l'entremise de certains rituels occultes que l'on pouvait passer sans danger de l'autre côté. Une partie de ce rituel était probablement d'origine druidique. Une autre partie consistait à allumer des cierges et à sauter par-dessus, ce qui, en 1688, a donné naissance à une autre comptine très connue, "Sois agile, Jack, sois rapide, Jack, saute par-dessus le chandelier, Jack" - "Jack", dans l'argot de l'époque, désignant un jacobite, un catholique romain partisan de la restauration des Stuarts."
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Ce matin-là, Josh fit sa première expérience d'un petit déjeuner anglais typique : œufs, bacon, saucisses, haricots blancs, tomates grillées et boudin noir.
- Du boudin noir ? demanda-t-il à la serveuse. Qu'est-ce que c'est ?
- Si je vous le disais, vous ne le mangeriez pas !
- Allez-y, je sais encaisser. Je mange bien des hots dogs !
Elle le lui dit, et il laissa le bousin sur le bord de son assiette jusqu'à ce qu'il ait mangé tout le reste. Ensuite il le tâta avec sa fourchette et en prit une minuscule bouchée.
- C'est bon, dit-il après avoir mâché longuement et prudemment. Tu veux goûter ?
Nancy frissonna.
- Pour rien au monde, même si je mourrais de faim !
- Quand tu étais gosse, tu grattais les croûtes sur tes genoux et tu les mangeais. Où est la différence ? Ce boudin, c'est une croûte pour gourmet, tout simplement.
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- On ne peut pas garder des secrets au sein de notre mouvement de résistance, déclara John Farbelow. Il y a trop de corruption, et trop peu de foi. De toute façon, je ne vous aurais pas blâmé si vous aviez parlé. Personne ne peut supporter plus de deux ou trois hymnes sur la Harpe sacrée. Mon ami Michael est mort lorsqu'ils lui ont fait ça. Crise cardiaque. Et bien sûr, les maîtres de l'Observance religieuse ne sont jamais inquiétés. ''Mort naturelle au cours d'un interrogatoire judiciaire de routine''
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Il y avait une Porte dont je ne trouvais pas la clé. Il y avait un Voile que mon regard ne pouvait percer... Omar Khayyam, Les Rubbayat

Il y a six portes dans la ville de Londres.
Il y a également six portes à Londres.
Mais qui sait à quel côté elles font face ?
Et qui sait quelle est la vraie face ?
Comptine traditionnelle
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Lorsque cette vieille dame vous a parlé, à l'hôpital, vous saviez qu'elle vous disait quelque chose d'important, n'est-ce pas ? Oh, vous avez essayé de trouver une explication rationnelle. Mais parfois il est dangereux de rationaliser. Beaucoup de choses néfastes surviennent dans cette vie parce que les gens ne font pas attention lorsqu'on les met en garde.
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Catherine Dufour, l'autrice du Goût de l'immortalité (Prix Rosny aîné 2006, Grand Prix de l'Imaginaire 2007), d'Entends la nuit (Prix Masterton 2019) et, plus récemment, de Danse avec les lutins (Prix Imaginales 2020) nous explique en quoi l'ordre des Bene Gesserit est… une… plantade. En gros. Si, si.
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