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EAN : 9782803629824
200 pages
Le Lombard (23/09/2011)
3.83/5   44 notes
Résumé :
En 1943, Albert a 16 ans. Ulcéré par l'occupation de son pays, il épouse les idéaux communistes.. Trois ans plus tard, la France est libre et il s'engage dans l'armée, pour voyager et sortir de sa misère sociale. Dépêché en Indochine « pour combattre les terroristes du Viêt-minh », il ne tarde guère à frayer avec les indigènes, en dépit des consignes de l'état-major. Les exactions commises par ses camarades au nom de la liberté le dégoûtant un peu plus chaque jour, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Pendant la seconde guerre mondiale, alors qu'il est adolescent, Albert Clavier vit en zone occupée par les Allemands. Il doit s'occuper de sa mère, tandis que son frère aîné est engagé dans des actes de résistance. Après l'armistice, pour découvrir autre chose que la vie de labeur qui semble l'attendre en France, Albert Clavier s'engage dans l'armée française.

Envoyé en Indochine pour y participer à des opérations de 'maintien de la paix' ou de 'lutte contre le terrorisme', il comprend que ces expressions dissimulent le maintien par les armes d'une présence étrangère dans un pays dont la majorité de la population autochtone ne veut plus.
Ses convictions communistes, le constat qu'il se bat contre les valeurs qui sont les siennes et qui selon lui devraient être celle de son pays (liberté, égalité, fraternité), et ses amitiés avec des autochtones, amènent le jeune homme à changer de camp.

Le regard de l'auteur sur la vie de ce personnage réel est bienveillant et le point de vue sur l'histoire résolument engagé.

Par exemple, à propos du rôle civilisateur que revendiquent les colonialistes, l'un des personnage indique, page 122 : "Quelle drôle de façon de civiliser : pour apprendre les gens à bien vivre, on commence par les tuer (...) Les esprits calculateurs nous parlent de kilomètres de routes, de canaux ou de ponts... mais construits par qui ? les indigènes, pour qui ? le colonat."

Même si je ne connais pas bien l'histoire de ce pays et de ses ex-dirigeants (dont Ho Chi Minh, dit "Oncle Ho") il me semble que les possibles dérives de la cause pour laquelle Albert Clavier s'est finalement engagé ont pu être minimisées dans l'ouvrage de Maximilien le Roy. Il les évoque cependant brièvement à plusieurs reprises, mais souvent en les relativisant :
-> p. 172 : 'Les cadres du parti, moi compris, doivent faire un examen (public) critique de leur vie, c'est un moment très éprouvant (...) certains se sont suicidés.'
-> p. 180 : '1962, je découvre sous le manteau le Rapport Khroutchev (...) ; le petit père des peuples a-t-il pu commettre toutes ces exactions (...) ? Ce Rapport me fait voir sous un jour nouveau ma situation et les excès que j'ai pu constater ici.'

Quoi qu'il en soit j'ai beaucoup apprécié cet album.
Son graphisme est très agréable. La façon engagée dont le sujet est traité incite le lecteur à réfléchir et m'a donné envie d'en savoir plus sur cet épisode de l'Histoire. Enfin, les documents en fin d'ouvrage sont intéressants, d'autant plus qu'ils resituent les choses dans une perspective plus contemporaine qui suscite aussi la réflexion (sondage sur l'opinion des Français sur la colonisation).
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Maximilien le Roy met en images les mots d'Albert Clavier, ancien soldat volontaire pour la guerre d'Indochine. Celui-ci s'est engagé dès dix-huit ans, en 1945, porté par l'enthousiasme de la Libération mais aussi pour voyager, lui qui n'a connu que la misère dans un petit coin perdu. Il va vite déchanter, et tout faire pour rester en paix avec sa conscience et ses convictions communistes en rejoignant le Viêt Minh, la ligue indépendantiste.

Un témoignage important et subtil servi par le graphisme doux et harmonieux de Maximilien le Roy. L'occasion de revenir sur cette période de l'Histoire, sur la colonisation en général et les répressions des mouvements en faveur de l'indépendance, mais aussi de réfléchir au sens du mot 'trahison' dans un pays en guerre. Vaut-il mieux trahir ses valeurs ou son pays ? Quel sens d'ailleurs donner à l'idée "d'appartenance" à une nation lorsqu'elle bafoue dignité, culture et droits d'une population ?

L'excellente postface montre quelques portraits des protagonistes, et rappelle le contexte historique du Vietman (avant et après cette guerre) ainsi que la position de Hô Cho Minh par rapport aux autres dirigeants communistes de l'époque (Staline, Mao...). N'ayant rien lu d'autre à ce sujet, je me contente d'évoquer ce que j'ai appris dans cet album, j'ignore si cet homme d'Etat a eu recours à des méthodes radicales et contestables pour appliquer ses convictions ???

--- Merci Alouett pour l'idée ! :-)
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La tentation de découvrir pleinement et rapidement un auteur après un coup de coeur est toujours grande. Elle est également toujours risquée, surtout si la découverte s'est faite à l'occasion d'une des dernières parutions dudit auteur.
Bien que connaissant ce risque, ce piège, je n'ai pu attendre pour continuer d'explorer l'oeuvre de Maxilien le Roy.
Cela est passé forcément par la lecture de ses premiers albums, romans graphiques.
Toujours à cheval entre biographie et livre engagé, livre politique, l'auteur cette fois-ci nous entraîne sur les traçes d'Albert Clavier; jeune homme qui va découvrir les excès de la guerre, des relations occupants/occupés, de la résistance, durant sa Jeunesse en 1943.
L'arrestation de son père le conduira à s'engager dans l'armée française pour aller combattre en Indochine; puis à déserter pour s'engager sur un terrain plus large selon lui: le combat contre le colonialisme.
Comme dans ses albums précédents et les futurs, Maximilien le Roy va commercer son récit par un avant-propos très fort et terminera par un entretien avec un spécialiste du sujet traité.
Ici, Alain Ruscio, docteur ès lettres, spécialiste de l'histoire vietnamienne contemporaine et de la colonisation.
Ces deux éléments donnent une vraie force au récit.
Mais je reste une fois encore sur ma faim tant concernant le dessin que la façon dont le sujet est traité. Peut être parce que l'album sur Thoreau reste pour moi le plus abouti.... le dessin est un peu trop "crayonné", le scénario manque parfois de rythme et de profondeur (bien que plus de 170 pages) et surtout, la vie de Clavier est traitée de façon très partiale. L'image donnée de lui est celle d'un idéaliste, d'une humaniste qui n'aura de cesse de vouloir faire du bien et de réveiller les conscience. Or, l'histoire de Clavier n'est pas totalement celle-ci, elle est un peu moins idyllique....
Mais il convient de reconnaître que le sujet est porteur de vraies questions et réflexions...
donc, je vais encore faire une dernière tentative avec Ni Dieu ni Maitre...
A suivre.
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Je ne me suis jamais caché d'être de pensée politique de gauche, très à gauche même. Et à ce niveau, j'entends parfois dire que l'objectivité historique manque aux personnes de gauche, surtout autour de l'épineuse question des guerres de la seconde moitié du XXème siècle. C'est pour cela que j'aime lire les témoignages sur ces fameux conflits où s'opposaient des visions politiques du monde. Et voir ce qu'il en était réellement.

Si je digresse en premier lieu sur la politique, c'est parce que je pense que la BD est éminemment politique. Elle développe une histoire biographique d'un simple soldat français de l'époque qui changea de camp pour rallier ceux qui avaient les mêmes idéaux que lui. Devenant, par le fait même, un traitre à la patrie (pour les Français, évidemment). Et le récit prend un sens bien différent lorsqu'on réalise que cette vision du monde que le personnage veut défendre n'est pas simplement liée à sa sensibilité communiste. Entre les résidus de la Seconde guerre mondiale, la vision de la politique française des colonies, la réalité des conditions de vie dans ces pays loin de la métropole et les considérations racistes qui continuent de germer dans l'esprit des militaires français, on se retrouve bien vite devant un récit qui explique ce revirement non pas pour des raisons d'idéologie, mais par une véritable réflexion détachée du clivage droite/gauche. Et c'est ce que j'ai réellement apprécié dans ce récit : bien que très politisé, le récit se concentre avant tout sur ce qui a créé cette politique chez les personnages.

D'autre part, le récit prend le temps de développer ces fameux Vietnamiens que l'on combattit en tant que Français, puis que les Américains allèrent envahir encore une fois dans une guerre absurde et meurtrière. Et sur ce point, le récit permet de mieux comprendre comment ce pays put mener une telle guerre, aussi longue et coûteuse pour lui. Ce qui m'a personnellement frappé, c'est la misère dans laquelle ces populations étaient maintenues, et tout ce dont la France les privait délibérément avec de grands noms. La réalité du terrain me fait bien mieux comprendre comment tout un peuple peut aborder des idéaux qui nous semblent si peu intéressants. Encore une fois, c'est l'importance de se mettre à la place de l'autre et comprendre sa situation.

Le dessin m'a beaucoup moins plu, très proche d'une certaine réalité photographique mais avec un aspect trop froid et trop vide par moment. Je reconnais que c'est plus clair et lisible, laissant vraiment la place aux dialogues et au récit, mais je pense qu'il y aurait eu moyen de faire un peu mieux pour la lisibilité.

Je m'épanche beaucoup sur cette BD, mais j'ai vraiment apprécié la démarche à l'oeuvre derrière et la réflexion qui en ressort. Aujourd'hui encore, de nombreux conflits existent de par le monde autour de peuplades qui cherchent à vivre indépendamment, et peut-être juste vivre (les Kurdes sont un bon exemple). C'est le genre de BD qui nous rappelle que le monde ne doit pas être vu uniquement de chez nous, mais qu'il faut s'ouvrir sur la vie des autres. Et je crois bien que c'est un message très fort aujourd'hui.
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J'observe que le cinéma idéalise presque toujours la guerre. Il la rend esthétique. Non seulement les films de propagande, mais y compris quand c'est l'intention du metteur en scène de souligner la dureté de la guerre et des combats, il n'y parvient pas. Surtout la guerre moderne. Comme si la pellicule était toujours trop sentimentale, incapable d'imprimer des émotions fortes, et le cinéma un art réservé aux soldats et aux militants.

En revanche j'ai lu quelques BD qui traitent de la guerre de façon crue… "Dans la Nuit la Liberté" est le récit de la guerre coloniale d'Indochine à partir des souvenirs d'Albert Clavier, jeune "patriote communiste" français, engagé dans l'armée française pour échapper à son milieu, très pauvre.

Pour de jeunes hommes peu avertis, l'armée a en outre souvent le parfum de l'aventure (cf. L.-F. Céline). Un sergent-recruteur jovial et sympathique, et hop, le tour est joué ! Il faut préciser qu'Albert Clavier est seulement communiste, au départ, parce que c'est l'idéologie dans laquelle baignent son milieu et sa famille (Lénine a lui-même admis que le communisme est souvent demeuré aussi superficiel que peut l'être n'importe quelle religion.)

Très vite écoeuré par les exactions commises par l'armée française sur la population civile ou les prisonniers, se sentant lui-même devenir aussi "nazi" que les Allemands abhorrés de son enfance, sous l'Occupation, Albert va peu à peu basculer dans le camp opposé du vietminh, et devenir peu à peu officiellement un traître et un déserteur. L'inquiétude des conséquences pour sa famille va vite faire place à celle de se retrouver en position de tuer des compatriotes, ou contribuer à planifier leur mort; puis la seule préoccupation de la survie dans une jungle hostile, parmi des terroristes-résistants spartiates, va primer sur tout. Albert Clavier finira donc la guerre dans le camp des vainqueurs, même si ce n'est pas tout à fait la fin de l'histoire.

Bien que le dessinateur de cette BD, Maximilien le Roy, soit lui aussi communiste, le propos n'est pas idéologique. Albert bascule surtout parce que, malgré son statut, il n'est pas capable de tuer ni de torturer. "Lâcheté", dira celui dont c'est le métier, tandis que le déserteur objectera sa conscience ou son individualisme.

L'argent ou l'intérêt, la jalousie, ne sont pas les seuls motifs d'assassinat: le communisme l'a été aussi; c'est donc bien plutôt une histoire comparable à celle d'Antigone et Créon, racontée ici. Dans le choc entre des nations titanesques, dont on voit que les mécaniques ne peuvent s'arrêter avant d'avoir fait un tas substantiel de victimes et de massacres, la capacité d'un seul à s'opposer à l'holocauste de l'homme, par l'homme, pour l'homme, a quelque chose de stupéfiant et d'absurde. Absurde, car la seule raison de s'y opposer, il la trouve surtout en lui-même. Après tout, l'espèce a peut-être besoin de gigantesques saignées, comme ça, de temps en temps, pour fertiliser la terre ou pallier l'absence de prédateur véritablement dangereux pour l'humanité ? Mais l'individu, en conscience, peut refuser de se soumettre à cette loi.

Un dossier de quelques pages conclut cette BD, évoquant plus en détail le cas de ces soldats français (ou allemands), peu nombreux, qui passèrent dans le camp opposé, et dont peu réchappèrent à la guerre et à la jungle.

Dans la Nuit la Liberté nous écoute, par Maximilien le Roy, éd. le Lombard, 2011.
Lien : http://fanzine.hautetfort.co..
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critiques presse (4)
BulledEncre
08 février 2012
i l’on considère qu’être citoyen commence par regarder son passé historique dans les yeux, cet album est un puissant stimulant pour la conscience politique.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BoDoi
19 décembre 2011
Avec une grande maturité stylistique et narrative – l’auteur n’a que 26 ans, Dans la nuit la liberté nous écoute… retrace le parcours de cet homme de convictions, confronté aux mensonges et exactions commises par son peuple. Plutôt que de s’attarder sur les effets de la guerre, sur son triste spectacle, il choisit de se concentrer sur les relations que noue le narrateur avec les quelques rares soldats dont il se prend d’amitié et la population locale, qu’il finit par intégrer.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
02 novembre 2011
Il n’est pas question ici de pardonner ou condamner ce choix. Il est question avant tout de le comprendre, pour l’accepter. Quels sont les possibilités d’un individu face à de tels événements ? Comment rester honnête envers soi-même ? Surtout, quels choix s’offrent à lui, et à quel prix ? Un homme face à son destin. Raconté tout en pudeur. À lire.
Lire la critique sur le site : BDGest
Lexpress
28 septembre 2011
Maximilien Le Roy en fait une adaptation saisissante, sensible, certes engagée, mais surtout didactique. Son trait sobre et puissant, servi par une bichromie à dominante vert kaki, confirme la virtuosité de cet auteur de 26 ans, qui excelle à prendre des chemins de traverse.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
- Mais bon sang, vous ne vous rendez pas compte ou quoi ? Mon frère s'est battu pendant la guerre et m'a raconté tout ce qu'il a vu ! Il m'a raconté les atrocités commises par les nazis ! Comment pouvez-vous faire la même chose ici ?
- J'entends votre émotion, mais nous avons une mission et, de fait, nous devons entreprendre des actions concrètes pour la mener à bien. Ces têtes [coupées] ont été mises là [sur des pieux] pour intimider la population. Voilà tout, soldat.
(p. 67)
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(Albert Clavier a rejoint le "camp" vietnamien durant la guerre; il va notamment tenter de porter la "bonne parole" sur le front)
Soldats du corps expéditionnaire frnaçais, écoutez nous!
Cette guerre n'est pas la votre! Vous vous battez contre un peuple qui ne veut que sont indépendance! Vous jouez le même rôle que les allemands quand ils occupaient votre pays.
ET vous soldats des pays colonisés, le combat du Viêt-minh est aussi le vôtre.
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Comme dans le modèle maoïste, les cadres sont envoyés dans les villages (...) c'est malheureusement l'occasion, comme après toute libération, de vengeances personnelles, abus à lire toutefois à la lumière de ce que le petit peuple a enduré. (p. 176)
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1962, je découvre sous le manteau le Rapport Khroutchev (...) ; le petit père des peuples a-t-il pu commettre toutes ces exactions (...) ? ce Rapport me fait voir sous un jour nouveau ma situation et les excès que j'ai pu constater ici. (p. 180)
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Quelle drôle de façon de civiliser : pour apprendre les gens à bien vivre, on commence par les tuer (...) les esprits calculateurs nous parlent de kilomètres de routes, de canaux ou de ponts... mais construits par qui ? les indigènes, pour qui ? le colonat. (p. 122)
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Videos de Maximilien Le Roy (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Maximilien Le Roy
En l'an 300 de l'ère des Ténèbres, Sylvère l'humble jardinier et Daphné la noble lectrice de la baronne s'aiment d'un amour interdit au château de Torteval. Leur vie va voler en éclats lors de la visite d'un inquisiteur-vampyre, les emportant dans un tourbillon de magie noire et de sang. EN L'AN 1715 DE L'ANCIENNE ÈRE, le Roy-Soleil s'est transmuté en vampyre pour devenir Le Roy des Ténèbres. Cela fait trois siècles qu'il règne depuis Versailles sur la Magna Vampyria, un vaste empire s'étendant à l'Europe entière. Son bras armé, l'Inquisition, frappe l'hérésie partout où elle se niche. EN L'AN 299 DE L'ÈRE DES TÉNÈBRES, Sylvère l'humble jardinier et Daphné la noble lectrice de la baronne s'aiment d'un amour interdit au château de Torteval. Leur vie va voler en éclats lors de la visite d'un inquisiteur-vampyre, les emportant dans un tourbillon de magie noire. Uchronie romantique et frissonnante, « L'inquisiteur et son ombre » est le premier tome de VAMPYRIA INQUISITION : une grande saga inédite en bande dessinée, scénarisée par Victor Dixen, double lauréat du Grand Prix de l'Imaginaire.
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