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La pension du bord de mer tome 2 sur 11
EAN : 9782809820614
380 pages
L'Archipel (16/11/2016)
3.94/5   123 notes
Résumé :
Septembre 1940. Polly Brown a accepté un poste d'infirmière à l'hôpital Cliffehaven, sur la côte Sud de l'Angleterre, afin de se rapprocher de Jack, son mari, grièvement blessé au front. Elle a dû se séparer d'Alice, sa fillette de 5 ans, envoyée au Canada pour fuir l'Europe en guerre. A Cliffehaven, Polly emménage à la Pension du Bord de Mer, tenue par les époux Reilly. Là, elle y fait la connaissance de Danuta, une jeune Polonaise qui a perdu toute sa famille au d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
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Un roman qui nous plonge dans une petite ville anglaise au coeur de la 2nde guerre mondiale. Les familles sont séparées à cause des combats. Les journées sont rythmées par les alertes à la bombe. Malgré cela, la vie suit son cours avec ses malheurs et ses petits bonheurs.
Un roman qui se laisse lire mais qui, selon moi, manque de profondeur dans les personnages et dans les évènements.
Donc, un petit bémol malgré une lecture sympathique.
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Angleterre, 1940.
Polly doit laisser sa petite Alice, âgée de 4 ans, embarquer sur un bateau à destination du Canada alors qu'elle-même se rend à Cliffehaven pour être aux côtés de son mari gravement blessé.
Dans la Pension du bord de mer où elle loge, elle connaîtra la force de l'amitié auprès de la famille de Peggy, la logeuse.

Alors là, quelle mièvrerie...
J'avais déjà lu d'autres romans de l'autrice et je me réjouissais de ma lecture. Quelle déception!
Même si c'est un deuxième tome (ce qu'on découvre en l'enregistrant sur Babelio puisque la maison d'édition ne l'annonce bien évidemment pas, comme souvent malheureusement), une partie des personnages n'est présent que pour cet opus. Tout est affreusement lisse et traité avec une grande superficialité. Pourtant, le contexte se prêtait bien pour un beau roman. Nous sommes sur les côtes anglaises, sur le trajet des avions qui viennent du continent pour bombarder Londres, le mari de l'héroïne est entre la vie et la mort dans un hôpital, la pension abrite une jeune polonaise qui a travaillé avec la Résistance française avant de se réfugier de l'autre côté de la Manche, la cadette de la famille de la logeuse est aux prises avec un patron de music-hall malhonnête, la petite fille de l'héroïne a embarqué sur un bateau pour rejoindre le Canada à travers un océan où les sous-marins abondent... Bref, il y avait tant et tant de point d'accroche pour dérouler quelque chose de grand.... et rien.
L'autrice se contente d'enfermer régulièrement les pensionnaires quelques heures dans un abri Anderson lors des alertes, il y a bien quelques vitres qui explosent sous le choc des bombes mais comme tout ce petit monde prend régulièrement le temps de s'asseoir autour d'une tasse de thé, il n'y a pas vraiment d'ambiance dramatique. Je ne suis jamais parvenue à être touchée par le personnage de Polly à qui il arrive pourtant pas mal de trucs bien moches parce que ce n'est pas vraiment construit. Aucun des éléments forts de l'intrigue n'est exploité, les gens deviennent amis comme par enchantement, un personnage attend un bébé et à part le moment où l'on apprend l'info et le moment où l'enfant nait, on a carrément oublié ce "détail"...
Bref, c'est presque un roman de plage tant on peut le lire avec seulement deux neurones actifs. Je ne vais bien entendu pas poursuivre la série mais ne vais pas me détourner de l'autrice qui m'avait enchantée avec d'autres ouvrages qu'elle plaçait sur sa terre natale.
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Cliffehaven, année 1940, on se retrouve à la pension du bord de mer en pleine période de bombardements aériens sur le sud de l'Angleterre.
Peggy Reilly, toujours aussi chaleureuse avec ses hôtes, veille à ce que chacune des infirmières qu'elle loge vive au lieux cette periode dangereuse.
Ses fils ont été confiés à la tante de Sally (cf tome 1) et l'on tente de vivre ou encore survivre malgré les événements politiques et sociaux de la seconde guerre mondiale.
Je dois avouer que j'ai un peu été essoufflée de lire ce tome et j'ai eu cette impression de survol au-dessus de la Pension du bord de mer comme si la légèreté prenait toute l'importance de l'histoire. Pas de profondeur, des scènes brèves, on s'attache moins aux personnages et franchement si ce n'est que pour retenir le côté tragique des assauts allemands, cela laisse un ressenti un peu fade et triste.
Mon avis sera assez mitigé avec ce tome meme si l'écriture de Mckinley est très fluide et agréable.
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J'ai quasiment tous les romans de cet auteur dans ma PAL mais je n'ai jamais sauté le pas! Les voix livresques qui murmurent à l'oreille du Black Kat sont parfois impénétrables!
Et ceux qui me connaissent vont de suite deviner la raison pour laquelle ce roman a hurlé: « LIS-MOI! »
Seconde Guerre Mondiale.
Les mots sont lâchés!

Et je démarre par un coup de gueule récurrent et qui est commun à beaucoup de maisons d'édition: « PUTAIN, mais indiquez que le roman que vous vendez est une suite, BORDEL! »
Ce n'est qu'en creusant les écrits de la dame pour rédiger mon article que j'ai découvert qu'il aurait fallu que je lise Et le ciel sera bleu (que j'ai, en +, dans ma PAL!) pour démarrer une saga, rien que ça!
C'est super agaçant de devoir mener quasiment une enquête policière pour savoir si le bouquin que j'achète est un one shot ou pas!
Alors même si ce roman peut se lire indépendamment des autres, je suis certainement passée à côté de certaines subtilités présentes dans le premier roman! Et forcément cela influe sur mon ressenti! Grrr!

Allez, je me calme, je me pose!

Si loin des siens est l'histoire du quotidien d'une pension de famille située à Cliffehaven, sur la côte sud de l'Angleterre, sur le passage de la Lufftwaffe.

En effet, dès 1940, avec l'opération Seelöwe, Hitler s'attaque à l'économie anglaise en bombardant ports, aérodromes et usines, en vue d'un débarquement et pensant mettre à mal le moral des civils, asphyxier l'économie et ébranler la confiance de Churchill.
Quelle erreur stratégique quand ce sont ensuite les cités britanniques qui sont prises pour cibles, Londres et les grandes villes du sud! Au lieu de mettre les anglais à genoux, c'est la colère et la volonté qui grondent et dominent.

Même si le lecteur ressent, ou imagine, l'insécurité, la peur, les souffrances et les drames, l'auteur a préféré mettre l'accent sur la force psychologique des civils anglais, tel un discours patriotique, au détriment, à mon sens, de la profondeur de ses personnages.

C'est ce sentiment patriotique qui transparaît à chaque page de ce roman: quel que ce soit la frappe infligée, les anglais gardent la tête haute, le sourire aux lèvres, la tasse de thé à la main, mettent leurs enfants à l'abri loin d'eux, soignent ou enterrent leurs morts, aiment, dansent, oublient l'effort de guerre et les privations dans chaque instant de paix offert, et à chaque bombe qui chute, elle nourrit la combativité de chacun. Hitler ne mettra pas l'anglais à terre. Comme l'a si bien dit Winston Churchill: « Nous ne nous rendrons jamais. »

La pension que tiennent les époux Reilly, enfin surtout l'épouse Peggy car son cher et tendre est trop souvent absent, est le refuge de Polly.
Polly a été contrainte de se séparer de sa fille Alice, partie avec sa famille vers le Canada, pour rejoindre son mari Adam, grièvement blessé lors d'un combat, et exercer son métier d'infirmière.
C'est là aussi que Danuta, jeune polonaise ayant fuit son pays après avoir perdu toute sa famille et traversé d'horribles épreuves, est venue rejoindre son frère. Elle apprend qu'il est malheureusement décédé et s'enferme dans son traumatisme, au risque de s'éteindre de désespoir.
La propre famille de Peggy n'est pas mieux lotie quand ses membres sont sur tous les fronts, sous les bombes ou engagés dans une guerre de l'ombre.

Malgré un ensemble de personnages intéressants, trop de scènes qui auraient pu tenir le lecteur en haleine semblent fades et creuses, tant elles sont survolées.
Il y a 5 infirmières dans l'entourage de Peggy et pourtant très peu de détails sur leur métier et les bouleversements apportés par la guerre.
Peggy, entre deux bouilloires à mettre sur le feu pour le thé, est tellement débordée pour chapeauter tout son petit monde et passer au-dessus des coups de chaleur de son époux, qu'elle en deviendrait insignifiante si elle n'était pas le trait d'union entre tous.
Les épreuves subies par Danuta ne sont que brièvement relatés, ne suscitant donc chez le lecteur qu'une maigre empathie.
Le choix de Polly de donner, à plusieurs reprises, la priorité à son époux ne m'a pas convaincue et, en tant que mère, m'a même paru invraisemblable.
Bien entendu, des moments d'émotion ou de complicité, trop brefs, sauvent la lecture mais j'ai trouvé l'ensemble trop superficiel.
Je lirai tout de même le 1er opus de cette saga, et les suivants, car elle met en scène des personnalités féminines fortes et courageuses, la plume de l'auteur est agréable et le fond historique est correctement documenté. J'espère tout de même davantage de profondeur pour susciter de un peu plus d'attachement.

Mon constat est qu'il ne suffit pas d'aborder un bon sujet pour broder une histoire captivante. Si loin des siens reste toutefois une lecture agréable… mais loin d'être inoubliable!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Après vous avoir parlé de " Et le ciel sera bleu" de Tamara McKinley, sorti en 2015 et réédité chez Archipoche, il y a peu, je vous fais aujourd'hui découvrir, le second volume de cette magnifique saga, dont l'histoire se passe dans la pension du bord de mer à Cliffehaven au sud de l'Angleterre.

On y retrouve Peggy, son mari, son beau-père avec de nouveaux résidents, toujours durant la Seconde Guerre mondiale. Les difficultés y sont toujours présentes, les éternels bombardements, les rationnements, la peur de perdre les siens... On y découvre la vie, l'histoire, les malheurs mais aussi les bonheurs des nouveaux pensionnaires. Des moments toujours aussi forts et émouvants grâce à la gentillesse et à l'accueil chaleureux de Peggy et des siens.

L'auteure nous montre dans cette saga, les petits bonheurs que l'on pouvait, si on le souhaitait , amener au quotidien dans cet enfer de la guerre.
Lien : https://livresque78.wordpres..
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Mon père a combattu pendant la Première Guerre Mondiale, et nous autres Australiens n'aimons pas rester les bras croisés lorsqu’un conflit fait rage. Nous avons une réputation à tenir.
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La musique suscitait en chacun des émotions diverses, mais elle touchait tout le monde.
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C'est merveilleux commenta Polly , étourdie par ses renseignement et cette avalanche de prénoms. Elle s'y retrouverait mieux dès que , sur ces prénoms , elle aurait mis un visage
P112
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Elle avait depuis longtemps compris que les menus rituels quotidiens possédaient un indéniable pouvoir d'apaisement.
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Rien ne valait que de se concentrer sur un travail pour chasser son désarroi.
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Videos de Tamara McKinley (8) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Tamara McKinley
#LaValleeduLotusRose #KateMcAlistair #Inde
Le nouveau volet de l'enivrante saga du Lotus Rose, dans la lignée des grands romans de Sarah Lark (Le Pays du nuage blanc) et de Tamara McKinley (La Dernière Valse de Mathilda).
• émotion et évasion : un roman qui s'inscrit dans la lignée des sagas de Tamara McKinley et Sarah Lark • parution simultanée chez Archipoche du deuxième volet de cette saga : La Cité du Lotus rose • le livre audio de la Vallée du lotus rose s'est hissé dans le top 30 Amazon « On ne résiste pas à l'histoire de cette héroïne déterminée à échapper au carcan de son éducation », Ici Paris ; « Voyages rocambolesques, villes légendaires, amours, passions et haines émaillent ce roman », Maxx ; « Un grand roman d'évasion, une magnifique histoire romanesque » Babelio
------ Le livre : http://www.editionsarchipel.com/livre/lheritiere-du-lotus-rose/ Facebook : https://www.facebook.com/larchipel Instagram : https://www.instagram.com/editions_archipel/ Twitter : https://twitter.com/Ed_Archipel
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