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EAN : 9782253258209
416 pages
Le Livre de Poche (25/05/2022)
3.47/5   296 notes
Résumé :
Mariana, Londonienne d’origine grecque, est psychothérapeute. Alors qu’elle se remet à peine de la noyade de son mari, sa fragile nièce Zoé, étudiante à Cambridge, l’appelle au secours. Une jeune fille de sa classe a été retrouvée sauvagement assassinée sur leur campus.

Mariana, ancienne élève de Cambridge, débarque aussitôt pour soutenir Zoé, et ne peut s’empêcher de mener sa propre enquête, surtout quand Zoé accuse son professeur de grec ancien, le ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (74) Voir plus Ajouter une critique
3,47

sur 296 notes
Psychothérapeute à Londres, Mariana est fortement secouée par un appel de sa nièce Zoé qui l'appelle à l'aide. Elle sait la jeune fille fragile et se doit d'aller la rejoindre mais pour cela il va falloir retourner à Cambridge.
Cambridge qui l'a éblouie lorsque, jeune étudiante, elle débarquait de sa Grèce natale, apeurée et timide.
Cambridge où elle a rencontré Sebastian, l'homme de sa vie, son mari mort noyé à Naxos il y a à peine plus d'un an.
Cambridge qui lui rappelle tant de bons souvenirs.
Mais Zoé est en danger. Sa meilleure amie vient d'être assassinée et elle soupçonne Edward Fosca, le charismatique professeur de grec ancien d'être le meurtrier.
Alors Mariana revient sur les lieux de son amour perdu et décide de mener sa propre enquête afin de démasquer Fosca, assez imbu de lui-même pour s'entourer d'un groupe de jeunes filles belles à tomber qu'il appelle Les Muses. Fosca est un adversaire redoutable mais Mariana est prête à tout pour dévoiler sa vraie nature.

Après le fabuleux Dans son silence, ce deuxième roman d'Alex Michaelides ne tient pas ses promesses.
Le style est proche de celui de Mary Higgins Clark dans ses plus mauvais jours. L'intrigue mêle artificiellement mythologie grecque et thérapie de groupe. La trame narrative reprend celle de Dans son silence. L'héroïne, Mariana, peine à susciter l'empathie. Et le renversement de situation final est peu crédible.
Bref, plus de 400 pages de lamentations de cette chère Mariana qui tente de résoudre divers problèmes alors qu'elle-même en est bardée, entre une enfance malheureuse, la perte inacceptable de son mari, son sentiment de culpabilité, son manque de confiance en soi, etc. Malgré tout, elle se lance dans une enquête qui la dépasse, soupçonne tout le monde autour d'elle et semble oublier au passage toute l'expérience acquise en tant que psychothérapeute. Une terrible déception.
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Mariana, trentenaire londonienne d'origine grecque, a "un peu" une vie de m3rde : veuve depuis un an, elle reste inconsolable et se sent coupable de la disparition de son cher époux. Psychothérapeute, elle travaille avec des groupes, et l'un de ses patients, assez flippant, perturbe les autres et se montre trop dépendant d'elle.
Déjà, vu comme ça, personne ne veut prendre sa place.
Mais après le coup de fil de Zoé... tous aux abris !

Je suis bon public s'il y a un(e) psy dans un thriller, avec des morceaux de journal intime d'un "barjot" (aussi effrayant qu'émouvant).
Ici, le décor façon Poudlard sent la poussière des vieux bouquins et l'encaustique des meubles patinés. L'ambiance universitaire so british avec un mystérieux prof bien entouré et moult références à des tragédies antiques est parfaite pour flipper.
J'ai donc dévoré cet ouvrage que j'avais hâte de découvrir après 'Dans son silence' du même auteur.

Une fois ma curiosité assouvie, je trouve des défauts (longueurs, grosses ficelles et invraisemblances), mais je suis quand même tentée par la suite annoncée par ces derniers mots :
« Puis X tendit la main, saisit la poignée.
Et entra. »
Et que vit X ?
Souhaitons que le prochain opus réponde aux questions restées en suspens et dissipe les incohérences.
Pour la crédibilité, j'espère mieux.
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Je découvre Alex Michaelides avec ce roman et je dois dire qu'il a su conquérir mon coeur de lectrice. J'avais précommandé ce roman bien avant sa sortie et en plus il faisait partie de la sélection "book of the month", autant dire que j'avais donc très envie de le découvrir.

Mariana est psychologue et sa vie est bien réglée mais a trente-six ans, elle peine à se remettre du décès de son mari, il y a un an. Et puis, un jour elle reçoit un appel de sa nièce, étudiante à Cambridge, qui lui annonce qu'une de ses amies a été sauvagement assassinée. Mariana se rend sur place pour soutenir Zoé mais elle décide aussi d'enquêter de son côté.

J'ai vraiment adoré l'enquête où dès les premières pages Mariana, nous fait le récit de son intime conviction concernant le coupable. Et au fil du récit, l'auteur nous fait douter. Est-ce qu'il s'agit du vrai coupable qui agit avec brio pour toujours passer entre les mailles du filet ou bien Mariana est-elle obstiné et décidé à faire de lui le coupable ?

L'intrigue est bien menée et j'ai beaucoup aimé découvrir Cambridge et le milieu universitaire, ses codes et son fonctionnement. J'ai adoré les descriptions des cours de littératures et plus précisément les tragédies grecques. L'auteur insère même des passages en grec ancien, écriture que je trouve absolument magnifique.

Les personnages sont attachants surtout Mariana dans laquelle, je me suis beaucoup reconnue. Elle m'a touché par son travail de deuil et son activité de psychologue. Autour d'elle gravitent d'autres personnages qui m'ont beaucoup plu également comme Clarissa par exemple.

Pour finir, je dirai que c'est une chouette découverte que je ne peux que vous recommandez.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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Alex Michaelides a fait une entrée remarquée dans le thriller psychologique en février 2019 avec « Dans son silence » (voir le lien vers ma chronique en fin d'article). Quand un roman obtient un tel succès, il n'est pas facile de relever le challenge une seconde fois, en proposant, à nouveau, un thriller psychologique. « Les Muses » met en scène une psychothérapeute, Mariana, appelée au secours de sa nièce étudiante à Cambridge. le cadavre d'une jeune fille sévèrement mutilée a été retrouvé près de l'école. Mariana, très fragile psychologiquement, puisqu'elle vient de perdre son mari mort noyé lors de leurs vacances, décide de se rendre à Cambridge pour soutenir sa nièce Zoé. D'origine grecque, elle rencontre sur le campus un professeur qui enseigne le grec ancien. Ce dernier, très charismatique, intrigue Mariana. Lorsqu'elle apprend qu'il a créé un groupe appelé les Muses, assemblage d'étudiantes triées sur le volet, en adoration devant le mâle savant auquel il donne des cours privés, elle le place immédiatement dans la liste des suspects. Quand un second cadavre est retrouvé, le doute n'est plus permis : Edward Fosca est le coupable qu'il faut parvenir à démasquer.

Avant de vous dire ce que j'ai réellement pensé de ce second opus, je voudrais redire ici qu'un avis de lecture est personnel et que ce qui fonctionne avec les uns ne fonctionnera peut-être pas avec les autres. À mon sens, et c'est mon avis, que vous pourrez confirmer ou infirmer, le schéma narratif choisi est exactement le même que celui de « Dans son silence ». Pour les gros lecteurs de ce genre d'ouvrages, suspicieux dès le départ, intuitifs ou à la recherche de tous les indices que laisse l'auteur, appelez ça comme vous voudrez, les ficelles de l'intrigue sont rapidement dénouées. Ainsi, aux environs du premier quart, j'ai échafaudé une esquisse de scénario. Même si je ne savais pas pourquoi ni comment, mes pronostics se sont révélés exacts. Il aura donc fallu terminer ces 372 pages pour comprendre le tissage de l'histoire, alors que j'avais depuis longtemps répondu à la question qui ? Il faut dire que certaines « incohérences », et/ou « insistances » m'avaient mis la puce à l'oreille, grâce ou à cause de la construction de « Dans son silence ». Que dire de la fin sans être trop grinçante ? Nous sommes en plein psychodrame lors d'une scène tellement téléphonée que le pire des cinéastes ne s'y risquerait pas : vive les lieux communs bien commodes et sans ambition où le lecteur exaspéré est abandonné sur le bord du chemin avec ses questions laissées sans réponses. Comme je vous l'ai dit plus haut, je savais qui, mais pas pourquoi… L'explication finale n'est pas piquée des vers, accrochez-vous. le plan déroulé est un non-sens total. Je ne peux pas développer ici mon argumentation, mais en gros, le roman se finit en queue de poisson, avec deux références à « Dans son silence » qui ne peuvent pas parler à ceux qui ne l'ont pas lu. Pour mémoire, Mariana est psychothérapeute. Dites-moi si vous avez l'impression qu'elle a fait son boulot dans cette fin ? Ça, c'était pour la trame, ce n'est pas fini.

« Les Muses » mêle psychologie et mythologie. L'idée est intéressante, mais il manque un supplément d'âme pour y croire tout à fait. Elle aurait pu passionner si l'écriture avait suivi… Malheureusement, le style est ampoulé, ronflant et très/trop théâtral. Certes, j'ai appris des choses (mes connaissances en mythologie sont faibles), mais j'ai eu un peu l'impression qu'on me les rentrait dans le crâne à coup de massue. Et les dialogues alors ? Pompeux, ennuyeux, sans saveur et tout sauf naturels. (c'est véritablement là que réside le problème) C'est précisément ce manque de naturel qui m'a posé problème chez Mariana, ou plus tard chez Zoé. Comme si, les réflexions que se font les personnages féminins sont à des années-lumière de ce que pense une femme saine d'esprit. J'ajoute qu'il y a dans ce livre des idées très dérangeantes du type : démontrer une corrélation entre intelligence et traumatisme « Pourtant, en dépit de tous ces traumatismes, Henry était doté d'une intelligence remarquable et pendant un moment il avait semblé qu'elle suffirait à le sauver. » Puis, plus gênant, affirmer que les psychopathes se créent dans l'enfance à cause de divers traumatismes, d'un manque d'amour ou de la perte d'un parent est assez limite. (Je dois être une psychopathe refoulée !) Enfin, le traitement d'une thématique précise à la fin est très très malaisante.

D'une manière générale, je n'ai ressenti aucune empathie envers les personnages. Mariana a de sacrés problèmes non résolus avec elle-même. de plus, sa « crainte » mainte fois évoquée à l'égard de la gent masculine démontre un sérieux problème mental. C'est bien simple, elle suspecte TOUS les hommes qu'elle rencontre d'être des serials killers en puissance. du coup, je remets totalement en cause la façon dont elle exerce son métier, et, forcément sa crédibilité.

Je m'arrête là même si j'avais encore beaucoup de choses à dire. Je vous invite à vous faire votre propre opinion et aussi à lire le premier ouvrage de l'auteur qui était tout à fait jubilatoire.

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Aïe aïe aïe…
J'avais découvert Alex Michaelides avec Dans son silence que j'avais adoré. J'avais d'ailleurs indiqué dans ma critique de l'époque avec quelle impatience j'attendais la confirmation du talent de cet auteur. Ce ne sera malheureusement pas avec Les muses

Ce thriller psychologique met en scène une psychothérapeute, Mariana, une praticienne en psychologie de groupe qui officie à Londres. Toute à sa peine d'avoir récemment perdu son compagnon par noyade, elle est appelée à l'aide par sa nièce Zoé, étudiante sur le campus de Cambridge. Une jeune fille de sa promotion vient en effet d'y être assassinée…
Surmontant ses appréhensions et la crainte d'être submergée par ses souvenirs d'une époque bénie où elle nageait dans le bonheur avec son futur époux dans ce même campus, Mariana décide cependant de retourner sur ces lieux connus. Elle y retrouve sa nièce au 36ᵉ dessous et, pour faire taire ses inquiétudes, finit par prendre part à l'enquête.
Et la voilà enchevêtrée dans une initiative dont elle finit par perdre la maîtrise et qui va lui apprendre combien sombres peuvent être les coulisses du « théâtre » universitaire...

Il y avait là pour moi toutes les promesses d'un bon thriller psychologique : mythologie et tragédies grecques, psychologie, sérial killer… mais je n'ai pas été conquise. Ni par l'intrigue dont les grossières ficelles me sont apparues bien trop tôt, ni par l'écriture en elle-même beaucoup trop simpliste. L'explication, j'ai le sentiment qu'Alex Michaelides la donne lui-même dans ses remerciements : le romancier reste marqué du succès incroyable de son précédent opus et comme entravé d'une énorme pression pour l'écriture du second, écrit de plus en grande partie pendant l'épidémie du Covid-19.
Voilà qui explique sans doute mon avis très mitigé...

Allez Alex ! On se détend et on se lâche sur le troisième !

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Citations et extraits (43) Voir plus Ajouter une citation
[…]
- C’est un gobelet de café, merde, il est où le le problème ? s’exclama-t-il sur un ton enfant indigné.
- il s’agit pas du gobelet, intervint Mariana. Il s’agit de limite. Des limites au sein de ce groupe, des règles que nous respectons ici. Nous en avons déjà parlé. Nous ne pouvons pas participer à une thérapie si nous ne nous sentons pas en sécurité. Les limites apportent

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un sentiment de sécurité. Les limites, c’est ce que nous travaillons en thérapie.
Henri la dévisagea d’un air ahuri. Mariana savait qu’il ne comprenait pas. Les limites sont, par définition ce qui cède en premier quand un enfant est maltraité. Toutes celles de Henry avaient volé en éclats quand il n’était encore un petit garçon. Par conséquent, il ne comprenait pas cette notion. Il ne savait pas non plus reconnaître les situations dans lesquelles il mettait les gens mal à l’aise - ce qui se produisait souvent - en envahissant leur espace, physique ou psychique. […]

27
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« Edward Fosca était un meurtrier.
C’était un fait. Pour Mariana il ne s’agissait pas d’une simple conviction intellectuelle, d’une vue de l’esprit. Son corps le savait. Elle le sentait au fond d’elle-même, dans ses veines, dans chacune de ses cellules.
Edward Fosca était coupable.
Et pourtant, elle ne pouvait pas le prouver, et ne le pourrait peut-être jamais. Cet homme, ce monstre, qui avait tué au moins deux personnes, allait selon toute vraisemblance rester libre.
Il était si suffisant, si sûr de lui. Il croit qu’il s’en est sorti impunément, songeait-elle. Il pensait avoir gagné.
Mais il n’en était rien. Pas encore.
Mariana était résolue à se montrer plus futée que lui. Il le fallait.
Elle passerait la nuit à récapituler tous les événements. Elle resterait assise là, dans cette petite chambre sombre de Cambridge, à réfléchir, et elle trouverait la solution. Elle regarderait fixement le radiateur électrique qui rougeoyait dans l’obscurité, en espérant se plonger dans une sorte de transe.
Elle reprendrait au commencement et se rappellerait tout. Dans les moindres détails.
Et elle l’attraperait. »
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- Je sais que c'est difficile à croire pour le moment, mais avec le temps, ça ira mieux.
- Vraiment ? Ça fait plus d'un an que S. est mort, et ça ne va pas mieux. Ça fait encore mal.
- Je sais. (...) Tout ce qu'on peut faire, c'est essayer d'honorer leur mémoire, du mieux qu'on peut.
(p. 140)
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Since Sebastian died, Mariana no longer saw the world in color. Life was muted and gray and far away, behind a veil—behind a mist of sadness.

She wanted to hide from the world, all its noise and pain, and cocoon herself here, in her work, and in her little yellow house.

And that’s where she would have stayed, if Zoe hadn’t phoned her from Cambridge, that night in October.

Zoe’s phone call, after the Monday-evening group—that was how it started.

That was how the nightmare began.
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Le terme
« psychopathe », inventé par un psychiatre allemand en 1888 – l’année où
Jack l’Éventreur sema la terreur dans Londres –, vient de l’allemand
« Psychopatische » et signifie littéralement « âme en souffrance ». Pour
Mariana, c’était là que se trouvait l’indice, dans la souffrance, avec l’idée
que ces monstres souffraient aussi. Les considérer comme des victimes lui
permettait d’avoir une approche plus rationnelle, et plus empathique. La
psychopathie ou le sadisme n’arrivaient pas de nulle part. Ce n’étaient pas
des virus qui infectaient quelqu’un sans prévenir. Leur source remontait loin
dans l’enfance.
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Videos de Alex Michaelides (13) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alex Michaelides
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