Remerciement à la masse de livres de Babelio proposés, remerciement à sa Masse Critique toujours pleine d'originalité.
L'éditeur et son ouvrage bien filmé, soyez-en aussi ici pris de mes mercis .
En nombre de prières quantifié, je crois en avoir fait le tour.
Retour à l'origine : le désir de régression intra-utérine
J'ai aimée oui , mais !
Car je suis très mai voyez-vous ,68- 69 vous parle ? Oui,non ?
Bon laissons de côtés les théories fantaisistes de cette période de relâchement de la condition féminine, année dont je n'en ai d'ailleurs jamais connue la portée ou la vision.
Itou à ce Désir de régression. . Pas d'envie.
Idem à ce retour providentiel . Pas d'avis.
De même à ce combat sans équivoque de vouloir retourner au sein mammaire, où les protubérances semble nous redonner confiance.
Dites-vous? Je vous provoque ? Lisez plus haut au titre : plus bas à l'intra utérin ..N'est-ce pas là encore plus ambigu pour le coup..
Mais je l'ai lu, et soyons fous ( ou folles) ,de ce bout de terrain glissant ,je constate ma foi un propos sans réel résultat à la fin.
On nage parfois entre soupçon de méfiance quant-a la confiance des exemples ( l'auteur s'en est-il vraiment retourner dans ce grand trou noir du premier jour ? ) et à la vérités de ses dires.
Une véracité qui irez plutôt charmer
les principes de la philosophie de
Descartes.
C'est-à-dire,bien,bien loin de notre ère.
Pardonnez, j'erre ,je me perd, je confère à ce livre un intérêt tout de même:
celui de soulever une question existentiel : Faut-il fuir devant l'adversité, doit-on ( sans pour autant allez à ce point d'extrême limite ) se faire materner par le cocon familial pour vaincre notre mal,
quel qui soit au final?
Cela en fait des questions n'est ce pas ? le livre nous en propose hélas encore des tas.
Lire pour s'instruire était une chose, pour s'en posez plein d'autre en est une autre .
Outre que je n'ai pas été subjugué par certains passages dit 'clé' ,les chapitres intitulé brièvement m'auront suffir à m'en dissoudre de les retenir .
Alors au résumé ,modestement, je ne direz pas Grand Chose.
Je n'évoquerez pas de moins que s'il l'on s'en souvient "“Il faut oublier les mots.” selon les propos de
Yves Bonnefoy (
Les Planches courbes)
Comment ? Ha ,C'est déjà fait . . .