Si vous aviez vécu ce que mon frère Robert a vécu, pris les médicaments qu'il a pris, subi les abus et l'incompétence qu'il a subis, et autant souffert que lui, vous trouveriez étonnant, non pas qu'il ait eu de nouvelles crises mais, comme beaucoup d'autres malades, qu'il ne soit pas mort ou ne se soit pas suicidé.
Le diagnostic porté sur son cas a souvent changé en fonction des médicaments qui le calmaient : il était schizophrène sous Largactil, maniaco-dépr... >Voir plus