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EAN : 9791037003799
166 pages
Hermann (02/09/2020)
3.29/5   17 notes
Résumé :
« J’ai écrit ce livre pour briser le silence qui règne sur la montée de l’islamisme, sur ses ravages parmi les jeunes et sur les dégâts qu’il provoque dans notre école publique. Pendant longtemps, le silence a été la seule réaction : la célèbre formule “Surtout pas de vagues !” a permis pendant vingt ans de mener une confortable politique de l’autruche.
J’ai écrit ce livre parce que je suis attaché à la laïcité : ce principe républicain nous protège et pro... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
"Comment l'école laïque, l'école républicaine, notre école publique, a-t-elle pu ainsi laisser prospérer, voire nourrir en son sein une idéologie aussi opposée à ses valeurs ?"

"Les instituteurs, les professeurs, les responsables institutionnels et politiques n'ont-ils donc rien vu venir ?"

"Ce livre se veut un cri d'alarme".

Voici en substance comme débute cet essai de Jean-Pierre Obin. Il y exprime ce constat, que pendant 20 ans, "les aveugles et les couards ont permis à l'islamisme de continuer à pénétrer et à contaminer notre école".

Il y conteste ou pour le moins relativise les chiffres officiels du Ministère concernant les signalements d'atteinte au principe de laïcité et observe une véritable augmentation de la revendication d'une différentiation entre les musulmans et les autres, en matière de moeurs, de style vestimentaire, de contenu des cours… y compris à l'école primaire et y compris de la part des parents, plus seulement des élèves. Et celle-ci est manifestement favorisée par la perméabilité croissante des jeunes musulmans de France à l'islamisme.

Il s'interroge également, à coup d'exemples vécus par des enseignants, sur les raisons pour lesquelles nos hommes politiques, de droite comme de gauche ont été si aveugles ou permissifs, au point de générer chez certains enseignants une véritable autocensure, délétère pour la laïcité.

Il propose alors des pistes pour revenir à une situation plus républicaine, pour finalement conclure que "pendant longtemps le déni du danger de l'islamisme a dominé notre pays, en particulier dans l'école. Cela est peut-être en train de changer, mais les secteurs de la société et du monde politique qui refusent de regarder la réalité en face sont encore légion".

A mon avis :
Il faut bien reconnaitre que, ayant attaqué la lecture de ce livre la veille de l'assassinat de Samuel Paty, il ne pouvait pas être plus d'actualité.

Sans entrer dans les débats sur la laïcité, la liberté d'expression, l'islamisme, l'angélisme politique… trop larges pour être évoqués ici (et c'est une chronique littéraire, pas une tribune politique), on ne peut que s'étonner de cette dérive communautaire, même si, de loin, on en perçoit l'existence, mais souvent de façon relative.

Pas de relativité dans ce récit donc. du brut, des exemples parlants, nombreux semble-t-il, qui font naitre un véritable sentiment d'appréhension quant à la dérive de notre système éducatif et aux contraintes que subissent nos enseignants et nos enfants dans ce qui devrait être un sanctuaire.

Personnalité de gauche, inspecteur général de l'Education nationale et rédacteur d'un rapport en 2004 sur "les signes et manifestations d'appartenance religieuse dans les établissements scolaires" (rendu au moment des problématiques sur le voile islamique à l'école), Jean-Pierre Obin établit dans cet essai le constat de l'évolution de la situation depuis toutes ces années. Et s'il n'est pas catastrophique, il est pour le moins alarmant.

Construit à partir de l'interprétation des chiffres du Ministère de l'Education Nationale et sur un fonds documentaire assez large, cet essai a le mérite d'être sans concession. Il porte un jugement sans distinction des partis au pouvoir, chacun ayant selon Jean-Pierre Obin participé à sa façon à cette bérézina de l'Education nationale.

Même si l'accumulation d'exemples ne fait pas forcément la règle, il laisse néanmoins un gout amer et une certaine inquiétude au lecteur.


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Généalogie d'une lecture... l'auteur vient de sortir un rapport sur la laïcité très critiquée par « Vigie laïcité », une association qui met en exergue cette très belle phrase de Condorcet : « Nous ne voulons pas que les hommes pensent comme nous, nous voulons qu'ils apprennent à penser par eux-mêmes. »
Voici ce qu'ils disent de ce rapport commandé par le liquidateur du baccalauréat, le ministre actuel de l'éducation nationale, le très récréatif M. Blanquer :
« L'orientation générale proposée par le rapport de M. Obin est particulièrement problématique. Elle substitue à l'idée de formation fondée sur le droit, les outils d'une véritable « police de la pensée » en contradiction avec l'idée même d'une « République indivisible, laïque, démocratique et sociale »
Ayant de la sympathie pour les Obins (Pirouette et Cacahuète) de la série de roman de J.Scalzi, je me décidais à voir ce que pensaient les Babéliotes de la production littéraire du représentant humain du même nom. En deux avis, je comprenais que c'était polémique, je me devais de me le procurer (pas de l'acheter, déjà que la fonction publique rémunère assez grassement ces fabricants d'idées recyclées...)
Dès l'introduction le ton est donné : Charlie Hebdo. Si vous « n'êtes pas Charlie », c'est que vous êtes un islamiste radical, un ennemi de l'école. Je suggère de lire l'excellent ouvrage d'Emmanuel Todd « Qui est Charlie ». Lui-même serait surpris par la phrase qui ouvre le livre :
« Monsieur l'inspecteur général, je dois vous dire que mes deux derniers élèves juifs ont quitté mon établissement cette semaine. »
Donc, en toute logique, nous sommes invités à comprendre que les collèges et les lycées fabriquent de l'antisémitisme par ce que l'auteur appelle « l'excuse sociologique » sans vraiment expliquer ce que c'est, mais qui doit se rapprocher si on suit le raisonnement et que l'on compte les occurrences des mots employés de « l'Islamogauchisme », mot très à la mode dans l'univers médiatique mainstream.
Le chapitre deux commence par une citation qui stipule que «Cette théorie pseudo scientifique absurde, la théorie de l'évolution, contredit en tout point le Coran et la sunnah du Prophète ». Sous-entendu, la vérité c'est l'évolution, le reste, c'est l'islamisme radical. On est en devoir de dire que d'autres religion, dont la chrétienne que je connais bien, dit à peu près la même chose je crois et sans connaître les autres plus exotiques sous nos latitudes aujourd'hui (mes excuses à leurs adeptes pour ma méconnaissance du Zoroastrisme et autres religions créationnistes...) on en va quand même pas reprocher à un chrétien de croire que Dieu a créé l'Homme ! Sauf si (et en fait c'est cela) M. Obin est adepte d'une autre religion, celle de la « Laïcité de combat » qui considère qu'on a le droit de penser comme il faut, c'est à dire comme soi.
l'auteur n'oublie pas qu'un jour au moins, il a « été de gauche » en fustigeant assez gratuitement ses anciens adversaires : « Cependant, c'est un fait : la vieille droite légitimiste reste nostalgique de l'Empire, sournoisement revancharde et discrètement xénophobe », genre de morceaux de phrases qui ponctuent chaque chapitre et sous chapitre, n'apportant rien à l'essai mais permettant à l'auteur de « se positionner » sans frais puisque ce genre d'affirmation essentialisante ne repose sur aucun chiffre sérieux.
Les chiffres, ce n'est pas la tasse de thé de l'auteur. Ainsi par exemple, il annonce : « 13 % des enseignants déclarent avoir été confrontés à des contestations d'élèves lors des moments de recueillement organisés à la suite des attentats de janvier et novembre 2015 »
On se dit ; tiens, on a des chiffres remontés de l'éduc nat ...mais non mon bon monsieur. La source : sondage ifop... On rêve ! sur un sujet aussi polémique ! Dans un essai ! Sondage BB dans le lycée de mes enfants : 0% de problème, que l'on soit Charlie ou pas Charlie.
Et le triste mathématicien de conclure : « Derrière ces exemples, on discerne les causes majeures de la difficulté de l'école publique à porter de façon efficace le flambeau de la laïcité : d'un côté le manque de compétences des professeurs, un défaut de formation adaptée à de nouvelles formes de contestation, et d'un autre la confusion idéologique et l'absence de consensus qui règne dans le corps enseignant sur ce qu'est le principe de laïcité et sur ses implications déontologiques. »
Je discute assez souvent avec des amis de cette notion si difficile de Laïcité, et je me demande à la lecture de M. Obin comment on peut en arriver à être si sûr de détenir l'interprétation ultime. A travers mes enfants, j'ai toujours eu l'impression que les enseignants et l'institution éducation nationale essaient souvent (comme partout, il y des ratés) de promouvoir la liberté, l'égalité, la fraternité et donc la lutte contre les discriminations, le racisme...
Je ne suis pas le seul à me poser cette question car un article récent du « café pédagogique » dresse le même constat :
« Ce qui est plus nouveau c'est le rapport Obin. Reposant sur aucune argumentation, le rapport prévoit de changer en profondeur la conception traditionnelle de la laïcité qui s'est installée dans l'Ecole et généralement l'Etat. C'est une définition très négative. La laïcité n'est pas définie. Ce qui est désigné ce sont les adversaires et les idées ennemies. le rapport est ainsi lardé de remarques fielleuses. »
C'est exactement cela, fielleux.
Un exemple sur la carte scolaire : « Jusqu'en 2007, date à laquelle le président Sarkozy assouplit le système, certaines familles avaient développé des stratagèmes, des « combines » plus ou moins frauduleuses, traquées par l'administration, pour parvenir à inscrire leurs enfants dans un autre établissement public que celui du secteur : domiciliation chez un grand-parent, fausse facture d'électricité, prétendue nécessité de soins, etc. Les enseignants, collectivement opposés à ces tricheries par la voix de leurs syndicats, se sont avérés individuellement très efficaces pour faire profiter leurs propres enfants de ce petit jeu du chat et de la souris. »
Les gentils : l'administration qui traque, M. Sarkozy qui assouplit.
Les méchants : Les enseignants qui trichent.
Fiel.
Le monde en trichromie de M. Obin : « Dans ce contexte, le choix de la « bonne école » ne se traduit donc pas de la même façon pour une famille juive, une famille musulmane ou une famille de « petits Blancs » déchristianisés. »
« Mais l'action de Marie se heurte bientôt à l'activisme d'une femme très engagée, propagandiste et prosélyte islamiste, vraisemblablement liée aux Frères musulmans. Mme K. est l'une des représentantes de la principale organisation de parents du lycée, la FCPE. »
Association de : Fréres musulmans et FCPE (fédération de parents d'élèves jadis plutôt « de gauche »). Fiel toujours.
J'arrête, cet essai est un bon éditorial bien polémique qui mérite la une d'un grand journal mainstream mais qui ne peut prétendre à l'appellation d'essai car il n'y a aucun travail sérieux d'analyse sous-jacent. D'exemple en exemple (ils existent vraiment, personne n'en doute) il tisse sa toile en désignant sournoisement les ennemis du progrès qu'il représente, lui et son ministre bien aimé.
On sait (car les « vrais chiffres » inconnus de M. Obin existent, et bien qu'imparfaits ils surclassent les sondages des amis du ministre) que le nombre "d'incidents" remontés au ministère est infime (un millier pour 12 millions d'élèves) et qu'il n'évolue pas malgré tout le racolage pour donner de l'importance à de menus faits.
Pour faire triompher le bien, il a sa méthode : « il faudra écrémer les formateurs actuels pour ne garder que ceux qui sont conformes (à lapenséejeanpierreobin). de même il appelle à mettre dans les jurys de recrutement des enseignants de "nouveaux profils de personnes" (conformes à lapenséejeanpierreobin.) »
Inquiétant ce néoinquisiteur.
Peut-être que dans son obsession pour éduquer les professeurs à la vraie laïcité, il en oublie la vraie force de l'éducation nationale, celle qui justifie qu'on se batte pour elle si on ne fait pas partie de la petite élite scolarisée ailleurs et qui n'a que faire du destin des gens ordinaires : elle est là pour permettre ce que naguère on appelait l'ascenseur social. Les valeurs émancipatrices ne sont pas découplées des valeurs de promotion sociale. Quand on est sûr de ses valeurs, on n'a pas besoin de les faire entrer à coup de massue dans la tête des récalcitrants, comme au bon vieux temps des missions civilisatrices. Mais si ces valeurs, c'est être exploité laïquement en se taisant et en servant des repas chauds en moins de dix minutes à un rédacteur d'éditorial bien trop payé pour les lignes qu'il produit, ne vous étonnez pas qu'il vous renvoie votre laïcité à la figure. Au nom d'Allah, de Jehovah, de Jésus, de Marx ou de Bouddha selon les latitudes et les époques.
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Si j'avais dû placer un titre en tête de chronique, j'aurais probablement hésité entre une formule de pitié; « comment a-t-il pu tomber si bas ? », et une autre de colère; « Obin où les relents d'un racisme anti-musulman à peine voilé ». J'ai navigué entre ces deux sentiments (pitié et colère) en lisant ce livre.
Il est bien évident que je ne m'attendais pas à un éloge de la religion musulmane. Mais, rien ne m'avait préparé à un ouvrage sans nuances, dégoulinant de préjugés et de généralisations excessives; une sorte de vade-mecum pour les électeurs du Rassemblement national. Non, je n'exagère pas !

Ce n'est pas parce qu'il existe des comportements déviants relevant d'une méconnaissance de l'islam (623 signalements sur plus de 12 millions d'élèves, soit 0, 000051 % de la population scolaire) qu'il faut faire de la religion musulmane l'épicentre des problèmes de l'Education nationale, voire de la société française. Monseigneur Obin devrait plutôt utiliser son temps et son intelligence à se poser des questions pertinentes: pourquoi le « mal être enseignant » augmente ? Comment endiguer le suicide des enseignants (rappelons qu'un professeur se suicide chaque semaine en moyenne dans notre pays) ? Quelles pistes pour lutter contre les inégalités et les injustices scolaires ? Comment aider les « décrocheurs » ou éviter les décrochages (dont le nombre a explosé depuis le premier confinement) ? Comment transmettre des savoirs (et des savoirs faire) à des élèves du XXIème emprisonnés dans un système éducatif poussiéreux et inadapté aux réalités contemporaines ?
Monseigneur Obin gagnerait plutôt à se pencher sur les causes; notamment sur les politiques de rationalisation et de leurs conséquences désastreuses (sur les enseignants, sur les parents et sur les élèves) Car, je l'écris et je le crie, ce n'est pas l'islamisme qui gangrène l'Education nationale, ou la société française, mais bien le néo-libéralisme qui tue les enseignants et le plaisir de transmettre. Or, Mgr Obin n'en dit mot dans son brûlot. Même ses pseudo-pistes de combat contre l'islamisme sonnent faux et montrent à quel point il semble ignorer ce qui se passe dans ces quartiers où sont concentrés ces élèves musulmans, comprenons par là; ces élèves colorés et épicés.

Sorti de ma colère, je me dois maintenant de donner quelques références pour comprendre ce qui se passe dans notre sacro-sainte école républicaine.
Pour ce faire, j'ai pour habitude de dire que tout livre à son antidote. Alors, si vous souhaitez être vaccinés contre la rhétorique réactionnaire ambiante qui se fixe sur cette croyance en une islamisation galopante de la société française et de l'école républicaine, il faut lire au moins trois ouvrages. D'abord sur l'école, lisez le dernier livre de Nathalie QUINTANE; « Un hamster à l'école ». Ensuite, sur l'islamisation, prenez un peu de temps pour lire « Le mythe de l'islamisation » de Raphael LOGIER. Enfin, dernier ouvrage, un classique incontournable pour comprendre la rhétorique d'un Obin et consort, lisez « L'idéologie raciste. Genèse et langage actuel » de Colette GUILLAUMIN.
Cette médication intellectuelle vous permettra d'éviter, ou de sortir, de l'abêtissement des idées facilement consommables sur l'islam et les musulmans en France.
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Le rapport Obin (2004) a subi le même sort que "Les territoires perdus de la République" (2002).
- Sous le tapis,
- Aux oubliettes,
- Mais de quoi parlez-vous ?
- Encore un livre d'extrême droite, les fachos sont partout...
Et pourtant les signaux étaient bien là, notamment depuis1989, année du fameux épisode dit "du voile" et du bottage en touche "courageux" du Ministre de l'Education Nationale, Lionel Jospin.
Il a fallu 15 ans pour que fut enfin promulgué une loi sur le port de signes religieux ostensibles (2004) et 24 pour la première charte de la laïcité à l'école (2013).
Donc, personne ne s'est précipité, tout le monde a pris le temps de la réflexion, y compris la droite, tant elle était tétanisée par la peur d'être taxée de racisme ou d'islamophobie.
Jean-Pierre Obin n'y échappe pas, un chapitre étant consacré à sa profession de foi nous assurant qu'il est bien de gauche...
L'auteur dresse un constat factuel de l'emprise de l'islamisme aussi bien au sein des établissements scolaires que dans les lieux de formation des enseignants et propose des pistes, pistes qui seront étudiées puis (peut-être) mises en oeuvre quand elles seront devenues notoirement insuffisantes.
Et donc, voilà où on en est...
Et tous les yeux ne sont pas dessillés, il suffit de voir l'accueil que certains ont réservé à cet ouvrage.



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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Nicolas Sarkozy avait donc raison en proclamant la supériorité du curé sur l’instituteur ?
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Videos de Jean-Pierre Obin (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Pierre Obin
Comment appréhender les enjeux de la laïcité à l'École ?
Le plan de la formation : 1. Qu'est-ce que la laïcité ? Quelles sont ses conséquences dans l'école publique ? 2. La méthode de formation : l'analyse de situations professionnelles (ASP) 3. Analyse d'un cas concret
Jean-Pierre Obin, ancien inspecteur de l'Éducation nationale et auteur de “Comment on a laissé l'islamisme pénétrer l'école” (Éditions Hermann), a été honoré du Prix national de la laïcité en 2018.
Il a publié 3 ouvrages chez Hachette Éducation : - Les religions, l'École et la laïcité (2019) : https://www.enseignants.hachette-education.com/livres/religions-lecole-laicite-ed-2019-9782017099178 - La prise de décision en situation complexe (2016) : https://www.enseignants.hachette-education.com/livres/prise-decision-en-situation-complexe-24-cas-reels-analyses-commentes-9782014005288 - 20 situations réelles de vie scolaire (2015) : https://www.enseignants.hachette-education.com/livres/20-situations-reelles-vie-scolaire-9782012708853
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