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Soul Eater tome 1 sur 25
EAN : 9782351420553
192 pages
Kurokawa (12/03/2009)
3.71/5   221 notes
Résumé :
Afin d'accéder au rang suprême de -Death Scythe-, une arme démoniaque doit ingérer 99 âmes humaines et 1 âme de sorcière.

Cette mission est confiée aux Meisters, des spécialistes du combat qui vont récolter les âmes au péril de leur propre vie.

Dans Soul Eater, partez à la chasse aux âmes en compagnie des élèves de l'institut Shibusen, école de formation pour faucheurs d'âmes..
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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J’ai détesté le tome 1 de ce shonen mainstream. Donc si vous l’avez aimé, autant sauter tout de suite à la conclusion, car ce qui va suivre risque de ne pas être charitable donc risque également de vous énerver plus au moins fortement.


Tout commence avec la capture et la mise à mort d’un Jack l’Eventreur qui ressemble à deux gouttes d’eau à Voldo de la saga vidéoludique "Soulcalibur"…
Dans la ville de Death City, on suit les tribulations d’apprentis faucheurs d’âmes hipsters à l’école de Shibusen. Donc grosso modo au milieu des années 2000 on a un mélange "Naruto", "Bleach" et "Harry Potter" : bravo l’originalité en vampirisant 3 des séries adolescentes les plus bankable de l’époque ! (et ne parlons pas de l’enflammade shinigami avec la sucess story de "Death Note" qui date de la même époque… plus racoleur tu meurs !)
On nous explique que l’école de Shibusen a été créée pour mieux contrôler les pulsion des jeunes shinigamis pour qu’ils ne deviennent pas des « grands dévoreurs » ne faisant plus la distinction entre innocents et criminels, mais tout est basé sur la collecte d’âme pour que les armes et leurs meisters montent de niveaux donc de puissance le plus vite possible (comme dans n’importe quel jeux vidéo à tendance fantastique : "Onimusha", "Devil May Cry", "God of War"… ils sont légions) et c’est tout naturellement qu’on les envoient régulièrement en travaux pratiques de rattrapage qui ont tout de missions suicides en bonnes et dues formes, au nom d’un « il faut bien qu’ils apprennent à se débrouiller par eux-mêmes ». On pourrait y voir une critique du marche où crève du système scolaire japonais, mais même moi je n’y crois pas...
Je ne vais pas tortiller du cul pour chier droit : c’est n’importe quoi ! Et je déteste quand un récit édicte une règle pour mieux la bafouer juste après : c’est archi-pénible ! (pour qu’un shinigami de type arme monte de niveau, il doit absorber 99 âmes humaines corrompues et 1 âme de sorcière, puis juste après on explique qu’il existe des âmes plus fortes que d’autres et qu’il peut en suffire d’une seule pour monter de niveau (qu’elle soit corrompue ou nom d’ailleurs, ce qui entre en contradiction avec le concept de grand dévoreur). Ouais, pas trop voyante la grosse ficelle !

Sinon, niveau personnages principaux on a des adolescents en plein âge bête :
- Soul Eater, un cancre persuadé d’être trop cool, qui a toujours la bave aux lèvres et qui fantasme sur les filles faciles à très grosses poitrines
- Black*Star, un apprenti ninja au lourd passé mais à l’ego surdimensionné qui ne fout jamais rien car rien n’étant digne qu’il lève le petit doigt (bref, un anti Naruto)
- Death the Kid, un fils à papa maniaco-dépressif, qui s’avère être le fils du Dieu de la Mort
En vis-à-vis, des archétypes ecchi (= mangas érotiques à destination des ados) :
- un adolescente vêtue sérieuse et courageuse (la fille difficile à pécho)
- un adolescente dévêtue gentille et naïve (la fille facile à pécho)
- deux sœurs blondes, courtes vêtues et obéissantes, l’aînée aux cheveux longs, la cadette aux chevaux courts, destinées à assouvir les fantasmes de ménages à trois d’éventuels lecteurs intéressés par la chose…
Mention spéciale à la tentative de construire un truc autour de Spirit le Death Scythe divorcé qui essaye de remonter dans l’estime de sa fille adorée Maka ! (Mais franchement moi aussi je cracherais à la gueule d’un père qui passe son temps dans les bars à hôtesses et qui drague ouvertement mes camarades de classes en plein cours… au secours le séducteur looser)
L’association entre meisters (notez bien l’usage de l’allemand, bien repompé sur d’autres séries de la même époque) et armes humaines de différents types est un immense classique du JRPG opposant magiciens et combattants (Alerte Repompage "Fate Stay Night", très gros succès vidéoludique qui date de la même époque), ici destiné à opposer les armes et leurs utilisateurs sur le concept de la résonance d’âme (Alerte Repompage "Shaman King" : je n’ai jamais compris comment un manga n’ayant eu ni talent ni succès a pu avoir un aussi grande postérité… Peut-être parce que c’est le premier manga ayant réussi à rendre mainstream en le vidant de sa substance le manga culte "JoJo’s Bizarre Adventure" ?).
Et puis il y aussi cette traditionnelle manie des shonen post "One Piece" de se la péter grave en hurlant et en gesticulant en permanence, pour mieux masquer la vacuité du fond en passant du coq à l’âne. (Mais bon on retrouve la même tendance à la con en Europe et en Amérique du Nord)

Il y a des clins d’œil à "Bleach", à "Naruto", à "Shaman King", à "JoJo’s Bizarre Adventure" (titres allègrement pillés par cette série shonen), on a de clins d’œil à la culture horrifique (classiques mais assez sympa ceux-là), et on a des clins d’œil à la culture gangsta (ouah super l’originalité vu que la saga JoJo était dans sa période gangsta avec l’arc "Vento Aureo" / "Golden Wind")… Ouais, cela ne va pas très loin non plus !

Peu de plus-value graphiques sur la forme (qui puise fortement dans les jeux vidéos) : charadesign quelconque qui fait la part belle à la guerre des clones, découpage sans aucun prise de risque, arrière-plans peu recherchés et peu travaillés… Et pour ne rien gâcher les scènes de baston ne sont pas spécialement claires et/ou lisibles. Par contre on insiste bien sur les poses destinées à faire la part aux seins et aux fesses de l’intégralité des personnages féminins qui se laissent facilement dénuder et peloter. Ça et les techniques de drague des uns et des autres qui frôlent le harcèlement voire l’agression sexuelle… Un fanservice tellement pompier qu’on tombe facilement dans la vulgarité avec des planches qui ne dépareilleraient pas dans un manga pornographique alors que la série est destinée aux 13/15 ans !


J’ai arrêté les mangas au début des années 2000, persuadé que j’étais trop vieux pour ses conneries. 15 ans après je m’éclate avec les shonen des années 1980 et 1990, et je prends plaisir avec les shonen des années 1960 et 1970, tout en découvrant quelques bons voire très bons shonen de toute dernière génération… Je me suis fait une raison : il y vraiment quelque chose de pourri dans les shonen des années 2000 qui va au-delà de la différence de générations. Et cela se voit aussi dans la japanime actuelle où l’opposition fait rage entre les animes « éco+ » qui recyclent sans vergogne les clichés éculés, et les animes « de terroir » puisant allègrement dans esprit résolument vintage, qui tiennent en ce moment le haut du pavé. Bref il y a ceux qui tombent dans la facilité en faisant du repompage éhonté, et ceux qui se retroussent leurs manches pour retourner aux sources !

Mais bon, j’ai appris à ne jamais juger un manga à l’aune de son seul premier tome donc je vais poursuivre un peu… On ne sait jamais, les miracles ça existe ! (Et effectivement, à défaut d’être bon c’est bien mieux… Sauf qu’à l’heure actuelle il existe des dizaines de titres plus emballants que celui-là !)
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Challenge petits plaisirs 35/40

Les élèves de l'école Shibusen fauchent les âmes souillées des criminels inscrits sur la liste du maître Shinigami. Ils opèrent en binômes, composés d'un Meister et d'une arme démoniaque, qui peut prendre forme humaine. Si cette dernière avale 99 âmes, plus une de sorcière, elle accède au rang de Death Schythe.

On suit les péripéties de trois de ces duos : Maka, armée de sa faux, le cool Soul Eater ; Black*Star, le ninja encore moins discret que Naruto, avec Tsubaki ; et enfin Death the Kid, le fils du Shinigami, maniaque incurable de la symétrie, assisté de ses pistolets Patty et Liz. Notre histoire débute alors que Soul Eater est sur le point d'avaler sa dernière âme de sorcière…mais les choses ne vont pas se passer comme prévu, vous vous en doutez.

Le renouveau du genre est là, toujours animé de belles valeurs, mais centré sur la mort et très cynique dans l'humour. Ça commence doucement. L'auteur pose ses personnages principaux, tous charismatiques, drôles et bien sentis, à travers de petites aventures auto-conclusives bien rythmées. Il faudra attendre le deuxième, voire troisième, volume pour que l'histoire démarre pour de vrai. J'adore le style graphique innovant, très spécial mais qui apporte un vrai plus.

Un léger bémol cependant, quelques pages avec des filles dénudées qui n'apportent pas grand chose à l'intrigue et qui ne reflètent pas le manga. Pour avoir lu le premier arc il y a quelques années, il me semble que ça s'estompe sur les volumes suivant.
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J'apprécie beaucoup l'univers de ce manga sur une école de shinigami, où les humains et les armes sont partenaires. Il y a des graphiques clairs et lisibles, souvent d'une originalité certaine - j'adore leur lune et leur soleil grimaçants.

Les personnages, dès le début, montrent une forte personnalité qui les rend uniques sans pour autant être d'entières caricatures, et sans empêcher de les développer plus en nuances plus tard.
J'aime en particulier la façon dont l'OCD de Kid est écrit - fortement handicapante, mais pas quelque chose dont il ne sera heureux qu'en se débarrassant, et pas non plus le cliché du maniaque de la propreté.

Trois histoires courtes au début pour présenter les protagonistes et les mécanismes de l'univers, puis le départ d'une intrigue en milieu scolaire à la fois amusante et un peu glauque qui les réunit et fait de poser des questions, que demander de plus ?

En fait, j'ai une idée de réponse à cette question, parce qu'il y a quand même, pour moi, deux points faibles majeurs dans ce tome 1.

Le premier est le harcèlement sexuel ordinaire, avec tous les personnages masculins qui, sans que ce soit un trait de personnalité, juste considéré comme la norme, vont palper des seins, soulever des jupes, mater les filles nues... heureusement, ce sera vite réglé. Quand les personnages prendront plus d'épaisseur, dès le tome 2, l'auteur continuera bien sûr à se faire de petits plaisirs avec des filles déshabillées, mais ce seront juste des angles de vue ou des scènes intégrées dans le scénario. Cela marche avec des one-shots humoristiques, mais pas avec une vraie évolution de relations.

Le second est le fait que l'organisation de Shibusen - condamner à mort les criminels (ce qui est une question d'opinion, peut être approuvé ou pas) mais aussi utiliser des enfants de 12 ans comme bourreaux, et autoriser la mise à mort des sorcières pour gagner en pouvoir, même quand elles n'ont rien fait, est impressionnante de cynisme, et personne ne semble la remettre en question, même un peu, ce qui est un peu dommage quand on a des personnages s diversifiés.

Mais c'est un tome 1 tout à fait plaisant pour un manga qui sera bon jusqu'à la fin.
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- Vague de folie sous une lune glauque 🌛

-critique de toute la série-

Je me replonge dans ce manga que j'avais commencé ado mais malheureusement lâché par flemme de suivre la publication des nouveaux chapitres, et c'est une super redécouverte !

L'histoire est relativement basique pour un shonen, mais efficace et avec tout de même pas mal de rebondissements et d'originalité qui contribuent à donner une atmosphère à la fois dérangeante et rafraîchissante à ce manga.
Mais ce qui en fait principalement la qualité, c'est le style graphique et l'écriture des personnages.

Le casting assez restreint pour un manga permet de faire réellement briller chacun des différents acteurs. Évidemment, tout le monde n'est pas logé à la même enseigne, et il est évident que les personnages les plus importants bénéficient de plus de développement et d'attention de la part de l'auteur (grosse pensée pour Kid, Maka, Stein et Medusa qui sont vraiment géniaux), il n'en reste pas moins qu'on a jamais l'impression de perdre notre temps lorsque l'histoire se concentre sur ses personnages secondaires. Tous sont attachants, intéressants, charismatiques chacun à leur manière, et leurs relations nuancées et crédibles sont très bien écrites. Seule ombre au tableau qui mérite d'être mentionnée : black star. Membre du quatuor de personnages centraux de l'histoire, il est malheureusement IMBUVABLE les deux premiers tiers de l'histoire… certes, il est censé être agaçant, prétentieux et loufoque, mais ces traits sont si abusivement marqués -et avec trop peu de contrebalance- qu'il en devient vraiment un personnage désagréable et pénible, dont chaque apparition est source d'agacement, ce qui n'est clairement pas la volonté de l'auteur étant donné la relation qu'a Black star avec les autres, la façon dont ils le traitent, et évidemment l'attention et la longueur avec laquelle ses péripéties sont traitées. Bien heureusement, il se rachète plus ou moins après les deux premiers tiers de la saga, et devient tolérable (ouf)

Ce qui fait le principal de la puissance de ce manga, c'est sans aucun doute le style graphique, et je ne suis absolument pas d'accord avec ceux qui disent que la qualité visuelle des premiers tomes est à jeter. Évidemment, le trait est plus approximatif et le découpage moins efficace que dans les tomes suivants, mais on découvre dès le début un parti pris très cartoon, anguleux et stylisé, qui permet de donner une atmosphère absolument unique à cet univers et ses personnages. le monde de soul eater est dynamique, vivant, atmosphérique, avec une ambiance très immersive et vibrante. le chara-design est impeccable : chaque personnage, du plus important au plus insignifiant est détaillé avec soin. Les scènes d'action sont dynamiques et portées par un style qui permet de réellement valoriser la démesure et l'agilité du ballet martial auquel se prêtent les personnages. La cerise sur le gâteau, c'est la fluidité et la cohérence avec lesquelles le dessin passe du dénuement incisif d'un coup direct aux méandres psychédéliques des scènes de « folie », qui incarnent violemment cette notion d'incompréhension, d'inhumanité et de puissance malsaine.

En bref, une oeuvre à ne pas manquer pour les amateurs de shonen, avec un univers, des personnages, et un style graphique pleins de personnalité et vraiment uniques
A quand une version « brotherhood » de l'anime ou une éventuelle suite avec nos protagonistes devenus adultes ..? (Svp 🥺)
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Ce n'était pas gagné au début, soyons honnêtes deux minutes. Visuellement, les premiers tomes de Soul Eater offrent une lecture presque forcée, dans l'espoir de voir éventuellement le style évoluer et les personnages gagner en épaisseur. le fan service est alors légion et les chara-design sont assez laids, et je comprendrai que certains ait lâché dans ces eaux là. Mais une fulgurance approche aux alentours du tome 6, moment où l'intrigue décolle vraiment et où l'enchaînement des tomes se fait alors avec un plaisir total. L'ennemi ultime, le Grand Dévoreur, fait son apparition et les enjeux sont alors clairs et précis. C'est à partir de ce point que le rythme devient soutenu et que l'on observe une véritable guerre entre plusieurs factions pour éviter (ou précipiter) l'avènement du Grand Dévoreur.

Et s'il y a bien un tour de force que nous devons reconnaître à Soul Eater, c'est bien celui de faire croire à son public qu'il est un shonen nekketsu basique pour ainsi mieux le surprendre avec des concepts complètement novateurs et originaux. En effet, l'auteur offre à contempler un univers halloweenesque auquel vient se greffer des références au rock et la culture hip hop, dans un melting-pot des plus agréables. À cet univers barré s'ajoute des séquences hallucinantes où le quatrième mur vole complètement en éclat et dont les brisures nous arrivent en pleine face.

L'humour qui, dans ses débuts, est assez balbutiant, joue finalement la carte de la réserve en n'étant finalement moins présent et usant de ses personnages drôles (En l'occurrence, Excalibur) avec parcimonie. En plus d'être une lecture agréable, Soul Eater possède une histoire haletante et bien rythmée car échappant aux classiques arcs hors série ou filler pour se concentrer réellement sur l'intrigue principale.

Au fur et à mesure que l'histoire évolue, les personnages principaux gagnent en charisme et en développement et s'éloignent de leur stéréotypes pour s'offrir une backstory conséquente et des objectifs concrets. Alors que la conclusion approche, il est intéressant de souligner comme la folie et la démence contamine l'oeuvre, saturant l'espace dans certaines cases au point d'emmener nos pauvres protagonistes dans les limbes de leur esprit. Et c'est bien cette descente aux enfers qui nous fait aimer l'univers, autant que ses combats dynamique dont l'impact des coups se fait ressentir à des lieux à la ronde. Voir certains personnages être consumés par la peur, chose à la fois si concrète et si abstraite, nous fait conserver un attachement profond pour eux tout du long.

Le style de Okhubo se façonne à mesure que l'histoire progresse, et c'est un vrai régal que de voir tout le travail accompli depuis le commencent.

Et même si le manga ne démarre clairement pas avec toutes les cartes en main, il arrive on-ne-sait-comment à les retrouver une par une pour les abattre avec fracas durant son final.
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critiques presse (1)
Lecturejeune
17 février 2012
Lecture Jeune, n°130 - juin 2009 - Les Meisters sont de puissants combattants qui ont pour mission de récolter des âmes corrompues. Pour accéder au vénéré rang de « Death Scythe », un Meister se doit de manger 99 âmes humaines et une âme de sorcière. C'est cette dernière âme qui manque au palmarès de nos deux protagonistes : Soul et Maka. Ils pourchassent alors une créature nommée Blair mais s'aperçoivent rapidement qu'attraper une âme de sorcière n'est pas chose aisée. À la fin d'un éprouvant combat, leur cible, se révèle être... un chat ! Et tout est à refaire pour le duo. Les éditions Kurokawa lancent l'une des séries les plus attendues par les fans de shônen. Les dessins sont séduisants et diffèrent du graphisme calibré de mangas comme Naruto ou One Piece. L'ambiance particulière et le style du décor nous plongent dans un univers très noir, proche de celui de Tim Burton. L'humour est également omniprésent. Une galerie de personnages tous plus loufoques les uns que les autres se présentent au lecteur, au fil des pages. Ainsi le personnage de Death, un Meister angoissé par tout ce qui n'est pas symétrique, sombre dans de terribles dépressions (hilarantes). Enfin, les affrontements, qui sont la base des shônen, sont parfaitement réussis grâce au dynamisme des découpages. Ce manga, mêlant habilement graphismes originaux, humour débridé et combats, fera bientôt partie des classiques du genre. Sébastien Féranec
Lire la critique sur le site : Lecturejeune
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
" Règle numéro 1 du parfait assassin, se cacher dans l'ombre contrôlant sa respiration jusqu'à ce qu'une faille se présente. Règle numéro 2 du parfait assassin, se mettre dans la peau de la cible afin de deviner ses prochains mouvements. Règle numéro 3 su parfait assassin, abattre la cible avant même qu'elle n'ait conscience de ton existence!"
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"L'apparence n'a que peu d'importance ce qui compte vraiment, c'est l'âme!!"
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Tout le monde a peur de la mort, c’est pour cela qu’on veut devenir plus fort !
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C'est vraiment le même gamin que tout à l'heure ?
Impossible !!
Je ne sens plus du tout sa présence...
Si ... encore une faible aura mais on dirait une personne totalement différente !!
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[Soul Eater] Je suis comme tous les hommes ! A choisir, je préfère une fille super bien roulée qu’une planche à pain !
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