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EAN : 9782130593034
256 pages
Presses Universitaires de France (18/01/2012)
3.4/5   10 notes
Résumé :
Un livre polémique pour ce début d’année, celui d’Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro qui nous explique que le réac est le nouveau moderne.
« Le réactionnaire du XXIe siècle est un démocrate déçu et de plus en plus irrité, venu de la droite comme de la gauche. La pensée conforme le croit irrécupérable et veut l’offrir à Marine Le Pen. Le « néoréac » est, en réalité, en résonance avec la société civile, qui a décidé de reprendre son destin en main. Il est l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
« de l'urgence d'être réactionnaire », pamphlet d'Ivan Rioufol se veut un ouvrage qui pourrait pousser de nouvelles personnes dans la voie de la réaction. Publié chez les très sérieuses Presses Universitaires de France dans la certes moins universitaire collection « Perspectives Critiques », monsieur Rioufol tente de donner un aperçu le plus large possible des actuels problèmes de notre pays. En utilisant le point de vue dit réactionnaire, il s'attaque à quelques institutions et mentalités comme l'antiracisme et ses associations, l'État qu'il surnomme mamma, les lobbies communautaires, l'islam radical et revendicatif et en général la pensée unique transmise par les médias conformistes à travers les experts en plateau télé ou les philosophes des dîners en ville.

Le terme réactionnaire est important dans cet ouvrage car l'appel de Rioufol est à la population, aux français ; il faut réagir, s'opposer, s'exprimer. Cet ouvrage s'adresse au grand nombre et spécialement aux néophytes. Les personnes qui suivent l'actualité et les sites internet de « contre-actualité » sont déjà au courant de la quasi-totalité des faits énoncés. Ces gens-là peuvent cependant prendre plaisir à lire cet ouvrage correctement écrit sans transcender non plus le genre du pamphlet politique.
Les néophytes y découvriront certains faits marquants voire scandaleux, comme le silence médiatique sur les profanations de tombes chrétiennes alors qu'elles représentent 85% des profanations ou encore les nouveaux programmes scolaires balayant d'un revers de la main Louis XIV ou Henri IV pour laisser place à des civilisations lointaines, disparues et sans relation avec notre pays, afin de faire disparaitre toute identité et surtout de créer une rupture dans la connaissance de l'Histoire pour démontrer qu'aucune continuité n'existe.
Ivan Rioufol utilise certaines sources qui sont les mêmes que ses collègues réactionnaires comme les travaux de la très sérieuse démographe Michèle Tribalat. L'éditorialiste du Figaro ne le cache pas, tout comme son utilisation de l'Internet pour s'informer – seul média réellement libre, d'après lui.

Cependant, que l'on ne s'y méprenne pas, les réactionnaires de la télé et des journaux ne sont pas homogènes. Monsieur Rioufol est profondément optimiste quand Eric Zemmour est « mélancolique » et né à la mauvaise époque comme il le confesse lui-même.
La réaction n'est pas homogène et je ne saurais dire, après avoir lu ce livre, si monsieur Rioufol en est totalement conscient ou non. La compréhension de l'hétérogénéité de la réaction permettrait au lecteur de pardonner le manque de propositions. Cela permet de fédérer plus de monde, sans doute, et autorise l'inclusion de phrases de Georges Marchais. Mais la définition du réactionnaire est restrictive. Ivan Rioufol, dès son avant-propos exclut une partie des réactionnaires en excluant les contre-révolutionnaires dans la « tradition du XVIIIe siècle », car il considère que « le » réactionnaire du XXIe siècle est un démocrate, un républicain, un pro-laïcité, un héritier des Lumières. Ainsi voit-on balayer les plus grands pamphlétaires français, réactionnaires revendiqués, comme Charles Maurras ou Léon Daudet. On les enterre et finalement, le réactionnaire devient un « moderne », finalement un progressiste et il est à craindre qu'il rejoigne les rangs d'un autre « camp du bien. »

En lisant cet ouvrage, j'ai eu l'impression d'un regret des grands penseurs de la IIIe république, de certaines politiques menées avant le Cartel des Gauches voire du Bloc des Gauches. Il y a une pensée libérale chez Ivan Rioufol qui est intéressante mais peut-être trop superficiellement exprimée et parfois contredite. Il y a un réel désir de s'opposer à « l'État mamma », et de défendre les principes de la Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 en se prononçant pour la liberté d'expression contre la censure des lois mémorielles et antiracistes, ou en souhaitant balayer l'égalitarisme pour défendre l'égalité.
Par contre, je suis resté perplexe devant quelques utilisations de concepts et de termes inappropriés. Page 19, droite comme gauche sont accusées d'abandonner le peuple français ce qui aurait été aggravé par « un laisser-fairisme économique ayant dénaturé le libéralisme et son éthique. » Il me semble difficile d'opposer le Laissez-faire, laissez-passer de Turgot au libéralisme. Turgot a écrit et mis en application certaines des plus grandes et efficientes mesures libérales de l'histoire et il faudra aussi m'expliquer en quoi un pays comme la France, qui compte plus de 100'000 décrets et lois dont beaucoup s'opposent à la liberté d'entreprendre, peut être taxé de « laisser-fairisme. »
Je trouve aussi fort dommage que monsieur Rioufol utilise la même rhétorique et le même vocabulaire que ses ennemis. Quand, page 131, il est dit que les mouvements anti-racistes « n'ont rien à envier aux comportements des petits fachos quand ils n'ont plus pour objectif que de traquer les dissidences », il tombe dans le même excès qu'eux lorsqu'ils affirment que les réactionnaires sont fascistes. de même que rappeler les événements de la seconde guerre mondiale à travers la prise de position et la participation à l'extermination des juifs par la division SS du Grand Mufti de Jérusalem n'est pas forcément l'exemple le plus heureux pour un débat sain, bien que tout ce qui est dit soit vrai. On retrouve aussi le terme « totalitaire » qui est utilisé de manière peu rigoureuse ainsi que l'absurde mot « ultralibéralisme » qui a autant de définition qu'il y a de journalistes pour l'employer.

Cet excès verbal vient du fait qu'Ivan Rioufol écrit avec « ses tripes ». le but de l'ouvrage me semble être plus l'exaltation du lecteur que l'analyse poussée. En somme, il nous livre bel et bien un pamphlet qui a des imperfections, parfois un vocabulaire ou des analogies peu heureuses, un style littéraire pas assez travaillé, peut-être même un manque de maturation avant publication, mais un pamphlet qui reste efficace, qui dévoile au grand public des faits cachés par les médias, qui défend une idée de la France, des valeurs. Ivan Rioufol montre parfaitement bien le processus de déculturation, l'abrutissement de la population pour mieux la maîtriser, l'essor réactionnaire dans la jeunesse de plus en plus traditionnelle (et cela se voit notamment avec un très grand nombre de jeunes rejoignant la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X quand les églises modernistes se vident). L'auteur nous offre aussi un vibrant éloge de ses ancêtres et par extension de nos ancêtres ; peut-être aurait-il dû insister sur la généalogie en génral, cette passion bien française, pratiquée par des centaines de milliers d'adeptes partant à la quête de leurs racines, de ces villages, de ces villes où vécurent nos aïeux. Car cette aventure est aussi une forme de réaction à la modernité, au déracinement, à l'implosion de la famille.

« de l'urgence d'être réactionnaire » est en somme un pamphlet qui a le mérite d'exister, qui explore sans détours la pensée de l'auteur. On peut ne pas être d'accord sur tout, mais il est toujours appréciable d'entendre un autre son de cloche, des opinions à contre-courant de ce que les médias veulent insuffler. C'est un ouvrage grand public et que je conseille aux indécis comme aux convaincus de l'autre côté pour montrer que les réactionnaires comme monsieur Rioufol sont des personnes qui ont des valeurs à défendre. Peut-être même – qui sait ! que derrière ce terrible mot de « réactionnaire » vous finirez pas vous y reconnaitre.

Je remercie l'équipe Babelio pour ce livre reçu dans le cadre de l'opération Masse Critique, ainsi que les éditions PUF et madame Boëtsch pour la gentille note accompagnant l'ouvrage.
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Sélectionné et gagné dans le cadre du « jeu » Masse critique organisé par Babelio, « de l'urgence d'être réactionnaire » est un essai tout à fait insuffisant. Je ne l'ai guère apprécié et je regrette mon choix tant j'ai perdu mon temps et mes cheveux à la lecture de ce livre.

Il manque à cet essai une rigueur intellectuelle, nécessaire au débat d'idées. Ivan Rioufol surf sur la vague des stéréotypes et des préjugés, usant et abusant des concepts creux; tissant, sans étude sérieuse et minutieuse, des liens mécaniques entre des faits sociaux jugés problématiques. Son regard est pessimiste, craintif et peureux. Il est aussi méprisant et quelque peu haineux. le discours est répétitif, insensé, lassant et exaspérant. Ignorant la complexité, Ivan Rioufol avance dans la médiocrité et fait dans la « masturbation intellectuelle ». Il fait partie de ces pseudos intellectuels qui font dans la jérémiade, dénonçant constamment la censure alors que leur discours est dominant, et qui estiment l'Islam et l'immigration responsables de tous les maux repérés au sein de la société. La vue est simpliste et, de ce fait, irrite car elle alimente un portrait (de la société) médiocre et erroné.

L'auteur- que je ne connaissais pas jusqu'alors- est loin de la clairvoyance. Il se prélasse dans l'ignorance. Sa plume, satisfaisante, est au service d'un discours creux et insensé et il m'est impossible de rédiger une critique sur le fond tant il y a beaucoup à dire et à contester. Les conneries -excusez du terme- sont légions, ils pullulent. J'en relève, sans exagération, plus d'une dizaine par page. Ma critique ne peut donc se contenter que d'un dessin général: cet essai ne mérite aucune éloge de ma part tant je le considère comme insatisfaisant.

Ivan Rioufol est libre de ses propos. Il peut penser, dire et écrire ce qu'il pense. Là n'est pas mon soucis. Ma seule exigence: l'intégrité, l'honnêteté et la rigueur intellectuelle. Eux seuls permettent en effet le débat d'idées puisqu'ils ne supportent pas préjugés et stéréotypes; imposent une argumentation; supposent une cohérence; demandent un effort; obligent à la transparence et permettent la compréhension.

L'essai d'Ivan Rioufol manque de ces quelques ingrédients et n'emporte pas mon adhésion. Je ne conseille pas la lecture de ce livre qui pollue l'esprit et qui ne mérite pas sa place dans ma bibliothèque.

Je remercie l'équipe de Babelio pour leurs travaux et leur cadeau. Merci également aux éditions PUF pour leur petit mot.
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De l'urgence d'être réactionnaire est paru chez PUF.... Editions très connues s'il en est, qui se réclament de publications universitaires donc savantes.
Je ne sais si c'est à cause de son éditeur ou bien s'il s'agit de son style d'écriture habituel mais j'ai trouvé qu'Ivan Rioufol en faisait des tonnes.
Si son pamphlet se veut abordable, il ne l'est pas. Ses phrases sont alambiquées, difficiles d'accès. Il est compliqué de rentrer dans le texte et de saisir où l'auteur veut nous emmener.... Cela donne une impression de confusion. Ivan Rioufol avance certaines idées très "réac", très extrême droite mais se reprend vite en essayant de se démarquer de ce parti et des idées qu'il véhicule. Pourtant tout le ton du texte est le même : la France va mal à cause de l'Islam qui s'insinue dans toutes les strates de la société au détriment de la "culture nationale".
Ivan Rioufol a effectué un bon travail de recherches, on ne peut le nier : recherche de textes ou de discours mais les phrases sont sorties de leur contexte et il est difficile de s'y retrouver.
D'autre part, il n'hésite pas à "lapider sur la place publique" des collègues qui n'ont pas le même point de vue que lui et qui prônent l'intégration et le multiculutralisme. Lui qui n'apprécie pas d'être mis dans le même panier que l'extrême droite n'hésite pas faire des amalgames quand il s'agit de ses détracteurs. Et là, nous avons une belle brochette de noms aussi bien de droite que de gauche comme si tout le monde disait la même chose !
Bref, pour moi, il s'agit d'un essai écrit à la va-vite afin d'être publié avant les élections. Son but : essayer de faire réagir une tranche de la population, indécise. Ses exemples, un peu tirés par les cheveux peuvent faire mouche car chacun peut se reconnaître dans ce racisme quotidien qu'il soit "anti-blanc" ou non.
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Ce livre rompt avec le politiquement correct de l'époque. Ivan Rioufol met le doigt là où ça fait mal, et il appuie fort ! un livre que je recommande à tous...
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critiques presse (1)
Lexpress
03 mai 2012
Ivan Rioufol mêle exercice de déploration et appel au soulèvement de ceux qu'il persiste à nommer les "Français de souche".
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
Cela s'adresse à vous, dirigeants, représentants, conseilleurs, commentateurs, animateurs, prêcheurs, imposteurs, flagorneurs, dénonciateurs. A vous les démolisseurs, qui n'avaient pas mis trente ans pour mettre la France plus que millénaire dans cet état de dépression et de dévastation. C'est bien là votre seule performance. Parce qu'il fallait être dans l'air du temps, vous vous êtes acharnés à détruire et à faire disparaître plutôt qu'à consolider et à rebâtir ce qui méritait de l'être, en vous présentant comme généreux, tolérants, ouverts, branchés, modernes, futés et futuristes. En voulant faire le bonheur des autres malgré eux, vous avez blessé la civilisation, la démocratie, la liberté.
(Extrait chapitre "Les nouveaux corsaires de la République" page 99).
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Le temps est venu de déconstruire les déconstructeurs, de sermonner les sermonneurs, de juger les juges, de mettre le nez des sociologues, des démographes et des journalistes militants sur ce qu'ils ne veulent pas voir, de passer outre les oukases des maîtres-censeurs, ces combattants d'arrière-garde qui n'ont cessé de jouer sur la confiance des gens en se faisant passer pour vertueux.
(Extrait chapitre "Les nouveaux corsaires de la République" page 101).
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Nombreux sont les Français qui en ont plus qu'assez de se faire malmener, ridiculiser, enfumer par des démocrates qui n'aiment pas le peuple, des humanistes qui n'aiment pas les gens, des journalistes qui n'aiment pas les faits, des antiracistes qui n'aiment pas les Blancs, des progressistes qui aiment tellement les pauvres qu'ils sont prêts à en faire venir toujours davantage
(Extrait chapitre "Vers une insurrection civique" page 118)
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La vérité est que vous avez racialisé la société, en faisant l'éloge du métis, cet aboutissement de l'homme parfait. Vous êtes devenus les vrais racistes, à vouloir raisonner en fonction des "ethnies". Vous qui pouvez traiter de fasciste un contradicteur, ne voyez-vous pas comment vous vous comportez, en comptabilisant les Noirs et les Arabes à la télévision, au parlement, chez les entraîneurs de foot ? Parce que vous avez voulu voir dans l'élection de Barack Obama la victoire de l'homme noir ou métissé, vous avez fait de la couleur de la peau et de ses mélanges un critère de qualité, dans une nation qui n'a jamais été l'expression d'une race ni d'une religion, et qui se l'interdit dans sa Constitution. Vous êtes devenus obsédés par les origines, tout en interdisant aux autres d'y faire référence
(Extrait chapitre "Les antiracistes, ces vrais racistes" page 127).
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Le réac d'aujourd'hui n'est ni un grincheux, ni un provocateur, ni un idéologue, ni un extrémiste. Le progrès ne lui fait pas peur, puisque c'est pour le défendre qu'il s'engage. Cependant, il est devenu résistant, à force d'encaisser et de prendre sur lui. Il ne veut pas rejoindre l'agonisant qui flotte au fil de l'eau. Disons, pour rester dans l'imagé, qu'il est le saumon qui remonte à contre-courant pour préserver sa survie liée à son espèce. La sienne s'appelle la démocratie libérale héritée de Tocqueville. Il laisse la prudence aux pantouflards et l'exaltation aux illuminés. Simplement, il ne sait pas mentir. Il dit ce qu'il voit. Sa naïveté le rend redoutable. Oui, la vérité est révolutionnaire.
(Extrait chapitre "Les nouveaux corsaires de la République" page 102).
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En vérité, le problème à résoudre est simple : la société civile, oubliée depuis trente ans, veut désormais participer pleinement aux décisions sur son avenir, laissé jusqu'à présent aux arrangements des technocrates européens, aux étatistes de droite et de gauche, aux certitudes des excellences, aux idéologues de la mondialisation, aux financiers sans scrupules, aux groupes de pression des minorités, aux pouvoirs des juges et des sachants, à la pensée chloroformée, aux camelots des bons sentiments.
Elle exige des hommes politiques, qui ont cautionné les désastres qui s'accumulent, qu'ils se ressaisissent dans l'instant s'ils veulent éviter de voir la colère enfouie exploser dans les rues au premier prétexte, comme elle le fit dans les pays du Maghreb dont les peuples allaient devenir soudainement exaspérés par la distance et l'autisme de leurs représentants.
Extrait chapitre "Une place reste à prendre" page 168
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Et où est l'humanisme, quand ceux qui n'ont que ce mot à la bouche méprisent le peuple du haut de leurs cols doctrinaires, lorsqu'il défend sa dignité ? Ces pharisiens, qui dispensent leurs leçons depuis trente ans, ne jurent que par la diversité, mais ne supportent pas des opinions divergentes. Ils interdisent de faire référence aux origines, mais ne cessent de réclamer des discriminations positives pour les "minorités visibles". (...) Ils assurent que toutes les cultures sont respectables, mais vomissent l'héritage européen. (...) Ils détestent les fachos, mais chassent en meute, décident des coupables, réclament des têtes, exigent des épurations, des interdictions et des censures. Ils s'indignent contre l'antisémitisme, mais laissent se répandre, singulièrement à l'extrême gauche et dans les cités, un antisionisme qui suinte la haine du Juif. Ils se disent en guerre contre le racisme, mais ne veulent rien voir des haines contre les Blancs, contre les chrétiens, contre les Français, et font des hiérarchies entre les discriminations. (...) Ils disent défendre la laïcité, mais soutiennent le délit de blasphème qui sanctionne l'islamophobie. Et il faudrait supporter encore ces imposteurs ?
(Pages 30 et 31)
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