De la fillette à la femme mûre, du garçonnet à l’homme adulte, qui s’adonne au jeu le plus mortifiant ? Qui s’exhibe et pour quel regard ?
Jeux relate nos cruautés quotidiennes, subies ou imaginaires. Une étrange petite musique s’installe à force de saynètes qui capturent, sans aucun compromis ni répit, la perversité humaine, en une toile tissée dans tout un quartier. C’est la musique de l’intelligence, sèche, mais bizarrement douce.
Petits textes courts, presque des haïkus. Mais je n'ai pas été enchantée ni fascinée au contraire de Jean-François Haas qui signe une critique en quatrième de couverture.