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Elin : La charmeuse de bêtes tome 1 sur 1
EAN : 9782811640910
192 pages
Pika Edition (23/01/2019)
4.18/5   253 notes
Résumé :
Le secret des Bêtes Sacrées !
Elin vit dans un village du royaume divin de Ryoza avec sa mère soigneuse de Tôda, des dragons-serpents dressés pour la guerre. Toutes deux sont liées au “peuple de la brume”, craint pour son savoir secret sur les Bêtes Sacrées. Un jour, sa mère, jugée responsable de la mort d’un troupeau de Tôda, est sauvagement exécutée. Elin, dépositaire d’un grand pouvoir, connaît alors un destin tumultueux, qui la conduira au cœur d’un te... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (254) Voir plus Ajouter une critique
4,18

sur 253 notes
J'étais curieuse de découvrir cette saga dont j'avais entendu parler par une personne de ma promo à la fac. Contrairement à ce que je pensais en voyant la couverture, nous ne sommes pas dans une histoire pour enfants, mais plutôt pour ados...

En effet, nous suivons Elin, qui est fascinée depuis toujours par les Tôda, des dragons-serpents de combat qui protègent le royaume. Seulement, sa mère la met en garde et lui interdit de les approcher... jusqu'à ce qu'un évènement bouleverse leur vie.

Je n'ai pas été particulièrement convaincue par ce premier tome : l'histoire ne m'a pas très convaincue et même si les illustrations sont chouettes, elles ne m'ont pas séduite plus que ça. Toutefois, c'était un agréable moment de lecture. J'ai envie de lire la suite et voir ce qui va arriver à Elin !
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Ce manga me faisait très envie depuis sa sortie mais ce n'est que récemment que j'ai pu enfin me le procurer. J'en avais tellement entendu parler, notamment grâce à de très bons avis et le mien sera tout aussi positif! J'ai beaucoup aimé ce premier tome!

La petite Elin vit avec sa mère dans un village qui élève, garde et entraîne des Tôda, des espèces de dragons des eaux (qui peuvent se mouvoir sur terre également), utilisés pour faire les guerres du royaume. Sa mère est une soigneuse de Tôda, ce qui est une grande responsabilité... mais elle et sa fille ne sont pas bien vues dans le village de par l'ascendance de la mère d'Elin, faisant partie d'un peuple, les Ao-lo (nommé d'une autre façon péjorative), au plus proche de la nature et gardant jalousement ses secrets. La mère d'Elin n'aime pas ce qu'elle fait, ce que font les hommes à ces créatures. Et tout va basculer lorsque les Tôda les plus forts vont mourir mystérieusement. La mère d'Elin est accusée aussitôt et pour protéger son enfant, accomplira le tort ultime pour un Ao-lo ainsi qu'un grand sacrifice! Car si l'on apprend qu'on peut contrôler totalement les Tôda et en faire ce que bon nous semble, ce serait une catastrophe! le peuple des Ao-lo préfère donc disparaître pour que jamais leurs secrets ne soient révélés et ainsi garder l'équilibre de la Nature; quant à Elin, qui a un véritable don qui pourrait lui porter préjudice, c'est une toute nouvelle vie qui va commencer pour elle!

Je ne m'attendais pas du tout à ce que ce soit si mélancolique, si dur et triste dès le début! ça commence fort, le ton est donné! Je ne cache pas que j'ai été assez choquée par certaines choses que j'ai trouvé bien cruelles. Les événements survenus dans ce tome 1 vont profondément marquer la petite Elin tout au long de l'histoire sans aucun doute, la forger en quelque sorte. Elin est une petite héroïne qui va revenir de loin!

Je me suis déjà beaucoup attachée à Elin de par son histoire, son passé difficile et j'ai hâte de voir son évolution future. Quant à l'univers, il est déjà fascinant en l'espace d'un tome! On sent bien la mythologie japonaise, comme une espèce de conte avec même un côté écologique, ce qui est appréciable. On parle de dragons, de créatures, de nature et de lois de la nature à respecter!

Les dessins sont tellement jolis, plein de charme, sans fioritures. le dessinateur va à l'essentiel et j'ai apprécié les contrastes noir/blanc/gris qui étaient beaucoup plus prononcés que dans un manga "classique".

Je ne savais pas que ce manga était l'adaptation de romans et si j'en ai l'occasion, j'aimerais les lire pour en apprendre encore plus sur l'univers et les personnages!

En bref, je suis déjà sous le charme de ce manga! C'est une belle découverte et il me tarde vraiment de retrouver Elin et de voir ce qu'elle va devenir!
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Voici une série qui promet de jongler entre la douceur de l'enfance et la cruauté du monde. Dans ce tome d'introduction, nous découvrons la jeune Elin et sa mère Soyon, soigneuse en charge des Tôda, de rares créatures utilisées comme moyen de défense du royaume d'Arhan. Nous comprenons de suite que la petite et sa mère ne sont pas bien intégrées au sein de leur village malgré l'importance du rôle de Soyon. Elles ne ressemblent pas non plus aux autres femmes avec leur chevelure brune et leurs yeux verts ; bien qu'Elin semble plus acceptée que sa mère, on imagine aisément l'atmosphère de crainte mêlée de suspicion que l'ignorance et l'intolérance peuvent initier. Lors de leur dernière nuit ensemble, Soyon donna quelques clés à sa fille autour de leurs origines et de la relation qui les lie aux bêtes. En plus d'être méprisée au village, Soyon trahit son peuple en portant l'enfant d'un étranger et fut reniée.
Sur ces bases difficiles, le statut d'outsider de Soyon empire de façon dramatique lorsque les Tôda sont retrouvés morts, en apparence suite au manque de vigilance de leur soigneuse. Cet incident met le feu aux poudres et tout le mépris contenu depuis des années envers Soyon ressurgit : jugée pour sa fatale erreur, elle est condamnée à être dévorée (vivante) par des Tôda sauvages. Notre jeune héroïne, poussée par l'élan du désespoir, tente de sauver sa mère mais n'y parvient pas. Alors qu'elles se retrouvent encerclées par les Tôda affamés, Soyon décide de protéger sa fille et émet un sifflement étrange qui fige les bêtes et permet à Elin de s'échapper. C'est le coeur brisé que la fillette file à dos de Tôda, abandonnant sa mère à une mort cruelle et de lourds secrets derrière elles.
La fin de l'intrigue se concentre sur Elin et son sauveur, le doux apiculteur Johun du royaume Yojeh. L'adulte apparaît comme le nouveau "maître" dans la quête initiatique qui s'ouvre aux pieds de la jeune fille. Je vais passer vite sur ce point car à part la nature, nous n'apprenons pas grand chose. En revanche, nous avons un aperçu du peuple d'origine de Soyon dans les dernières pages, qui nous apprend que la jeune femme a commis un sacrilège en utilisant un pouvoir ancestral sur les Tôda face à des étrangers, alors que les nomades ont juré de ne jamais s'en servir. Cet acte conduit les anciens à lancer une recherche pour retrouver Elin ; s'agit-il d'une chasse à l'homme ? Nous le découvrirons bientôt !
Le style graphique est épuré mais efficace et on ressent bien l'amour des mangakas pour le matériau d'origine. En effet, ce titre est une adaptation en manga (11 tomes) d'un roman. Je n'apprécie pas trop la bouille chibi d'Elin, mais elle fait ressortir ses émotions et accentue son côté innocent qui me fait penser à L'enfant et le maudit. Cet aspect renforce aussi l'amour de la nature, des animaux et le respect de l'ancien monde (coucou Mononoké et compagnie). J'ai mis 4 étoiles car j'ai jugé cette nouveauté mieux ficelée que Dresseuse de monstres (sorti chez Komikku en 2017), série autour du même thème, à laquelle j'avais mis 3,5.
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Voici une nouveauté des éditions Pika et qui est vraiment un très bonne découverte. Ne vous fiez pas à la couverture, que j'ai trouvé à titre personnel un peu enfantine, car l'histoire qui nous ai raconté dans ce manga est loin d'être drôle.

Nous suivons Elin, dont la mère est une soigneuse de Tôda, des créatures qui ressemblent un peu à des gros crocodiles et serpents. (Le résumé dit que ce sont des dragons-serpents, mais je trouve qu'ils tirent plus des serpents que des dragons ^^) Mais voilà, Solon, la mère de Elin va commettre une « erreur » en soignant les Tôda, ce qui va la conduire à son exécution pure et simple !

Oui, ça ne rigole pas du tout dans le Royaume de Roza, car les Tôda sont des créatures sacrés dont seuls quelques initiés peuvent s'occuper. Solon va être jugée un peu hâtivement à mon gout, et l'on va très vite se rendre compte, que finalement, le village attendait le premier prétexte pour s'en débarrasser. Car il y a une autre intrigue sous-jacente, sous fond de racisme puisqu'il se trouve que Solon n'est pas originaire de Royaume de Roza, mais qu'elle vient du peuple des brumes, que l'on appelle Ahlyo.

Derrière ce titre fantastique se cache donc une vraie critique de la société, car l'on se rend rapidement compte que le Royaume de Roza est dans l'erreur. Il considère les étrangers comme dangereux, et se sert des Tôda, ce qui ne devrait pas être fait car comme le disent les anciens Ahlyo : « Ces bêtes ne seront jamais apprivoisées. Et en aucun cas, cela ne doit arriver. »

Et au milieu de tout cela, il y a la pauvre Elin qui ne sait rien de ses origines mystérieuses et qui ne comprends pas pourquoi sa mère est traitée de la sorte. La pauvre fillette de 10 ans va donc devoir très rapidement se débrouiller toute seule, et l'on devine qu'un long périple l'attend.

Graphiquement, le titre est vraiment sublime, notamment sur les décors et sur les créatures. Il y a un style doux et crayonné qui rends vraiment bien avec un trait fin qui n'en fait jamais trop. Pour l'instant, ce premier tome était très intéressant, mais il va falloir confirmer cela avec le tome 2, car ce qui est inscrit dans le résumé, représente 70% de ce premier tome. On a donc un longue introduction, qui pose bien les bases.

Le deuxième tome est prévu pour le mois de mars, et le manga est terminé au Japon en 11 tomes. Je pense qu'il y a donc moyen d'avoir une bonne série, bien développée, pas trop longue et avec un univers cohérent. Affaire à suivre !
Lien : https://chezxander.wordpress..
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Comme je l'ai dit dans mon billet sur Créatures Fantastiques, le manga animalier est en force actuellement puisqu'en plus de celui-ci et Beastars, on a droit à une autre nouvelle série (qui sera en 11 tomes) sur le sujet avec Elin la chameuse de bêtes. Il s'agit d'une adaptation de roman écrit à l'origine par Nahoko Uehashi, et le manga est de Itoe Takemoto. de quoi parle donc ce manga qu'on doit aux éditions Pika ?

Elin mène une vie tranquille aux côtés de sa mère dans un village qui a pour mission d'élever des Tôda, des dragons-serpents de combat utilisés pour la protection du royaume. Mais Soyon, brillante soigneuse de ces dangereuses créatures, empêche sa fille de les approcher malgré sa fascination pour elles…

Jusqu'au jour où un drame va bouleverser leur vie et le destin tissera un lien inéluctable entre Elin et les bêtes sacrées !

Ce résumé est peut-être un peu cryptique, mais en gros, il faut se dire que dans l'univers qui est dépeint ici, il existe des créatures imaginaires dont font partie les Tôda, qui sont utilisés pour la guerre. Elin et sa mère viennent d'une tribu nommée les Ahlyo dont on va déjà apprendre certaines choses dans ce premier tome (mais je ne spoilerai pas). Comme l'indique le résumé, les Tôda du village vont tous mourir et c'est forcément leur soigneuse qui va être considérée comme responsable. Ainsi, la mère de Elin va être condamnée à mort, ce qui signera le départ de sa fille et le début de son aventure qui va, on peut le supposer, l'amener à reconsidérer sa vision du monde et découvrir qui elle est. On troque donc la douceur de Créatures Fantastiques contre une dureté et une violence évidente.

Mais au-delà de ce postulat de base, ce qui m'a intéressé en particulier, en tant qu'amoureux des animaux, c'est justement le traitement de cette thématique. de ce point de vue, j'ai beaucoup aimé le travail sur le personnage de Soyon, la mère de Elin. On la voit dans le premier chapitre utiliser un sifflet pour calmer un Tôda. Elle explique que rien d'autre ne peut les calmer, que ce sont des bêtes sauvages et qu'elle ne doivent jamais être apprivoisées. Plus tard, elle explique à sa fille que les Tôda qu'ils asservissent s'affaiblissent de jour en jour et que cela la rend malheureuse, car ils devraient pouvoir décider de leur destin. Il semblerait d'ailleurs que ce soit la vie en captivité qui les condamne finalement. Ce point m'a vraiment plu car si l'on joue le jeu de la transposition dans notre réalité, c'est assez éloquent sur le point de vue de l'auteur concernant le fait que l'on asservisse des animaux (alors qu'à l'origine, tous les animaux sont sauvages). Et l'affaiblissement dû à la captivité me fait penser aux animaux d'élevage et à leur santé plus fragile (sans parler des animaux créés par le biais de croisement de race qui finissent par avoir des problèmes de santé fréquents).

Un autre élément intéressant concernant la thématique animalière vient du dernier chapitre. Après avoir fui suite à la condamnation de sa mère, Elin est retrouvée par un apiculteur et va l'accompagner dans ses ruches. C'est l'occasion d'un exposé documenté sur le sujet, afin d'être authentique dans la façon de dépeindre le travail de l'apiculteur, et un détail m'a fait tiquer. Il explique qu'il coupe en partie les ailes des reines abeilles pour qu'elles ne puissent pas partir trop loin. Il rajoute que ça lui fait mal au coeur mais qu'il est obligé puisque c'est son gagne pain. Je ne pense pas que l'auteur cherche à faire un jugement de valeur sur ce point, mais je ne peux malgré tout m'empêcher de voir dans ce constat le rappel que l'homme a en effet cette capacité à aimer les animaux tout en leur faisant du mal pour son propre profit. Ainsi, ce point m'a aussi beaucoup intéressé et parlé.

Cependant, il ne faut pas oublier que l'on est dans un tome introductif et que les thématiques tout comme l'univers ne sont que présentés ici. Mais tout est clairement introduit et les bases posées sont séduisantes et donnent envie de voir quels développements suivront.

Pour finir, un petit mot concernant l'aspect graphique du tome. Alors que je suis séduit par l'écriture, je dois avouer que visuellement, je suis un peu resté sur ma faim. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est laid, mais c'est assez quelconque. Je trouve que les visages des personnages, bien que corrects, auraient pu être plus beaux, et les décors sont trop souvent dépouillés. Cependant, les Tôda sont très réussis ce qui donne envie de voir quelles autres bêtes le manga va nous proposer.

En résumé, ce premier tome de Elin la charmeuse de bêtes nous plonge tout de suite dans son univers brutal et dur. L'héroïne est présentée efficacement et on imagine déjà qu'une forte évolution va arriver chez elle au fil des tomes. La thématique animalière propose déjà des pistes intéressantes qui ne demandent qu'à être étoffées. Et l'intrigue en elle-même pose déjà plusieurs questions auxquelles on souhaite avoir les réponses. Une introduction tout à fait réussie en somme pour ce qui est de l'écriture. Malheureusement, d'un point de vue graphique, je suis moins conquis, mais cela n'empêche pas à la lecture d'être de qualité. Je serai donc au rendez-vous pour le tome suivant en espérant que le développement de tous les éléments posés ici soit à la hauteur.
Lien : https://apprentiotaku.wordpr..
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critiques presse (2)
BoDoi
04 décembre 2019
Profond, dramatique et sans emphase, ce récit prône le respect et l’écoute de l’autre, la bienveillance animale et amène à réfléchir sur l’humain et ce qu’il fait de son environnement. Sa trame avance rapidement et on voit grandir Elin à vue d’œil. Elle se révèle à chaque étape. On s’attache à elle, à son humanité, à la justesse de son comportement.
Lire la critique sur le site : BoDoi
ActuaBD
14 février 2019
Il y a quelque chose des univers de Miyazaki dans cette fable qui ouvre vers la quête initiatique d’une petite fille confrontée à des drames impensables. Juste et touchant, le récit semble ouvrir une quête initiatique dont on a hâte à présent de suivre l’évolution à travers le périple d’Elin.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
- Tu sais, c'est triste de voir une bête manipulée par les humains. Dans la nature, elle peut décider elle-même de son destin.
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« Les habitants du village pensent qu’il s’agit de gens de grande taille apparaissant et disparaissant dans la brume. On raconte qu’ils vendent des potions miraculeuses contre les maladies et qu’ils possèdent un grand savoir en médecine. D’un autre côté, on dit également d’eux qu’ils volent un culte à des divinités étranges et qu’ils ont un côté un peu sinistre.
C’est également ton avis ?
Ils ont tenu à conserver leurs us et coutumes depuis toujours. Vu de l’extérieur, il est donc normal de les considérer ainsi. Mais sache que l’appellation Ahlyo est née d’une confusion. Ah signifie brume et Lyo le peuple. Cela correspondait à l’image que les gens avaient de nous, ils en sont donc venus à nous appeler ainsi. Mais à l’origine leur nom est Aoh-Loh. Ao signifie serment et Loh gardien ou protecteur.
Quel serment ?
Le serment de ne pas refaire l’erreur qui a été commise il y a très longtemps.
Ma mère m’a toujours dit que ce serment était plus important que sa propre vie. Ou sa famille.
Et c’était quoi l’erreur ?
Quelque chose de terrible qui a failli entraîner l’extinction des hommes et des animaux »
p. 63-64

Citation choisie par Shisui
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"Pleure autant que tu en as besoin. Plus tes larmes couleront et plus la tristesse s'écoulera de ton cœur. Et un jour, tu finiras par oublier ce qui te fait tant de peine."
Commenter  J’apprécie          40
Elin est une petite fille qui vit dans un village avec des animaux qui protègent le village.Mais un jour quelque chose se passe et c’est est le drame.En sachant que Elin n’a plus de père et bientôt plus de mère…

Dans ce livre j’ai bien aimé l’aventure et l’histoire est un peu triste au début mais il était vraiment trop cool et intéressant.Je recommande au personne que aiment l’aventure.L’histoire est fantastique.
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L'habitude de les voir te faire perdre le sens des réalités. Même pour les guerriers ou nous autres,les soigneurs spécialisés en Tôda...ce "sifflet silencieux" est la seule chose qui peut les tétaniser.Ces bêtes ne seront jamais apprivoisées et en aucun cas,cela doit arriver.

Anaïs.C des Pêcheurs De Livres
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