Boris Vian
Claude Rameil (Éditeur scientifique)/5 22 notes
Claude Rameil (Éditeur scientifique)/5 22 notes
Résumé :
Romancier, poète, parolier, dramaturge, Boris Vian fut aussi chroniqueur de presse. C'est cette dernière facette, sans doute la plus méconnue, d'un écrivain prodigieusement fécond et divers, que l'on découvrira dans ce recueil.
Automobile, beaux - arts, littérature, variétés, mais aussi économie, sciences ou loisirs : les passions d'un homme curieux de tout sont représentées dans ces pages. Comme toujours, Vian joue ici avec brio des diverses dimensions du ri... >Voir plus
Automobile, beaux - arts, littérature, variétés, mais aussi économie, sciences ou loisirs : les passions d'un homme curieux de tout sont représentées dans ces pages. Comme toujours, Vian joue ici avec brio des diverses dimensions du ri... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Offert par des amis pour me plonger dans cette époque ou Vian, Brassens , Brel commencaient à faire référence....un recueil de textes courts, d'histoires, d'articles de qualités inégales. J'ai particulierement aimé les textes du début sur les voitures, la circulation.....quelle vision décalée....A lire par curiosité.
Citations et extraits (8)
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Malheureusement, comme il faut le soleil pour l'ombre, il faut le travail pour les vacances ; j'entends le travail régulier. C'est que nous sommes idiots, voilà. C'est m'histoire du fou qui tape à coups de marteau sur son propre crâne parce que ça fait du bien quand il s'arrête. Cette pratique est assez courante. ON fait, ainsi, la guerre pour la paix qui la suivra. On oublie les lésions.
Quand on l'écoute, d'ailleurs on ne saurait se satisfaire d'une seule [chanson] ; on a l'impression qu'en bas de chacune, entre parenthèses et en italique, se trouve la mention lourde de promesses : "A suivre."
Alors on suit. Et, comme c'est Charles [Trenet], on n'est jamais déçu.
Et on revient content.
Alors on suit. Et, comme c'est Charles [Trenet], on n'est jamais déçu.
Et on revient content.
Il faut donc convenir que la courtoisie, à l'inverse du parfum que l'on peut détacher de la fleur et fourrer dans des flacons de formes insensées que des parfumeurs déments vous vendre à des prix astronautiques, ne saurait être séparée de l'action.
Bref, le samedi matin, nous filons sur l'autoroute de l'Ouest, encombrée d'agités qui vont passer le week-end je ne sais où. (On se demande o ces gens-là prennent l'argent ! Comment ils peuvent se reposer tout le temps, ça me suffoque.)
Que retenir de cette analyse idiote ? Que la courtoisie, en réalité, n'est pas une vertu. En effet, elle ne s'attache qu'à cette épluchure, le langage.
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Lecture par Judith ChemlaDans le cadre du cycle de lectures « À voix haute », la comédienne Judith Chemla lit des textes de jeunesse de Boris Vian, dont la nouvelle Les Fourmis qui met en scène de manière grinçante le débarquement en Normandie. C'est l'occasion aussi de découvrir un Boris Vian moins connu à travers ses « ballades » et les lettres à sa mère.Lecture enregistrée le 4 mars 2024 à la BnF I Richelieu.
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