J'ai refermé ce dernier tome avec beaucoup de tristesse.
Quel dommage que ces deux braves hommes qui s'estimaient n'aient pas pu se retrouver avant que l'un ne meurt, quelques années plus tard.
Ces deux hommes ont tout mon respect, et plonger dans leur correspondance aura été extrêmement enrichissant.
On en apprend beaucoup sur l'époque, sur les tourments qui traversaient ces âmes sensibles (au sens propre), et ces précurseurs d'un monde qui malheureusement dérive loin de leurs idéaux.
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J'ai un grand respect pour ces deux grands hommes.
Leur vision de l'histoire est enrichissante et nous éclaire sur des postures actuelles et leurs risques dramatiques.
Par l'intelligence du verbe ils ont été attentifs à l'autre. Leur amitié est resté debout même quand dehors la tempête criait sur les hommes.
Stefan Zweig, auteur à succès, se voulait citoyen d'un monde qu'unifiait une communauté de culture et de civilisation. Il n'a pas survécu à l'effondrement de ce «monde d'hier» qu'incarnait la Vienne impériale de sa jeunesse.
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