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EAN : 9782265144057
550 pages
Fleuve Editions (20/02/2020)
3.48/5   176 notes
Résumé :
Le journaliste d’investigation Ross Hunter a failli ne pas répondre à l’appel qui allait changer sa vie, et l’avenir de l’humanité pour toujours. Au bout du fil, un certain Harry F. Cook lui annonce qu’il a découvert la preuve irréfutable de l’existence de Dieu. Cependant, pour la révéler publiquement, il a besoin de la caution de Ross afin de ne pas être décrédibilisé. Malgré ses doutes le journaliste accepte la mission, mais découvre peu après le corps sans vie du... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
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sur 176 notes
Sorti au mois de février, ce roman de Peter James m'avait fait de l'oeil. Je l'avais déjà pris en main, soupesé, lu la quatrième de couverture et feuilleter quelques pages pour me faire une idée. Il faut dire que la première de couverture est plutôt jolie avec le dôme de la Basilique Saint-Pierre de Rome, les nuages menaçants et des nuances de sépia et de rouge. Une couverture qui m'a beaucoup fait penser à la version poche du roman de Luis Miguel Rocha, « La balle sainte ». On ajoute à ça une quatrième de couverture plutôt prometteuse. Un journaliste mettant la main sur un manuscrit prouvant l'existence de Dieu. Une quête périlleuse tenant en 500 et quelques pages.

Donc si on fait le point rapidement, nous avons une première de couverture parfaitement exécutée, une quatrième très prometteuse qui ne se mouille pas et si on sait qu'il faut regarder plus loin que la couverture, j'ai dans un premier temps, boudé ce roman. Je lui ai trouvé un côté très propre et surtout cet aspect de déjà-vu, car des romans ésotériques prouvant l'existence de Dieu, il y en a une pléthore. Vous en trouverez déjà un bon nombre ici.

Alors pourquoi je vous en parle ? Tout simplement, parce que j'ai aimé et que le (dé)confinement m'a permis de pencher dessus avec beaucoup de plaisir. Je ne connaissais pas Peter James, hormis vous dire qu'il est un auteur à succès dans les librairies et dans les bibliothèques. L'auteur britannique a une trentaine d'ouvrages à son actif. Il semble jongler entre le roman policier, le fantastique, l'horrifique et même l'écriture de scénario. Autre fait intéressant, Roy Grace, son personnage récurrent est le héros d'une quinzaine d'enquêtes. Dernière anecdote à son sujet, dans tous les titres originaux, on retrouve le mot « dead ». Voilà un court profil de cet écrivain.

Dès les premières pages du livre, nous sommes happés par le style, par la fluidité, par l'ambiance et après tout, c'est qu'on demande. On rentre rapidement dans l'histoire, on fait connaissance avec le principal protagoniste et seulement après, que l'on décortique l'intrigue. le schéma est clair, net et précis. On sait où on va aller. de plus, lorsqu'on lit les remerciements, l'auteur dit qu'à la fin des années 80, il avait reçu l'appel d'un homme qui prétendait détenir la preuve de l'existence de Dieu … On comprend que son héros, le journaliste Ros Hunter est une forme d'avatar de l'auteur et si on ajoute que celui-ci a fait de nombreuses recherches et rencontré des ecclésiastiques, des théologiens et des scientifiques pour étoffer son récit.

Lorsqu'on aborde la religion, on s'attaque toujours à quelque chose de délicat et dans un polar ésotérique, trouver le secret qui peut à tout moment bouleverser l'humanité, tout en lui donnant de la crédibilité devient un exercice périlleux pour les écrivains de ce genre. « La preuve est l'ennemie de la foi », c'est l'une des petites phrases qui revient dans le roman. Que faudrait-il aux gens pour affirmer l'existence de Dieu ou de disconvenir celle-ci ? Bien au-delà de l'intrigue, le roman soulève la question des conséquences si on venait à prouver l'existence ou la non-existence d'un être divin. Les conséquences seraient à la fois spirituelles, philosophiques, sociales, politiques, économiques et … Ce sont des arguments que l'on retrouve dans un polar ésotérique sur deux, mais il y a à la fois dans celui-ci un regard neuf et naïf, parce que c'est la première fois que l'auteur britannique s'attaque à ce genre. Revenons à nos moutons. Ceci est un polar ésotérique voire même un roman d'aventures et non, un ouvrage scientifique mais il peut donner du grain à moudre.

Dès le début, on fait preuve d'empathie pour le héros, Ross Hunter et c'est d'ailleurs l'un des points forts. On le suit dès ses premières piges pour le journal « L'Argus » jusqu'à son ascension au « Sunday Times ». Les premiers chapitres nous font découvrir Ross Hunter, sa personnalité, son univers, etc. L'une des grandes forces de ce roman, c'est l'empathie que l'on développe autour de Ross, de son épouse Imogen et même de leur chien, Monty. Pour ce qui est des méchants de l'histoire, on aime détester le pasteur évangéliste Wesley Wenceslas et le patron de la multinationale pharmaceutique, le professeur Ainsley Bloor. Les deux sont sont des salopards qui n'hésiteront pas à arrêter Rosse Hunter dans sa quête. Si je reviens quelques secondes sur le pasteur, je trouve que Peter James égratigne bien les évangélistes et le personnage de Wesley Wenceslas par son développement me fait penser à l'acteur et chanteur américain Wayne Newton dans le James Bond, « Permis de tuer » où il jouait le rôle du professeur Joe, le gourou d'une secte travaillant pour un trafiquant de drogue. Autour des protagonistes et des antagonistes, gravitent une multitude d'autres personnages intéressants et bien exploités qui serviront à ralentir ou à accélérer Ross Hunter.

Après avoir reçu un appel de la part d'un certain professeur Cook lui affirmant qu'il détient la preuve de l'existence de Dieu et sentant l'article sensationnel, Ross Hunter met le doigt dans un engrenage diabolique. En suivant des coordonnées géographiques, il va se rendre à Glastonbury et mettre la main sur le Graal, puis prendre la direction de la Vallée des Rois pour mettre la main sur un artéfact et crocheter par la Californie pour rencontrer quelqu'un… Enfin, vous verrez qu'il sera question de Parousie ou plus communément appelé la Seconde Venue du Christ. Je ne vais pas développer ce point mais je trouvais que cela faisait écho avec l'excellente série « Messiah » qui a été diffusée en début d'année sur la plateforme de streaming Netflix.

Comme je l'ai laissé entendre plus haut, ceci est un mélange entre le polar ésotérique et le roman d'aventures, taillé comme une saison de « 24 Heures chrono ». Si je prends à titre d'exemple, la quête du Graal par Ross Hunter, on va se contenter de quelques vagues explications, mais sans un réel développement car on suppose que le lecteur sait dire dans les grandes lignes ce que représente la coupe du Christ. L'objet a servi lors de la Cène, a recueilli le sang du Nazaréen lors de la crucifixion et a été amené à Glastonbury par Joseph d'Arimathie, point à la ligne. On ne développe pas, on ne part pas sur le mythe arthurien, etc. Idem même chose lorsque Ross Hunter va explorer la Vallée des Rois. On va à l'essentiel, basta !

Le manque d'information historique et/ou ésotérique va être compensé par la nervosité et les péripéties qui s'enchaînent sur un rythme effréné. D'ailleurs, je ne suis sûr que Dan Brown ajoute n'ajoute pas autant d'information. On ne va pas tourner autour du pot, c'est efficace et ça ne fait pas un pli car le roman vide la tête.

Au bout du compte, que vais-je retenir de ce roman ? C'est une agréable découverte avec Peter James. Je pense que je vais lire d'autres romans. Avec ce dernier opus, j'ai aimé la réflexion que l'on peut se faire sur les conséquences si on venait à faire tomber les religions. Bien entendu, il s'agit d'un aspect pointilleux étant donné le contenu traité de ce blog. Je vais surtout retenir l'agréable moment de lecture. le dynamisme de l'auteur, l'absence de temps mort. La preuve ultime sera très certainement le compagnon idéal de vos vacances.
Lien : https://litteraturemaconniqu..
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Eh ben, quelle déception !
Je pensais me lancer dans une enquête palpitante et tourbillonnante à la Dan Brown, dans une intrigue fouillée, construite, pleine de manigances, de machinations et de révélations menant aux origines mêmes de la chrétienté, dans une quête à la fois rationnelle et teintée de mysticisme.
Mais non. Rien de tout ça.

Si le résumé ne semblait pas inintéressant : Un journaliste est contacté par un professeur qui affirme être capable de trouver une preuve irréfutable, la preuve ultime, de l'existence de Dieu, le résultat est mauvais, je ne peux pas le dire autrement.
Vocabulaire assez pauvre, répétitions régulières de mots ou expressions, énormément de facilités et d'incohérences et une enquête intrigante au départ qui s'essouffle rapidement pour aboutir à une fin convenue, pour ne pas dire totalement dénuée d'intérêt.
Un exemple qui m'a marqué et qui témoigne du peu de sérieux de l'auteur : affirmer que Hollywood veut littéralement dire « Bois Sacré » me laisse presque croire que personne n'a relu et cherché à corriger ce livre avant sa publication.
Hollywood se traduit par « bois ou forêt de houx » ou « branche de houx » et n'a aucune connotation religieuse (que quelqu'un me corrige si je me trompe bien sûr). Comment un écrivain, a fortiori un anglophone, peut-il confondre holly (le houx) avec holy (sacré) ?

Mais même en mettant cette grossière erreur de côté, on dirait que l'auteur a fait le service minimum en terme de recherches et de construction de son intrigue et de ses personnages.

Seul point positif, on ne s'ennuie pas. C'est suffisamment rythmé pour que j'aie eu envie d'aller jusqu'au bout. Mais les dialogues et les relations entre les personnages sonnent « faux » en permanence tandis que la plupart des situations ne sont absolument pas crédibles. Aucune émotion, aucun attachement aux personnages et aucune sensation de vivre avec eux cette aventure qui, malgré un début intéressant, n'a finalement pas ou peu de sens.

En résumé, une bonne idée à la base complètement gâchée par un développement général plus qu'approximatif.

Premier et dernier livre de cet auteur en ce qui me concerne.
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Regardez la couverture et dites-moi à quel livre célèbre cela vous fait penser. Le Da Vinci Code, évidemment. Bien vu, on est dans le même créneau ou presque. Un thriller mystique entre Dan Brown et Indiana Jones, bien fichu, une lecture facile et agréable, un suspense bien mené (sans frénésie toutefois). Voyons donc de plus près de quoi il retourne. 
Janvier 2005. Un prologue très "polar noir". Dans un bar miteux de Los Angeles, on fait la connaissance de Mike Delaney, un magicien ex-vedette télé, assez minable, disons-le.
Juillet 2009. C'est au tour de Ross Hunter, jeune journaliste en plein conflit afghan, il est profondément marqué par ce qu'il vit.
Février 2018. le décor est planté, les principaux intervenants présentés, entrons dans le vif du sujet. Dieu existe-t-il ? Quelle preuve faudrait-il pour que son existence éclate aux yeux de tous, même à ceux des athées les plus bornés ? Et quelles seraient les conséquences d'une preuve pareille ? Sur les religions, sur le monde, sur l'humanité toute entière. le chaos ? Un monde religieux ou la fin des religions ? le livre mêle intelligemment une réflexion de cet ordre et les aventures de Ross Hunter à la recherche de preuves de plus en plus importantes donc de plus en plus convoitées ! Ross pris entre sa femme enceinte, le Vatican, des industriels athées et un prédicateur très médiatique, Ross qui doute, Ross qui trouve ce que tout le monde cherche, qui doute toujours puis qui fait une rencontre...
Le retour du Christ ? L'existence du Mal incarné ? Ne vous attendez pas à des avalanches de démons cornus (le Mal est ici bien concret, cela va en réjouir certains), à des troupes de satanistes ou des hordes d'anges, on est dans un thriller bien contemporain, pas dans le fantastique... Avec l'ADN, le Web, Big Brother, des fanatiques de tout bord et des sages de toutes confessions,  des athées sans scrupules et un prêcheur du même acabit. Bien sûr, il y a des meurtres, des accidents qui vous réjouiront  (si si 😀), des moines et des ermites (Indiana Jones, je vous dis), bref.... le monde d'aujourd'hui...😉
Aurez-vous LA réponse ? Tout ce que je peux vous dire c'est que Peter James referme les portes une à une avec un certain plaisir et qu'il conclut astucieusement.  J'ai passé un très bon moment et je me suis même demandé comment je réagirais à ce qui se passe vers le chapitre 141... voilà le livre de votre été sur la plage ou de cet hiver au coin  du feu...
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L'une des raisons de revenir aux thrillers ésotériques fut la curiosité. En fait, je les avais laissés tomber parce qu'après un scénario palpitant, la fin accouchait d'une souris. J'ai adoré le Da Vinci Code car justement il y en avait une ! On y adhérait ou non mais tout restait plausible... Or les suivants se terminaient de façon décevante. En ce qui concerne La Preuve Ultime, ce fut le résumé qui m'a attiré. Un appel à un journaliste d'investigation, Ross Hunter. Au bout du fil, un certain Harry F. Cook lui annonce qu'il a découvert la preuve irréfutable de l'existence de Dieu. Cependant, pour la révéler publiquement, il a besoin de la caution de ce journaliste reconnu pour ses qualités d'enquêteur sans concession, ceci afin de ne pas être décrédibilisé. Peu intéressé, il va tout de même finir par accepte un rendez-vous afin de ne pas passer, peut-être, à côté du scoop du siècle... Journaliste oblige... Et là s'enclenche une quête obsessionnelle et dangereuse…On rentre immédiatement dans le vif du sujet , ce qui n'est pas pour me déplaire, les mises en situations, descriptions, sur X pages m'ennuient... Je les aime quand elles émaillent le récit au fur et à mesure. La narration est fluide, une mise en exergue des travers de nos sociétés fort bien pointés, les rebondissements, en veux-tu en voilà, sont au rendez-vous, le suspense tient son rôle et nous fait tourner les pages... On aime et déteste les protagonistes... Comme Ross on a envie de savoir quelle est cette Preuve Ultime... Et là fin n'accouche pas vraiment d'une souris puisque ses racines sont dans l'Ancien et le Nouveau testament et l'habileté de l'auteur à contourner ce lieu commun... C'est le journaliste qui fera de la différence. Bref, un moment de lecture très sympathique, amateurs ou non du genre… Moi j'ai bien aimé.
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J'avais envie pendant ce confinement de sortir un peu du réel et de me tourner vers un thriller ésotérique. En ce qui concerne Peter James, ça a toujours été les montagnes russes avec cet auteur. J'avais beaucoup aimé son premier roman, comme une tombe, depuis ce fut plus compliqué entre lui et moi.
Je ne savais pas qu'il faisait du thriller ésotérique et je dois dire que je n'ai pas été très convaincu.

Malheureusement ça ne l'a pas trop fait. On ne peut pas dire que le livre n'est pas rythmé puisqu'il se passe énormément de choses, ce qui est plutôt un bon point, néanmoins l'histoire en elle même paraît vraiment rocambolesque et peu crédible. Oui le thriller ésotérique c'est toujours peu crédible mais il y a cependant des degrés et ici on touche à l'invraisemblance.

Je n'ai pas pour autant passé un mauvais moment, c'était divertissant mais ça s'essouffle au fur à mesure et je n'en retiendrai pas grand chose. Il n'est pas chose aisé de parlé de la preuve ultime de l'existence de Dieu, d'un dieu? No lo se.
Je dois néanmoins avouer que j'ai apprécié le côté envers du décor de tout ce qui touche aux religions, fanatisme, argent et foi véritable. Tout est assez bien retranscrit.

Ce n'était malheureusement pas assez pour que je puisse totalement aimé cette lecture. Il m'a manqué quelque chose. Pour autant j'ai toujours envie de lire un thriller ésotérique, je vais plutôt me pencher sur ceux de Henri Lovenbruck que j'apprécie énormément, j'ai notamment, le mystère Fulcanni qui m'attend sagement.
Ce n'est bien évidemment que mon avis et je suis certaine qu'il ravira les fans de l'auteur ou tout lecteur avide de thrillers ésotériques.
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Citations et extraits (77) Voir plus Ajouter une citation
Ross se rappela alors un moyen mnémotechnique appris à l’école pour se souvenir des couleurs de l’arc-en-ciel dans l’ordre correct. Roger n’Obtient Jamais Vraiment Beaucoup d’Insectes Vivants.
Les couleurs étaient dans l’ordre inverse.
Violet, indigo, bleu, vert, jaune, orange, rouge.
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Dans ses sermons, il aimait citer le DalaïLama : « Si vous avez l’impression que vous êtes trop petit pour changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique. » Sa piqûre peut provoquer une simple démangeaison – ou transmettre la malaria, la dengue ou le zika. Et donc tuer. C’est pourquoi il ne faut pas prendre le moindre risque : quand on repère un moustique, on l’écrase illico.
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Quand ils s’étaient mariés, ils avaient décidé de ne pas avoir d’enfants, du moins dans l’immédiat. La plupart de leurs amis étaient comme eux, aucun n’avait d’enfants. Après son retour d’Afghanistan, le désir de Ross de s’abstenir s’était renforcé. L’état du monde l’inquiétait et il ne voyait pas quel avenir il aurait à offrir à sa descendance. D’autant plus qu’il n’était pas sûr de vouloir passer le restant de sa vie avec Imogen. Il ne pouvait ni lui pardonner son infidélité ni lui faire confiance. Devenir père dans ces conditions semblait périlleux.
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Certains utiliseront leurs croyances religieuses pour légitimer la violence. Ceux-là sont non seulement prêts à mourir pour elles, mais aussi à tuer pour les défendre.
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Sa compagnie pharmaceutique et les autres, qu’elles soient petites ou grandes, dépendaient d’une seule chose : que personne ne trouve le remède miracle à toutes les maladies.
Elles ne faisaient de profits qu'en maintenant en vie des personnes souffrantes.
Le plus longtemps possible.
Sans jamais les guérir.
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LE CERCLE DE PIERRES - M. W. Craven #LeCercledepierres #prixgolddagger #romanpolicier Une enquête de Washington Poe PRIX GOLD DAGGER DU MEILLEUR ROMAN POLICIER Sebastian Danchin (traduit par) Collection : Suspense Date de parution : 22/09/2022
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Le livre : https://www.lisez.com/livre-grand-format/le-cercle-de-pierres-prix-gold-dagger-du-meilleur-roman-policier/9782809844603 Faceboook de l'Archipel : https://www.facebook.com/editionsdelarchipel Instagram de l'Archipel : https://www.instagram.com/editions_a
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