AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782809845228
300 pages
L'Archipel (05/10/2023)
3.23/5   13 notes
Résumé :
Catherine Clément nous fait redécouvrir la France prérévolutionnaire et le chaos politique qui a suivi à travers une figure féminine forte et émouvante.
Un plan audacieux pour libérer son mari

Grande bringue bien bâtie, Léonore Doazan, fille d'un riche fermier général à Paris, a quinze ans quand son père lui annonce qu'il lui a choisi un époux. Elle refuse tout net. Son promis, René de Semblançay, revient d'Amérique, où il a combattu au côté de... >Voir plus
Que lire après Léonore ou l'amour conjugalVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
3,23

sur 13 notes
5
2 avis
4
3 avis
3
4 avis
2
1 avis
1
1 avis
Musique et Révolution,

Le thème de ce roman historique était bien sûr fait pour moi !

Raconter l'histoire de Léonore Doazan, jeune fille d'un riche fermier général à Paris, qui débute en 1785 lorsque son père veut assurer son avenir, donc la marier !

Une fresque historique assez bien restituée en termes d'évènements: : malgré de trop nombreuses erreurs (Rouget de Lisle compose son Chant à l'armée du Rhin à Marseille ! Au lendemain de Valmy, l'Assemblée décida qu'une nouvelle assemblée devrait être élue, se nomma Convention !) et des approximations et les répétions des légendes, comme celle du massacre de Lamballe ! ou des anachronismes (une fille d'un fermier général amie avec un artisan du Faubourg Saint-Antoine !) ou sur l'exécution de Danton, comme corrompu lors de la "Grande Terreur" (non, et non).

Comment peut-on accepter de publier un tel ouvrage ?!

Ces erreurs démontrent que l'auteur n'a pas compris la Révolution française et cela nuit à la compréhension des évènements et de l'histoire…
Même s'il s'agit d'un roman, la crédibilité des propos et le respect de l'Histoire doivent être assurés et respectés.


Mais je n'ai pas du tout, mais alors pas du tout aimé le style de l'auteur !
Un style naïf d'une enfant alors que normalement, elle écrit durant la Monarchie de Juillet, en 1830, donc elle a 45 ans…

Bien que l'histoire soit narrée à la première personne, je ne me suis pas impliquée, ni proche d'Eléonore. Comme si elle racontait une histoire ou lisait à haute voix un livre…

On n'arrive pas à se situer, changement de temps de verbes, changement de la personne (je, nous…) : elle écrit un journal, raconte sa vie; donne une leçon d'histoire ?...

Elle semble détachée de sa vie, comme si ce n'était pas la sienne : elle pose sur le même plein ses rares sentiments et la vie extérieure !

Comme l'a très justement décrit une autre chroniqueuse, elle nous interpelle sur certains évènements "à la manière de Stéphane Bern", ce qui rend l'ensemble saugrenu et ne facilite donc pas du tout l'immersion dans le livre.

Le seul intérêt de ce roman fut la découverte de Jean-Nicolas Bouilly, écrivain, librettiste et dramaturge dont l'une de ses pièces, Léonore, ou l'Amour conjugal, est à l'origine du livret de Fidelio de Beethoven.

Au final, un roman très décevant malgré une idée de départ assez classique qui m'a convaincue d'arrêter de lire des romans sur la Révolution française !
Commenter  J’apprécie          218
Construire un récit à partir de l'unique opéra de Beethoven est une riche idée pleine de promesses d'autant plus quand l'auteur de ce livret qui inspira le maître, Jean-Nicolas Bouilly, fut aussi accusateur public pendant la Révolution française ; quand on apprend de plus que le premier compositeur à avoir mis en musique cette ode à l'amour conjugal, Pierre Gaveaux, fut celui-là même qui composat l'hymne anti-jacobin le réveil du peuple, le paysage historique est planté et augure une histoire romanesque, quasi un roman d'aventures, autour et sur une héroïne courageuse capable d'actes de bravoure pour sauver la tête de son époux.

Cette promesse d'aventures romantiques sur fond de Révolution française fut pour ma part une lecture décevante voire poussive. La faute à mon goût à une héroïne paradoxalement en arrière-plan, bien que le récit soit écrit à la première personne, et à une construction très narrative et démonstrative. La tournure littéraire avec laquelle les événements sont amenés et insérés dans la propre destinée de Léonore m'ont déplue quand celle-ci nous interpelle, à la manière d'un Stéphane Bern ose-je écrire : "Savez-vous que...?, "Pouvez-vous croire que...", "Vous imaginez le désordre?" .

Alors certes, on apprend des faits ou on rafraîchit ses connaisances sur cette époque tourmentée (reportons-nous plutôt sur les nombreux ouvrages d'historiens pour ce faire ) mais l'essence même de cette histoire d'amour et de courage entre Léonore et René de Semblançay manque cruellement.



Commenter  J’apprécie          231
Léonore ou l'amour conjugal est une nouveauté automnale du catalogue des Éditions de L'Archipel que j'étais bien curieuse de découvrir au vu de son résumé. Mais malheureusement, ça ne l'a pas vraiment fait avec moi.

Ce n'est ni plus ni moins qu'un résumé de l'Avant-Pendant-Après Révolution Française que l'on découvre à travers le personnage de Léonore quand j'aurais voulu plutôt l'inverse : cette partie de l'Histoire en trame de fond et la vie de Léonore sur le devant de la scène. Au final, on sait très peu de choses de la vie de Léonore. Certes, les hommes liés à elle ont eu à faire de près ou de loin à ces événements cruciaux mais je voulais avoir son ressenti, connaître justement sa vie au quotidien, les difficultés rencontrées... Léonore nous raconte juste les événements tels qui surviennent, nous dépeignant les événements clés, les dates importantes, les personnages moteur comme le roi Louis XVI, Marie-Antoinette, Mirabeau, Robespierre..., et l'autrice tisse des liens avec ses personnages pour qu'ils s'inscrivent dans cette partie. Si je voulais vraiment découvrir cette période de notre Histoire, j'aurais pu prendre directement un livre historique sur le sujet (livre très détaillé et documenté d'ailleurs que j'ai en ma possession). Ce n'était donc pas ce que je recherchais. Néanmoins, j'ai tout de même apprécié les 100 dernières pages où j'étais plus prise dans l'intrigue, dans les événements car Léonore était plus impliquée ! C'est là d'ailleurs où le titre prend tout son sens au vu de ce que le personnage féminin a dû faire pour retrouver et faire sortir son mari de prison, mari qu'elle aimait _ d'où l'amour conjugal mais d'un autre côté, Léonore trouva aussi l'amour passionnel, avec un autre homme plus jeune. Et sans compter que Léonore ou l'amour conjugal est en réalité un opéra comique dont on doit la musique à Pierre Gaveaux en 1798, qui inspirera également Fidelio de Beethoven ! J'ai dû aller moi-même chercher l'info par curiosité et je trouve ça plutôt sympathique de s'être inspirée de ce morceau pour écrire un roman, une fiction tout autour. C'est un bon point. Autre aspect que j'ai apprécié, l'évolution de la relation de Léonore avec son époux René, graduelle mais encore une fois, trop au second plan.

Je n'ai pas spécialement adhéré au style d'écriture et cela a provoqué des phases d'ennui, où je commençais à décrocher. C'est écrit à la première personne et c'est ce que je préfère généralement dans les romans, mais comme Léonore est tellement secondaire, je ne me suis pas attachée à elle.

En bref, ce n'est aucunement mauvais mais je suis restée hermétique à cette lecture, ayant bien failli l'abandonner si elle n'avait pas été aussi courte. Ce roman n'était tout simplement pas fait pour moi, n'est pas ce à quoi je m'attendais et je n'en garderais pas de souvenirs impérissables. Mais nul doute qu'il trouvera son public !

Je remercie tout de même Mylène et les éditions de L'Archipel pour leur confiance et l'envoi de ce roman.
Commenter  J’apprécie          80
Ce roman m'a tout de suite intéressée lorsque je l'ai vu la première fois. Cette couverture présageait un roman historique, et le résumé me l'a confirmé. C'est un genre que j'aime beaucoup. Grâce à des personnages et à leurs vies fictives, des moments historiques sont retracés permettant ainsi de s'enrichir sur L Histoire avec un grand H. 

Et ici, comme le titre l'indique, j'ai suivi Léonore pendant une période de notre Histoire très mouvementée, la révolution française. Léonore est une jeune fille de quinze ans lorsque son père lui annonce qu'elle va se marier. Elle refuse catégoriquement mais lorsqu'elle rencontrera son promis, le comte René de Semblançay, elle changera d'opinion. C'est un jeune homme charmant, et surtout il ne force pas Léonore, et la laisse libre de ses choix. La révolution va bouleverser leurs vies. René de Semblançay aimerait une monarchie à l'anglaise, avec une assemblée constitutionnelle. Mais rien ne va se passer de cette façon, comme chacun le sait. Il va vite changer d'avis lorsque le roi fuit Paris. C'est ce qui va être le déclencheur de la descente aux enfers de ce dernier. On suit donc le couple pendant cette période trouble. Ils arriveront à passer entre les mailles du filet grâce à leurs relations, jusqu'au jour où René est emprisonné. Avec l'aide de leur ami Nicolas et d'autres personnes, Léonore va se mettre en tête de libérer son mari, elle va user de subterfuges pour arriver à l'approcher. Y arrivera-t-elle, ça je vous laisserais le découvrir.

J'ai aimé suivre Léonore, même si à mon avis, le personnage principal de ce roman est la révolution en elle-même. le côté historique est très présent. En même temps, à cette époque, la révolution était omniprésente dans l'esprit de chacun, que ce soient ceux qui se battaient pour leur délivrance, ou ceux qui subissaient. Léonore et René passent au second plan. L'accent n'est pas porté sur leur couple ou leur histoire d'amour, elle est abordée, mais c'est surtout leur engagement politique qui est le plus présent. J'ai tout de même trouvé cela très intéressant. Je connaissais cette période pour l'avoir étudiée pendant mes années scolaires, mais pas aussi précisément qu'avec ce livre. J'ai par exemple appris que si le roi ne s'était pas enfui vers la Prusse, il ne serait sûrement pas mort, surtout s'il avait accepté un régime comme en Angleterre. Et cela sûrement à cause d'une femme, la reine Marie-Antoinette, qui voulait rejoindre sa famille. Mais bon, comme on dit, avec des Si, on referait le monde.

En tout cas, une chose est sûre, on sent l'amour de l'autrice pour L Histoire. Elle raconte précisément, avec plein de détails. Elle retranscrit très bien la vie de ces moments là au travers de Léonore et René. J'ai aimé suivre ces deux personnages, les voir évoluer, prendre des positions, j'ai bien eu souvent peur pour eux, à juste raison d'ailleurs. Je me suis attachée tout de même à eux, et j'avais envie qu'ils s'en sortent. Cet attachement est renforcé par le choix narratif de l'autrice à la première personne du singulier. Ce "je" m'a mise dans la peau de Léonore, j'ai pu ressentir ses sentiments et ses tourments, et vivre à travers elle tous ces événements.

J'ai lu des avis mitigés sur ce roman, c'est vrai que si vous le lisez en pensant lire une romance entre deux personnes, vous serez déçus. Car ce n'est pas le sujet le plus important. Même si le couple évolue également. le livre court jusqu'en 1805, dans les débuts de l'Empire. Et, en lisant le dernier chapitre, je me suis demandée si une suite serait envisagée par l'autrice. J'ai trouvé que le final était un peu abrupt. Et que cela allait beaucoup trop vite par rapport au temps pris pour développer tout le reste. C'est mon seul point négatif sur cette lecture.

Je découvre Catherine Clément avec ce livre, qui a pourtant écrit une soixantaine d'ouvrages. J'ai aimé son style, sa façon de raconter L Histoire, de décrire les scènes sans trop alourdir le rythme. La lecture s'est faite facilement, c'est bien moins rébarbatif qu'un livre d'histoire des écoles. Et c'est ce qui m'intéresse dans ce genre de romans, apprendre tout en me divertissant. J'ai aimé découvrir la vie de Léonore, j'ai appris de nouvelles choses sur cette période de notre Histoire dont je ne me souvenais plus, et c'est parfois glaçant comme certains faits pourraient à nouveau être d'actualité, plus de deux cents ans plus tard. 

Si vous aimez L Histoire, tout en lisant la vie de personnages, suivre leurs émotions, je vous recommande donc ce roman. Je lirai à nouveau cette autrice, j'ai beaucoup aimé son style et sa façon de m'emmener dans son livre. J'ai aimé certains détails de la fin, qui rendent encore plus réels les personnages. J'aime ces romans qui me poussent à aller plus loin, à chercher des informations sur le net. J'ai ainsi écouté "Fidelio" de Ludwig van Beethoven d'une manière différente.
Lien : http://marienel-lit.over-blo..
Commenter  J’apprécie          10
Je remercie les @editionsdelarchipel et @babelio_ pour l'envoi de cette masse critique qui m'a définitivement sortie de ma zone de confort!

Il suffit de lire la bibliographie de Catherine Clément pour le comprendre: on est sur de l'historique, du pur, du dense: la révolution française n'est pas là pour faire de la figuration, c'est elle le personnage principal. Tenez-vous le pour dit: la petite histoire de Léonore et de René s'efface bien souvent au profit de la grande.

Après tout, je lis parfois des livres d'histoire et je ne suis pas la dernière à aller fouiner sur Wikipedia pour m'instruire. Ce fut donc une belle révision pour moi, peu experte en la matière : Directoire, Sans-Culottes, Jacobins ou bataille d'Austerlitz n'ont désormais plus de secrets pour moi.

Un roman qui ravira certainement les amateurices d'histoire pure et dure!
Commenter  J’apprécie          70

Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Les soldats ne racontent pas volontiers leurs batailles quand ils sont de retour. René ne parla ni de gémissements ni de sang versé ni de vomissements ni de "cuites" prolongées. Mais il nous régala avec le Chant de l'armée du Rhin, composé par Rouget de Lisle à Marseille…
Commenter  J’apprécie          100
Le Grand Homme (Mirabeau) était un corrompu. "Il n'est pas le seul, grondait mon père. Danton en est un autre !" Est-ce la raison pour laquelle Danton fut guillotiné pendant la Grande Terreur ? Allez savoir.
Commenter  J’apprécie          60
Elle (Germaine de Staël) n'est pas belle ! répondit Nicolas, agacé. Elle est grosse, son nez est fort, sa bouche épaisse, elle a une vilaine peau et c'est la femmes la plus adorables de la terre, que veux-u que je te dise, Léonore !
Commenter  J’apprécie          30
Je ne répondis rien, je me mis à pleurer. Aimer La Nouvelle Héloïse de Rousseau est une chose, mais la vivre me plongea dans un état de faiblesse et de bonheur, puisque j'étais aimée par deux nobles cœurs qui s'étaient accordés pour m'aider à revivre. Infidèle, non. J'aimais profondément René, il m'avait donné du plaisir, nous avions une fille et je lui devais tout. Mais ce sentiment n'avait rien à voir avec la passion dévorante éclose sous un auvent le long de l'église transformé en prison. J'aimais deux fois, j'étais doublement heureuse et personne ne fut jamais plus innocente que moi. Encore aujourd'hui, je sais que j'eus raison.
Commenter  J’apprécie          20
La République française célébrera tous les ans les fêtes du 14 juillet 1789,, du 10 août 1792, du 21 janvier 1793, du 31 mai 1793. Elle célébrera, aux jours des décadis, les fêtes dont l'énumération suit : À l'Être suprême et à la Nature _ Au Genre humain _ Au Peuple français _ Aux Bienfaiteurs de l'humanité _ Aux Martyrs de la liberté _ A la Liberté et à l'Égalité _ À la République _ À la Liberté du Monde _ À l'amour de la Patrie _ À la haine des Tyrans et des Traîtres _ À la Vérité _ À la Justice _ À la Pudeur _ À la Gloire et à l'Immortalité _ À l'Amitié _ À la Frugalité _ Au Courage _ À la Bonne Foi _ À l'Héroïsme _ À la Foi conjugale _ À l'Amour paternel _ À la Tendresse maternelle _ À la Piété filiale _ À l'Enfance _ À la Jeunesse _ À l'Âge viril _ À la Vieillesse _ Au Malheur _ À l'Agriculture _ À l'Industrie _ À nos Aïeux _ À la Postérité _ Au bonheur.
"Qui désapprouverait ces valeurs-là ?" dit-on sans réfléchir.
Mais pas du tout ! C'est en regardant de plus près qu'on aperçoit l'âge viril coincé entre la jeunesse et la vieillesse. Soit. Et où suis-je, pauvre femme ? Il ne me reste que la tendresse maternelle et, naturellement, la pudeur. C'est peu. Si j'ajoute la foi conjugale, valeur peu virile s'il en est, je suis une jeune fille pudique tantôt mariée dispensant la tendresse à mes enfants, et tout à fait confiante en mon époux. Je vois aussi qu'on célèbre le malheur, quelle curieuse idée, pourquoi ? Pourquoi célébrer l'immortalité ? Un seul coup d’œil sur ce décret m'en découvrir l'inanité : mots jetés à la hâte parce qu'il fallait imiter les fêtes des saints catholiques et annoncer le pot aux roses. Le pot aux roses fut le culte de l'Être suprême.
Commenter  J’apprécie          00

Videos de Catherine Clément (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Catherine Clément
Jérémy Chaponneau, chargé de collection au département Philosophie, histoire et sciences humaines, vous propose un programme de lectures autour des voyages d'Henri Cartier-Bresson : « le Musée du peuple mexicain », Pedro Ramirez Vazquez, Vilo, 1968 https://c.bnf.fr/NKm « La Nuit de Tlateloco », Elena Poniatowska, Éditions CMDE, 2014 https://c.bnf.fr/NKp « Autobiographie ou Mes expériences de vérité », Gandhi, PUF, 1982 https://c.bnf.fr/NKs « Gandhi : la biographie illustrée », Kapoor Pramod, Chêne, 2017 https://c.bnf.fr/NKv « Gandhi, athlète de la liberté », Catherine Clément, Découvertes Gallimard, 2008 https://c.bnf.fr/NKy « Mahatma Gandhi », Romain Rolland, Stock, 1924 https://c.bnf.fr/NKB « Mahatma Gandhi : a biography », Bal Ram Nanda, Oxford India paperbacks, 1959 https://c.bnf.fr/NKE « Histoire de l'U.R.S.S. », Nicolas Werth, Que sais-je ?, 2020 https://c.bnf.fr/NKH « Staline », Oleg Khlevniuk, Gallimard, 2018 https://c.bnf.fr/NKK « U.R.S.S. », Jean Marabini, le Seuil, 1976 https://c.bnf.fr/NKN
En savoir plus sur l'exposition Henri Cartier-Bresson. le Grand Jeu : https://www.bnf.fr/fr/agenda/henri-cartier-bresson
+ Lire la suite
autres livres classés : roman historiqueVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (25) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3202 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..