De petites échappées dans le passé de Jawad, sur le campus de l’université ou dans les cafés de Bagdad, rappellent qu’un temps l’art et le plaisir furent possibles. Comme si l’Irak, montré comme un théâtre de cruauté – les corps, ou plus souvent ce qu’il en reste, parvenant à la salle de lavage sont décrits avec minutie –, n’était pas voué à la fatalité du malheur.
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