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Ombres & Pénombre...
Liste créée par fanfanouche24 le 22/09/2023
25 livres.

La lecture et découverte imprévues d'un écrivain- romancier et historien d'art d'origine roumain, Victor STOICHITA , avec un texte fort attractif , " Brève Histoire de l'ombre " a provoqué cette idée de sélection...en songeant non seulement à l'Art, la philosophie, la littérature mais aussi l'abondance significative des expressions, proverbes avec ce mot si précieux " OMBRE":

- " Comme une ombre au tableau"

- " Ma part d'ombre"

- " Avoir peur de son ombre"

-"Mettre quelqu'un à l'ombre "

- "Suivre quelqu'un comme son ombre"

-" Être l'ombre de soi-même "

- " À lâcher l'ombre , on perd aussi la proie", etc

Une phrase appréciée, très explicite d'Edgar Morin:

"C'est toujours ce qui éclaire qui demeure dans l'ombre"

@Soazic BOUCARD @ le 22 septembre 2023

****Voir aussi excellente liste exhaustive d' Alzie :

" Éloge de l'ombre"



1. Brève histoire de l'ombre
Victor I. Stoichita
4.67★ (18)

"Une ancienne légende fait remonter l’origine de la peinture à l’initiative d’une jeune fille qui circonscrivit sur un mur l’ombre de l’homme qu’elle aimait avant qu’il ne parte pour un long voyage. Cette naissance "en négatif" de la représentation artistique occidentale est sans doute significative. En effet, la peinture fait son apparition sous le signe de la dialectique absence/présence (absence du corps/présence de sa projection). Cet ouvrage, situé au point de rencontre de la représentation artistique et de la philosophie de la représentation, se propose de poser les jalons de cette histoire qui conduit du mythe des origines à la photographie et au cinéma, à travers les expériences les plus significatives de l’utilisation de l’ombre dans l’art occidental."
2. Les Ombra
Anna Maria Ortese
4.00★ (8)

" La mère, la signora Ombra Eugenia, faisait penser, peut-être un peu plus que les autres, à cette chose étrange à laquelle se référait le nom de la famille, c'est-à-dire à une ombre. Nous ne voulons absolument pas affirmer par là que c'était une femme triste, déprimée et brisée par l'inimitié obstinée de la Vie ; au contraire, elle était gentille, affable, toujours avec un bon sourire profond dans ses yeux verts."
3. Eloge de l'ombre
Junichirô Tanizaki
4.14★ (1512)

"Dans cet essai sur l'esthétique japonaise, publié en 1933, l'écrivain défend une esthétique de la pénombre comme réaction à l'esthétique occidentale où tout est éclairé. Il revendique la patine des objets en opposition à la manière lisse de l'Occident. "
4. Ombres portées
Ernst Gombrich
4.00★ (16)

"Il suffit de regarder autour de soi pour remarquer les ombres projetées par les objets sur les surfaces environnantes, aussi bien en plein jour qu'à la lumière artificielle. Ces ombres peuvent s'estomper, mais jamais disparaître tout à fait, sauf dans la majorité des peintures. Les artistes se servent des ombres portées pour attirer l'attention sur l'éclairage du tableau et pour donner plus de solidité aux objets qui interceptent la lumière. Ces ombres peuvent contribuer au climat d'une peinture. Elles peuvent révéler la présence de quelqu'un ou de quelque chose en dehors de l'espace représenté. Pourtant, comme le souligne E H Gombrich, elles n'apparaissent que çà et là dans l'art occidental, qui a plutôt tendance à les oublier ou à les éliminer."
5. L'Ombre
Ismaïl Kadaré
3.41★ (40)

"Alors que la dictature est encore debout dans son pays de l'Est européen, le personnage principal, un cinéaste plus ou moins raté, bénéficie de temps à autre du privilège d'être envoyé en mission à Paris. A chacun de ses retours de la Ville-Lumière, il est tenu de rendre des comptes à ses amis restés, eux, en deçà des cercles de l'enfer. Cette métaphore dantesque n'est pas déplacée, s'agissant du contenu de l'oeuvre, mais aussi et d'abord de son destin: rédigé dans une version semi-codée en 1984-86, le manuscrit fut déposé dans un coffre de banque à Paris, ordre étant donné à l'éditeur de le publier aussitôt en cas d'" accident " survenu à l'écrivain. D'une certaine façon, l'oeuvre avait franchi la frontière de l'enfer en lieu et place de son auteur. Mais le roman ne se limite pas aux variations sur ce premier argument. En Occident, le narrateur découvre de manière graduelle qu'il n'appartient pas vraiment au monde des vivants, qu'il est " gelé " par la mort dont le royaume s'étend à l'Est. La brièveté et les conditions de son séjour, l'angoisse du retour ne lui permettent pas le réchauffement espéré: il lui faut repartir s'enfermer dans son pays, regagner son cercueil, comme les personnages des ballades anciennes (on pense à Konstantin et à sa soeur Doruntine dont le thème devient de plus en plus présent au fil des pages). Ce roman est le roman du franchissement de l'impossible frontière: dépassement de la mort, rêve de réincarnation _ aspirations qui ont obsédé l'humanité depuis les origines. A ceci près qu'elles sont traitées ici dans le décor de la vie moderne: avions, cafés, boîtes de nuit, ambassades, soirées mondaines, rues, chambres d'hôtel, téléphone, etc _, tout en conservant la dimension tragique des schémas narratifs d'autrefois, quand les héros remontaient des enfers entre les serres d'un aigle, et non pas à bord d'un vol Tirana-Paris... Le thème de l'isolement d'un pays, de ses habitants, de l'artiste doublement solitaire..."
6. Ombres et lumières dans le dessin et la peinture
José María Parramón
4.00★ (3)

"Comment représenter l’effet de la lumière sur les objets ? Comment réussir un clair obscur en jouant sur la distribution et l’intensité des ombres dans un dessin ? Cet ouvrage pratique vous présente les différentes techniques servant à représenter l’ombre et la lumière en fonction des outils et supports utilisés. De nombreux exemples clairement illustrés vous permettront, quel que soit votre niveau, de maîtriser tous les moyens à votre disposition pour donner vie et relief à n’importe quelle représentation picturale."
7. Impressions fugitives : L'ombre, le reflet, l'écho
Clément Rosset
3.50★ (11)

« Une étude des différentes figures du double, conçu comme marque d’irréalité et principal facteur d’illusion, telle que je la mène depuis longtemps, serait incomplète sans une brève exploration des domaines de l’ombre, du reflet et de l’écho. Car, et contrairement aux doubles porteurs d’illusion, ces doubles de “ seconde espèce ” sont des garants de la réalité des objets dont ils constituent l’environnement forcé, quelque fugitif et parfois inquiétant que celui-ci puisse sembler. La littérature nous enseigne depuis longtemps ce qu’il en coûte d’être privé de son ombre ou de son reflet et, pour parodier La Fontaine, qu’à lâcher l’ombre on perd aussi la proie. » Clément Rosset
10. Ombres chinoises
Simon Leys
3.85★ (31)

"Un an après la parution des Habits neufs du président Mao, Simon Leys est retourné vivre en Chine pendant six mois. Ces Ombres chinoises donnent tout leur relief à la propagande, aux récits naïfs ou intéressés des touristes qui encombrent la presse et l'édition. Ce n'est évidemment pas aux maoïstes occidentaux, ces ennemis du peuple chinois, ni aux ministres UDR qu'on peut demander de parler de la Chine.; - comme disait Hegel - ces gens-là savent ce qu'ils taisent autant qu'ils parlent de ce qu'ils ignorent. Simon Leys a suivi le conseil de Lu Xun : " Aussi s'il se trouvait aujourd'hui quelque étranger qui, tout en ayant été admis à s'asseoir au banquet chinois, n'hésiterait pas à vitupérer en notre nom contre la présente condition en Chine, voilà ce que j'appellerais un homme vraiment honnête, un homme vraiment admirable."
11. Ombres chinoises
Lisa See
3.94★ (403)

"Début de l'année 1957. On retrouve May et Pearl, les deux sœurs de Filles de Shanghai, ainsi que la fille de cette dernière, âgée de dix-neuf ans, la fougueuse Joy. Bouleversée par les secrets familiaux qu'elle vient de découvrir, Joy décide de s'enfuir pour Shanghai afin de retrouver son père biologique, un homme dont sa mère et sa tante May furent éprises par le passé, l'artiste Z.G Li. Éblouie par sa personnalité et aveuglée par des idéaux révolutionnaires, Joy se jette à corps perdu dans le projet de la Nouvelle république populaire de Chine, inconsciente des dangers du régime communiste. Dévastée par le départ de Joy et craignant pour sa vie, Pearl est déterminée à sauver sa fille, à n'importe quel prix. Elle devra affronter ses vieux démons et relever des défis quasi insurmontables, au cours d'un des épisodes les plus dramatiques de l'histoire chinoise. Lisa See exalte avec brio l'amour sous toutes ses formes : l'amour maternel, l'amour passion, l'amour patriote. Elle plonge une fois encore ses héroïnes dans les affres de la tragédie, du temps qui passe et de l'amour inconditionnel dans un roman qui tient le lecteur en haleine jusqu'à la toute dernière page."
12. Femmes de l'ombre et Grandes Royales dans la mémoire du continent africain
Jacqueline Sorel
"Personnages légendaires, à l'origine d'un royaume ou d'un héros, reines, mères, prophétesses ou mêmes victimes, les femmes apparaissent en filigrane dans la tradition africaine, dans les pages des récits de voyage ou dans les manuels d'histoire. Jacqueline Sorel et Simonne Pierron-Gomis en ont recherché la trace et nous livrent ici une série de portraits qui témoignent des différents rôles joués par les femmes au cours des âges. De Lucy, la gracile des origines à Zaouditou, l'impératrice d'Éthiopie, en passant par Tin-Hinan, la mère des Touaregs, Nonquause, la prophétesse tragique, Bwanika, l'esclave maintes fois vendue et Yaa Asantiwa, l'âme de la résistance ashantie, trente figures émergent de l'ombre pour rappeler qu'en Afrique noire, les femmes ont toujours occupé une place prépondérante dans la société."
14. Sortir de l'ombre
Muriel Scibilia
"Personnages légendaires, à l'origine d'un royaume ou d'un héros, reines, mères, prophétesses ou mêmes victimes, les femmes apparaissent en filigrane dans la tradition africaine, dans les pages des récits de voyage ou dans les manuels d'histoire. Jacqueline Sorel et Simonne Pierron-Gomis en ont recherché la trace et nous livrent ici une série de portraits qui témoignent des différents rôles joués par les femmes au cours des âges. De Lucy, la gracile des origines à Zaouditou, l'impératrice d'Éthiopie, en passant par Tin-Hinan, la mère des Touaregs, Nonquause, la prophétesse tragique, Bwanika, l'esclave maintes fois vendue et Yaa Asantiwa, l'âme de la résistance ashantie, trente figures émergent de l'ombre pour rappeler qu'en Afrique noire, les femmes ont toujours occupé une place prépondérante dans la société."
15. Ombres
Chenjerai Hove
2.83★ (12)

"Dans une "maison de la mort", où planent les ombres de chacun et où se noue le drame d'une Afrique meurtrie, la destinée tragique de la famille de Johana, jeune fille éperdue entre ses amours déçues, la folie du père, le silence de la mère et la déraison des hommes."
16. Pénombre et clarté
Véronique Flabat-Piot
" «La vie est ainsi faite qu'elle place tour à tour l'être humain dans des zones de pénombre, lorsque tout est gris et que l'existence paraît terne ou, tout au contraire, en pleine clarté, quand le fil des jours se déroule sans problème majeur et que la réussite et les honneurs donnent rendez-vous chaque jour à l'homme... Ce sont ces moments de chagrin, de découragement et de tristesse ou ces instants de parfait bonheur et de joie profonde que le présent recueil vous convie à partager...» Dans ce nouveau florilège, Véronique Flabat-Piot vous entraîne dans le dédale de ses émotions, au fil d'une poésie qui se présente sous toutes les facettes de ses différents modes d'écriture : poésie classique - traditionnelle ou à formes fixes -, poésie néoclassique et poésie libre non rimée... La preuve, s'il en fallait une, que la poésie demeure le vecteur littéraire conduisant directement au coeur de l'homme !"
17. La saison de l'ombre
Léonora Miano
3.80★ (594)

"« Si leurs fils ne sont jamais retrouvés, si le ngambi ne révèle pas ce qui leur est arrivé, on ne racontera pas le chagrin de ces mères. La communauté oubliera les dix jeunes initiés, les deux hommes d'âge mûr, évaporés dans l'air au cours du grand incendie. Du feu lui-même, on ne dira plus rien. Qui goûte le souvenir des défaites ? » Nous sommes en Afrique sub-saharienne, quelque part à l'intérieur des terres, dans le clan Mulungo. Les fils aînés ont disparu, leurs mères sont regroupées à l'écart. Quel malheur vient de s'abattre sur le village ? Où sont les garçons ? Au cours d'une quête initiatique et périlleuse, les émissaire du clan, le chef Mukano, et trois mères courageuses, vont comprendre que leurs voisins, les BWele, les ont capturés et vendus aux étrangers venus du Nord par les eaux. Dans ce roman puissant, Léonora Miano revient sur la traite négrière pour faire entendre la voix de celles et ceux à qui elle a volé un être cher. L'histoire de l'Afrique sub-saharienne s'y drape dans une prose magnifique et mystérieuse, imprégnée du mysticisme, de croyances, et de « l'obligation d'inventer pour survivre. »
18. Chants d'ombre
Léopold Sédar Senghor
3.96★ (315)

"Ces deux premiers recueils du poète s'inscrivent déjà dans le mouvement de la négritude qui entendait représenter l'identité noire et sa culture." Source: Electre
19. Traversée des ombres
Jean-Bertrand Pontalis
3.76★ (64)

" Il nous faut croiser bien des revenants, dissoudre bien des fantômes, converser avec bien des morts, donner la parole à bien des muets, à commencer par l'infans que nous sommes encore, nous devons traverser bien des ombres pour enfin, peut-être, trouver une identité qui, si vacillante soit-elle, tienne et nous tienne. J.-B. P."
21. La pénombre
Lalla Romano
"Une femme revient sur ses pas. Comme chacun de nous a pu rêver de le faire, ou le faire en rêve : revisiter la ville de son enfance, retrouver dans les rues l’ombre des disparus familiers, inaccessibles, bien-aimés. Lalla Romano a entrepris cette quête, peu après la mort de sa mère – « Mais à Ponte Stura, j’ai voulu ne retrouver que ma mère d’alors, oublier la fin. J’ai évité, si je le pouvais, de dire que ma mère était morte ». Car qu’est-ce que la mort, sinon un simple fragment de ce temps retrouvé, un fil ténu dans la trame indéfectible de la mémoire ? Paru en 1964, ce roman s’impose comme une oeuvre majeure sur le temps, dans la lignée revendiquée de Proust, aussi bien qu’une extraordinaire évocation de l’Italie au début de ce siècle, où des personnages étranges et truculents évoquent à tout moment Fellini. Mais que la mère apparaisse, en dentelle blanche, malade, bouleversante de beauté, et c’est à Visconti que l’on pense – et ce roman de la mémoire prend sa véritable dimension : celle d’un merveilleux livre d’amour."
22. La Découverte de l'ombre : De Platon à Galilée, une énigme qui a fasciné tous les grands penseurs de l'humanité
Roberto Casati
4.33★ (10)

"L'ombre n'a jamais été très bien vue : irréelle, trompeuse, elle double les choses en les transformant en quasi non-êtres. Elle est, dans le monde physique, le revers de la lumière qui, en révélant les apparences, les borde également d'inquiétantes silhouettes fantomatiques. Contre la clarté de l'intelligence et de la franchise, à l'opposé des lumières de la vérité, l'ombre est du côté de la confusion et de la dissimulation. L'opinion a pourtant tort de se méfier des ombres. Elles n'ont rien de négatif : leur réalité n'est pas moindre que celle des objets qui les projettent. Très tôt, la science put d'ailleurs compter sur elles et avec elles : dès l'Antiquité, Eratosthène s'en servait pour calculer des distances terrestres et pour tenter un premier calcul de la circonférence de la Terre. Les astronomes ont également beaucoup appris des éclipses, en particulier des éclipsesde lune pour identifier la forme de notre planète. Les peintres de la Renaissance, de leur côté, avaient bien compris que c'était en perçant les secrets de la pénombre et de l'ombrage qu'ils maîtriseraient l'art des volumes et de la perspective.Roberto Casati, philosophe de formation, nous propose ici un parcours aussi passionnant qu'original dont le fil directeur parcourt l'histoire des sciences mais traverseégalement les domaines de l'esthétique et de la philosophie. Un ouvrage érudit mais clair, presque lumineux !--"Emilio Balturi
23. L'envers des ombres
Céline Navarre
3.80★ (30)

"Lily vit chez sa tante Ida dans un petit village. Lors de ses promenades, elle se remémore Saint-Germain des-Prés, sa vie parisienne et littéraire. Un parallèle se construit entre sa nouvelle vie à la campagne et son passé. Elle évoque son enfance, la mort de son père, l'internement de sa mère alors qu'elle découvre le langage et le quotidien de son nouvel environnement. Premier roman."
24. L'ombre de ce que nous avons été
Luis Sepúlveda
3.69★ (736)

Suggestion de JeffreyLeePierre.Merci !
25. L'Ombre au tableau - Du mal ou du négatif
François Jullien
4.00★ (6)

« La « globalisation » a radicalement changé les conditions de possibilité du négatif. Car, jusqu'à présent, le négatif se laissait aisément désigner comme l'autre, le monde se laissant scinder ; il y avait toujours un extérieur opposable à soi : le négatif était l'autre bloc (les USA pour l'URSS et réciproquement) ; ou l'autre classe (la bourgeoisie pour le prolétariat, etc.). Or, la globalisation a supprimé cette extériorité par laquelle du négatif trouvait à s'évacuer (avec lequel aussi travaillait l'Histoire). Dès lors qu'il n'y a plus d'autre camp, à l'extérieur, où le camper, le négatif en est conduit logiquement à s'intérioriser : il est devenu le « terrorisme ». La question que soulève ce petit essai de François Jullien revient donc à s'interroger sur une telle sorte de « logique ». Car le 11 septembre (2001) est-il vraiment un événement, comme on l'a présenté, et même l'événement (soudain) par excellence ? S'il a certes bien fonction d'événement par son effet de surprise et ce qu'il a enclenché, on peut, et même on doit peut-être, y voir d'abord, quant à son origine, l'affleurement, soudain mais résultatif, d'une telle « transformation silencieuse ».
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