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Gatdopelikepablo : "Les 90 pages de cette vie ne se voient pas passer. A peine terminé, on veut recommencer. On a forcément loupé quelque chose, ce n'est pas si simple. En fait si, ça l'est. C'est de cette simplicité que Bégaudeau tire la force de son roman. Sans jamais exclure complètement les témoignages charnels qu'une relation est toujours dédiée à exécuter. On ne ressent jamais réellement de mélancolie ou de vertige. L'écriture est toujours imprégnée d'une certaine douceur pour ses personnages, si on ne peut pas dire personnes, tant leur histoire semble réelle."

Elodi09 : "Comme toujours, une valeur sûre avec Virginie Grimaldi : de l'amour, de la tendresse, du rire, des larmes, des personnages attachants, une histoire qui se déguste. Même si je m'attendais à la fin, ça ne m'a pas empêché d'être très émue. Virginie Grimaldi est vraiment la reine pour raconter ce genre d'histoire."

Myl35 : "Mêlant fiction et réel, on peut souligner le très gros travail de recherches qu'a dû réaliser l'auteure pour ce livre qui est rempli d'informations historiques à qui veut faire des recherches sur le net pendant sa lecture rendant celle-ci très apprenante. Une lecture comme j'aime particulièrement forte et poussant à se renseigner, à vérifier et à approfondir le sujet."

Paulette2 : "Alice Renard joue du langage tout en le réinventant en enfant géniale et espiègle. C'est imprévisible, d'une originalité profonde, comme si sa source était le monde mystérieux auquel seule Isor a accès. le style n'est pas décoratif car il scelle une affinité secrète entre l'auteure et son personnage. Les liens souterrains et cachés sont d'ailleurs nombreux dans cette oeuvre, qui ne se résume décidément pas à ce qu'elle dit. "

Yvroyer : "Un exercice d'équilibriste qui conduit à réfléchir à la fois sur notre passé commun, sur les erreurs commises à l'échelle d'une famille mais également à l'échelle d'une nation voir du monde et du futur que nous souhaitons le meilleur possible pour les générations à venir ; encore faut-il qu'une forme d'acceptation et de solidarité s'exercent au sein de tous les êtres humains, ce qui semble encore incertain en 2023. En tout cas, une lueur d'espoir se dessine…"

Jbicrel : "En somme, lire Modiano, c'est entrer dans un univers, se couper du monde, se laisser entraîner dans un temps révolu à travers Paris, mais lire La Danseuse, c'est découvrir un univers plus épuré, plus aérien et se laisser perdre entre tous ces noms de personnes mêlés aux noms de personnages !"

Charybde2 : "Avec ce texte ramassé, presque stylisé, mais n'abjurant pour notre bonheur aucune de ses variations de registre de langue ni de la redoutable scansion rythmique portée par les fragments d'un discours amoureux à distance, Mathias Énard nous prouve une fois encore, et avec quel éclat, en renouvelant toutes les significations enfouies du mot « Déserter », qu'il a décidément bien peu de pareils pour nous offrir le meilleur de la trame de l'Histoire et de l'entrecroisement fin, presque indicible, de l'intime et du politique, sous le signe des plus grandes espérances, même au coeur des tempêtes."

Yvan_T : "Ce roman est un véritable cri d'alarme, qui invite à réfléchir au monde que nous offrons à nos enfants, car oui, nous vivons dans un monde où certains jeunes ne rêvent que d'une chose : mourir ! Et pas de rire, mais de désespoir, de manque de perspectives et de cette pandémie qui a encore accentué leur isolement. "

Loulou_lecture : "Livre lu en un petit week-end et quel roman ! Cette lecture tombe à pic avec mes questionnements actuels, beaucoup d'amour entre les lignes qui me rappellent la fabuleuse relation avec ma maman mais surtout, peut-on grandir sans trahir?"

clemaufildespages : "C'est indéniable, le talent de conteuse d'histoires de l'autrice est immense et j'ai déjà hâte de retrouver cette plume magique."

MAPATOU : "Thomas B. Reverdy raconte dans le même temps la vie de ce lycée de banlieue paupérisée où les jeunes sont ghettoïsés ; où les professeurs essaient de tirer leurs élèves vers la culture ou finissent par y renoncer par découragement. Il réussit à se mettre aussi bien dans la peau de ces professeurs que dans celle de ces jeunes et brosse un état des lieux des conditions de vie dans ces quartiers, des difficultés auxquelles sont confrontées les enseignants, les directeurs d'établissement, les dérives des réseaux sociaux qui incitent les jeunes à réagir sans prendre le temps de se poser et de réfléchir."

Melissapinho : "C'est encore une super lecture et une super histoire que je découvre avec ce roman. Je ne connaissais pas du tout cette femme, Menie Grégoire, et je suis contente d'avoir remédié à ça car elle a été importante dans le combat des droits des femmes. Elle a su faire entendre la voix de toutes ces auditrices malheureuses : celles qui se faisaient violer sans le savoir par leur mari car oui même marié nous ne sommes pas obligé d'avoir envie d'un rapport sexuel ; celles qui ont menées des grossesses, parfois non désirées, à terme au péril de leur vie car la pilule n'était pas encore quelque chose de démocratisé; ou encore celles qui voulaient s'émanciper de leur mari."

Dibou : "Un roman passionnant, drôle et satyrique, une ode à la terre ! Des questions sont posées, les solutions ne sont pas forcément trouvées mais ce récit très intéressant fera réfléchir."

Daisy1260 : "Un monde plus sale que moi est à la fois un roman #Metoo et un roman post#Metoo. Mais c'est surtout un point de vue unique sur le consentement : la voix de cielles qu'on ne prend jamais le temps d'écouter. C'est beau, bouleversant, banal... Beau car c'est littéraire. Bouleversant car c'est tragique ce qui arrive à Elsa. Banal car il y en a beaucoup des Elsa. A lire absolument."

Labookeuse96 : "Il faut que je vous parle de ce livre, mais je ne sais pas comment.Il est beau, percutant, touchant, poignant, sensible, bien écrit. Il est également universel. L'histoire est celle de Ubac et Cédric, mais c'est celle que partagent bon nombre de maîtres et chiens et elle saura parler à beaucoup d'entre nous, qu'on ait un chien dans nos vies ou non à vrai dire."

Roadreader : "Le style aérien de l'auteur nous fait voguer sur de grands espaces où l'on observe, fasciné, le parcours de ces personnages sans jamais se perdre, bercé par les courants ascendants que souffle la plume de l'auteur. Minuscule grain de sable emporté par les courants ravageurs de l'histoire on assiste aussi bien à leurs histoires qu'à celles avec un grand H, celle qui voit les hommes se damner pour un bout de terre ou des cailloux brillants."

ThecosmicSam : "Panayotis Pascot nous livre un récit authentique et très intime. Mettant de côté la pudeur dont il fait preuve dans la vie de tous les jours, c'est dans une foultitude de pensées qu'il nous invite, sans jamais donner l'impression de se censurer."

TarteTatin : "C'est un texte qui raisonne fort, à plusieurs niveaux : l'engagement (amoureux et parental), le vertige (amoureux et parental), l'effacement et l'oubli de soi dans les relations (amoureuses et parentales) et comment la société fait bien son job par rapport à tout ça."

Pyrouette : "J'avais l'impression, en quittant de temps en temps ce livre, de voir les personnages sautés en dehors tels de petits lutins multicolores tellement cette histoire est foisonnante et les personnages haut en couleur."

Nyxrosee : "Visiblement, cette rentrée littéraire est une véritable source de merveilles. Encore une fois, j'ai pris une sacrée claque avec la lecture du nouveau prix Femina. J'ai eu la chance d'écouter ce livre, lu par l'autrice elle-même, ce qui a rendu cette lecture que plus intense et poignante. L'autrice nous y raconte l'un des plus gros drames de sa vie : comment son beau-père a abusé d'elle pendant des années."