Je découvre le théâtre de Rufus avec "
300 dernières" et je ne suis pas surprise du ton de ce grand acteur. D'ailleurs, fin des années 60, il a écrit d'autres pièces avec
Brigitte Fontaine, c'est peu dire !
Il me fait penser à
Ionesco et au théâtre de l'absurde. Ça se passe à Paris, au théâtre à proprement parler, entre le massif central et Venise, les pommes et les alexandrins. Un homme cherche quelqu'un, une amoureuse quoi, et il s'est donné jusqu'à la 300ème représentation pour la trouver, sinon « pan ! ». Mais tout se joue dans son esprit et il finit par retourner dans sa maison, bien content de se retrouver au calme.